LA VIOLENCE A L ECOLE EST LA VIOLENCE DE L ECOLE
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LA VIOLENCE A L'ÉCOLE EST LA VIOLENCE ET CHAMP SOCIAL VIOLENCE DE L'ÉCOLE Si le comportement violent est en général si difficile à comprendre, à prévoir, à contrôler, c'est qu'il est en marge des normes Hernando RAMIREZ acceptées par la communauté ou le groupe Psychanalyste d'appartenance. Il est la manifestation visible d'une méconnaissance, ou d'un refus des normes usuelles ou le signe que ces normes Freud a émis l'hypothèse qu'il existe jusqu'à lors considérées comme garantes du chez l'homme deux pulsions fondamentales qui fonctionnement non violent du groupe ne sont seraient comme deux axes, à la fois antagonistes et plus opérantes. complémentaires, autour desquels s'organise la vie Aussi pourrons nous dire de façon schématique psychique : la pulsion de vie ou Éros et la pulsion de que la violence que se généralise est le mort ou Thanatos. symptôme d'un processus de transition entre le A propos de la première, et malgré les monde normatif obsolète et un autre qui doit résistances que la découverte freudienne de la sexualité s'instaurer en raison de la disparition ou de infantile a pu susciter, il semble que de nos jours il soit l'inefficacité du premier. admis que l'être humain,dès sa plus jeune âge, est Par là même , la violence, en tant animé d'une libido.

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Publié le 21 octobre 2016
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Langue Français

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LA VIOLENCE A L'ÉCOLEEST LA VIOLENCE DE L'ÉCOLE
 HernandoRAMIREZ  Psychanalyste
 Freuda émis l'hypothèse qu'il existe chez l'homme deux pulsions fondamentalesqui seraient comme deux axes, à la fois antagonistes et complémentaires, autour desquels s'organise la vie psychique :la pulsion de vie ou Éros et la pulsion de mort ou Thanatos.  Apropos de la première, et malgré les résistances que la découverte freudienne de la sexualité infantile a pu susciter, il semble que de nos jours il soit admis que l'être humain,dès sa plus jeune âge, est animé d'une libido. En ce qui concerne la notion de pulsion de mort, qui est loin de faire l'unanimité, l'affaire se complique. Admettre que la destruction, les forces de déliaison soient endogènes et aient pour cible non seulement l'autre , l’ennemi, mais aussi et surtout soi-même, que une violence fondamentale viendrait s'opposer aux forces de vie, cette idée continue à faire couleur beaucoup d'encre et les débats autour de l'origine et de l'existence même de la pulsion de mort sont nombreux et animés. Pour personne, les manifestations de la violence humaine ne sont contestables, mais il y a les tenants de l'idée que la violence, la barbarie ou le masochisme interviennent secondairement en réponse à des agressions; et ceux qui soutiennent que les manifestations de la pulsion de mort sont des composants intrinsèques de l'être humain que la société « civilisatrice » apour fonction de canaliser. Ces deux conceptions, on le verra , ne sont pas antagonistes mais se complètent. On peut d'ores et déjà que quoi qu'il en soit de son origine, cette bipolarité pulsionnelle de la vie psychique n'induit pas pour autant une vision manichéenne, au contraire : elle signale que, forces de vie et forces de destruction sont liées et même complémentaires, et que la pulsion de mort et ses manifestations ne sont pas de l'ordre de l'inhumain, mais signe au contraire de l'humain.
En effet, si on considère deux expressions caractéristiques de la pulsion de vie et de la pulsion de mort que sont l'acte sexuel et la guerre, on peut constater que l'un comme l'autre sont la manifestation de l'intégration et de la complémentarité des deux forces pulsionnelles: la conquête sexuelle, comme l'acte sexuel lui-même, comportent une composante agressive ;et la guerre ne serait pas possible sans l'ivresse et le plaisir quiprécèdent sa déclaration et ses combats.
VIOLENCE ET CHAMP SOCIAL  Sile comportementviolent est en général si difficile à comprendre, à prévoir, à contrôler, c'est qu'il est en marge des normes acceptées par la communauté ou le groupe d'appartenance. Il est la manifestation visible d'une méconnaissance, ou d'un refus des normes usuelles ou le signe que ces normes jusqu'à lors considérées comme garantes du fonctionnement non violent du groupe ne sont plus opérantes. Aussi pourrons nous dire de façon schématique que la violence que se généralise est le symptôme d'un processus de transition entre le monde normatif obsolète et un autre qui doit s'instaurer en raison de la disparition ou de l'inefficacité du premier. Par là même , la violence, en tant qu'elle s'inscrit comme négation d'un ordre établi ou de normes jadis acceptées, comporte nécessairement en elle-même, non seulement un sens mais aussi l'esquisse d'une solution, voire de la non-violence et le message de l'aspiration à un nouveau ordre éthique ou être l'expression d'une certaine éthique, même si nous ne la partageons pas. L'acte violent appartient donc aussi à la sphère social. Cela signifie qu'il est important de ne pas l'interroger seulement selon un point de vue psychanalytique, c'est à dire à partir de l'histoire individuelle ou familiale et de ses aménagements inconscients (même si celui-ci est loin d'être négligeable). Il faudrait même admettre que la problématique de la violence est éminemment politique à condition de prendre ce terme dans sa acception la plus noble, c'est à dire ce qui a à avoir avec la « polis », la cité. Cité, c'est à dire une structure extrêmement complexe composée bien entendu de citoyens, mais aussi d'un réseau d'institutions dont chacune aurait pour fonction, outre celle manifeste de remplir une mission, d'accomplir une tâche (l'enseignement par l'institution scolaire), celle plus souterraine ou latente de contenir et canaliser la vie pulsionnelle individuelle et groupale.
LA VIOLENCE ET L' ÉCOLE
Un des lieux où les affaires de la cité prennent une résonance particulière est l'institution scolaire. Cela fait déjà plusieurs décennies que l'on constate un échec scolaire très important résistant à toute réforme et contribuant à une mise en question de la
capacité de l'école de remplir correctement sa « mission »d'enseignement. Puis, peu à peu, sont apparus des actes de violence de plus en plus nombreux, attaquant en quelque sorte la fonction latente de l'institution et faisant dire à beaucoup qu'à l'heure actuelle, dans certains cas, il ne s'agit même plus d'enseigner à l'école mais d'essayer d'éviter la transformation de la classe en champ de bataille. On atendance à attribuer la violence à l'école aux seuls élèves qui, il est vrai, y sont pour beaucoup. Mais cette désignation a pour effet d'induire une analyse erronée et de plus inefficace de la situation. La violence en effet peut s'exprimer par l'intermédiaire d'un autre des acteurs de la scène scolaire : l'enseignant, et ceci sous diverses formes plus ou moins violentes, plus ou moins graves. Parmi elles, citons la pédophilie, violence plus déstructurante pour l'enfant du point de vue psychique que la pire des violences exercées sur un enfant par un de ses camarades. Il est probable que ce type de violence (même s'il s'agit de pédophile « douce », sans passage à l'acte) est aussi important que les agressions armées de la part des élèves; et la question qui se pose est de savoir pourquoi il a été ignoré, banalisé, voire occulté cet acte agressif. On a mis en avant le tabou lié à la sexualité ou la nécessité de soutenir le corps professoral pour ne pas fragiliser davantage l'institution face à la horde des élèves. Mais ces prétextes sont des tentatives pour éviter ou retarder le moment où ce sera l'institution elle-même qui «sera mise en examen» pour incompétence. Incompétence a enseigner, mais aussi à remplir sa fonction de contenant. Fonction de contenant qui, lorsqu'elle est efficace, l'est pour tous ses composants, et lorsqu'elle est défaillante, est susceptible de l'être pour tous également; on ne compte plus les dépressions, les maladies psychosomatiques, etc, dont sont atteints de si nombreux professeurs.
L'INSTITUTION CONTENANT PULSIONNEL
 Lepsychanalyste José Bleger, reprenant le concept de contenant de Bion a fait l'hypothèseque l'institution servait de contenant aux parties « psychotiques »de l'être humain, c'est à dire à ces parties archaïques que la psyché individuelle ne pouvait pas contenir. D'où l'importance qu'exerce la famille en tant qu'institution pour l'équilibre psychique de ses membres. Partant de là, on a pu observer que ce n'était pas seulement les groupes organisés institutionnalisés de longue date qui servaient de contenant pulsionnel mais aussi les groupes an-historiques. Pour mieux comprendre, prenons l'exemple d'un groupe de psychothérapie : les membres ne se connaissent pas et le groupe n'a pas d'histoire commune en tant que telle ; or très vite il y a élaboration d'une construction
mythologique, de vécus communs, d'un mode communication ou langage commun, de repères, de lois, etc... Si bien que le groupe prend la dimension et la structure d'une institutionau sein de laquelle les pulsions peuvent circuler sans trop de danger puisqu'elles y sont contenues. Le groupe est devenu groupe institutionnalisé parce qu'intégré comme une totalité par ses membres ; c'est à dire qu'il a pris corps, corps groupal. Il s'est constitué lui-même comme institution donnant lieu à des phénomènes psychiques propres. Ces phénomènes psychiques institutionnels, résultat de la nouvelle structure institutionnelle, présentent des caractéristiques assez proches des comportements psychiques individuels et groupaux, sans pour autant qu'on puisse les considérer comme l'addition du fonctionnement des psychés individuelles. L'illusion groupale qui correspond à l'illusion institutionnelle, qui s'est développée dans les institutions où le sentiment d'appartenance est très développée, renvoie à l'illusion de la fusion primaire mère-enfant sans pour autant qu'elle soit une simple reproduction de la répétition de ce vécu infantile, même si celui-ci sert de modèle et de base à son irruption dans le champ institutionnel. L'institution fonctionne donc avec ses propres règles et présente des phénomènes spécifiques. Nous nous intéresseront ici à la fonction primordial: la capacité de contenir. Tant que l'institution est solide, elle remplit en effet son rôle de contenant pulsionnel et la pulsion de mort mise en circulation est alors au pire neutralisée, au mieux reliée à la pulsion de vie et transformée en production d'objets de culture. Pour ce faire, l'institution doit avoir une triple structure : a) être contenue et/ou relayée par d'autres institutions. b) être un espace contenant des parties les plus primitives de la personnalité.  c)avoir un cadre ( ensemble de normes, conditions et règles de fonctionnement ) non variable, susceptible de permettre l'expression et la circulation des pulsions avec leurs représentations et affects.  Siun ou plusieurs de ces aspects fait défaut, l'institution se fragilise et renvoie à son tour aux individus les plus fragiles les éléments qu'elle ne peut plus contenir, et qui se trouvent ainsi délies et susceptible d'envahir de nouveau la psyché individuelle. L'individu attaqué par ses propres pulsions est trop menacé, fragilisé pour recréer l'institution
qui le contiendra et ne peut que laisser ces forces agir pour leur propre compte et détruire le tissus social. Lorsque c'est le cadre lui-même qui en vient à être attaqué, on peut supposer que les deux autres composants structurelles de l'institution sont en crise ou déjà détruites. Dans ce cas, c'est un leurre de penser que des replâtrages ou réaménagements, au niveau du cadre seul, peuvent suffire à résoudre la crise.
 ENVELOPPEIDEOLOGIQUE CONTENANTE Toute institution a besoin, pour exister, d'être soutenue par un «discours idéologique» qui lui confère une identité, tout en lui permettant d'exercer sa fonction contenant. L'institution scolaire n'échappe pas à cette règle. Ce discours idéologique doit permettre de : a) véhiculer et transmettre l'idéal que l'imaginaire social a forger de l'institution. b) conteniret être le reflet des croyances et des mythes propres à cet idéal que l'imaginaire social a crée.  c)fournir un langage commun et des outils opérationnels.  d)fixer les règles d'appartenance et exclusion.  e)avoir une mission et des objectifs.  Lepartage et l'acceptation de ces cinq facteurs ont pour corollaire un sentiment profond d'adhésion et d'appartenance à l'institution. Comme nous avons signalé, les phénomènes psychiques qui existent et circulent dans et par l'institution ne sont pas très différents des phénomènes psychiques issus de l'institution de base qu'est la famille. Mais il vont s'étayer, se recréer, se déployer à un autre niveau. Prenons l'exemple de l'identification: ce mécanisme à la base de la structuration psychique de l'enfant va, dans un premier temps, se répéter au sein de l'institution, vis à vis d'une figure de type parental susceptible d'être prise comme support identificatoire. Il va ensuite s'étendre à l'institution dans son ensemble afin d'élaborer les processus d'appartenance et d'affiliation. C'est ainsi que l'institution, dans sa fonction idéale de réceptacle ou contenant identificatoire, doit être une zone non-conflictuelle, c'est à dire un espace potentiel transitionnel où ses membres ( y compris les adultes), peuvent revivre des expériences d'identification, mais aussi de déliaison de l'identification sans que cela provoque de rupture grave. Cet autre niveau d'identification proposé et rendu possible par l'institution doit aussi pouvoir fonctionner lorsque c'est nécessaire comme un replâtrage réduisant les dommages qu'auraient pu causer des défaillances préalables. Si l'institution est
suffisamment solide, la structure de la psyché et les processus de personnalisation sortent renforcés de cette expérience et l'individu conservera ces repérages identificatoires d'appartenance et d'affiliation comme des acquis essentiels. Or actuellement, l'institution scolaire n'est pas en mesure d'offrir ces possibilités, ce qui est d'autant plus alarmant que d'autres institutions ( la famille,en premier lieu ) qui avaient traditionnellement des fonctions similaires, sont elles aussi défaillantes. On s'explique alors le succès d'institutions caritatives, las sectes,les mouvements politiques extrémistes, etc... On le voit donc: la violence à l'école, des élèves, comme des adultes chargés de leur encadrement, est le symptôme d'une institution malade. La violence à l'école est la violence de l’École à travers laquelle il faut déceler la souffrance d'individus en quête d'institution. L'ECOLE SANS VIOLENCE
Le premier pas à franchir pour que l'institution scolaire puisse à nouveau contenir le jeu pulsionnel est d'accepter que la violence, générée par l'école elle-même, n'est pas un corps étranger, importé de l'extérieur, dont il faut se débarrasser. C'est à dire qu'il convient d'accepter qu'elle est la manifestation institutionnelle du transfert de l'institution sur chacune de ses composantes: élèves, enseignants, administration, de même que sur la société en général. La violence est le symptôme d'un corps institutionnel en détresse et, comme tout symptôme si on le décrypte, elle offre l'opportunité à l'institution de se approprier son destin,c'est à dire sa mission et ses objectifs. Ce destin est actuellement confisqué et détourné par d'autres institutions ( État, syndicats, associations ) qui l'ont poussée à produire comme mécanisme paralysant et mortifère, un esprit bureaucratique extrême.. L'école doit revenir une institution créatrice où la vie pulsionnelle peut circuler tout en s'élaborant, s'enrichissant et se libérant de l'emprise de l'aliénation institutionnelle qui la rend stérile, inefficace et violente. Un des signes de cette aliénation est le mécanisme de dénégation généralisée qui règne en maître. Par exemple, lorsqu'il se produit un acte de violence grave, la première réaction de l'institution scolaire est de nier ou de minimiser les faits. Si, par ailleurs, on demande à un caïd pourquoi il est violent, il
fera l'étonné et répondra qu'il n'est pas violent mais qu'au contraire, il défend ses copains. Si de la même manière, on interroge un enseignant sur la violence qu'il lui arrive de manifester dans l'école, sa réponse tournera aussi autour de la dénégation et de la recherche de boucs émissaires. Cette dénégation généralisée s'explique par le fait que la violence dans l'institution est vécue comme quelque chose d'étranger, d'impossible à contenir, d'inexistant parce que non contenue par l'enveloppe institutionnelle et que en conséquence ne devrait pas exister. Lorsqu'il n'est plus possible de la nier, on considère qu'elle est importée, qu'elle vient du dehors ( ce sont des jeunes extérieurs à l'école qui créent les troubles), elle est étrangère et il n'y a qu'un pas vite franchi pour dire qu'elle est provoquée par des étrangers.
LA DEMOCRATISATION DE L'ÉCOLE L'école est le dernier rempart de l'autocratie, voire du totalitarisme. Elle est passée en France comme presque partout, de l'emprise de l'institution catholique à l'emprise de l’État. Les efforts fait pour la démocratiser ont été étouffés dans l'œuf et beaucoup ont payé cher ce combat. Des Célestins Freinet, Don Lorenzo Milani et son école de Barbiana, ont été marginalisés, bannis,. Leur pêché est d'avoir cru qu'ils pourraient faire de l'école un lieu libéré de l'emprise des autres institutions où pourrait s'apprendre l’exercice de la démocratie, d'une autre manière de vivre plus humaine. L'école actuelle non démocratique est devenue étrangère à la cité et après avoir elle-même pratiqué l'exclusion, se trouve attaquée comme étrangère. La réponse à la violence et à tous ces sous-produits :l'échec scolaire, la démotivation, l'absentéisme ( des élèves comme des enseignants), les maladies psychosomatiques, etc....serait une lutte quotidienne pour la démocratisation de l'école. Mais une démocratisation bien pensée qui tiendrait compte, non seulement des différentes parties en présence, mais aussi des besoins profonds de l'institution prise dans sa totalité comme une entité psychique qui a ses propres modes de fonctionnement, ses propres exigences et ses effets spécifiques.
 HernandoRamirez – Psychanalyste Neuilly-sur-Seine Août2012
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