Comment savoir si je lui plais ?

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• Publié par: Feminin-psycho
• Publié le: 12 janvier 2013
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• Langue: Français

Extrait

Comment savoir si je lui plais ?

Sans vraiment l'avoir prémédité, voici que cet homme a pris de l'importance dans notre vie. On le regarde, on l'épie même parfois pour tenter de mieux le connaître, et décidément, il nous plait de plus en plus. Il semble bien qu'il ait remarqué votre existence, voire mieux, il discute, il vous sourit, il parle mais impossible de déterminer si cela peut aller plus loin et si l'intérêt soulevé est bel et bien mutuel.

Difficile de faire des avances directes, soit par conviction, soit par tempérament, mais hors de question de laisser filer celui avec qui, peut-être tout sera possible. Les circonstances du début de relation sont importantes pour la suite : s'agit-il d'une relation rencontrée dans le monde professionnel, d'un client, d'un ami de la famille, un ami d'amies ?

Guetter certains signes

Chaque femme est à même de détecter certains encouragements à une poursuite ou un début de relation. Cherche-t-il par exemple à multiplier les contacts ? Sans qu'il n'y ait d'avance, certaines discussions ou regards peuvent en dire long. Il va sans dire que guetter les signes d'intérêt signifie que celui qui vous attire est du genre réservé ou timide, et que la séduction n'est pas son point fort. Difficile alors de savoir s'il n'est pas plus clair dans son attitude parce qu'il n'est pas franchement intéressé ou simplement parce qu'il ne sait pas trop comment s'y prendre pour progresser dans la relation, surtout si le contexte est professionnel.

Il a ceux qui adorent taquiner, qui détournent le regard dès que l'on se retourne vers eux, qui n'hésitent pas à vous défendre ou à vous envoyer quelques compliments, qui recherchent à être seul avec vous... Autant de signaux encourageants. Evidemment le principal écueil est de prendre ses désirs pour des réalités, une tentation évidente lorsque l'on commence à être « accro ». Si l'on peut, l'idéal est de demander à une amie ce qu'elle en pense, du moins si l'on a l'opportunité qu'elle voit le fameux objet de toutes les attentions de façon naturelle et que cela ne sente aucunement le piège. Pas de possibilités de ce côté-là ? Alors, il va falloir se débrouiller toute seule...

Prendre l'initiative

Il va falloir prendre le taureau par les cornes et savoir si oui ou non, une relation peut être envisagée ou non. Mais tout en douceur, pour ne pas avoir l'air de la pauvre fille qui s'est complétement trompée de chemin et rêve désespérément au prince charmant. Mais après tout, il faut bien être fixée, un mouvement clair s'impose pour cerner la cible. L'approche directe étant déconseillée dans le flou de la situation, mieux vaut trouver une solution intermédiaire.

Il faut parvenir à proposer un rendez-vous en tête-à-tête, mais qui n'en soit pas vraiment un ! Le prétexte est important et doit être trouvé en relation avec le contexte. Une réunion pour examiner un dossier dans le contexte professionnel, si possible en fin de matinée, pour se prolonger en déjeuner peut admirablement faire l'affaire. Demander à être responsable ou partie prenante sur son dossier s'il s'agit d'un client est aussi une excellente occasion d'approfondir le sujet en toute discrétion et de s'accorder un peu plus de temps.

Dans la sphère privée, il est beaucoup plus simple d'organiser un moment où la complicité peut se faire jour. L'organisation de l'anniversaire ou du mariage d'une relation commune, s'inventer un intérêt pour sa profession, lui demander un conseil très important, tout peut être prétexte à une rencontre. Il suffit d'un peu d'imagination. Le fait de pouvoir s'exprimer en face à face permettra rapidement de détecter si l'autre est intéressé : la date du rendez-vous est un premier enseignement. Se rend-il libre rapidement ou cela a-t-il l'air compliqué pour lui ? Dans le dialogue qui s'instaure, les échanges peuvent dévoiler rapidement un début d'intérêt ou de sentiment chez l'autre. Autant dire que si rien ne se passe, mieux vaut plier bagages et cesser de se faire des illusions. Se tromper n'a rien d'humiliant même s'il s'agit toujours d'une petite déception. Ce n'était pas le bon et s'il n'a pas compris combien vous étiez exceptionnelle, décidément, le pauvre n'était vraiment pas fait pour vous !