Education : pour un report des rythmes scolaires
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Argumentaire UMP - Education : pour un report des rythmes scolaires

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Publié le 19 novembre 2013
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Langue Français

Extrait

ARGU FLASH

ÉDUCATION
POUR UN REPORT DES
RYTHMES SCOLAIRES

À RETENIR
La contestation du décret sur les rythmes spcroflaireonsneelsst 
de plus en plus forte essi ochez les élus locaux, les
et les parents,mais le gouvernement préfère répondre par
le mépris et la brutalité.
L’UMP a deux exigencespousr fianccaenptceirè rceetstl ial e e:rmforée et libr
obtenir de solides garantiessere
choix d’applicationde la mesure aux communes de France.

CHIFFRE CLÉ
65 %
C’est la part des parents
d’élèves scolarisés en
primaire qui veulent
l’abandon de la réforme
des rythmes scolaires.

Seul le gouvernement ne semble pas se rendre
compte du rejet qu’entraîne son décret

Al ors que seulement 17 % des communes ont décidé d’appliquer cette réforme dès 2013,un nombre
grandissant de municipalités se dit dans l’incapacité de la mettre en place en 2014.
Comme la centaine de membres du Collectif des maires contre la réforme des rythmes scolaires,
lc’oOmisme.e À4 0R oéilnuvsi ldlee- lsao ums-étDroouprodlea nd ee t Nài cJea nCvôrtye, dd’eAs zpuer,ti toeus c2o3 mmmauirneess ddue Vl’aEl sdseo nMnea,r nlee ceto n2s2ei0l mmauinriecsi dae
a voté contre l’application de la réforme des rythmes scolaires à la rentrée ne. Boves dansp lal
Somme et Crillon dans l’Oise avaient décidé d’appliquer la réforme en 201p3r omcahisa iont dû r
face aux difficultés. y enoncer

 civiques ». C’estVincent Peillon s’est permis de traiter ces maires de « délinquants
une formule honteuse. Ce n’est pas tant que les maires ne veulent pas appliquer cette
réfiorersmdee, dmais qu ’iulns dnéecrpetequuvieonrtgapnaissel ’uanp yensemotedfau.transtrefnonnifécnaqeilpd,rceuIol sm’apgéitteennceeffsetdpeolu’rÉ tleast 
ma énoncer
aux communes, ce qui est contraire à l’article 72-2 de . n’étLa auche
saeursvsiic ien dmiignniémeu qmu àa nl’dé cBoelret,r apnodu rtDaenlta nvoalëi deét ed ’paaurt rlea s dvéilcliessi odne dgua lCuaochnCse oeernflsutsoitianustetiiuttnoi tdnq8.ieup a2l0p0’led onnoatû u 7g al riol rus el ait pas
i c

hAu -delà des élus, les personnels de l’Ésdsuucrati1o0nnoantitofnaailte gorntèsvuei) euqrof ivtement dn.iis o attsatnUddnese mtoroèumsvberleamurexgntepsa dmreeag njsrtoèrvoitenét
(càoPisairdies neenptraess4coeltari7seirnlsetuitrsu teenfur n es mercredi en signe de prote
ant
de Français se dit pour l’abandon de la réforme (54 %) (dont 65 % des parents ayant des
enfants scolarisés en primaire) ou pour son report (24 %) selon un sondage CSA pour
BFM-TV.

M aisVincent Peillon persiste à dire que ceux qui ne sont pas pour sa réforme sont contre
les enfants.Ta avecrc Ayrault a fer
brutalité vendrneddiis1q5uenovemn-MaJeao.nfnarFIecerbrusCmeétaluatispmoer tne’esàtptaosutteenanbéleg.ociation

www.u-m-p.org

18 novembre 2013

© Éditions de l’Union

ARGU FLASH

Le gouvernement doit renoncer à sa réforme
et laisser libres les communes

Il f entendre les maires, les directeurs, les instituteurs, les personnels de l’Éducation, les parents…aut
L’UMP appelle au report de la réforme tant que de solides garanties sur son applica-
tion et son financement ne sont pas apportées. Si ces garanties sont obtenues, il faudra
ensuite que le libre choix s’applique pour chaque commune.

C’est le message qu’il faudra porter au congrès des maires de France auquel le président
de la Ré bl
temps de ppruonoinqcueerunn’ adispcaosurlsep coourulr’aougveertdu’rael ldeur , àesonph.isar Peeur i,asM rsqe aoconlarf sveno5 1direndveévuort a li erbm le rgnod sèC

lcouA d tcepser ed ,seirames oblè imptrèsudr-sl,etute nsstrip eàse diatronférod ealr tlsmee d’pesoort idgn’atenicsnriavutircooinna l1d5eess0tétfaibnliassnecimeern.tsL,edse cqouamlitmé faudnese sacntievitpésepuévreisn-t
pas faire face.Le coût€en moyenne par en nt et par an. Mais
il est bien supérieur dans nombre de communes.À Caen et Angers, dirigés par la gauche, le
coût est d’environ 300 € par élève. À Paris on approche les 400 €.Dans certaines communes
’à 143€
(rqn5ueur0téta eyole€aa s e ego0c e+4û trldétu timà €peel’ mune colm e dle sspcoéulrodi matie mercrees les aidne2 10,3 à !rO ,aur el-dt ulealn ieettrentifsposisqu’. Juua’d tnsid sert35 tdés vofaséri ees pn l€liav ,qéulutss ejaumrti mxmaams iueai rrerttcnoemn etaninu eeiuav et itércdeacréconsnée jour ua eo-aaulrCo asn nf’asse téntdl bf). Mais l’aide d al eanC
à présent e mer
es. Si
hd’austsree dceh loeixu r que de faire travailler leurs agents communaux le soir ou le week-end au prix d’upne
au masse salariale.

Surtout, après 2014, ilsnseerad ecvornasiidtérpalublse reetsetlleers qneu epoleurrfionntapncasesm’ye nrettrdoeuvlear!CPnoaufr. Lef ae ircre fsaeet à
commune
lcahuaxr gceo ûptso uirn ldeusits apsa ra ccceettpet arbélfeo ralmoer,s qelulees l an ’paruersosinot n pfiassc adl’ea éuttroeu ffceh ociox mqmuee jad’maauigsmenter les impôts
ocaux. Ce n’est p les Français.Nos
concitoyens ne sont pas prêts à payer en plus une « taxe Peillon ».

www.u-m-p.org

18 novembre 2013
© Éditions de l’Union

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