Partout en europe, pas question de payer leur crise !
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Partout en Europe, Pas question de payer leur crise ! DEPUIS LE DÉBUT DE L'ANNÉE, 230 000 CHÔMEURS/CHÔMEUSES supplémentaires ont rejoint les rangs de tous ceux qui se voient refuser le droit au travail. Chaque jour, des fermetures d’entre- prises sont annoncées par des patrons qui veulent continuer à faire des profits. Les jeunes et les pré- caires sont les premiers visés. Le responsable, c’est le CAPITALISME qui répartit les richesses de manière toujours plus iné- gale. Le gouvernement Sarkozy gouverne pour les 6 à 7 % de la population la plus riche et offre des cen- taines de milliards aux banquiers, aux actionnaires et aux patrons. En même temps, il réprime et crimi- nalise les jeunes, les syndicalistes, toutes celles et tous ceux qui s’opposent à la loi du marché, aux injus- tices et aux discriminations. Comme aux Antilles, ce qu'il faut c’est, dans l’unité, une lutte qui bloque, qui dure et qui ne lâche rien, une grève générale ! Le G20, le FMI, l’OMC, les actuels dirigeants européens et Sarkozy veulent nous faire croire que cette crise est le résultat d’une fatalité. Ils veulent socialiser les pertes et privatiser les profits et faire payer la crise aux salariés, comme à Continental, victimes du baratin de Sarkozy sur « travailler plus pour gagner plus ». Le capitalisme c'est une crise écologique que les peuples du Sud, déjà touchés par la crise ali- mentaire, payent lourdement.

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Langue Français

Extrait

DEPUIS LE DÉBUT DE L'ANNÉE, 230 000 CHÔMEURS/CHÔMEUSES
supplémentaires ont rejoint
les rangs de tous ceux qui se voient refuser le droit au travail. Chaque jour, des fermetures d’entre-
prises sont annoncées par des patrons qui veulent continuer à faire des profits. Les jeunes et les pré-
caires sont les premiers visés.
Le responsable, c’est le CAPITALISME qui répartit les richesses de manière toujours plus iné-
gale
. Le gouvernement Sarkozy gouverne pour les 6 à 7 % de la population la plus riche et offre des cen-
taines de milliards aux banquiers, aux actionnaires et aux patrons. En même temps, il réprime et crimi-
nalise les jeunes, les syndicalistes, toutes celles et tous ceux qui s’opposent à la loi du marché, aux injus-
tices et aux discriminations.
Comme aux Antilles, ce qu'il faut c’est, dans l’unité, une lutte qui bloque, qui dure et qui ne lâche rien,
une grève générale !
Le G20, le FMI, l’OMC, les actuels dirigeants européens et Sarkozy veulent nous faire croire que cette crise est
le résultat d’une fatalité.
Ils veulent socialiser les pertes et privatiser les profits
et faire payer la crise
aux salariés, comme à Continental, victimes du baratin de Sarkozy sur
« travailler plus pour gagner plus »
.
Le capitalisme c'est
une crise écologique que les peuples du Sud, déjà touchés par la crise ali-
mentaire, payent
lourdement.
Partout
en Europe,
Pas question
de payer leur crise !
Le 7 juin prochain, votons pOUR LA LISTE conduite par
Omar Slaouti, Fabienne Lauret et Olivier Besancenot
Une Europe des peuples, démocratique, sociale,
solidaire et écologique.
Cette Europe, il faudra l’imposer d’abord
par nos mobilisations, pour exiger des
mesures d’urgence sociale, comme
l’
inter-
diction des licenciements, la réduction du
temps de travail avec embauches corres-
pondantes et un Smic européen,
à parité de
pouvoir d’achat, dans tous les pays. En France, par
exemple, c'est 1 500 euros net.
Une Europe où le meilleur d’une législation sociale
ou démocratique soit étendu à tous, avec la créa-
tion de services publics européens.
Il faut en
finir avec les paradis fiscaux et la spécu-
lation.
Pour financer les travaux d’utilité sociale, il
faut unifier l’ensemble des banques en un seul ser-
vice public sous le contrôle démocratique des sala-
riés et de la population.
Une Europe qui s’engage dans la
lutte contre le
réchauffement climatique
et développe des
alternatives au tout nucléaire.
Une Europe enfin, qui rende effective
l’
égalité
des droits et des salaires entre femmes et
hommes, communautaires et étrangers,
homos et hétéros, valides et personnes
handicapées.
Qui fasse de la contraception et de
l’avortement libre et gratuit un droit intangible dans
tous les pays membres. Nous voulons le
retrait
de la directive de la honte
, la fermeture des
centres de rétention. Contre l'Europe-forteresse,
nous voulons l’abolition des accords de Schengen.
Le NPA, en lien avec d’autres forces anti-
capitalistes en Europe,
travaille à la conver-
gence des luttes pour proposer un autre projet de
société qui réponde aux besoins sociaux
et écologiques,
contre la logique du profit.
Une autre Europe est possible et nécessaire
www.npa-europeennes2009.org
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