Présentation de Mercedes ERRA à l IREP 20/10/2009 Le consommateur ...
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Présentation de Mercedes ERRA à l'IREP 20/10/2009 Le consommateur ...

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Présentation de Mercedes ERRA àl’IREP 20/10/2009 Le consommateur de l’après crise: vers une nouvelle définition de la Valeur La criseéconomique d’aujourd’hui est profonde. Elle n’est pas vécue comme une crise comme une autre, mais comme un révélateur de profonds changements de société. L’étude réalisée en juillet 2009 par Euro RSCG montred’abordque 9 consommateurs sur 10 se disent concernés par la crise, même s’ils ne sont pas tous directement touchés. En revanche la perception de l’origine de la crise est très différente selon les pays : 62% des Français y voient une crise de société, une crise morale du capitalisme, alors que les anglo-saxons parlent à 56% d’une crise financière. En France, la crise fait surgir de façon beaucoup plus forte qu’ailleurs la peur du déclassement social (pour 62% des Français) et l’inquiétude pour le sort des jeunes: 7 Français sur 10 pensent que les jeunes seront plus touchés par la crise que les autres. Ce pessimisme sur l’avenir de la jeunesse du pays est moindre en Angleterre et aux Etats-Unis. Autre conséquence de la crise, de nouvelles aspirations et un nouveau rapport à la consommation se dessinent. La crise catalyse un mouvement vers une consommation plus investie et plus réfléchie: aujourd’hui, 91% des Français pensent que le vrai progrès n’est pas de consommer plus mais de consommer mieux. D’où une redéfinition des priorités dans les critères de consommation: tout d’abord l’utilité, la valeur d’usage, remonte au premier rang. Près de 60% des Français et jusqu’à 76% des Américains se posent la question« enai-je vraiment besoin? ».Second critère, la chasse à la «bonne affaire »: il ne s’agit pas de la recherche du plus bas prix, mais du «fair price », le juste prix. Plus de la moitié des sondés, Français ou Anglo-saxons, se posent la question de «l’équivalent moins cher ailleurs» avant d’acheter. Mais faire une bonne affaire ne veut pas dire renoncer à la qualité! 87% des Français et 74% des Anglais achètent en fonction de la qualité et non du prix. Autre tendance forte: le lien de plus en plus affirmé entre l’utilité individuelle et l’utilité collective. Par exemple l’environnement, plébiscité comme valeur d’utilité collective majeure par 67% des Français et 63% des Américains. Autre critère de préférence qui devient très important: le facteur humainou comment l’entreprise traite ses salariésjugé déterminant après la qualité pour les Français et les Américains. Devant ces bouleversements, les marques doivent s’adapter: les Français, les Anglais et les Américains s’accordent à dire qu’une marque est là pour proposer des produits de qualité. L’adéquation aux besoins et l’innovation, valeurs anciennement ième ième plébiscitées, n’arrivent plus respectivement qu’en 4 etpour les7 position
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