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Lutte contre le Covid-19 & prolongation du confinement : ZĠĂĐƚŝŽŶƐ ĚĞƐ &ƌĂŶĕĂŝƐ ă ů͛ĂůůŽĐƵƚŝŽŶ Ě͛ ŵŵĂŶƵĞů DĂĐƌŽŶ > s ͛ D Z'K D Z / ϭϰ sZ/> ϮϬϮϬ ϭϴ, Sondage réalisé avec pour Recueil Mét hodologie ŶƋƵġƚĞ ƌĠĂůŝƐĠĞ ĂƵƉƌğƐ Ě͛ƵŶ ĠĐŚĂŶƚŝůůŽŶ ĚĞ &ƌĂŶĕĂŝƐ ŝŶƚĞƌƌŽŐĠƐ ƉĂƌ ŝŶƚĞƌŶĞƚ ůĞ14 avril 2020. Echantillon Echantillon de961 Françaisreprésentatif de la population française âgée de 18 ans et plus. La représentativité deů͛ĠĐŚĂŶƚŝůůŽŶest assurée par la méthode des quotas appliqués aux variables suivantes : sexe, âge, niveau de diplôme et profession deů͛ŝŶƚĞƌǀŝĞǁĠaprès stratification par région et catégorie Ě͛ĂŐŐůŽŵĠƌĂƚŝŽŶ. WƌĠĐŝƐŝŽŶƐ ƐƵƌ ůĞƐ ŵĂƌŐĞƐ Ě͛ĞƌƌĞƵƌ Chaque sondage présente une incertitude statistique queů͛ŽŶappelle margeĚ͛ĞƌƌĞƵƌ. Cette margeĚ͛ĞƌƌĞƵƌsignifie que le résultat Ě͛ƵŶsondage se situe, avec un niveau de confiance de 95%, de part etĚ͛ĂƵƚƌĞde la valeur observée. La margeĚ͛ĞƌƌĞƵƌdépend de la taille deů͛ĠĐŚĂŶƚŝůůŽŶainsi que du pourcentage observé.

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Publié le 14 avril 2020
Nombre de lectures 509
Langue Français

Extrait

Lutte contre le Covid-19 & prolongation du confinement : RĠaĐtioŶs des FƌaŶçais à l’alloĐutioŶ d’EŵŵaŶuel MaĐƌoŶ
LEVÉE D’EMBARGO MARDI ϭ4 AVRIL ϮϬϮϬ À ϭ8H
Sondage réalisé avec
pour
Recueil
Mét
hodologie
EŶƋuġte ƌĠalisĠe aupƌğs d’uŶ ĠĐhaŶtilloŶ de FƌaŶçais iŶteƌƌogĠs paƌ iŶteƌŶet le14 avril 2020.
Echantillon Echantillon de961 Françaisreprésentatif de la population française âgée de 18 ans et plus.
La représentativité del’ĠĐhaŶtilloŶest assurée par la méthode des quotas appliqués aux variables suivantes : sexe, âge, niveau de diplôme et profession del’iŶteƌǀieǁĠaprès stratification par région et catégorie d’aggloŵĠƌatioŶ.
PƌĠĐisioŶs suƌ les ŵaƌges d’eƌƌeuƌ
Chaque sondage présente une incertitude statistique quel’oŶappelle marged’eƌƌeuƌ. Cette marged’eƌƌeuƌsignifie que le résultat d’uŶsondage se situe, avec un niveau de confiance de 95%, de part etd’autƌede la valeur observée. La marged’eƌƌeuƌdépend de la taille del’ĠĐhaŶtilloŶainsi que du pourcentage observé. Sile pouƌĐeŶtage oďseƌvĠ est de … Taille de l’EĐhaŶtilloŶ5% ou 95% 40% ou 60% 30% ou 70% 20% ou 80% 10% ou 90% 50% 10010,08,0 9,2 9,8 4,4 6,0 2003,1 4,2 5,7 6,5 6,9 7,1 3002,5 3,5 4,6 5,3 5,7 5,8 4004,0 4,6 4,9 5,02,2 3,0 5001,9 2,7 3,6 4,1 4,4 4,5 6001,8 2,4 3,3 3,7 4,0 4,1 8002,8 3,2 3,5 3,51,5 2,5 9002,6 3,0 3,2 3,31,4 2,0 1 0001,4 1,8 2,5 2,8 3,0 3,1 2 0001,8 2,1 2,2 2,21,0 1,3 30000,8 1,1 1,4 1,6 1,8 1,8 Lecture du tableau:Dans un échantillon de 1000 personnes, si le pourcentage observé est de 20% la marged’eƌƌeuƌest égale à 2,5% : le pourcentage réel est donc compris dansl’inteƌvalle[17,5 ; 22,5].
Les principaux enseignements
Allocution présidentielle sur la date du déconfinement Les Français approuvent la prolongation du confinement mais la défiance reste de mise
Principaux enseignements : 1. Les Français ont trouvé le président clair (62%) et considèrentƋu’ila reconnu certaines erreurs et dysfonctionnements, mais il ne les a pas convaincus (53%) 2. 84% des Français approuvent la prolongation du confinementjusƋu’au11 mai, mais ils auraient aimé que le président aille plus loin pour garantir la sécurité sanitaire du pays. 54% désapprouvent ainsi la réouverture des établissements scolaires, 62% les tests réservés aux symptomatiques et 65% le port du masque non imposé. 3. Les Français croientƋu’uŶtraitement (55%) et un vaccin (69%) seront prochainement mis au point contre le Covid-19 4. Mais ils sont sceptiques sur les possibilitésƋu’uŶmasque soit disponible pour chaque Français (64%) et ne croient pas à un tournant social du quinquennat 5. Face àl’épidéŵie,56% des Français trouventƋu’EŵŵaŶuelMacron et le gouvernementŶ’eŶfont pas assez (+3 points depuis le début du mois) Céline BƌacƋ, Diƌectƌice généƌale d’Odoxa
Dans son analyse des réseaux sociaux, Véronique Reille-Soult relève que la prolongation du confinementd’unmoisjusƋu’au11 mai est très bien passée auprès des internautes qui voient cela comme un sacrifice utile voire indispensable, mais des inquiétudes demeurent, les internautes ne comprenant pas certaines décisions, notamment la réouverture des écoles et collèges le 11 mai. Emmanuel Macron a donc plutôt réussi cette étape importante, mais sans parvenir à totalement lever les inquiétudes.
Synthèse détaillée du sondage (1/5)
1) Les Français ont trouvé le président clair (62%) et considèrentƋu’ila reconnu certaines erreurs et dysfonctionnements, mais il ne les a pas convaincus (53%) Les Français ne se faisaient gèred’illusioŶ: ils savaient que le confinement serait prolongé, mais ils étaient très nombreux encore hier devant leur poste de télévision dansl’atteŶtede la fameuse « date de sortie ». Le président leur a montré cet horizon : le 11 mai nous devrions entamer progressivement le déconfinement, les Français lui savent gré de cette précision capitale. 62% considèrent en effetƋu’ila été clair et, àl’edžĐeptioŶdes sympathisants du Rassemblement national, toutes les catégories de Français lui accordent très nettement le mérite de la clarté. Encore plus largement, à 87%, ils estiment que le Chef del’Etata reconnu certaines erreurs et dysfonctionnements. Nous y reviendrons, il lui est très fortement reproché non seulement les pénuries de matériel médical mais surtout un discours changeant surl’utilitĠdes masques (et des tests également). Le faitƋu’ilrevienne de lui-même sur ce sujet est forcément porté à son crédit. Mais ce « passif » laisse des traces : une majorité de 53% des Français pensentƋu’il Ŷ’apas dit la vérité quand 47% le croient. La baisse est lourde depuis son allocution du 16 mars* : -12 points, une majorité de 65% estimait alorsƋu’ilavait dit la vérité aux Français. Dans la même logique, seuls 44% jugent qu «’iloù il va » contre 55% qui pensent le contraire (- 9 points).sait Résultat,Đ’estune minorité de 46% qui se dit convaincue (53%l’oŶttrouvé « pas convaincant), loin très loin des 65% du début du confinement. Les CSP- (ouvriers et employés) sont particulièrement peu convaincus (61%) Enfin, si le président assure que cette crisel’achangé, il ne parvient pas à en convaincre la nation : une minorité de 37% seulement y croit quand 62%Ŷ’LJcroit pas. Seuls les sympathisants de LaREM veulent bien se fier à cette promesse (56%), reste à savoirs’ils souhaitent vraimentƋu’ellese réalise.
*Sondage Odoxa-Dentsu-Consulting pour Le Figaro et France Info, publié le 19 mars 2020
Synthèse détaillée du sondage (2/5)
2) 84% des Français approuvent la prolongation du confinementjusƋu’au11 mai, mais ils auraient aimé que le président aille plus loin pour garantir la sécurité sanitaire du pays. 54% désapprouvent ainsi la réouverture des établissements scolaires, 62% les tests réservés aux symptomatiques et 65% le port du masque non imposé. Les Français sont focalisés surl’eŶjeusanitaire aussi approuvent-ils très massivement la prolongation du confinementjusƋu’au11 mai (84%). Nos concitoyenss’ĠtaieŶtpréparés à cette décision -elle était largement anticipée- ils la vivent comme un mal nécessaire et d’ailleuƌs,les sondages montrent quejusƋu’iĐiils ne vivent pas si « mal » ce confinement. La totalité des mesures restrictives sont donc largement approuvées : Maintenir ferméesjusƋu’ànouvel ordre les frontières avec les pays hors Union européenne (92%) Rouvrir le 11 mai les commerces, mais pas les restaurants et les salles de spectacle (69%) Ne pas reprendre les festivals et manifestations sportives avant la mi-juillet (86%) Demander aux personnes plus âgées et fragiles de rester chez elles après le 11 mai (79%) même si les seniors sont beaucoup moins enthousiastes (57%) ! Ne faire reprendrel’eŶseigŶeŵeŶtsupérieurƋu’eŶseptembre (74%) En revanche, les trois annonces (dont une « non-annonce ») qui apparaissent contradictoires avecl’oďjeĐtifannoncé comme absolu de ralentir la progression du virus sont en revanche rejetées par les Français : Une majorité trouve que la réouverture progressive des établissements scolaires est une mauvaise décision (54%).C’estle cas des Français en âged’ġtƌeparents de jeunes enfants (60% des 25-34 ans), qui se montrent moins soulagésƋu’iŶƋuietsde cette décision. L’edžpliĐatioŶdu président basée sur le fait que le confinement « creuse les inégalités » car tous les enfants ne travaillent pas dans les mêmes conditions et ne peuvent être aidés de la même manière par les parents ne passe pas. Elle ne peut faire le poids face àl’eŶjeu sanitaire.
Synthèse détaillée du sondage (3/5)
La question des masques et celle des tests demeurent les sujets de discorde entre le président le peuple : 65% des Français trouvent que ne pas imposer le port du masque aux Français est une mauvaise décision. Cette position est logique : dans notre sondage paru la semaine dernière 72%d’eŶtƌeeux demandaient une généralisation du port du masque**.C’estun sujet sur lequel ils estimentƋu’ily a eu « mensonged’Etat» : dans cette même enquêted’opiŶioŶ,Les trois-quarts des Français (76%) estimaient que le gouvernement leur avait menti sur les masques « en les dissuadantd’eŶporter parce Ƌu’il Ŷ’LJen avait pas suffisamment pour les soignants » . 62% des Français estiment que réserver les tests uniquement aux personnes symptomatiques est une mauvaise décision. La logique est la même que pour les masques : sont-ils inutiles pour tousou indisponibles ? Les Français ne suivent pas Emmanuel MacronloƌsƋu’ilindique que tester tous les Français «Ŷ’auƌaitaucun sens ».
3) Les Français croientƋu’uŶtraitement (55%) et un vaccin (69%) seront prochainement mis au point contre le Covid-19 Lors de son allocution hier, Emmanuel Macron a émis un certain nombre de souhaits ou de résolutionsƋu’ilaurait prises, tirant les leçons de cette crise aussi spectaculaireƋu’iŶatteŶdue. Les Français partagent son optimisme sur la capacité des chercheurs à trouver dans les mois qui viennent un traitement (55%) et encore plus un vaccin (69%). Ils veulent bien également le croireloƌsƋu’ilpromet un plan ambitieux et massif pour la recherche (58%). Par ailleurs,s’ilscontestent le choix de réserver les tests aux personnes qui présentent des symptômes du Covid-19, ils ont peu de doute sur le faitƋu’ilsera possible de les réaliser sur les patients symptomatiques (60%).
**Sondage Odoxa-Dentsu consulting pour France Info et Le Figaro, jeudi 9 avril.
Synthèse détaillée du sondage (4/5)
4) Mais ils sont sceptiques sur les possibilitésƋu’uŶmasque soit disponible pour chaque Français (64%) et ne croient pas à un tournant social du quinquennat Mais le bât blesse encore et toujours sur la question des masques : 64% des Français ne pensent pasƋu’ilsoit possible que chaque Français puisses’eŶvoir accorder un. En un mois, comment apparaîtraient donc tous ces masques mis à disposition « parl’Etatet les maires » ? Echaudés, les FrançaisŶ’LJcroient plus. Ce boulet récent du présidents’ajouteà celuiƋu’iltraîne depuis le début du quinquennat : la présomptiond’ġtƌe« un président des riches ». Cette image que de nombreux Français ont de leur président nes’effaĐepas plus que lors de la crise des gilets jaunes. Nos concitoyens font la sourde oreille àl’aŶtieŶŶedu «J’aichangé », entonnée par Emmanuel Macron et tentée avant lui par Nicolas Sarkozy.
Ainsi le cap social donné au « monded’apƌğs» par le président passe pour une promesse sans lendemain : 57% des Français ne croient pas que les soignants seront mieux rémunérés. Les salariés du public étant les plus sceptiques. De même, le faitd’aĐĐoƌdeƌune meilleure reconnaissance aux professions modestes, mais socialement utiles (« la distinction sociale ne peut être er fondée que surl’utilitĠcommune », Emmanuel Macron a citél’aƌtiĐle1 de la Déclaration des droits del’hoŵŵeet du citoyen)Ŷ’estpas cru par les Français (62% ne le croient pas). Deux autres promesses,d’oƌdƌeinternationales celles-là, laissent les Français sceptiques : 6 Français sur 10 (61%) ne croient pas à une annulation massive des dettes des pays africains et les deux tiers (65%)Ŷ’iŵagiŶeŶtpas Ƌu’uŶenouvelle Union européenne naîtra de cette épreuve.
Synthèse détaillée du sondage (5/5)
5) Face àl’épidéŵie,56% des Français trouventƋu’EŵŵaŶuelMacron et le gouvernementŶ’eŶfont pas assez (+3 points depuis le début du mois) Les résultats de notre sondage expliquent largement cette mauvaise impression que laisse finalement le président à une majorité de Français : la pénurie de matériel et les messages contradictoires sur les masques ont laissé des traces et le « chef de guerre »Ŷ’apas fait disparaître « le président des riches ». Si les Français, pour se protéger, veulent bien obéir à celui qui dirige les opérations contre «l’eŶŶeŵiinvisible », celaŶ’effaĐepas ses manquements et même ses « mensonges » à leurs yeux. Face àl’ĠpidĠŵie,56% des Français trouventƋu’EŵŵaŶuelMacron et le gouvernementŶ’eŶfont pas assez, cette proportion augmente à nouveau par rapport au début du mois*** (+3 points) alors que les annoncesd’aĐheŵiŶeŵeŶtde matériel médical avaient eu tendance à rassurer les Français. Et encore,Đ’estle soutien presque sans faille des sympathisants de LaREm qui tire ce chiffre à la hausse (75%), tous les autres Français se montrant très dubitatifs sur les moyens déployés pour lutter contre le Covid-19.
***Sondage Odoxa-Dentsu-Consulting pour Le Figaro et France Info, publié le 1er avril 2020
CĠliŶe BƌaĐƋ, DiƌeĐtƌiĐe gĠŶĠƌale d’Ododža
Réseaux sociaux (1/2) L’œil de VĠƌoŶiƋue Reille Soult, CEO de DeŶtsu CoŶsultiŶg
UŶ discouƌs plus appƌécié Ƌue les pƌécédeŶts paƌ les iŶteƌŶautes …
Les internautes ont salué ce discours comme étant plus clair et plus direct. Le fait que le président ait reconnu des erreurs est jugé rassurant, tout comme le fait de marteler une date. Pour ce qui est du contenu du discours les réactions sont en revanche très ambivalentes selon les sujets abordés par le président. Les propos qui sont les plus salués sont ceux sur la fin de vie, sur les inégalités scolaires etl’utilitĠsociale. Les internautes y ont vu une forme de consultation etd’ĠĐoutedes Français, de la société civile et del’oppositioŶ. L’idĠeappréciée est : le président tranche, certes, mais il a bien consulté et écouté tout le monde auparavant.
Globalementl’aŶŶoŶĐeforte faite hier -la prolongation du confinementd’uŶmoisjusƋu’au11 mai - est très bien passée auprès des internautes.Ils voient cela, commeun sacrifice utilevoireindispensable. Et ce, même si les internautess’iŶƋuiğteŶtbeaucoup pourl’eŵploi. Pour beaucoup en effet, plus le déconfinement tardera plus le chômage exploseraetcette angoisse surl’eŵploiprogresse jour après jour.L’aŶŶoŶĐedu renforcement du soutien au chômage partiel est donc logiquement salué.
Une autre partie del’alloĐutioŶprésidentielle a retenul’atteŶtioŶde la toile : la pression mise par le président sur les assureurs afin que ceux-ci se montrent conciliants ; ce passage a été parmi les plus partagés et les plus salués sur le web.
Réseaux sociaux (2/2) L’œil de VĠƌoŶiƋue Reille Soult, CEO de DeŶtsu CoŶsultiŶg
… ŵais coŵpoƌtaŶt des fƌagilités
Si, globalement, le président a semblé plus clair et sil’aŶŶoŶĐepharela prolongation du confinementa été bien acceptéeEn revanche, une mesure jette le trouble : la réouverture des écoles et collèges. En effet, si cette nouvelle est accueillie avec soulagement par certains parents, elle apparait surtout incompréhensible pour la plupart des internautes en termes de santé publique. Elle suscite de nombreuses questions, notamment au regard de la fermeture des restaurants :« Donc le 11 mai, on ne pourra pas mettre 20 personnes dans un restaurant, mais on pourra mettre 35 gamins dans une salle de 20 mètres carrés. »Les parents et les enseignantss’iŶƋuiğteŶtaussi du respect des gestes barrières.
Plus fondamentalement, les internautes restent assez circonspects quant à la logique générale de la stratégie face à l’ĠpidĠŵie,notamment concernant la notiond’iŵŵuŶitĠcollective :« Peu de gens sont infectés et pour créer une immunité collective, il faut au moins 50 à 60 % de la population qui soit infectée ... mais en confinement, ça va pas le faire .. »
En conclusion, Emmanuel Macron a marqué des points et a plutôt réussi cette étape importante, mais un certain passif demeure et de nombreuses inquiétudes ne sont pas levées.
Véronique Reille Soult, CEO de Dentsu Consulting
Retrouvez les éléments détaillés del’aŶalLJsesur les réseaux sociaux à la fin de ce rapport
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