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Extrait

NOVEMBRE 2010ÉTDUSED SEC MOOPTRENEM FTSANINERCICPBSOLEresbotavE NOireL ÂGEUVELR TED SESEoSARTIané étcià e ymoniotceridoc te ers ruevlisnie led capitallance au 137 557 ed  365 sgeiaocroeuièsS eiPevun,0a  l5:Frandès- MenerreeC siraP 10257ecs riPaS RC13x de+ : ( 33 1)04 85 4n°45934250l.Té( )0 1854  0840 0 41 42Fax : +33IGÉTARTSAPÉD SEATIRSP0AT  ENSIOvAceAM Ntga v niALAIRGNEURDJN TOétle ud dces anépxeneireénnd siers dess  nancroetemtned socpmurTon aiAl, esquim-onocé stnega tratle Su pôin d ues,ta  nsejdamecir dlees durte sedutE qimonocé dirégiepar igé oçsirFnaih ,R aiFo.  drtle péexneird ecL eesbOues et de la Propsceitevd  ePBECe li ,sna tiuh te  dtetêa  l àstss eC iaioervrtandane peargndEptni evreelagtnemstma àerntnan  evuleelé ectt eonIl est édition. D riULYCrua ceetYANNurs IST-BENO.snaélrOetua seLveniu ldé itrsqieu sted  ealP es Etudes économal erid itced nooidj antseu  dinlan de istecials ép tnu yseL-custoien BnnYa, CEPB ed evitcepsor ou quanitativesed suqlad seé utra trsvealnt Ae.ropmemetsylaoc es deiquepratles ,nl taoiosmmc notiman  eixho ceste engrapéd erès, il aptitativeé lciaaroptr enurea tila sge lurqnab ,euà no al AFDNB FUrEciAE Ufand Bufest eau grahc nerp sed ensioisév-éroac md ednteetemtno u le positionnem tne sedesneengibas aincs.reICERram sdnarg sed eurctonnjcoa  ldeojni rdatcueiDeril. déta de chés ud uorGitcaétiv eesdt nocoquminalasy eeud  el ainsi qpe BPCE,lega éndux antme,ECPB edopér li x baseaures ncainaedd me sér sedn ios deudEt éesad tl snid atcer la Prospective oconimuqsee  tedst epé sia Bntvasnad el laic ésiau sein nomiste L ïo ceLedB CP,EOÏ.Lesalongirés ocE TNAVAIB EL C réae enroupdu gutedseé tnd ilasl snom aitén euqi lupoapanrtunt  ,es sxeépirneecs antérieures da ud elle ruetces/auenqbaceanurssni eodam aevedl  conilleenticurroconim eic éneé eur asso professelagtneme lIé tsnqba. ue àtsa  lilnesec nod alite rees dtégistra sel snad euq iécspe isrtpeexe  IV)aris.S-rorasi eP(obnnrsveniu Pdeé itirtsudnil à elle.......................................................................................................................................................................................................................................................................................................................................................................................................................................bpce.fr us rels ti eww.wO Lerbstovae irer ,uort zevECPB  1etB_m_nodn dTAi.SVOBuvco1_0023:5
Le Groupe BPCEest le deuxième groupe bancaire en France. Avec 8 200 agences et 127 000 collaborateurs, il est présent sur tout le territoire français grâce à ses deux enseignes phares que sont Banque Populaire et Caisse d’Epargne mais aussi avec Natixis, le Crédit Foncier, le Crédit Coopératif, la Banque Palatine… Son ambition : devenir le groupe des banques préférées des Français et de leurs entreprises. AvecBPCE L’Observatoire,les économistes de BPCE font partager leurs analyses sur des sujets économiques et de société proches du cœur de métier du groupe : la banque commerciale et l’assurance. Chaque numéro est constitué d’une analyse récurrente de la conjoncture de l’épargne et d’un thème titre analysé sous un angle original, mêlant économie et sociologie et toujours axé sur les comportements financiers. Le thème central de ce premier numéro est consacré à la problématique des retraites.
CONJONCTURES EPARGNE. . . . . . . . . . . . . . . . . .I à X LE NOUVEL ÂGE DES RETRAITES. . . . . . . . .. . . 13 CHAPITRE I Les termes de l’équation. . . . . . . . . . . . . . . . . .. . . . . . . . . . 14 CHAPITRE II Retraite et vie active : les regards des Français . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .30 CHAPITRE III L’épargne-retraite : pratique récurrente, marché émergent . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .. . . . . . . . . . . . . 44 Conclusion. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .. . . . . . . . . . . . . . . . 56
  0 :5214//111......................................................voi  sus.....S.. nu pmocahuozeti..............................ewviernt ies lersétivni son ed sormainfnt dlémeoinnv si suoitno
101//1465:12   
1 l’indicateur global de confiance  au premier semestre 2010 a poursuivi, même si elle s’est infléchie, la tendance antérieure au redressement. Le jugement porté par les Français apparaît plus 1. Une crise pessimiste aussi bien sur la situation économique générale qui ne passe pas(dont ils jugent depuis janvier 2010 qu’elle s’est à nouveau dégradée) que sur les perspectives de antérieures (1995 e Asulprof stni ua teatises t des crtcepsevi sedsrepesqutl o resc oq uéem ilnoDno  ceéeêmimeoma rtf9 1i3a9ç.n) ceespet isosnt t,i olrad epee rn deslsiEourroébcaer olmaè r tt oemh-iud xiupsis le, ishômacdnieg , adE .tahcanaver n2he,  omotin enrd stepo e  dour oiuvc enquêtes auprès des de la situation financière future1Enquête mensuelle de conjoncture auprès  ménages traduisent la est également plus dégradéetx  seuitanitatqitsnséeopur eesagénm sedts stitu ins lesp rarteénisia md persistance d’un climat de crise que lors des points basom clépiauonese dun ur la baortstas  eap ruE dans la société. L’indicateur de antérieurs à 2008.té éis mene   ésinomrel ertneontiesquhae irnaL  atn.seca rFna pays 27héres ad confiance des ménages publiéperspective avec les seuls pays de la zone chaque mois par l’Insee depuisPessimisme collectif,euro ou ceux de l’Union européenne à 15. 1987 a certes dépassé le pointréalisme individuel2p e un doux euisfonEtêuqem e eénporue no enneé la pourissiComma  np raNT Sa r bas atteint entre septembre 2008 A cet égard, les Français sesur l’opinion publique en Europe et et mars 2009 mais reste au distinguent de la moyenne desa syréhd2 seap 7agén des dès meséu euarpfeeftctn utalp sopaysdes  et ents niveau, voire en deçà, des creux Européens de la zone euro, dontà l’Union européenne.
Avec un taux d’épargne qui a atteint près de 17% à lautomne 2009, les Français ont plus que jamais donné le sentiment d’être repliés sur la liquidité dans une stratégie d’épargne de précaution face à l’ampleur de la crise. Cette image est trompeuse. Certes, la crise a laissé des traces profondes et affecté les comportements fi nanciers des ménages mais jamais au point danesthésier leur volonté de consommer et de remettre en cause leurs stratégies de long terme. A court terme, c’est moins leur propension à consommer qui a été bouleversée que leurs références en matière de risque, de rendement et d’arbitrage des actifs.
I
20:tovaeirOBSV001_cahier_BA.Tnidd  I ................................................................................................................................................................ed eCPB L EesbOatrvreoi........................................................................sylanad eton aL............................................................................................................................................................................................................................................................................................................................................................................................gren................pa EesurctonnjCo....................................................................................................................................................................................................................................................................................................................BCPLEOsbre
er scnutngBepEraonjoCebsOELPCirtovaer.........................................................................................................................................................................................................................................................................................................................................................................................:14
100999894 88 83 807867 6052 53 49 4039 42 43 30 22 22 20 14 2014 15 0 UE Dane de Ro a e -(27 pays) mark Allemagne Grèce EspagneFranceUiInymus-BasSuètaliePay Appréciation par les ménages européens de leur situation prof(e%ssionnelle personnelle et de celle de l’emploi dans leur pays en mai 2010 de ceux qui pensent qu’elle est mauvaise) Source : Eurobaromètre n° 73, mai 2010, Commission européenne. % de ménages qui estiment que la situation de l’emploi % de ménages qui estiment que leur propre situation dans leur pays est mauvaise (et très mauvaise) professionnelle est mauvaise (et très mauvaise)
II
Français plutôt moins soucieux Britanniques, avec qui ils se manifeste dès lors qu’ils que la moyenne des Européens constituent un groupe médian s’expriment sur des dimensions en ce qui concerne leur situation entre des Néerlandais et des plus collectives (l’emploi, personnelle actuelle (financière et Scandinaves plus optimistes et l’environnement économique professionnelle). Sur ce point, des ressortissants de l’Europe du national ou européen…). Leur leurs appréciations les associent Sud beaucoup plus préoccupés. sentiment rejoint alors souvent notamment aux Allemands et aux Mais le pessimisme des Français celui des Européens du Sud, pourtant plus sévèrement affectés par la crise économique. En écho à cette perte de La remontée de l’envie de consommer coexisteconfiance dans leurs avec une forte appétence pour l’épargneperspectives collectives, les Source : enquête BPCE, réalisée par GN Research, dernière vague/juillet 2010.craintes des Français3en Font plus attention à leurs dépenses Ont envie de consommer davantagematière d’emploi, de retraite, Ont envie d’épargner davantage Ont l’intention d’épargner davantaged’avenir des enfants ont à peine fléchi depuis septembre 2008. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 70 %. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .Ainsi, les deux tiers des Français, ....................................................................................et près de 80 % de ceux qui se ....................................................................................sentent concernés par la 60 %...... ..............................................................................question, se disent inquiets pour . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .l’avenir professionnel de leurs . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 50 %. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .enfants ou petits-enfants. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .En parallèle, les interrogations ....................................................................................sur le niveau futur des pensions, 40 %.................. ..................................................................ravivées par le débat sur les ....................................................................................retraites, continuent à peser . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .dans les projections de long . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 30 %. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .terme des ménages : 53 % des . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .retraités et 62 % des actifs se ....................................................................................disent préoccupés par le sujet. 20 %.F.év. O.c.t.Ja.n.M.ai. J.uil.N.o.v.Ju.in.A.vr. O.c.t.Av.r.O.ct. J.ui.l.Oc.t.M.ai.S.ep.t J.a.n.N.ov. J.uil. En matière d’emploi, même si 99 99 00 00 00 00 01 02 02 03 03 04 05 06 08 09 09 10les Français conservent une
41//101  2 :165d   .ind_BAThierIIac_100VSBO
........................................................................................................................................................................................................................................................................................................................................................................................................................................................................................ éedoltn aov,4l a quer sserv préam ,eiv ed étilaipicnt ane urélgb iass etaoi nedir dachdu pouvo tnap el ,tanerpspaatir sas lurrisela cme s. Mêalp  iecaparue ton creîttuine-trec ,fitiingis al e que ces intetnoisnd éapgrenva antiee ré  uarudl tnrc a esi001 e  dèsprau0 102 telliuj ne éde lves tatiésenerrpen ssrno 0epeuaj.4reainç msenoitarf op aalupateur de lindicocnr emC  euq e3.8002 netêuqnE épà n io eergnarNGR ap rcr,hseaeE, r BPCsée éali te tnod el nredni iéetin  e9719tê e até éérlasiier point denqu..............................................................................................................uênq mtesuenleel ed jnoctcno eru capacité déparngret ri éedl e...............................Insde l....ee..............................................................................................................................................................................................................................................O0VSBc_10 IIIdd  .Tni_rABhaei
Mai 06 Sept 08 Janv 09 Juill 10
Mai 06 Sept 08 Janv 09 Juill 10
Mais une capacité effective à épargner en baisse durant la crise Source : enquête BPCE, réalisée par GN Research, d ernière vague/juillet 2010. Pensent épargner davantage Pensent réduire leur épargne Pensent maintenir leur épargne
Une montée de l’envie d’épargner durant la crise de 2008-2009 Source : enquête BPCE, réalisée par GN Research, dernière vague/juillet 2010. Ont envie de consommer davantage Ont envie d’épargner davantage Pensent ne rien changer
34 35 34
4 3262530
25 21 26 20
29 21 22 25 40
44 36 41 38
5350 41 49
4:256:12   01/11/4
III
........................................................................................................................................................................................................................................................................................................................................................................................................................................................................................................................................................................................................................................ièrementparticul sacétogc eh zels ée letesriis ad seegâc sessal de écrues dcertiotn02p d  erpsèà t orpprar pas  ,8002 erbmetpesrang eted  eocsnommation. La vignalià ecél drages dép dseena s emtnagelbiell sis le dantitus at sed sedsiaçnarFtiman  eépde èrlc ntamiecnaud er pstsinergLar ste tsé see psire dans l de crisP.sreirvuo sel zhe c %55à e èvélé apnoà aritsaipe lce dstanersià i  hunizor donrdreel ee ruolpme statistique s eedxua sn .eCttengnaicrr ou pt,up noitc )euqilbnjoir code pnt, êmemue-xl ue suoifct aes d %42, nof sroh % 74( srebo de itésapacnnlessoiorefdnp coe  aner.cintauel c sr ecnsnad..........................................................................................................................................................................................................................r, srgnedrese reé agestntna elemue qrslortpaa  lrep sed e sennosnvisageant de deovrir déiuerl ueépr gnarse aiétca teurcrud  tnasias supp ulartî 200vantquante ,sruellia raP .8s ontiennt ies l,eq iur dpérang, au-dele ètenteivnnu ,ed àel  àtépa écae cipanel ,)spéd eivésoyplemerriuv-o àedne tevua siner sargnintie mas eletroeuq  al élx ésevde, el tlpérang e ypaappréférence pour Mê.  »getaanav drengrapéd eivneenvoù lons latiopupel seh zemc e agboredaa ntvamosn remd eioc ecadres, 54 ans, 10 03(-5dn ine2  qés, ui cautroneriarp ,liviaigét avant la crise ,tel ser tearti pntsediéqfrs lu tnemmeu « riova la ientommaconsa avitno00 8tn2 sna pxe d sn53 eorncple meri entgren.rE erà é ap les moin effet,rapél ruop ecneaialévpri que gntne evemsaissum ppétne a10 un 20 eeromtneéd  ellement, la légèranne .elaraPaxodlae oy mneenéc d sofp ulneoctr ee asduntionpiraccas re engapmodee vienmmsoon cattentiore plus tn« f iaud sidasins vidiar pdet iam al suej ,senrd drega au evée eléerts s »m ioix s a yilu qessnepéd sruel à n
1:56:37
gains de pouvoir d’achat liés au soutien budgétaire (prestations sociales et économies d’impôts) et à la faiblesse de l’inflation plutôt qu’aux revenus d’activité. Ce comportement e-lœil de l2.é Lpea rtrgonme pde précautioncoseu  aesnémes  ertsemes dns ménages par leeqnêuet solsrd let ats ree injorpxeeémiutit sedoécrmaquminoco 2008 et au premier semestre contrairement à 1993, et malgré 2009. En refusant de « se laisser une récession plus profonde, la gagner par la crise » et de La forte motneéd  uatxud éà 9002 ne engrapisro tau% 7 6, 1ueqr er ueemlt setd  iértèiileaml e, i es uvr,2 %t s1 6tinu coné à snmoroecnnoonac earm iàt   privilégiaient leprogresser en 2008 comme en ménages l’année (contre 15,4 % 2009. Cette stratégie implicite maintien d’un équilibre entre le en 2008 et une moyenne de s’ajuste en fonction des « bien-vivre » à court terme et la 15,5 % sur la décennie) a variations du revenu. D’abord sécurisation du long terme plutôt souvent été interprétée comme orienté à la baisse à la suite du que le basculement dans une la manifestation d’un réflexe recul du pouvoir d’achat au logique du « tout épargne ». La d’épargne de précaution et printemps et à l’été 2008, le taux stabilité du taux d’épargne autour d’une montée corrélative de d’épargne a été poussé à la de 15,5 % du revenu depuis plus la propension à épargner dans hausse aux quatre trimestres d’une décennie est sans doute la crise. Cette interprétation, suivants par la montée sensible l’expression économique de qui laisse à penser que les des revenus réels. Le cette aspiration à vivre au présent ménages auraient, durant la gonflement du taux d’épargne à sans compromettre la préparation crise, clairement arbitré leur la mi-2009 tient sans doute aussi du futur. La hausse du taux consommation en faveur de au caractère inattendu de ces d’épargne français en 2009 l’épargne est sans doute excessive. Un refus de renoncer au « bien-vivre » Macroéconomiquement, les ménages semblent plutôt avoir tenté d’assurer un équilibre entre consommation et épargne en préservant la première sans compromettre une cible de long terme sur la seconde. Ainsi,
2 0 Zone Allemagne Espagne France Royaume-euroUni Le taux d’épargne français dans la moyenne de la zone euro Sources : Eurostat, Insee, calculs BPCE. En 2008 En 2009
7
4 %
20 % 18,8 17,2 17,3 116,2 6 %451154,, 13,9 12,9 12 % 8 %
IV
IV  d 1/42   01/1SV00OBihre_1aci.dnB_TA................................................................................................................................................................................................................................................................................................................................................................................................................................................................................................oConnjurct EesrgpaPBenLECesbOtavroire
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