Circus Baobab de Chevallier Laurent
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Fiche produite par le Centre de Documentation du Cinéma[s] Le France.
Site : abc-lefrance.com

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Langue Français

Extrait

FICHE FILM
Circus Baobab
www.abc-lefrance.com
D O C U M E N T
fil des sÈquences, s'impose comme u immense personnage de cinÈma. O devine que ce lieutenant n'a pas gagn ses galons au combat, mais plutÙt e dansant avec le ballet national Djoliba du temps de la dictature de Seko TourÈ. De cette Èpoque, il a gard quelques figures rhÈtoriques marxistes lÈninistes qu'il marie avec superbe ‡ l dialectique mandingue, faite d'invoca tions.
Une beautÈ Èvidente : A sa premiËre apparition, il danse, de liasses de billets ‡ la main, le budge Ènorme (des millions de francs gui nÈens) et dÈrisoire (des milliers d francs franÁais) de la tournÈe. On l verra ensuite entraÓner la troupe, Ítr reÁu en hÈros dans son village, servir d mÈdiateur entre les acrobates nÈo phytes et les danseurs acrobatiques d la communautÈ nyamankala Sur les reprÈsentations elles-mÍmes, l film ne s'attarde que le temps d'e dÈmontrer la beautÈ Èvidente, san entreprendre de capter lÕensemble d spectacle. Le Circus Baobab se produi en plein air, autour d'un immense appa reillage de portiques et de cordes qui pris l'apparence d'un grand arbre. Dan la nuit africaine, ÈclairÈ par de lumiËres plus violentes que n'en on jamais vues la plupart des spectateurs le spectacle frappe par son ÈtrangetÈ Mais ces sÈquences ne sont que de intermËdes. La matiËre humaine du film est consti tuÈe des rapports entre cet aÓnÈ et le jeunes citadins, sortis des bidonville vers des villages dont ils n'avaien qu'une idÈe approximative. L'autre fil conducteur deCircus Baobabfait u peu penser auTour de France par deu enfants, Ie manuel scolaire de la lll RÈpublique. Le parcours de la tournÈ mËne le cirque d'abord en pays peul, a Fouta Djalon, o˘ les enfants dÈcouvren le froid et le brouillard, puis e Moyenne-GuinÈe, chez les MalinkÈs avant d'arriver en GuinÈe forestiËre.
chaque fois, les particularitÈs de la rÈgion sont suggÈrÈes, parfois sur un ton gentiment ironique. ArrivÈ ‡ NzÈrÈkorÈ, prËs de la frontiËre avec le Liberia et la CÙte d'lvoire, le cirque est empÍchÈ de jouer par des pluies dilu-viennes que l'on tente de conjurer par une cÈrÈmonie traditionnelle. L'un des hÙtes et organisateurs du rituel doit ensuite s'expliquer devant la camÈra sur les raisons de l'Èchec du procÈdÈ, et son embarras, filmÈ sans pitiÈ ni mÈchance-tÈ, est du plus haut comique.
Une vision onirique : Laurent Chevallier a Ègalement consacrÈ une sÈquence ‡ chacun des inÈvitables alÈas des routes africaines : la panne, le barrage de policeÉ Et ‡ chaque fois, il choisit de gommer le sordide ou le tra-gique (omniprÈsent en GuinËe, la rÈgion forestiËre est aujourd'hui la proie d'une guerre civile meurtriËre) pour mettre en avant la gaietÈ, la drÙlerie quotidienne. Cette attitude Èloigne encore son film de l'information, pour le tirer vers une dÈclaration d'amour ‡ un groupe et aux paysages qu'il traverse, une espËce de vision onirique de ce que pourrait Ítre la vie de jeunes artistes si on leur donnait enfin l'occasion de vivre plutÙt que de survivre. T. S. Le Monde - mercredi 28 fÈvrier 2001
(É)Ce film nous intÈresse non seule-ment pour sa qualitÈ cinÈmatographique mais aussi pour sa dÈmarche d'Èduca-tion populaire. Pour crÈer cette troupe, s'engage une recherche de garÁons et de filles ÒÈlastiquesÓ mais non d'u milieu privilÈgiÈ. Il s'agit d'une forma-tion artistique et de la confrontation, responsabilisation, ‡ une vie de groupe. C'est une chance professionnelle pour des hommes mais encore plus pour les filles qui n'ont guËre de dÈdouchÈs dans la vie active. C'est la dÈcouverte peu ‡ peu d'une vie dÈmocratique, ' '
SALLE D'ART ET D'ESSAI C L A S S … ER E C H E R C H E 8 ,R U ED EL AV A L S E 42100 SAINTETIENNE 04.77.32.76.96 R…PONDEUR : 04.77.32.71.71 Fax : 04.77.32.07.09
reconnu, l'espoir de se produire dans d'autres pays, de dÈcouvrir des cultures diffÈrentes, d'avoir des Èchanges enri-chissants. Pour les milliers d'Africains qui assistent aux reprÈsentations ‡ tra-vers la GuinÈe, c'est la rencontre d'une lÈgende familiËre, celle du singe tam-bourinaire qui s'est laissÈ voler le tam-bour par un chasseur. Depuis, raconte t-on, les chimpanzÈs se frappent toujours la poitrine ! Le film nous prÈsente les danseurs singes, mais aussi de vÈri-tables singes, mÍlÈs d'une Ègale harmo-nie mystÈrieuse. La musique africaine et les instruments de percussion accompa-gnent les Èvolutions. L'immense baobab, de mÈtal et de teck, construit pour la cir-constance, dÈploie sa force. A cÙtÈ de ces ÈlÈments culturels profondsÉles Africains mÈdusÈs voient des danseurs propulsÈs en lÕair, se mouvoir dans la profondeur de la nuit. Le rÍve et la magie submergent la foule. Comment imaginer que le trampoline existe ! Philippe Quaillet a vÈcu les sept mois du tournage et relate avec humour cette aventure humaine. Il tenait sur Internet, une chronique jour-naliËre pour les enfants d'Auch sur les diffÈrentes Ètapes de ce voyage en GuinÈe. Les Africains, raconte-t-il, croyaient que les trapÈzistes Ètaient des asiatiques peints en noir, ou de vÈri-tables singes... Tout au long des plans serrÈs de Laurent Chevallier, on ressent la justesse du regard posÈ sur les Ítres humains ; les corps fascinants Èvoluent dans les airs tels des arabesques dans le mystËre de la nuit. L'utilisation de plusieurs camÈ-ras et du ralenti produisent un effet magique. Les plans larges des camions immergÈs dans la poussiËre dÈgagent une sorte de "ouateur" infinie... Les anecdotes de la vie quotidienne ne man-quent pas pour ce pÈriple de 3500 km avec un groupe de plus de cent per-sonnes autour de l'Èquipe rÈduite du film. Laurent Chevallier, ‡ nouveau dans ce film, nous transmet un regard chaleu--
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re. Son attention au cadrage, ‡ l musique, au bruitage est toujours prÈ sente.(É) Odette Mitterran ZÈro de conduite n∞4
Entretien avec le rÈalisateur
Quel est le parcours qui vous a conduit Circus Baobab? CÕest en se retournant sur son pass quÕon trouve les rÈponses au prÈsen comme on dit ! Mon pËre a animÈ des cinÈs-clubs fondÈ la revueImages et sons. Il mÕ donnÈ enfant, le go˚t du cinÈma, d septiËme art. Mais, adolescent, jÕavou que je mÕintÈressais plus ‡ la musiqu et ‡ la photo quÕau cinÈma. Mes parent se sont ensuite sÈparÈs. JÕai vÈc quelques annÈes avec le compagnon d ma mËre qui Ètait sÈnÈgalais, un profes seur de philosophie ! CÕÈtait ma premi re rencontre avec lÕAfrique. AprËs l Bac, je me suis inscrit ‡ lÕEcole Loui LumiËre o˘ jÕai appris ‡ utiliser un camÈra. JÕai commencÈ ‡ apprÈhend le cinÈma dÕune maniËre diffÈrent comme un mÈtier ‡ vivre avec sa tÍte e ses mains. JÕai dÕabord travaillÈ dans cinÈma militant, ensuite je suis parti comme militant, puis comme rÈalisateu sur des films documentaires aux quatr coins du monde. Ma passion pour l montagne, pour lÕescalade, cultivÈ dans une famille originaire de Grenoble mÕa permis de partager ces expÈdition tout en les filmant. JÕai toujours Èpro vÈ, depuis lors, ce besoin presque phy sique de marier ce que jÕai envie d vivre et ce que jÕai envie de filme Toutes ces annÈes pourLes carnets d lÕaventureont abouti ‡ mon premier lon mÈtrage, en 1990,Au sud du sud(chro nique de la traversÈe intÈgrale d lÕAntarctique ‡ pied par le docteur Jea Louis Etienne et ses cinq compagnons). En 1991, cÕest mon premier film e Afrique,Djembefolaet la rencontr avec Telivel Diallo, ‡ lÕÈpoque direc
de la culture de GuinÈe qui deviendra u ami et aura un rÙle important dans l projet deCircus baobab. Puis, e 1993/1994, lÕenvie de raconter le pa cours dÕun gamin dÕaujourdÕhui Afrique ‡ partir dÕun roman historique d Camara Laye,LÕenfant noir.En parallËle jÕai eu lÕoccasion de rÈaliserLe enfants du voyage, une sÈrie docu mentaire pour la tÈlÈvision sur le mond du cirque. Pendant des mois, ‡ travers l Chine, lÕex-Union SoviÈtique, les Etat Unis, lÕEurope, jÕai vÈcu avec d clowns, des dresseurs dÕanimaux, de acrobatesÉ Le monde du cirque, la musique, lÕAfrique, lÕidÈe du voyage de lÕaventure, lÕimprovisation mÕ menÈ ‡Circus baobab.
Justement comment est nÈ le projet d Circus baobab? LidÈe de dÈpart Ètait de vivre un grand voyage ‡ travers lÕAfrique. Un voyag avec une caravane de cirque. Ce cirque, au dÈbut, je ne lÕimaginais pas comm Áa, mais plus petit, ‡ lÕÈchelle familial et qui allait de village en village montrer les numÈros. Dans ma tÍte, cela allait rÈveiller chez les villageois lÕidÈe que l cirque existait dÈj‡ depuis la nuit des temps chez eux. Musiciens, acrobates, mangeurs de couteaux et de feu, dan seurs sur ÈchassesÉ jÕen ai toujours vus en GuinÈe. Tous les ingrÈdients pou faire du cirque Ètaient l‡. MÍme l notion de cercle, quÕils ont traditionne lement dans leurs cases, dans leu maniËre de se mettre en cercle pou manger, pour discuter, pour les fÍtes d village. JÕai commencÈ ‡ parler de c projet et je me suis trouvÈ coincÈ par l rÈalitÈ. Faire un film sur le voyage dÕu cirque. Mais quel cirque ? Il fallait en monter un mais pas comme un cirque lÕancienne plutÙt comme un vÈritabl espace dÕexpression moderne : musiqu thÈ‚tre, danse, acrobatie. Le projet pris forme en mars 1998 quand Telivel Diallo, directeur de la culture, a cru en cette idÈe et a dÈcidÈ de crÈer, e
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acrobatique dÕAfrique occidentale. Beaucoup de gens, europÈens, gui-nÈens, des artistes, Pierrot Bidon, le pËre fondateur du fameux Archaos, des institutionnels, sÕy sont impliquÈs pen-dant deux ans. La troupe sÕest construite ‡ Conakry dans des conditions assez prÈcaires. On a essayÈ de faire au mieux avec les petits moyens que nous avions mais avec beaucoup dÕÈnergie et beau-coup dÕamour. Ce projet de film est devenu un projet ‡ plus large Èchelle, plus beau encore que je ne lÕavais rÍvÈ.
Comment filmer cette aventure, com-ment filmer la rÈalitÈ ? Au dÈpart de Conakry il y avait lÕidÈe du film, il y avait la troupe, mais il nÕy avait pas de scÈnario Ècrit, pas de dialogues. Vivre les choses dans lÕimprovisation, puis canaliser cette part dÕimprÈvu, cÕÈtait la leÁon apprise pendant mes annÈesCarnets dÕaventures. Je ne suis pas un ethnologue. Dans la mesure o˘ tu arrives avec une camÈra, cela modifie forcÈment le comportement des gens, la relation au rÈel. Pour mieux fil-mer la rÈalitÈ, pour mieux saisir ces Èmotions particuliËres, il vaut mieux sÕentendre ‡ lÕavance sur les rËgles du jeu. Je travaille avec une Èquipe tech-nique la plus rÈduite possible pour ne pas gÍner la fluiditÈ du regard de la camÈra. Je nÕaime pas trop mettre la camÈra sur un pied, je prÈfËre lÕavoir sur lÕÈpaule. Pour avoir cette jouissance de filmer les choses dans lÕimprovisation, jÕai besoin, pour me tranquilliser, de canaliser tout. Comme des musiciens de jazz qui, connaissant parfaitement le thËme, peuvent se laisser partir dans leurs improvisations. QuÕest-ce que je vais filmer aujourdÕhui ? Est-ce que je vais filmer ou pas ? CÕest des questions que je me posais tous les matins. Quand tu tournes en vidÈo, tu peux filmer autant que tu veux mais quand tu fais un film pour le cinÈma, tu sais que ta quan-titÈ de pellicule est comptÈe. Pourtant tu dois raconter six ‡ huit semaines de
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va se passer le lendemain. Je nÕai pcapables dÕintÈgrer la situation commfilms ont obtenu de nombreux prix dans lÕimpression de faire de la mise eune rÈalitÈ ‡ part entiËre et de la restiles festivals ‡ travers le monde. scËne mais plutÙt de la mise en situatuer de maniËre tout ‡ fait spontanÈeAprËs avoir ÈtÈ directeur de la photo sur tion : placer des jalons, des repËresDe fait, chacun avait le rÙle de soMÈdecin des lumiËresde RenÈ Allio, savoir en gros o˘ lÕhistoire va allemploi dans la vie. Et ils Ètaient pouil tourne, lors de lÕexpÈdition (jusquÕaux singes que jÕavais repÈrmoi de vrais points de repËres au milie´Transantarcticaª en 1989-1990, une lÕannÈe prÈcÈdente), savoir o˘ elle va sde tous ces jeunes de la troupe. Dans lsÈrie de documentaires pour la tÈlÈvi-poser (autour des spectacles sur le singpremiËre partie du film, il nÕy a pasion et, parallËlement,Au Sud du Sud, tambourinaire), imaginer en cours ddÕindividualitÈs qui ressortent parmi lson premier long mÈtrage pour le cinÈ-route ‡ quel endroit il risque de se pasjeunes, cÕest plutÙt la notion de groupma. ser quelque chose. Par exemple, penOn peut lire le film comme un voyagEn 1991, il rÈaliseDjembefola, qui dant tout le voyage, jÕÈtais aux agueinitiatique dÕun groupe de jeunes qui ndÈcrit le retour dans son pays de du moment o˘ il se passerait une pannejamais quittÈ la ville. Ce sont les vieuxMamady Keita, un des plus grands per-Je nÕai pas eu envie dÕorganiserles adultes, comme le veut la traditiocussionnistes guinÈens. Ce deuxiËme panne mais je savais quÕavec six ‡ huorale en Afrique, qui vont leur transdocumentaire pour le cinÈma a obtenu semaines sur les pistes dÕAfrique, ilmettre leur savoir. Au fur et ‡ mesurplusieurs prix dans divers festivals parmi allait forcÈment en avoir une. Et le jouque le voyage avance, parmi les jeuneslesquels leGolden Gate Award‡ San o˘ la panne arrive, il faut Ítre prÍt. Lil y en a certains qui se font remarqueFrancisco et leGrand Prix du Festival cinÈaste alors filme et il veut savoiplus que dÕautres mais je tenais vradÕAmien.s comment les personnages vont sÕen soment ‡ garder cette notion dÕun groupPuis il tourne, en 1993, pour la tÈlÈvision tir, jusquÕau moment o˘ la nuit va todÕune troupe en formation sur le chemiFlorilegioetLes enfants du voyage, ber et il se dit quÕil ne va pas les laissde son apprentissage.(É)sur le monde du cirque, etNotes inter-l‡, au bord de la route, quÕavec son vÈhDossier distributeudites, portrait dÕun chanteur engagÈ ‡ cule il va pouvoir aller jusqÕ‡ la villeBelfast. dÈbloquer les choses. Il y a deEnfin, en 1995,LÕenfant noi,r sonpre-moments aussi o˘ le cinÈma sÕarrÍte,mier long mÈtrage de fiction, dÕaprËs le Le rÈalisateur faut poser sa camÈra et aider ‡ rÈsoudrlivre de Camara Laye. le problËme. Sinon, on coule tou Laurent Chevallier est nÈ ‡ Paris, le ensemble ! juin 1955. AprËs des Ètudes de cinÈma lÕ…cole Louis LumiËre de 1974 ‡ 1976, Et le travail avec la troupe ? collabore ‡ la prise de vue de longFilmographie Nous Ètions effectivement une troup mÈtrages tels queRetour ‡ Marseill gigantesque, une caravane de 107 perAu Sud du Sud1989 de RenÈ Allio,Divade Jean-Jacque sonnes ! Les artistes, les techniciens Beneix,Le murde Yilmaz Guney,Mo les musiciens et lÕÈquipe du film proprDjembefola1991 beau-frËre a tuÈ ma sÏurde Jacque ment dite. Pour moi, ils Ètaient tou Rouffio,Fucking Fernandde GÈrar comÈdiens face ‡ la camÈra. Il y avaiLÕenfant noir1995 Mordillat,Une histoire de ventd les jeunes de la troupe, les artistes qui Joris Ivens, ... avaient ÈtÈ recrutÈs ‡ Conakry. Et, e A partir de 1981, il signe une vingtain face dÕeux, des adultes, le directeur d de films documentaires dontDever la troupe, KabinÈ TraorÈ, le chef mÈcani (1981), escalade avec Patrick Berhault cien, Madou Camara, lÕadministrate Patagonie force 10(1982), le Cap Hor de la troupe, Mory, la chef cuisiniËre sur Gauloises 3,Coisikayak(1984) Kumba, lÕinstituteur maÓtre Sidib kayak extrÍme en Corse,Little Kari Momo Wandel et ses musiciens. La pluDocuments disponibles au France (1985), histoire dÕun sherpa e part des adultes, ce sont des gens qui Himalaya,Papy PÙle(1986), premiËr Ètaient dÈj‡ avec moi pourDjembefolaArticles de presse solitaire au PÙle Nord par Jean-Loui pourLÕenfant noir.Dossier distributeurSans Ítre des comÈ …tienne,Le roi des baleines(1987), u diens professionnels, ils avaient donLe Monde - mercredi 28 fÈvrier 2001 argentin parmi les baleines d tous eu des expÈriences de cinÈDevant la camÈra, ils sont parfaitem
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