La Rivière de Ming-Liang Tsai
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Fiche produite par le Centre de Documentation du Cinéma[s] Le France.
Site : abc-lefrance.com

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Langue Français

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La riviËre de Tsai Mingliang FICHE FILM Fiche technique
Taiwan - 1997 - 1h55 Couleur
RÈalisateur : Tsai Ming-liang
ScÈnario : Tsai Ming-liang Yang Bi-ying Tsai Yi-chu
InterprËtes : Lee Kang -sheng (Xiao-kang) Miao Tien (Le pËre) Lu Hsiao-ling (La mËre) Chen Chao-jung (Jeune homme dans le sauna)) Chen Shiang-chyi (Amie et amante de Xiao-kang) Ann Hui (La rÈalisatrice de pub)
L E
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faubourg de TaÔpei, on ne rigole pas, monsieur. Le pËre, petit retraitÈ, tue son ennui dans les saunas rÈservÈs aux hommes. La mËre, employÈe dans une immense cantine criblÈe de nÈons, rejoint le soir un jeune amant vautrÈ devant les cassettes porno quÕil Ècoul ici et l‡. Bref, Ia chair est triste, et cela ne fait quÕaccentuer le malaise. Quant ‡ Kan sheng, on dirait quÕil laisse la doule envahir, meubler le nÈant de son existen-ce. TrËs cruellement, de plus en plus forte, elle lÕoccupe. Elle rÈveille aus lÕintÈrÍt des parents pour cet ectoplasm de garÁon dans ses impeccables habits blancs. Le pËre le ramasse alors quÕil e tombÈ de son scooter (rÈpÈtÈe une deuxiËme fois, la scËne devient un gag ‡ la Tati). La mËre lui masse le cou, sans excËs de tendresse... avec un vibromas-seur. Du coup, leurs trois vies Ètanches ont comme des fuites, se mettent ‡ vaguement ´communiquerª. Le fils ‡ la nuque enflammÈe devient un cas, soumis tour ‡ tour ‡ un guÈrisseur, un masseur, un acuponcteur... Et pendant ce temps-l‡, cÕest le toit de lÕappartement qui fuit. La RiviËreest un film o˘ lÕhumide, l liquide sont omniprÈsents. «a coule, Áa suinte ou Áa gicle. Mais tous ces dÈhor-dements sont canalisÈs par une mise en scËne qui aligne les sÈquences comme autant de petits blocs et ne laisse rien au hasard. Ce style mÈticuleux, calculÈ, irra-die une intensitÈ constante. A lÕinstar d mystÈrieux torticolis de Kank-sheng, il br˚le et nous gagne insidieusement. La stupÈfiante maÓtrise formelle de Tsai, dont cÕest seulement le troisiËme film d cinÈma (il a travaillÈ aussi pour la tÈlÈvi-sion et le thÈ‚tre), est alors en parfaite osmose avec son sujet. Tout un mal de vivre, insinue-t-il, tous Ies manques et les frustrations de la jeunes-se taÔwanaise, et pas seulement le poi-son de la riviËre polluÈe, se sont infiltrÈs dans la nuque de Kang-sheng. A mesure que la douleur augmente jusquÕ‡ le raid dans un rictus de tout le corps, tandis que les esprits comme la mÈdeci
Èchouent, le malheureux garÁon se met ressembler au mannequin dont il a pris l place au dÈbut. Devenir des mannequins des pantins, cÕest la menace tristeme ordinaire que fait peser sur les homme une vie trop mÈcanisÈe. La fin est en suspens, comme la fenÍtr ouverte par Kang-sheng, ‡ lÕhÙtel o˘ so pËre lÕa accompagnÈ, en attendant l coup de fil dÕun guÈrisseur - un trait ment possible est en vue. De son cÙtÈ, l mËre a stoppÈ la fuite qui inondai lÕappartement. LÕeau dÈbordante et le f du mal ne sont pas des fatalitÈs san issue, peut-Ítre pas. Mais siLa RiviËr continue de nous remuer longtemp aprËs nous avoir agacÈs parfois, cÕe que ce film est parcouru dÕun bout lÕautre par un nerf, une tension,et pa seulement composÈ de plans esthÈ tiques. Cette vibration, cÕest la vie propr au vrai cinÈma, qui permet de distingue le film-humain, du film-mannequin, d film en toc. ´Non, Áa ne va pas, Áa ne v pas du toutª, dit au dÈbut la cinÈast exaspÈrÈe par le faux cadavre en plasto (cÕest Ann Hui, ´marraineª du cinÈma ta wanais, dans son propre rÙle). A lÕinve se,La riviËreest un film quiva, no sans beautÈ, non sans douleur, et qui v loin. FranÁois Gori TÈlÈrama n∞ 2485 - 27 aout 199
LÕimpression immÈdiate que laisseL riviËre, en regard des deux premier films de Tsai Ming-liang, cÕest celle dÕ cercle qui achËverait de se refermer su lui-mÍme, dÕun pessimisme qui se rad caliserait jusquÕ‡ lÕangoisse absolue. certes, on ne retrouve pas ici les contre points burlesques qui offraient ‡Viv lÕamourune ligne de fuite, et venaien introduire dans la reprÈsentation obsÈ dante du dÈsespoir un trËs discret dÈca lage. DansLa riviËre, le ´systËme Tsai Ming-liangª est assumÈ dans son intÈ gralitÈ : plus que jamais, il se fonde su
SALLE D'ART ET D'ESSAI C L A S S … ER E C H E R C H E 8 ,R U ED EL AV A L S E 42100 SAINTETIENNE 04.77.32.76.96 R…PONDEUR : 04.77.32.71.71 Fax : 04.77.25.11.83
ouvert, dÕun infini urbain o˘ la transpa-rence ne cesse de se heurter ‡ toutes sortes dÕobstacles. Au sein de lÕapesan-teur apparente o˘ ils Èvoluent, les per-sonnages restent prisonniers dÕun deve-nir irrÈalisable, dÕune virtualitÈ Èternelle : le pËre ne traversera jamais rÈellement la vitre du fast-food, ‡ travers laquelle il observe les dÈambulations du gigolo; la mËre est vouÈe ‡ accompagner indÈfini-ment les va-et-vient de lÕascenseur et le ressassement des scËnes Èrotiques ‡ ne possÈder lÕobjet de son dÈsir que dans une simulation solitaire : le fils fait lÕamour dans lÕobscuritÈ avec une jeune fille dont lÕanonymat semble prÈfigurer celui de son propre pËre dans le cadre du sauna... Les visages et les corps se croisent sans se reconnaÓtre, les (trËs rares) paroles tombent dans le silence et semblent nÕobÈir quÕ‡ des impulsions machinales : on a bien affaire ‡ une logique posthumaine, qui sÕapparente un peu ‡ celle des rÈseaux informatiques dans la mesure o˘ toute ÈtrangetÈ y est annulÈe par la prolifÈration des pos-sibles. Comme celui deVive IÕamou,r le monde deLa riviËrese place ainsi sous le signe du mÍme, dÕune rÈpÈtition stÈri-le et qui paraÓt Èluder toute rencontre avec lÕautre : IÕimage emblÈmatique de cette aliÈnation, cÕest bien s˚r celle du pËre qui nÕarrÍte pas de dÈployer ses efforts pour contenir une eau qui nÕen finit pas de se rÈpandre. Mais ‡ cette rÈpÈtition sÕajoute une nouvelle dimen-sion, qui tout ensemble la prolonge et en modifie paradoxalement le sens : celle de lÕenfermement. Autour des trois protagonistes, la scËne sÕest ici rÈtrÈcie sous le poids dÕune fatalitÈ mystÈrieuse, comme par un interdit de sortir aussi impÈrieux que celui qui frappait les nau-fragÈs deLÕange exterminateu.rne Il sÕagit pas seulement du fils, condamnÈ ‡ rÈintÈgrer le cercle de famille et ‡ y tourner en rond dans lÕattente dÕune improbable guÈrison; mais le pËre mÍme, dans lÕune de ses excursions
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solitude par le jeune prostituÈ, qui ndeVive lÕamou,r lafin deLa riviËrautre avec Chen Chao-jung qui joue sÕoffre que pour mieux se reprendrenous montre deux hommes dans un lit eaussi dans vos trois films. Quel est votre rÈtablir autour du vieil homme un taboqui ne se font pas face; mais le specta-sentiment sur votre maniËre dÕutiliser Ènigmatique. Du huis clos de lÕappartteur, sur le visage du pËre comme suconjointement ces deux comÈdiens ? ment ‡ ceux de lÕascenseur ou du sauncelui du jeune Xiao-kang, est invitÈ pourCette relation est subtile. A chaque fois on voit se reproduire une malÈdictiola premiËre fois ‡ lire les signes deque je pense ‡ Lee Kang-sheng et que identique qui est ‡ la fois celle du cerlÕamour. jÕimagineses rapports avec dÕautres, je cueil et du miroir - comme si, en cettDËs lors, il est permis de relire le filmpense aussitÙt ‡ Chen Chao-jung. DÕun fin des temps, le noyau familial venaitout entier en y cherchant des signes ecÙtÈ, il est trËs sÈduisant, beau et reprendre en charge lÕuniformitÈ univeun sens ; il est naturel, par exemple, desophistiquÈ, et de lÕautre, il a un mystË-selle, et en remettre ‡ jour lÕoriginprÈtendre interprÈter lÕomniprÈsence dre en lui, quelque chose de difficile ‡ chaotique. lÕeau- mÈtaphore dÕun inconscient tdÈcrire. Il est commeun bel objet froid Au bout du compte, il sÕagit bien potÙt stagnant (la riviËre), tantÙt ÈvacuÈ,de dÈsir, et en ce sens trËs diffÈrent de Tsai Ming-liang de reconsituer umais toujours recurrent (la fuite du plaLee Kang-sheng. La premiËre fois que je thÈ‚tre, une dramaturgie ancestrale afond) etin extremisdÈlivrÈ par lÕoragelui ai fait passer un test, je lui ai deman-sein de laquelle chacun pourrait rÈinvespar les larmes du pËre...dÈ dÕenlever sa chemise, et jÕai alors tir son propre rÙle, et recouvrer sa figur(É) immÈdiatementsignÈ son contrat ! en mÍme temps que son masque. ToutNoÎl Herp(É) lÕinitiation du fils est encadrÈe par deuPositif n∞439 - septembre 197 scËnes primordiales et antinomiquesDans votre reprÈsentabon de la sexuali-au commencement, Ia mort (telle quÕtÈ ‡ lÕÈcran, vous Èvitez aussi bien le est censÈ lÕincarner pour les besoinvoyeurisme que la vulgaritÈ, sans pour-dÕun tournage lui-mÍme filmÈ sur ltant refuser dÕaborder les situations les Entretrien mode dÕunmaking ofdÈmystificateur);plus scabreuses, comme celle de la la fin, le retour aux sources dont lmasturbation sous le lit dansVive Dans le synopsis de votre film, vous prÈ-dÈroulement revÍt, ‡ lÕinverse, la gralÕamourou lÔÈtreinte du pËre et du fils sentez votre protagoniste sous le nom deur tragique dÕune descente aux enferdans le sauna gay deLa RiviËre. du comÈdien qui lÕincarne, Lee Kan et impose dans le cours monotone dJe pense que la sexualitÈ est ce quÕil y a sheng, en ajoutant quÕon le surnomm rÈcit une rupture spectaculaire. CÕede plus privÈ, de plus intime en nous. Xiao-kang. Or ce personnage - jamais que la reprÈsentation ordinaire ne peuTout comportement sexuel est le reflet tout ‡ fait le mÍme , il nÕa pas d sÕinterrompre quÕen radicalisant ses arle plus direct qui puisse exister de notre parents par exemple dansVive lÕamo fices, en allant au fond du mensonge quiattitude devant la vie, que lÕon soit heu-- rÈapparaÓt dans vos trois films, tou-la constitue. CÕest au moment prÈcis dreux ou non, honnÍte ou non. CÕest pour jours intreprÈtÈ par le mÍme acteur. la suprÍme mÈprise (lÕaccouplement dcela que jÕaime montrer lÕacte sexuel Pseudonyme ou pas, il y a une Ètroit pËre et du fils dans lÕobscuritÈ) que pesans ambages. Dans mes films, Ies per-imbrication dans ce cas entre fiction et avoir lieu une forme de renaissance, dsonnages nÕont pas une sexualitÈ Èpa-rÈalitÈ. re-connaissance: reconnaissance dnouie, mais justement cÕest cela qui Bien que sa famille soit absente deViv dÈsir interdit qui empÍchait toute commÕintÈresse. Leurs Èmotions sont contre-lÕamou,rcÕest nÈanmoins le mÍme pe munication entre le pËre et le fils, ocarrÈes, insatisfaites, et cela, bien s˚r, sonnage qui revient dans les trois films. mÍme entre le pËre et les substituts dse retrouve dans leurs rapports sexuels JÕai imaginÈ dansVive lÕamourquÕ fils; reconnaissance de lÕun par lÕautqui sont privÈs de toute affection. Dans avait eu un conflit avec sa famille, quÕ dans une altÈritÈ essentielle, mais quiVive lÔamou,rsexe se consomme le sÕÈtait enfui de son foyer et quÕil tent nÕa pu Ítre rÈvÈlÈe que par la confusiocomme dans un fast-food. DansLa de se suicider dans cet appartement Ïdipienne. Alors les visages arriventRiviËre, cÕest comme si les protago-vide. Il y a un dÈveloppement du prota enfin ‡ se voir (f˚t-ce, dans un premienistes ne savaient pas exactement quels goniste, bien s˚r, ‡ travers les trois temps, au prix dÕune gifle incongr˚mesont leurs besoins physiques. Le pËre, films, mais dans chacun, il est ‡ la vaudevillesque); ils peuvent surtoupar exemple, a hÈritÈ de la sociÈtÈ un recherche de son identitÈ avec, ‡ sÕexposer au regard de la camÈra, eusens moral qui lui fait voir le sexe chaque Ètape, davantage de maturitÈ. qui jusquÕici sÕy dÈrobaient et ne sÕicomme quelque chose de sale et dÕinter-(É) crivaient que dans un pragmatisme inexdit. Je veux donc explorer ces zones pressif. Comme lÕavant-derniËre sc
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personnalitÈ. CÕest parce que je considrÈparer un robinet qui coulait. Il sÕePanorama au Festival de Berlin. AcclamÈ re la sexualitÈ comme une donnÈealors cassÈ et des trombes dÕeau ocomme le Fassbinder taiwanais par la essentielle de lÕindividu que je veux Èvenvahi la piËce, me laissant impuissant,critique internationale, Tsai est considÈ-ter les stÈrÈotypes dans la reprÈsenta-en train de pleurer assis par terre car jerÈ comme le pilier de la deuxiËme gÈnÈ-tion de lÕamour, tels quÕon les renconne savais comment trouver de lÕaidration du Nouveau cinÈma taiwanais. trop souvent au cinÈma. Pour moi, leProfondÈment, IÕeau fait partie de mVive lÕamour(1994), son deuxiËme long sexe nÕest pas lÕexpÈrience la plus hvie : elle mÕattire et en mÍme temps mmÈtrage, a remportÈ le Lion dÕOr au reuse qui soit, la plus enivrante, maisfait peur. Elle symbolise aussi pour moiFestival de Venise. LÕoriginalitÈ de la quelque chose de trËs complexe que lÕole dÈsir Èrotique. ll ne faut pas oubliermise en scËne et la chorÈgraphie trËs doit aborder sous de nombreux angles.non plus que le pËre pisse tellementparticuliËre des situations tragi-DansLa riviËre, la relation sexuelle ‡comiques sont la vÈritable marque dulongtemps que cela en devient presque la fin, dans le sauna, est comme uneune cascade ! (É)style de Tsai. Le thËme de lÕisolement et forme de salut pour le personnage.Michel CimentlÕabsurditÈ de la vie urbaine ‡ Taipei Positif n∞439 - septembre 1997sont traitÈs dans le film avec un regard Le film sÕappelleLa riviËre, bien quÕelltrËs neuf. nÕapparaisse que dans la deuxiËmAprËsVive lÕamou,ra mis en Tsai sÈquence du film. Mais elle est une desscËne une nouvelle piËce intitulÈe reprÈsentations du thËme de lÕeau qAppartement romanceet a tournÈ un Le rÈalisateur parcourt beaucoup de sÈquences, de ladocumentaire,My New Friends, sur fuite dans lÕappartement aux douchesles sÈropositifs, projetÈ dans de nom-Tsai est nÈ en Malaisie. En 1977, il part au sauna.breux festivals. Dans son dernier film, Ètudier ‡ Taiwan o˘ il obtient son diplÙ-Le titre, bien s˚r, vient de cette sÈquen-La riviËre, le rÈalisateur explore avec me dÕart dramatique en 1981. Il Ècri ce du dÈbut o˘ ils tournent un film publi-un mÈlange dÕaudace et de fraÓcheur, plusieurs piËces de thÈ‚tre, dontInstant citaire. Mais, au fur et ‡ mesure quediffÈrents aspects de la vie de famille Bean Sauce Noodle(1981),A Sealed jÕÈlaborais le scÈnario et que je mettaidans la sociÈtÈ taÔwanaise. Le sujet et Door in the Dark(1982). En 1983 il crÈe en place sa structure, un certain nombrele style en font une fois de plus une A Wardrobe in the Room,one-man-dÕÈlÈments constitutifs sont venus doeuvre trËs novatrice de Tsai. show expÈrimental sur le thËme de la mon expÈrience personnelle. Ainsi, alors solitude dans les grandes mÈtropoles, que je rÈalisais une dramatique tÈlÈ, quÕil met en scËne et interprËte lui jÕavais forcÈ mon comÈdien ‡ saut mÍme. CÕest dÕailleurs le thËme cent dans le fleuve; il a pris un bouillon qui de toute son Ïuvre.Filmographie IÕa rendu malade pour plusieurs jours Tout en continuant ‡ travailler pour le cause de la pollution de lÕeau. Le pir thÈ‚tre, Tsai commence ‡ Ècrire et ‡ est que je nÕai pas gardÈ la sÈquenc rÈaliser pour la tÈlÈvision. Il est lÕauteRebels of the Neon God1992 dans le montage final, ce qui a rendu des scÈnarios suivants:Little Fugitive mon comÈdien particuliËrement furieux ! (1982),Runaway(1983),SpringVive lÕamour1994 De toute faÁon, cet accident mÕa fort Daddy(1984). Les tÈlÈfilms quÕil a rÈali ment impressionnÈ. La riviËre polluÈe sÈs tels queAll Corners of the Sea fonctionne comme une grande mÈtapho-(1989),Give me a Home( 1991).Li re de la vie. A la surface, elle est trËs HsiangÕs Love Line(1990) etThe Kid calme et lisse, mais, dans les profon-(1991) lui ont permis dÕaborder le cin deurs, elle est pleine de microbes, de ma.All Corners of the SeeetThe Kid maladies, de saletÈs que lÕon ne vo ont ÈtÈ projetÈs dans de nombreux festi-Documents disponibles au France pas. Personnellement, jÕaime beaucou vals (Hong Kong, Vancouver,Rotterdam, lÕeau, mais je sais aussi combien, p etc...). Cahiers du cinÈma n∞516 - septembre 1997 des expÈriences personnelles, elle peut Son premier long mÈtrage,Rebels of Positif n∞439 - septembre 1997 Ítre destructrice et source de dÈsastre. the Neon God(1992), qui traite de la TÈlÈrama n∞2485 - 27 septembre 1997 Ainsi mon appartement a ÈtÈ inondÈ dÈsillusion des jeunes dans les villes, a LibÈration comme dansRebels of the Neon God. reÁu le prix du meilleur film du China Une autre fois, je me souviens mÕ rÈveillÈ en pleine nuit et avoir vo
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