Le Caporal epinglé de Renoir Jean
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Fiche produite par le Centre de Documentation du Cinéma[s] Le France.
Site : abc-lefrance.com

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Langue Français

Extrait

Le Caporal ÈpinglÈ
de Jean Renoir FICHE FILM Fiche technique
France - 1962 - 1h45
RÈalisateur : Jean Renoir
ScÈnario : Jean Renoir Guy Lefranc dÕaprËs le roman de Jacques Perret
Image : Georges Leclerc
RÈsumÈ Musique : Joseph Cosma Un camp de prisonniers en juin 1940. ParmiCaporal et Pater trouvent enfin la meilleure eux, trois bons amis, le caporal, Pater etformule :sortir du camp au nez et ‡ la Ballochet. Ils ne songent qu'‡ s'Èvader. Unbarbe des Allemands, en faisant semblant InterprËtes : moment d'inattention des sentinelles etde mesurer les lieuxÉ Jean-Pierre Cassel voil‡ le mur d'enceinte franchi. Mais la patrouille a tÙt fait de les rattraper, et c'est (le caporal) la dure corvÈe du centre de triage. Seul, Claude Brasseur Caporal ne se dÈcourage pas. Un jour, avec (Pater) un autre copain, Penche-‡-gauche, il par-vient jusqu'‡ la frontiËre, o˘ il se fait ‡ Claude Rich Anecdote nouveau Èpingler. AprËs plusieurs tenta-(Adrien Ballochet) tives infructueuses, on retrouve les trois Le caporal ÈpinglÈest parfois comparÈ ‡ Oe Hasse amis planquÈs dans un stalag "de luxe", o˘ La grande illusion, le film que Renoir ils ont cigares et foie gras ‡ volontÈ. C'est (Le voyageur ivre dans le tourna en 1937; il y a pourtant bien des dif-la belle vie, mais la jolie Erika, fille du train)fÈrences. "DansLa grande illusion, dit dentiste, va faire renaÓtre leur dÈsir d'Èva-Renoir, je m'Ètais penchÈ sur le problËme Jean Carmet sion :"J'aime, dit-elle, les hommes qui ne des affinitÈs de classe,Le caporal Èpin-sont pas des esclaves". Nouvelle tentative, (Guillaume) glÈtraduit seulement des rÈactions quoti-nouvel Èchec. Ballochet, lui, choisit la voie diennes d'individus, plongÈs dans le creu-de l'Èvasion-suicide : une rafale de set commun du dÈsespoir." Ce sera l'avant-mitraillette dans la nuit, et c'en est fini. dernier film de Renoir, tournÈ en
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Allemagne, dans une ambiance joyeuse, avec de jeunes comÈdiens. Des docu-ments d'actualitÈs intercalÈs situent bien le film dans la perspective histo-rique de la "drÙle de guerre". Cette fiche est issue de la sÈrie n∞077 de la collection des fiches de monsieur CinÈma (077/05)
Critique
Le Caporal ÈpinglÈest adaptÈ d'un roman de l'Ècrivain franÁais Jacques Perret paru en 1947. Cette Ïuvre, sans nul doute la plus cÈlËbre de son auteur, est adaptÈe de la propre expÈrience de Perret, caporal franÁais fait prisonnier par les Allemands durant la Seconde Guerre mondiale. Quatre ans aprËs la parution du roman, Jacques Perret se distingue avecBande ‡ part, Èvocation de sa vie de maquisard qui remporte un joli succËs en librairie. L'Ècrivain est ‡ l'origine de deux films mettant en vedet-te Fernandel :Le Mouton ‡ cinq pattes, dont il fut scÈnariste, etErnest le rebelleadaptÈ de l'un de ses rÈcits. Parmi ses nouvelles les plus cÈlËbres, retenonsLa BÍte MahousseouLe Machin. Pour rÈaliserLe Caporal ÈpinglÈ, Jean Renoir s'est vu porter main forte par Guy Lefranc, Ègalement scÈnariste du film. RÈalisateur d'une vingtaine de films, Guy Lefranc s'Ètait distinguÈ en dÈbut de carriËre en signant coup sur coup KnocketUne histoire d'amour, met-tant chacun en vedette Louis Jouvet. Il avait ensuite rÈalisÈ, entre autres, La MouchardeetSale temps pour les mouches. Le Caporal ÈpinglÈpossËde une distri-bution de poids comprenant quelques pointures du cinÈma franÁais comme Jean-Pierre Cassel, Claude Brasseur, Jean Carmet et Claude Rich, mais Ègale-ment des vedettes du music-hall comme Guy Bedos ou Philippe Castelli.
Nombreux sont ceux qui voient avecLe Caporal ÈpinglÈun remake ‡ peine voilÈ deLa Grande Illusion, rÈalisÈ par le mÍme Jean Renoir en 1937. InterrogÈ ‡ l'Èpoque sur le sujet, le cinÈaste rÈfu-ta cette comparaison, voyant dans les deux films le traitement de deux thËmes bien distincts, ‡ savoir les affinitÈs de classe pourLa Grande illusionet le dÈsespoir de personnages au quotidien pourLe Caporal ÈpinglÈ. A noter par ailleurs que l'un des scÈnaristes du Caporal ÈpinglÈ, Charles Spaak, Ètait le co-scÈnariste deLa Grande Illusion en compagnie de Renoir. Le Caporal ÈpinglÈest le dernier long mÈtrage rÈalisÈ par Jean Renoir pour le cinÈma. SurLe Caporal ÈpinglÈ, Jean Renoir bÈnÈficie du soutien de son fidËle com-positeur Joseph Kosma. Celui-ci l'a accompagnÈ sur nombre de ses Ïuvres, parmi lesquellesLa BÍte humaine,La Grande IllusionouLe DÈjeuner sur l'herbe. http://www.allocine.fr
Le dernier film de Renoir quÕon veut nous prÈsenter comme une ressucÈe sur le mode mineur deLa grande illusion est en fait une mÈditation sur lÕattitude de lÕhomme en face de lÕasservissement et plus gÈnÈralement en face de lÕexis-tence et du mondeÉ H. Gay Saison 63 Doc UFOLEIS
Sur une atmosphËre merveilleusement reconstituÈe, Renoir a semÈ des sÈquences gaies, des situations spiri-tuelles, des gags mÍme, qui peignent la vie quotidienne des prisonniers et qui viennent donner au film toute sa riches-se humaine. Et au centre de tout cela, exprimÈes par touches discrËtes, justes,
Èmouvantes : lÕamitiÈ entre hommes, la solidaritÈ entre les prisonniers, la recon-quÍte de la libertÈÉ Cela pÈtille dÕesprit, de vÈritÈ, de bonhomie. F. Gault Coop. de France - Mars 62 Doc. UFOLEIS
Au fond le thËme central est la solitude de lÕhomme. O˘ quÕil soit il Ètouffe dans tous les cadres. La contrainte du stalag, cÕest la condition gÈnÈrale de lÕhomme dans sa prison sociale. J. dÕYvoire TÈlÈrama - 10 Juin 1962 Doc. UFOLEIS
PourLe caporal ÈpinglÈÉ ses dÈtrac-teurs parlent de sa bassesse dans un ton Òcomique-troupierÓ. L‡ aussi pour-tant le propos fondamental est noble, encore que lÕauteur ne rÈussisse pas ‡ passer sans heurt du bouffon au tra-gique. La modestie apparente du ton empÍche beaucoup de sentir lÕimportan-ce de lÕÏuvre. Mais je crois bien quÕelle apparaÓtra et sÕaffirmera davantage avec les annÈes qui sÕÈcouleront. Georges Sadoul Lettres FranÁaises - 6 juin 1962
Le film de Renoir me semble parfaite-ment rÈussi dans son esprit, cÕest-‡-dire, dans la peinture psychologique dÕun moment donnÈ de notre vie nationale. Je veux dire par l‡ que lÕÈvasion dÕun prisonnier franÁaisÉ de 1940 Ètait une disposition dÕesprit personnelle, un acte de rÈsistance que Renoir soulignera dÕailleurs puisquÕil ne fait aucun doute ‡ la fin du film que le caporal ÈvadÈ va ÒrÈsisterÓ aux croix gammÈes qui flot-tent sur Paris. Jeander LibÈration - 1 juin 1962 Doc UFOLEIS
L EF R A N C E SALLE D'ART ET D'ESSAI C L A S S … ER E C H E R C H E 8 ,R U ED EL AV A L S E 42100 SAINTETIENNE 04.77.32.76.96 2 R…PONDEUR : 04.77.32.71.71 Fax : 04.77.32.07.09
D O C U M E N T S
Propos de Jean Renoir
Je ne me plagierai pas. DansLa grande illusion, je mÕÈtais penchÈ sur les pro-blËmes des affinitÈs entre les hommes de classes sociales diffÈrentes, dÕÈduca-tion parfois opposÈe, dÕorigines trËs diverses.Le caporal ÈpinglÈsera lÕhistoire de la grande solidaritÈ qui unit les hommes dans le creuset commun du dÈsespoir face ‡ une situation dÕensemble donnÈeÉ Ce film mÕamuse. JÕaime les acteurs et jÕaime faire prendre corps ‡ une histoire, bien que dans ce film, il nÕy ait pas dÕhistoire. CÕest une suite de scËnes que jÕappelle des ÒsÈquencesÓ. Il y a une dizaine de sÈquences coupÈes par des bandes dÕactualitÈ authentiques. Ce sont presque des sketches qui forment une sorte de chronique. Le lien cÕest le caporalÉ Je nÕaurais jamais envisagÈ de tourner ailleurs que dans un pays de langue ger-manique, un film dont le tiers des per-sonnages au moins est allemandÉ Le caporalest un film de personnages, beaucoup plus quÕun film de dÈcor. Mes hÈros portent leur vÈritÈ en eux. Il y a aussi un lÈger suspense dans la dÈcou-verte des caractËres. On ne sait pas trËs bien qui sont ces gens, sÕils sont l‚ches, courageux, etcÉ DÕailleurs, on ne le sait toujours pas ‡ la fin. Souvent ainsi, les gens meurent sans que lÕon sache qui ils ont ÈtÈ. UniFrance film n∞124 Doc UFOLEIS
JÕai pensÈ quÕun danger me guettait, cÕÈtait celui de lÕinexactitude ; il fallait que je perrmette des scËnes extÍme-ment poussÈes, mais quÕelles soient basÈes sur une vÈritÈ matÈrielle certai-ne. JÕai demandÈ ‡ Guy Lefranc de venir mÕaider au scÈnario et dÕÍtre avec moi pendant que je tournerai le film. Il mÕa apportÈ sa collaboration et il mÕa dÈga-gÈ de toutes les besognes fatigantes et
minutieuses qui avaient trait ‡ lÕexpres-sion de lÕexactitude. Lui-mÍme ayant ÈtÈ prisonnier, connaissant le sujet ‡ fond, a pu prendre en mains tout ce qui concer-nait la vÈritÈ extÈrieure ; dÕÍtre libÈrÈ de cette prÈoccupation Ènorme mÕa permis quelques petits essais dans un sens plus poÈtique. Cahiers du cinÈma n∞155
Dossier UFOLEIS
Propos de Claude Brasseur
Ecoutez, cÕest difficile ‡ dire, mais moi ce gars-la, je l'aime. Voyez vous, ce qu il y a de terrible au cinÈma, cÕest la facili-tÈ. Vous me prendrez peut-Ítre pour un prÈtentieux, mais avec un peu de talent, croyez-moi, on s'en sort toujours. Moi, je peux bien vous le dire, je ne me suis jamais donnÈ de mal pour un rÙle. Mais ici, je travaille, j'apprends mon texte, je me prÈpare, et vous savez pourquoi? Rien que pour lui faire plaisir, ‡ Jean Renoir. L'autre jour, on tournait en extÈ-rieurs. Eh bien, de voir l‡, debout dans le froid glacial, ‡ 67 ans, les pieds dans la boue, un Monsieur qui est un des plus grands bonhommes du cinÈma mondial, et qui, sous la pluie battante, retire son chapeau quand nous, les comÈdiens, nous commenÁons ‡ jouer, Áa vous donne un sacrÈ choc. Tenez, Áa a l'air idiot ce que je vais vous dire, mais moi, le matin quand j'arrive au studio et que j'aperÁois Renoir, jai envie de l'embras-ser. Claude Brasseur, in Le Nouveau Candide, (1961) http://www.univ-nancy2.fr
Le rÈalisateur
DeuxiËme fils du peintre Auguste Renoir et frËre de lÕacteur Pierre Renoir, il dÈcouvrit le cinÈma en 1902 avecLes aventures dÔAuto-Maboulpuis ce fut le choc causÈ parLes mystËres de New Yorkde Gasnier et les Charlot. Pourtant, aprËs avoir fait la guerre dans lÕaviation, ce nÕest quÕen 1923 que Renoir abandonne la cÈramique pour le cinÈma. Son premier film estLa fille de lÕeau que joue sa propre Èpouse Catherine Hessling, ancien modËle de son pËre. Nana, son premier long mÈtrage impor-tant, traduit lÕinfluence quÕeut sur lui Stroheim. Son inspiration va alors du vaudeville militaire (Tire au-flanc) ‡ la comÈdie, de Feydeau (On purge bÈbÈ, jouÈ par Michel Simon et Fernandel et qui fit sensation, en ces dÈbuts de cinÈma sonore, par le bruit de chasse dÕeau quÕon y entendait).La chiennedÕaprËs La FouchardiËre puisLa nuit du carre-fourtirÈ de lÕun des meilleurs Maigret, rÙle tenu par Pierre Renoir, ouvrent la voie des chefs-dÕÏuvre :Boudu(ou Michel Simon est admirable),Le crime de M. Lange(qui contient la scËne fameuse de Jules Berry dÈguisÈ en curÈ et qui, mourant, rÈclame un prÍtre),La partie de campagne(inachevÈ, mais peut-Ítre le plus beau film de Renoir, o˘ il retrouvait tout ‡ la fois lÕinspiration de Maupassant et celle de son pËre),La Marseillaise(exaltation un peu mani-chÈenne, mais bien filmÈe, de la RÈvolution),La bÍte humaine(superbe adaptation de Zola) et surtout les deux Ïuvres maÓtresses de Renoir,La gran-de illusion, film pacifiste qui montrait Ègalement comment les affinitÈs de classe se nouent par-dessus les diffÈ-rences nationales (les liens entre lÕaris-tocrate franÁais Pierre Fresnay et le hobereau allemand jouÈ par Stroheim) etLa rËgle du jeu,Ïuvre prophÈtique, comparable ‡ ce que fut ‡ la veille de la
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RÈvolution,Le mariage de Figaro.de bonroman pourtant de Jacques Perret,On purge bÈbÈ1931 Beaumarchais. Bien des scËnes deLaest bien loin deLa grande illusion.La chienne rËgle du jeuRenoir paraÓt sÕintÈresser dÈsormaissont devenues classiques :La nuit du carrefour1932 la danse macabre, la partie de chasse.davantage au thÈ‚tre o˘ il donneOrvet,Boudu sauvÈ des eaux La guerre surprit Renoir en Italie o˘ il seau roman (il publieLes cahiers du capi-Chotard et Cie1933 prÈparait ‡ tournerLa Toscaqui futtaine Georgesen 1966) et ‡ ses souve-Madame Bovary1934 achevÈ par Carl Koch. Il se rÈfugia auxnirs (Renoir,une biographie de son pËreToni Etats-Unis o˘ il acquit la nationalitÈen 1962 ;Ma vie et mes films, en 1974).Le crime de M. Lange1935 amÈricaine (son grand-pËre maternelSa derniËre Ïuvre filmÈe, initialementLa vie est ‡ nous 1936 avait ÈtÈ IÕun des fondateurs du Dakota).prÈvue pour la tÈlÈvision,Partie de campagneLe petit1936-1946 A Hollywood, il se heurta ‡ de sÈrieusesthÈ‚tre de Jean Renoir, confirme ceLes bas-fonds difficultÈs. Ni son film de propagande,dÈsintÈrÍt.La grande illusion1937 This Land Is Mineavec CharlesUne remise en cause de Renoir a ÈtÈLa Marseillaise1938 Laughton, ni son adaptation duJournaltentÈe par des critiques commeLa bÍte humaine dÕune femme de chambremalgrÈ RaymondBorde. Peut-Ítre certains deLa rËgle du jeu1939 Paulette Goddard, ni sonHomme duses films ont-ils ÈtÈ en effet surestimÈs,Swamp Water1940 Suddont les problËmes lui Ètaient tropmais il reste le cinÈaste de la lumiËre etL'Ètang tragique Ètrangers, nÕemportent lÕadhÈsion.des intentions gÈnÈreuses, celui deLa ThisLand Is Mine1943 Parlant de cette pÈriode en 1952, danspartie de campagneet deLa grandeVivre libre Les cahiers du cinÈma,il dit ses dÈcep-illusion.Salute to France1944 tions face aux contraintes imposÈes parJean TulardThe Southerner1945 le systËme holIywoodien. Retrouvant saDictionnaire du CinÈmaL'homme du Sud libertÈ, il tourna aux Indes un film exal-The Diary of a Chambermaid1946 tant la vie et la beautÈ de la nature, un(Le journal d'une femme de chambre) chef-dÕÏuvre Iyrique, bouleversant (laThe Woman on the Beach mort de lÕenfant) et exaltant tout ‡ laLa femme sur la plage fois,The Riverdont lÕinfluence fut pro-The River1950 fonde sur le cinÈma indien lui-mÍme. IlLe fleuve convient de souligner la beautÈ desLe carrosse dÕor1952 images dues ‡ son neveu, ClaudeFrench Cancan1954 Renoir. De retour en Europe, il sÕarrÍtaElena et les hommes1956 en Italie pour y mettre en scËne uneLe dÈjeuner sur lÕherbe1959 libre version duCarrosse du Saint-Le testament du Dr Cordelier Sacrementde MÈrimÈe : ce futLe caporal ÈpinglÈ1961 lÕÈblouissant feu dÕartifice duCarrosse Lepetit thÈ‚tre de Jean Renoir1971 dÕo.rIl ne retrouvera plus une telle maÓ-trise. En dÈpit de leurs rÈfÈrences pictu-rales aux maÓtres de lÕlmpressionnisme, French Cancan, Elena et les hommes(IÕhistoire du gÈnÈral Boulanger, curieusement transformÈe Filmographie sans raison apparente) etLe dÈjeuner sur lÕherbedÈÁurent beaucoup, seulsDocuments disponibles au France les inconditionnels de Renoir proclamantLa fille de lÕeau1924 leur admiration. LÕadaptation duDr.NanaPlan n∞22/23/241926 Premier Jekyll et Mr. Hydede Stevenson, propo-CharlestonUFOLEIS1927 Doc sÈe sous le titre duMarquittaTestament du doc-1928 teur Cordelier, paraÓt bien faible enLa petite marchande dÕallumettes1928Pour plus de renseignements : comparaison des versions de Fleming,Tire-au-flanctÈl : 04 77 32 61 26 Mamoulian, Fisher ou mÍme JerryLe tournoi1929g.castellino@abc-lefrance.com Lewis.Le caporal ÈpinglÈ, dÕaprËs unLe bled
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