La menace nucléaire en Asie centrale et au Moyen-Orient Le Général (cr) Henri PARIS *
U nnmeuéclmaéroamiirreeeénn’c’eréisctteh.jaapmpaeispaasbàancdetotnenréèegleq,uveérpifairéeobdseoplueisscqeun’cileeexitstl’earumnee Iln’yadoncaucuneraisonpourquelesEtats-Unis,puisl’Union soviétique,puislestroisautresEtatsmembresduConseildesécuritéde l’ONU,s’adjugentlemonopoledel’atomemilitaire.
L’Iran,quelquesoitsonrégime,aspireàêtremembreduclubdes nationsnucléaires.LesAméricains,adeptesdelanon-prolifération,quiles sert,ontcherchéàs’opposeràl’accessionàlacapaciténucléairedel’Iran,et précédemmentdelaFrance,del’IndeetduPakistanetontlaisséfaireIsraël. Peineperdue!LeprocheetleMoyen-orientsontenvoied’êtrenucléarisés.
Labanalisationdel’armenucléaireestencours.Commetoutearme, l’atomemilitaireaunantidote,maisceciestdéjàendehorsdecetteétude.
Plusieurs nations asiatiques possèdent l’arme nucléaire : Israël, l’Inde, le Pakistan, la Chine et la Corée du Nor d à ce que proclame PyongYang et à ce que ne proclament pas les Israéliens.
Le traité de non-prolifération, signé en 1968, entré en vigueur en 1970 et reconduit par presque l’unanimité des Etats de la planète, soit 189 sur les 192 Etats inscrits à l’ONU, moins donc l’Inde, le Pakistan et Israël, interdit la détention de l’arme nucléaire aux signataires, tout en l’autorisant aux cinq
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