TutorialDigital Workfl ow Formats de fi chiers et opérations sur les imagesSommaireA. Prise de vueLes formats délivrés par l’appareil photo sont le JPG (JPEG) ou le RAW (.CR, .CR2, .NEF... selon les constructeurs). Sur les modèles ‘pro’, tels que les Nikon Digital WorklfowD3 ou D3s ou Canon 1D ou 1Ds, on proposera également l’enregistrement en format Tiff/. Électroniquement, le capteur de l’appareil photo est conçu pour A. Prise de vuereproduire la perception colorée de l’œil humain (sensibilité deux fois plus A.1. RAWélevée dans le vert qu’en rouge et bleu). A.2. JPGLa réalité est donc, déjà, interprétée. A.3. RAW + JPGL’objectif sous-jacent de tout le processus d’enregistrement à la prise de vue B. Traitementest de récupérer le plus d’informations exploitables possibles à ce moment. Une image enregistrée en JPEG est codée sur 8 positions (265 nuances) alors B.1. Completion des EXIFS et donnees IPTCqu’une image en RAW l’est sur 14 ou 16 bits (24 à 65536 nuances). B.2. CameraRAWB.3. HDR - PanoramaA.1. RAWB.4. Fichier de travailSi mon objectif est de collationner le maximum d’informations et de C. Fichiers finauxpouvoir en disposer à loisir pour le traitement, c’est le RAW dans C.1. Planche contactsa taille maximale qui sera de rigueur. Le RAW va nous permettre C.2. JPEG haute résolutiond’enregistrer les informations renvoyée par chaque photosite (pixel) C.3. JPG basse résolutionavec une profondeur de 14 bits, soit d’obtenir plus de 24.
Tutorial
Digital Workfl ow
Formats de fi chiers et opérations sur les images
SommaireA. Prise de vue
Les formats délivrés par l’appareil photo sont le JPG (JPEG) ou le RAW (.CR,
.CR2, .NEF... selon les constructeurs). Sur les modèles ‘pro’, tels que les Nikon Digital Worklfow
D3 ou D3s ou Canon 1D ou 1Ds, on proposera également l’enregistrement en
format Tiff/. Électroniquement, le capteur de l’appareil photo est conçu pour
A. Prise de vue
reproduire la perception colorée de l’œil humain (sensibilité deux fois plus
A.1. RAWélevée dans le vert qu’en rouge et bleu).
A.2. JPG
La réalité est donc, déjà, interprétée.
A.3. RAW + JPG
L’objectif sous-jacent de tout le processus d’enregistrement à la prise de vue
B. Traitementest de récupérer le plus d’informations exploitables possibles à ce moment.
Une image enregistrée en JPEG est codée sur 8 positions (265 nuances) alors B.1. Completion des EXIFS
et donnees IPTCqu’une image en RAW l’est sur 14 ou 16 bits (24 à 65536 nuances).
B.2. CameraRAW
B.3. HDR - PanoramaA.1. RAW
B.4. Fichier de travail
Si mon objectif est de collationner le maximum d’informations et de
C. Fichiers finauxpouvoir en disposer à loisir pour le traitement, c’est le RAW dans
C.1. Planche contactsa taille maximale qui sera de rigueur. Le RAW va nous permettre
C.2. JPEG haute résolutiond’enregistrer les informations renvoyée par chaque photosite (pixel)
C.3. JPG basse résolutionavec une profondeur de 14 bits, soit d’obtenir plus de 24.000 nuances
pour chaque élément. Le RAW est mon choix par défaut. D. Médias
D.1. Archive
D.2. Remis au clientA.2. JPEG
E. RésuméPersonnellement, ce n’est que s’il est indispensable de réaliser des
séquences d’image en rafales que je passerais à ce format. Le format
JPEG, et cela concourt à sa compacité, n’enregistre les informations que
sur 8 bits avec un maximum de 256 nuances par unité. Dans la mesure
où pour atteindre des tailles de fichiers moins importantes, ce format
exerce une compression destructive, je recommande de faire des tests
préalables pour déterminer le meilleur compromis entre la qualité
technique fournie et le contenu pictural (décomposition ou instant
précis d’une action) souhaité.
Pour rappel, plus on choisira une taille et une fi nesse réduites, plus le
fi chier sera petit et plus vous pourrez enregistrer vite et longtemps.
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Cependant, une erreur d’exposition, de balance des couleurs ou un choix
malencontreux de style d’image (par exemple noir et blanc inadapté),
sont sans rémission en JPG. Le JPEG s’enregistre en tenant compte de
tous les paramètres défi nis à la prise de vue et élimine les informations
considérées comme non pertinentes.
S’il s’avère que les fi chiers fi naux sont destiné à un usage « industrie
graphique » (plus généralement de l’impression off set), on travaillera A savoir :en outre dans l’espace de travail ADOBE RGB 1998. Si les images sont
destinées à être visionnée sur écran, imprimées en jet d’encre ou encore
Par rapport au RAW, une envoyée au laboratoire de tirage pour une impression « photo couleur
erreur d’exposition, de chromogène », il est préférable de choisir l’espace sRGB.
balance des couleurs ou
un choix malencontreux A.3. RAW + JPEG
de style d’image (par
C’est une formule qu’il m’arrive d’utiliser, souvent dans le cadre de
exemple noir et blanc), portrait en studio. Le fichier RAW servira de fichier de travail pour
sont sans rémission en le traitement ultérieur. Le JPEG, dans sa qualité la plus faible servira
comme épreuve écran afin de montrer rapidement la tendance / le look JPG.
des images finales, éventuellement par l’envoi vers un écran TV. Cela
permet d'ailleurs de donner au modèle un feedback immédiat de l’image
qui vient d’être prise.
Via les fonctionnalités de style d’image, un rendu monochrome avec
ses paramètres secondaires (simulation de filtrage coloré, netteté et
contraste modifiés), proches du résultat final, permettra, en JPEG, de
montrer une image plus approchante du résultat final. Il convient de ne
pas perdre de vue le fait que ce JPEG n’est que le reflet approximatif de
Contacterl’image finale qui sera obtenue depuis un fichier (RAW) contenant bien
un photographe
plus d’informations.
En outre, comme j’ai pris l’habitude d’utiliser Picasa pour présélectionner
les images qui seront choisies pour exploitation, je suis forcé de constater
que celui-ci montre ses limites en matière de prévisualisation sur les
fichiers RAW de plus de 20 millions de pixels (25-30 Mb chacun). Je
réalise donc ma présélection sur les JPEG basse définition.
En résumé :
R AW JPEG RAW + JPEG
Collationner le maximum Pour atteindre des tailles de Le fi chier RAW servira de fi chier
d’informations et de pouvoir en fi chiers moins importantes, ce de travail pour le traitement
disposer à loisir pour le traite- format exerce une compression ultérieur. Le JPEG servira
ment. destructive. Le JPEG comporte comme épreuve écran afi n de
donc moins d’informations. montrer rapidement le look des
images fi nales, par l’envoi vers
un écran.
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B. Traitement
Ce stade est essentiel, il va nous permettre d’affiner l’image, d’exploiter au
mieux les informations multiples collationnées et enregistrées lors de la prise
de vue dans le fichier RAW.
B.1. Complétion des EXIFS et données IPTC
A savoir :
Avant tout traitement de l’image, à l’aide de Geosett er, je complète les
EXIFS avec toutes les informations de copyright, localisation et données
IPTC (Keywords, etc pour l’indexation et la recherche).
La plupart des corrections
de bases nécessaires sur
les images peuvent être
réalisées directement
dans CameraRAW !
B.2. CameraRAW
Dans le workfl ow que je décris ici, il s’agit d’un passage incontournable
dans la mesure où, au niveau de Photoshop en tout cas, le format de
fi chier informatique de type « RAW », ne peut être ouvert directement.
La génération de Camera RAW est associée à celle de Photoshop :
Contacter
Version de Photoshop Version de CameraRAW un photographe
Photoshop CS 2 CameraRAW 3.x
Photoshop CS 3 CameraRAW 4.x
Photoshop CS 4 CameraRAW 5.x
Photoshop CS 5 CameraRAW 6.x
Chaque nouvelle génération du logiciel CameraRAW apporte de
nouvelles fonctionnalités au module ou en améliore le moteur de
traitement. En outre, lorsque ADOBE sort une nouvelle version de
Photoshop, et incidemment de CameraRAW, il arrête le développement
de la précédente.
Ces modules CameraRAW sont régulièrement mis à jour au fil de la
sortie de nouveaux modèles de boîtiers.
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En corollaire, pour les boîtiers très récents, il est nécessaire d’utiliser la
dernière génération de CameraRAW et donc d’eff ectuer la mise à jour de
Photoshop par la même occasion. C’est parfois une mauvaise surprise.
Il existe une alternative : convertir le RAW natif de l’appareil dans un
format RAW universel, à savoir le DNG. Pour ce faire, ADOBE fourni un
programme gratuit appelé DNG converter. Ces fi chiers DNG peuvent
alors être ouverts sans problème avec toutes les version de CameraRAW A savoir :et retravaillés dans une version précédente de Photoshop .
CameraRAW est un outil Le format universel d'un
très puissant et 100%
RAW est le DNG. Pour dédié à la photographie.
convertir le RAW natif de
La plupart des corrections l’appareil, il suffit d’utiliser
de bases nécessaires sur
un programme gratuit les images peuvent être
nommé DNG Converter.réalisées directement
dans celui-ci.
L’intérêt étant de pouvoir réaliser ces corrections avec les informations
natives du capteur sur les 14 bits, alternative pour agir sur certains pa-
ramètres nécessitant une très grande consommation en ressources mé-
moire et parfois impossibles à réaliser dans Photoshop si votre ordina-
teur date un peu.
Les commandes proposées par CameraRAW sont cependant moins
puissantes et peut-être un peu moins précises que celles proposées dans Contacter
un photographePhotoshop.
Dans la pratique, je n’utilise, pour ma part, que quelques-unes des
fonctionnalités offertes par CameraRAW :
L’onglet réglages de base où l’on pourra agir sur la balance des blancs et
les divers réglages d’exposition (c’est ici que l’on pourra particulièrement
profiter des données enregistrées sur 20.000 niveaux par le fichier RAW
pour récupérer des infos dans les zones d’ombres et de hautes lumières).
L’onglet TSI/niveaux de gris permet de réaliser des conversions fines
entre image couleur et noir et blanc en gérant la manière dont les
différentes couleurs seront converties. Nous avons le même outil dans
Photoshop mais si vous partez d’une image en très haute résolution sur un
ordinateur plus ancien, la fonction réglages --> noir et blanc peut parfois
refuser de fonctionner si la mémoire vive disponible est insuffisante.
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L’onglet correction de l’objectif et principalement la section aberra-
tions chromatiques va nous permettre, pour les optiques d’entrée de
gamme principalement, de supprimer les franges d’interférence bleue
et rouge/orange présentes à la jonction de zones de fort contrastes.
On pourra aussi ici compenser le vignettage que ces mêmes optiques
occasionnent à courte focale. La dernière version de CameraRAW permet
de sensiblement automatiser ces opérations en détectant dans les Exifs
la combinaison appareil/objectif utilisée pour utiliser les paramètres de
corrections présents dans sa base de donnée.
Remarque :Les paramètres choisis pourront être appliqués à une image ou à toute
une série, on pourra aussi enregistrer ces paramètres pour les appliquer
par défaut ou via des fi chiers batchs. Si on l’a précisé dans les
préférences CameraRAW
Comment définir les options de sortie vers Photoshop : de Photoshop, il est
possible d’ouvrir les
A la première utilisation de CameraRAW, il conviendra de JPEG et les TIFF dans le
définir les options de sortie vers Photoshop : module préalablement
à Photoshop.
Espace couleur (nommé distance dans le CameraRAW 5.x en Fr) : Contacter
un photographe- sRGB le plus souvent
- Adobe RGB pour l’usage dans l’industrie graphique
(finalité impression quadri)
- Prophoto RGB pour avoir le gamut le plus large (impressions
sur jet d’encre très haut de gamme).
Profondeur de bits: on choisira 16 bits pour ne pas perdre l’info
présente dans les 14 bits du fichier RAW.
Taille: il faut prendre la résolution native de votre fichier RAW
(ne pas choisir les valeurs suivies d’un + ou d’un -)
Résolution: minimum 240 pixels par pouce, idéalement 300. On
enverra l’image vers Photoshop en cliquant sur le bouton ouvrir.
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B.3. HDR - Panorama
Dans le cas de prises de vues panoramiques, on demandera à Photoshop
d’assurer le montage/prémontage des vues via le module « photomerge
» présent dans le menu fi chier > automation de Photoshop. Le fi chier de
travail généré sera en 8 ou 16 bits selon le type de fi chier de départ (8
pour le JPG, 16 pour le RAW)
On procèdera de même pour les fi chiers HDR, via le module « fusion A savoir :
HDR » présent dans le menu fi chier > automation de Photoshop. Bien
évidemment votre HDR proviendra de prise de vues réalisées en format
RAW. Le fi chier de travail généré sera par défaut en 32 bits, les ajus- Le format TIFF
tements vers 16 ou 8 bits se feront lors du travail sur l’image (avec les est compatible avec
outils de Photoshop ou avec les plug-ins ad hoc tels Photomatix pro par
la plupart des logiciels exemple). J’enregistre toujours le fi chier 32 bits avant de commencer à
graphiques !travailler sur celui-ci, généralement dans le format « open exr » qui est
devenu un standard pour cett e catégorie d’image (cela permet d’ouvrir
ou de traiter le HDR dans d’autres logiciels conçus pour cet usage).
B.4. Le fichier de travail
Nous arrivons ici au niveau le plus important. Au départ de notre ma-
tière première (fi chiers issus de la prise de vue), nous allons choisir les
éléments qui concourront au mieux à l’image optimale souhaitée par le
client.
Ce fichier de travail, en principe en profondeur 16 bits, sera enregistré sous
un format de fichier « non destructif » :
soit en PSD (natif Photoshop) mais on ne pourra le ré-ouvrir Contacter
un photographequ’avec Photoshop, en principe de la même version
(on devra choisir la compression « LZW », jamais soit en TIFF
la compression JPEG) 16 bits, compatible avec la plupart des
logiciels graphiques.
C’est ici que nous eff ectuerons les corrections colorimétriques fi nes, les
recadrages éventuels, les « gommages » d’éléments parasites, les opéra-
tions sur la nett eté, à l’aide des réglages globaux ou des outils sélectifs.
Seront également enregistrés dans ce fi chiers les diverses sélections mé-
morisées et les calques éventuels. Préalablement à toute correction sur
l’image (et bien sûr avec un écran correctement calibré), il conviendra de
choisir, via le menu Affi chage -->format d’épreuve , l’espace de travail
correspondant à la destination fi nale de l’image (de manière générique
« écran » ou CMJN, ou via format personnalisé en choisissant le profi l
couleur du périphérique de destination.
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C. Les fi chiers fi naux
Sauf demande particulière, presque essentiellement en provenance de l’indus-
trie graphique (images fournies avec masque de détourage – on livrera alors
un tiff 8 bits CMJN), les utilisateurs finaux attendent de recevoir des images au
format JPEG (donc en 8 bits) dans un espace couleur sRGB.
A savoir :C.1. Planche contact
A des fins de classement et pour faciliter la sélection des images pour
le client final, je génère des planches contact reprenant les images
Pour plus de facilité qui seront fournies. J’utilise habituellement l’outil planche contact
et à des fins de disponible dans Photoshop. Ces planches contact sont enregistrées en
PDF (Adobe Acrobat) et en JPEG. Elles peuvent être imprimées par le classement, il est
client ou visualisées à l’écran. conseillé de générer
des planches contact.
(Il faut aller dans
Photoshop > Fichiers
> Automatisation
> Planche contact II )
ContacterC.2. JPEG haute résolution
un photographe
Pour une utilisation « haute résolution » : je livre un fichier JPEG de
résolution 300 DPI, dans sa taille la plus élevée, dans le mode sRGB,
pour impression. Si elle est de mon ressort (sur mon imprimante ou pour
un job à mon labo), je réalise une optimisation en terme de netteté (cela
va différer selon le périphérique d’impression, la taille du tirage final,
la distance de visualisation) avec un affichage réglé selon un format
d’épreuve personnalisé (profil couleur du dispositif d’impression).
C.3. JPEG basse résolution
Pour une utilisation écran , c’est un fichier JPEG, de faible résolution
(72 DPI) dont la netteté est adaptée pour cet usage, qui sera livré. La
compression JPEG ayant tendance à privilégier les zones lumineuses
au détriment des ombres, j’éclaircis un poil ces images avant enregistre-
ment.
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Pour l’enregistrement, j’utilise l’item « enregistrer pour le web et les pé-
riphériques » qui permet de pré-visualiser le résultat de manière fi able,
de mett re à dimension pour l’écran, de choisir les EXIFS d’accompagne-
ment et d’optimiser le poids du fi chier à fournir.
Vers les autres
dossiers
Menu Fichier > Le saviez-vous?
enregistrer pour le web
et les périphériques 1. Le stage de
formation à
Photoshop pourrait
vous intéresser ?
Cliquer ici
D. Les médias
2. Des cours particuliers D.1. Archive
ou en entreprise ?
Pour mon usage, une fois le job terminé, l’ensemble des fi chiers consti- C’est possible !
tutifs est archivé sur DVD ROM. Celui-ci prend place dans une pochett e
fi xée sur un support papier A4. Il est accompagné d’une sortie couleur des
Cliquer iciplanches contact. Le tout dans un classeur « annuel » ou « semestriel » .
Ce DVD comporte :
les RAW
les fi chiers de travail - PSD/TIFF
les JPEG basse résolution
les JPEG haute résolution
les fi chiers PDF et JPG des planches contact.
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Inscription aux stages
D.2. Remis au client
Stages proposés :
De base, le client reçoit le Job sur DVD accompagné d’une sortie papier
1. Cours de photographie des planches contact.
numérique
Ce DVD comprend : 2. Cours de composition
3. Photoshop les JPEG basse résolution
4. Photo en studio : le portrait
les JPEG haute résolution 5. Photo en studio : les objets
les fi chiers PDF et JPEG des planches contact. 6. Photographie HDR
Si la prestation comprend d’autres éléments tels que des tirages, des
Inscriptionfi chiers CMYK, des diaporamas/vidéos, ceux ci accompagnent bien évi-
aux stages
demment le pack de base.
Chèques-cadeau
E. Résumé
Offrir ou se faire offrir Workflow
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A. Prise de vue
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RAW 14 bits RAW + JPEG JPEG 8 bits
B. Traitement
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Fichier de travail Tiff ou PSD 16 bits
C. Finalisation
ContacterPlanche contact PDF ou JPEG (8 bits)
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JPEG basse définition (écran) (8 bits)
JPEG haute définition (Impression) (8 bits)
D. Livraison
DVD + planche contact
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