Au premier trimestre 2000, le secteur de la construction s'est stabilisé au niveau élevé atteint au dernier trimestre 1999. L'activité a accéléré dans le gros-oeuvre, et le second-oeuvre a encore affiché de bons résultats. Début avril, les entrepreneurs du bâtiment disposaient de carnets de commandes très étoffés, leur assurant 5,3 mois de travail par salarié contre 4,5 mois à la même date un an plus tôt. L'activité s'intensifierait au printemps dans le second-oeuvre et resterait ferme dans le gros-oeuvre. Avec 5 300 nouvelles mises en chantier de logements neufs, l'activité construction est restée très dynamique au premier trimestre 2000 sans atteindre cependant le record du premier trimestre 1999. La bonne orientation de la demande en maisons individuelles soutiendrait encore l'activité au deuxième trimestre. Cependant, elle ne suffirait pas à compenser à terme le repli des projets de logements collectifs.
Au premier trimestre 2000, le secteur de la constructions’est stabilisé au niveau élevé atteint au dernier trimestre 1999. L’activité a accéléré dans le grosoeuvre, et le secondoeuvre a encore affiché de bons résultats. Début avril, les entrepreneurs du bâtiment disposaient de carnets de commandes très étoffés, leur assurant 5,3 mois de travail par salarié contre 4,5 mois à la même date un an plus tôt. L’activité s’intensifierait au printemps dans le secondoeuvre et resterait ferme dans le grosoeuvre. Avec 5 300 nouvelles mises en chantier de logements neufs, l’activité construction est restée très dynamique au premier trimestre 2000 sans atteindre cependant le record du premier trimestre 1999. La bonne orientation de la demande en maisons individuellessoutiendrait encore l’activité au deuxième trimestre. Cependant, elle ne suffirait pas à compenser à terme le repli des projets de logements collectifs.
’opinion des entrepreneurs bre deLconfiance qui règne actuellement tons sur l’évolution générale de l’activité traduitl’excellent climat dans les entreprises du bâtiment. Hommes et machines continuent d’être fortement sollicités : début avril, 63 % des chefs d’entreprise estimaient utiliser leur outil de production au maximum. Le maintien de l’activité à haut niveau a eu un impact positif sur l’emploi. Les em bauches ont été très nombreuses malgré les difficultés de recrutement qui se sont
encore aggravées. Au deuxième trimestre, l’emploi resterait bien orienté. Le bon niveau d’activité a incité les entre preneurs à maintenir leur effort d’investis sement ; 85 % d’entre eux déclarent avoir réalisé des investissements en 1999 contre 84 % l’année précédente. Néanmoins, le volume d’investissement par entreprise est en diminution par rapport à 1998, ilre présente en moyenne 1,7 % du chiffre d’affaires. Les prévisions en termes d’in vestissements sont bien meilleures pour l’année 2000.