Dépense en logement en 2011. L investissement renoue avec la croissance et les dépenses courantes ralentissent.
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Morer (N). Paris. http://temis.documentation.developpement-durable.gouv.fr/document.xsp?id=Temis-0075488

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Publié le 02 janvier 2012
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Langue Français

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COMMISSARIAT GÉNÉRAL AU DÉVELOPPEMENT DURABLE
110 Février 2012
Dépense en logements en 2011 Linvestissement renoue avec la croissance et les dépenses courantes ralentissent
Après avoir nettement accéléré en 2010, les dépenses courantes de logement (loyers, consommations dénergie et charges) progressent moins vite en 2011. Les loyers poursuivent leur ralentissement alors que les dépenses dénergie sont stables, les effets de la douceur de la météo et de la hausse des prix des produits pétroliers se compensant. Parallèlement, lactivité immobilière retrouve, en 2011, un niveau supérieur à celui observé avant la crise de limmobilier. Le marché du neuf, qui réagit avec décalage à la conjoncture économique, renoue avec la croissance en 2011 dans un contexte de ralentissement des acquisitions dans lancien. Les dépenses dinvestissement progressent à nouveau plus vite que les dépenses courantes. Au total, les dépenses en logement accélèrent en 2011. Parallèlement, les aides publiques en faveur du logement, directes ou indirectes, ont progressé de 7,3 % en 2010 et sétablissent à 40,6 milliards deuros, soit 9,5 % de la dépense en logement et 2,1 % du PIB.
Àseenépdemogleniuq,tneerusemdestaronomlécarçneif,aliaesdntleseenlembsedlemontantdesdéepsnsedeolegemlinte1120nee1020omibilrèvitiémidelactressiongorpetroF agents économiques, quelles soient à usage de Les dépenses dacquisitions de logements et de consommation ou dinvestissement, (définitions sélèvent à 303 milliards deuros en 2011,) travaux renoue avec la croissance en 2010. En 2011, elle niveau supérieur à celui observé avant la crise de accélère sous leffet de la croissance retrouvée des limmobilier en 2007. Lactivité immobilière dépenses dinvestissement alors que les dépenses (définitions) progresse en 2011 à un rythme courantes ralentissent. équivalent à celui de 2010 (+ 14,6 % après La dépense en logement évolue à un rythme + 15,2 %). Ces hausses font suite à deux années proche de celui de lensemble de léconomie depuis de contraction, les plus fortes jamais enregistrées le début de la crise économique en 2007, alors depuis 1984, même lors de la crise immobilière quelle progressait à un rythme sensiblement plus précédente. rapide sur la période 2002-2007 (graphique 1). Lannée 2011 est marquée par un retour à la croissance de linvestissement en logements neufs dans un contexte de léger ralentissement des Graphique 1 - Évolution annuelle du PIBacquisitions dans lancien (graphique 2). Ces et de la dépense en logementdernières avaient fortement rebondi en 2010. Les acquisitions dans lancien connaissent en 2010 En %et 2011 les plus fortes augmentations depuis le début des années 2000 (+ 20,0 % après + 36,4 %), 9annulant de ce fait les replis de 2008 et 2009. PIB en valeurDans le neuf, la situation saméliore dès 2010, 7 Dépense en logementmême si linvestissement en logements neufs se replie encore, avant de croître à nouveau en 2011. 5 La reprise dans le neuf sopère avec décalage par rapport à lancien, en raison de linertie liée aux délais 3de construction des logements (encadré). Alors quau cur de la crise immobilière en 2009, 1prix et volumes se contractaient sur les marchés du neuf et de lancien, les prix repartent à la hausse en -1 90 92 94 96 98 00 02 04 06 08 102010, accompagnant la forte croissance des -3irpselèléccaxandntrelescnaneiltetimitanrtpallieenemtelrpeiladsnleneuf.En2011,snlsadulemov neuf alors que dans lancien ils évoluent à un rythme Sources : SOeS, Compte du logement 2010 etlégèrement inférieur à celui de 2010. Insee, Comptes nationaux
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