Dépouillée et nue

William Finck, Bahrmanou

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Les prostitutions d'Israël

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• Prostitution

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• Publié par: Bahrmanou
• Publié le: 15 février 2014
• Nombre de lectures: 17
• Langue: Français

Extrait

DÔÛÈ È ÛÈ LÈ ÔÛÔ ’Iá

William Finck

DÔÛÈ È ÛÈ

W. Finck

Il n’existe, allégoriquement parlant, qu’une seule femme aux yeux de Yahweh notre Dieu, et cette femme représente collectivement les douze tribus d’Israël. Dans son obéissance à son Dieu, elle est l’épouse, et il lui est promis des récom- penses à la fois terrestres et célestes. Mais dans sa désobéissance, elle est une pros- tituée et elle est punie par une punition terrestre pour ses prostitutions. Comme le disaient nos ancêtres de Nouvelle-Angleterre, les faits parlent d’eux-mêmes, car les choses des Écritures dont nous allons parler ici ne sont pas seulement rela- tives aux évènements d’aujourd’hui mais elles sont la seule façon de comprendre de tels évènements.

Il est pleinement évident que la prostituée de la Révélation représente, collec- tivement, les enfants d’Israël. Cette évidence vient de l’Ancien Testament, où le langage est suffisamment explicite. Par exemple en Ézéchiel 16:25 :

« Aubout de chaque chemin tu as bâti ton haut lieu, et tu as rendu ta beauté abominable, et tu t’es découverte à tout passant, et tu as multiplié tes prostitutions ».

Les hauts lieux étaient les anciens foyers d’idolâtrie. Les temples païens du passé acceptaient tous les passants et étaient des centres pour les activités bancaires, la prostitution, la restauration et l’amusement. Mais les enfants d’Israël devaient rester un peuple séparé et ne pas s’engager avec le reste du monde dans aucune de ces choses. Bien qu’il existe beaucoup de références dans les Écritures, la première de ces références se trouve en Exode 19:5 :

« Et maintenant, si vous écoutez attentivement ma voix et si vous gar- dez mon alliance, vous m’appartiendrez en propre d’entre tous les peuples ;car toute la terre est à moi; et vous me serez un royaume de sacrificateurs, et une nation sainte ».

L’expression «tu t’es découverte à tout passant » dans le passage d’Ézéchiel cité ci-dessus est plutôt archaïque. Aujourd’hui, on dirait littéralement « tu as ouvert tes cuisses à tout passant », et la preuve de cette interprétation se trouve en Deu- téronome 28:57, où une expression similaire est utilisée de la même façon. Ouvrir ses cuisses est exactement ce que les enfants d’Israël font lorsqu’ils se mélangent aux autres races du monde, et c’est à quoi Ézéchiel fait allusion quand il parle de « tout passant ». Ces mêmes enfants d’Israël furent avertis en Amos 3:2, alors qu’ils faisaient la même chose :

« Je vous ai connus, vous seuls, de toutes les familles de la terre ; c’est pourquoi je visiterai sur vous toutes vos iniquités ».

Les Livres des prophètes et la Révélation entière parlent de cette punition.

En Révélation 12:1–6, nous voyons une femme, qui représente clairement les douze tribus d’Israël, s’enfuyant dans le désert loin du dragon :

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« Et un grand signe apparut dans le ciel : une femme revêtue du soleil, et la lune sous ses pieds, et sur sa tête une couronne de douze étoiles [. . .]Et la femme s’enfuit dans le désert, où elle a un lieu préparé par Yahweh, afin qu’on la nourrisse là mille deux cent soixante jours ».

Pendant une certaine période, la femme dans le désert fut nourrie par l’Évangile, car les nations Saxonne, Celtique et apparentées d’Europe sont réellement les descendants littéraux de la femme, les enfants littéraux, généalogiques, d’Israël, et leur acceptation du Christianisme fut l’accomplissement de la prophétie selon laquelle Israël retournerait vers Yahweh son Dieu à travers Son Christ.

Cependant, prophétisant sur une autre période, bien plus tardive, le Révélateur retourne une fois encore au désert, où la femme était laissée afin d’être nourrie. Révélation 17:3–6 :

« Et il m’emporta en esprit dans un désert : et je vis une femme assise sur une bête écarlate, pleine de noms de blasphème, ayant sept têtes et dix cornes. Et la femme était vêtue de pourpre et d’écarlate, et parée d’or et de pierres précieuses et de perles, ayant dans sa main une coupe d’or pleine d’abominations, et les impuretés de sa fornication; et il y avait sur son front un nom écrit : MÈ, BáÔÈá áÈ, á ÈÈ ÔÛÈ È È áÔáÔ Èá ÈÈ .Et je vis la femme enivrée du sang des saints, et du sang des témoins de Yahshua ;et, en la voyant, je fus saisi d’un grand étonnement ».

Quoique la femme, représentée par les nations Chrétiennes d’Europe, fut nourrie par l’Évangile pendant bien plus d’un millier d’années, elle rejoignit néanmoins la bête et, ce faisant, elle s’unit et ne fut plus qu’une avec Mystère Babylone, la mère des prostituées et des abominations. Dans les temps anciens, les enfants d’Israël avaient joué à la prostituée devant Yahweh leur Dieu dans leurs rapports sexuels avec les autres nations du monde, et ils en furent punis en étant chassés de leur ancien Royaume. Cela est décrit de la manière la plus succincte en Osée 2:1–6 :

« Dites à vos frères : Ammi ! [mon peuple] et à vos sœurs : Rukhama ! [ayant obtenu miséricorde] Plaidez contre votre mère, plaidez! car elle n’est pas ma femme et je ne suis pas son mari; et qu’elle ôte ses prostitutions de devant sa face, et ses adultères d’entre ses seins, de peur que je ne la dépouille à nu, et que je ne la place là comme au jour de sa naissance, et que je n’en fasse comme un désert, et que je ne la rende comme une terre aride, et ne la tue de soif. Et je ne ferai pas miséricorde à ses enfants, car ce sont des enfants de prostitution; car leur mère s’est prostituée, celle qui les a conçus s’est déshonorée; car elle a dit : J’irai après mes amants qui m’ont donné mon pain et mon eau, ma laine et mon lin, mon huile et ma boisson. C’est pour- quoi, voici, je vais fermer ton chemin avec des épines, et j’élèverai une clôture ;et elle ne trouvera pas ses sentiers ».

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Le verset 5 de ce passage d’Osée relie la prostitution des anciens enfants d’Israël aux rapports commerciaux avec les autres nations (Osée 2:5). De la même fa- çon, la Révélation chapitre 18 relie la bête à laquelle la prostituée s’est jointe au commerce international. C’est la cause première des « abominations et les impu- retés de sa fornication » de la femme. Le globalisme et le libre échange, et donc le corporatisme international moderne, sont les manifestations contemporaines de cette prostitution biblique. La punition pour une telle prostitution est que les enfants d’Israël seront dépouillés et mis à nu par Yahweh leur Dieu (Osée 2:3). La prophétie continue :

« Etelle courra après ses amants, et ne les atteindra pas; et elle les cherchera, et ne les trouvera pas. Et elle dira : J’irai et je m’en retour- nerai à mon premier mari; car alors j’étais mieux que maintenant. Et elle ne sait pas que c’est moi qui lui ai donné le blé, et le moût, et l’huile. Je lui ai multiplié aussi l’argent et l’or : – ils l’ont employé pour Baal. C’est pourquoi je reprendrai mon blé en son temps, et mon moût en sa saison; et j’ôterai ma laine et mon lin, qui devaient couvrir sa nudité. Et maintenant je découvrirai sa honte aux yeux de ses amants, et personne ne la délivrera de ma main; et je ferai cesser toutes ses délices, sa fête, sa nouvelle lune, et son sabbat, et toutes ses assem- blées ;et je détruirai sa vigne et son figuier, dont elle disait : Ce sont là les présents que mes amants m’ont donnés; et j’en ferai une forêt, et les bêtes des champs les dévoreront. Et je visiterai sur elle les jours des Baals, où elle leur brûlait de l’encens, et se parait de son anneau de nez et de ses colliers, et allait après ses amants, et m’a oublié, dit Yahweh ».

Les enfants d’Israël ne restèrent pas un peuple séparé mais recherchèrent plutôt les fruits à gagner dans le commerce international et dans les rapports avec les autres peuples du monde. Yahweh leur Dieu rendit donc certaine la destruction de ces fruits, afin que ceux-ci soient dévorés par les «bêtes des champs» (Osée 2:12).

Pourtant, l’espoir fut offert à Israël, par la repentance et l’acceptation de Yahweh leur Dieu, qui promit de Se remarier avec eux à nouveau. La nature de cet espoir est soulignée vers la fin de ce même chapitre d’Osée. Osée 2:14–15 :

« C’estpourquoi, voici, moi, je l’attirerai, et je la mènerai au désert, et je lui parlerai au cœur; et de là je lui donnerai ses vignes, et la vallée d’Acor pour une porte d’espérance; et là elle chantera comme dans les jours de sa jeunesse et comme au jour où elle monta du pays d’Égypte ».

La « vallée d’Acor » fut ainsi nommée quand l’Israélite Acan fut lapidé pour avoir subrepticement caché un « vêtement babylonien » ainsi que suffisamment d’argent et d’or pour débuter une affaire bancaire. La porte d’espérance offerte dans la

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vallée d’Acor signifie qu’une fois que nous comprenons ce qu’une économie basée sur l’usure et un système bancaire international ont fait pour nous rendre esclaves, nous pouvons commencer à comprendre notre situation.

Cette repentance et ce retour à l’obéissance prophétisés par Osée sont arrivés avec l’acceptation de l’Évangile et du Christ. Le Christ illustre ceci en se référant à Lui-même comme l’époux. Paul illustre cela également en II Cor. 11:2, où il dit :

« Car je suis jaloux à votre égard d’une jalousie de Yahweh ; car je vous ai fiancés à un seul mari, pour vous présenter au Christ comme une vierge chaste ».

Le sujet du message de Paul aux Corinthiens et à bien d’autres nations d’Europe est de leur faire savoir qu’ils sont réellement les descendants des anciens Israé- lites dispersés, ainsi qu’en I Cor. chapitre 10 et ailleurs, en des endroits comme Romains chapitre 4 et Galates chapitre 4. À travers tout le Moyen-Âge, le Christia- nisme rejeta l’usure hors d’Europe presque complètement et les Juifs ne pouvaient pas participer aux droits de citoyenneté des nations Blanches.

Les enfants Chrétiens d’Israël en Europe avaient évidemment reçu le commande- ment d’être un peuple séparé, comme l’apôtre Pierre leur dit en I Pierre 2:9–10, où il se réfère à la fois à Exode 19:5 et à la restauration promise d’Israël qui fut prophétisée en Osée chapitres 1 et 2 :

« Mais vous, vous êtes une race élue, une sacrificature royale, une na- tion sainte, un peuple particulier, pour que vous annonciez les vertus de celui qui vous a appelés des ténèbres à sa merveilleuse lumière; vous qui autrefois n’étiez pas un peuple, mais qui maintenant êtes le peuple de Yahweh; vous qui n’aviez pas reçu miséricorde, mais qui maintenant avez reçu miséricorde ».

Cependant, du fait que les enfants d’Israël n’apprennent rien de l’Histoire, ils sont forcés de répéter les erreurs du passé. La Révélation du Christ, dès lors, nous dit que toutes ces choses doivent se passer une fois de plus avant la consommation réelle de son mariage avec Israël, qui est le Souper du Mariage de l’Agneau dé- crit en Révélation chapitre 19. Ce souper de mariage suit la chute de Mystère Babylone décrite en Révélation chapitres 17 et 18.

Révélation 17:9–18 :

« Iciest l’esprit qui a de la sagesse : Les sept têtes sont les sept mon- tagnes où la femme est assise; ce sont aussi sept rois : cinq sont tom- bés ;l’un est; l’autre n’est pas encore venu, et quand il sera venu, il faut qu’il demeure un peu de temps. Et la bête qui était et qui n’est pas, est, elle aussi, un huitième, et elle est d’entre les sept, et elle s’en va à la perdition. Et les dix cornes que tu as vues sont dix rois

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qui n’ont pas encore reçu de royaume, mais reçoivent pouvoir comme rois, une heure, avec la bête. Ceux-ci ont une seule et même pensée, et ils donnent leur puissance et leur pouvoir à la bête. Ceux-ci com- battront contre l’Agneau; et l’Agneau les vaincra, car il est Seigneur des seigneurs et Roi des rois, et ceux qui sont avec lui, appelés, et élus, et fidèles. Et il me dit : Les eaux que tu as vues, où la prostituée est assise, sont des peuples et des foules et des nations et des langues. Et les dix cornes que tu as vues et la bête, – celles-ci haïront la prostituée et la rendront déserte et nue, et mangeront sa chair et la brûleront au feu; car Yahweh a mis dans leurs cœurs d’exécuter sa pensée, et d’exécuter une seule et même pensée, et de donner leur royaume à la bête, jusqu’à ce que les paroles de Yahweh soient accomplies. Et la femme que tu as vue est la grande ville qui a la royauté sur les rois de la terre ».

Les sept têtes sont les sept empires mondiaux qui ont, à une époque ou à une autre, régné sur les enfants d’Israël. Les montagnes représentent souvent de grandes nations dans les Écritures, et cela est certainement le cas ici. Quatre parmi ces empires furent prophétisés par Daniel, deux fois, dans les chapitres 2 et 7 de son livre. Cependant, Daniel ne décrivait qu’une durée limitée dans le temps, relative à son propre futur, quoique les visions dans son chapitre 7 ont une portée plus large que celles du second chapitre. La vision de Jean inclut une période bien plus large. Lorsque le septième de ces empires mondiaux a disparu, la bête « qui était, et qui n’est pas » ainsi qu’une huitième bête naissent de ces empires. Cette bête, bien que la prostituée s’est jointe à elle, hait la femme et fait la guerre contre elle. Notez que la punition infligée à la prostituée par cette bête ressemble fort à la punition infligée aux anciens enfants d’Israël pour leurs prostitutions et qui est décrite en Osée : la prostituée est laissée désolée, c’est-à-dire dépouillée et nue.

Répétons Révélation 17:16–18 :

« Et les dix cornes que tu as vues et la bête, – celles-ci haïront la prosti- tuée et la rendront déserte et nue, et mangeront sa chair et la brûleront au feu; car Yahweh a mis dans leurs cœurs d’exécuter sa pensée, et d’exécuter une seule et même pensée, et de donner leur royaume à la bête, jusqu’à ce que les paroles de Yahweh soient accomplies. Et la femme que tu as vue est la grande ville qui a la royauté sur les rois de la terre ».

La femme peut être la prostituée assise sur la bête, portant le nom «Mystère Babylone », mais elle peut aussi être la grande cité elle-même, car selon la Loi de Yahweh une femme devient une seule chair avec son mari; dès lors, la femme, ici la prostituée, devient une seule chair avec la bête dans ses fornications.

Comme l’explique la Révélation, la huitième bête n’est pas un roi mais règne sur les rois de la terre. Pourtant, elle est aussi «des sept» royaumes passés, chacun

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d’entre eux régnant sur la terre à une époque ou une autre. Tous ces sept rois étaient des empires mondiaux régnant sur les hommes contrairement à la Parole divine. Nous apprenons du chapitre 13 de la Révélation, où ces royaumes sont décrits de manière quelque peu différente, que c’est le dragon qui donne son pouvoir à la bête. Il est expliqué en Révélation 12 que le dragon est Satan : cette entité collective qui a toujours été opposée à Yahweh Dieu et au peuple de Dieu.

Pourtant la Révélation décrit la femme comme « la grande ville qui règne sur les rois de la terre» (17:18) et nous dit aussi que Babylone est «cette grande cité» (18:21). Cependant, initialement, la femme était séparée de la bête et ne faisait que la monter (17:3–4). Ceci parce que la femme, une fois jointe à la bête, est devenue une avec elle, comme le déclarent les Lois de Yahweh sur le mariage :

« C’est pourquoi l’homme quittera son père et sa mère, et s’attachera à sa femme, et ils seront une seule chair » (Gen. 2:24).

Le dragon a toujours donné son pouvoir à la bête, car le même peuple démoniaque a toujours été derrière les forces ayant habilité les empires mondiaux. Comme nous le voyons en Luc 4:5–7, le diable règne sur les royaumes de ce monde :

« Etle diable, le menant sur une haute montagne, lui montra, en un instant, tous les royaumes de la terre habitée. Et le diable lui dit : je te donnerai toute cette autorité et la gloire de ces royaumes; car elle m’a été donnée, et je la donne à qui je veux. Si donc tu te prosternes devant moi, elle sera toute à toi ».

Jusqu’au retour du Christ, des diables continuent de diriger les royaumes de ce monde, et ces gens ont également promu les doctrines de l’ancienne Babylone à travers toutes les époques. Ces doctrines incluent le Globalisme (la Tour de Babel était une tentative de globalisme), le système bancaire usurier, l’œcuménisme, le ritualisme et toutes les pratiques païennes incluant l’immoralité sexuelle, le mixage racial et bien d’autres choses opposées à Yahweh Dieu. Le motBabylone est dérivé d’un mot hébreu signifiant « confusion ».

Aujourd’hui, les principaux porteurs de torche de toutes ces anciennes et viles pratiques sont Juifs. Ces Juifs sont également les principaux acteurs du système usurier bancaire qui, ces deux derniers siècles, s’est élevé au point de contrôler le commerce et les gouvernements du monde moderne. Leurs ancêtres Kéniens et Cananéens étaient les usuriers de l’ancien monde. Leurs ancêtres Néphilim, ou « anges déchus », étaient les auteurs de ces religions païennes et de toutes les pra- tiques immondes parmi les hommes. Ces gens étaient les usuriers, les faiseurs de rois et les constructeurs d’empires de l’ancien monde, exactement comme ils le sont aujourd’hui. De nos jours, ils sont beaucoup plus ouverts qu’ils ne l’étaient apparemment dans l’ancien temps, et plus spécialement au Moyen-Âge. Le sys- tème bancaire mondial centralisé contrôlé par les Juifs est vraiment la huitième bête de la Révélation.

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Il est logique que ce système bancaire trouve son origine dans certaines familles juives ayant débuté en prenant le contrôle de la Banque d’Angleterre, puis des banques centrales du continent européen et de l’Amérique, et qui ont leur quartier général à Londres, dans un district appelé « La Cité ». Il s’agit littéralement de la « grande cité quirègne sur les rois de la Terre ». Elle est possédée et opérée par le dragon, Satan, ceux qui prétendent être Juda et qui ne le sont pas mais sont la semence de Canaan et d’Ésaü (Rév. 2:9, 3:9). Elle est mariée à la femme, le peuple Saxon qui est la vraie Israël. Il est tout aussi logique, et ce n’est pas une coïncidence, que les superviseurs symboliques de la Cité sont une paire d’effigies appelées Gog et Magog. C’est ainsi que la prostituée s’est jointe à la bête, même si la bête hait la prostituée et la laisse dépouillée et nue (Rév. 17:16).

Il peut être démontré (comme nous l’avons souvent fait à Christogenea) que le millier d’années pendant lesquelles Satan fut enfermé dans le puits, décrit en Rév. 20, décrit la période qui vit les Juifs ostracisés de la société Chrétienne, société qui incluait pratiquement l’entièreté du monde Blanc Adamique à l’époque, et durant laquelle la citoyenneté leur fut refusée, même là où ils leur était permis de résider. Cette période de mille ans se termina avec l’émancipation des Juifs à l’époque de Napoléon, juste après la Révolution Française. Une fois cela compris, la prophétie du passage suivant des Écritures est historiquement parfaitement évidente. Révélation 20:7–10 :

« Et quand les mille ans seront accomplis, Satan sera délié de sa prison ; et il sortira pour égarer les nations qui sont aux quatre coins de la terre, Gog et Magog, pour les assembler pour le combat, eux dont le nombre est comme le sable de la mer. Et ils montèrent sur la largeur de la terre, et ils environnèrent le camp des saints et la cité bien-aimée; et du feu descendit du ciel de la part de Yahweh et les dévora. Et le diable qui les avait égarés fut jeté dans l’étang de feu et de soufre, où sont et la bête et le faux prophète; et ils seront tourmentés, jour et nuit, aux siècles des siècles ».

Le tableau peint par les paroles du prophète Ézéchiel dans ses fameux chapitres 38 et 39 décrit ce même évènement qui est prédit dans la Révélation 20. Ézéchiel 38:2–3 :

« Filsd’homme, tourne ta face vers Gog le pays de Magog, le prince de Rosh, de Méshec et de Tubal et prophétise contre lui, et dis : Ainsi dit le Maître, Yahweh : Voici, j’en veux à toi, Gog, prince de Rosh, de Méshec et de Tubal! .. .».

Dans ces chapitres d’Ézéchiel, Gog et Magog conduisent une grande armée (38:4–6) « contre les montagnes d’Israël » (38:8). Sa description est « comme une nuée pour couvrir le pays». Certains commentateurs interprètent ce texte (38:9) comme décrivant une armée venant sous le couvert d’un nuage, essayant de passer in- aperçue. Cette interprétation est fort intéressante mais non nécessaire. À l’âge

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des armes nucléaires et autres vastes arsenaux de puissance de feu, ainsi que de l’imagerie satellitaire permettant d’avoir le temps pour se défendre, il est im- probable qu’une vaste armée puisse envahir avec succès une quelconque nation occidentale, à moins que cette invasion soit réalisée de manière subreptice, sous de faux prétextes.

Les hordes de Gog et de Magog sont décrites par Ézéchiel (38:11–12) comme déclarant :

« Jemonterai dans un pays de villes ouvertes, je viendrai vers ceux qui sont tranquilles, qui habitent en sécurité, qui tous habitent là où il n’y a pas de murailles et chez qui il n’y a ni barres ni portes, pour emporter un butin et faire un pillage, pour tourner ta main sur des lieux désolés de nouveau habités, et sur un peuple rassemblé d’entre les nations, qui a acquis du bétail et des biens et habite le centre du pays ».

Le peuple «rassemblé d’entre les nations» sont les enfants d’Israël dans leurs dispersions (Michée 4). Bien qu’une lecture ordinaire d’Ézéchiel semble indiquer une invasion militaire – et une invasion militaire ne peux être exclue entièrement – une telle invasion n’est pas nécessaire à l’accomplissement de la prophétie, car les hordes de Gog et de Magog ont déjà envahi et couvert les montagnes d’Israël, telle une nuée.

Une fois réalisé que la huitième bête de la Révélation est le système mondial des banques centrales qui obéissent aux commandes de cette « grande cité qui règne

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sur les rois de la terre », et que cela est représenté également par Gog et Magog, il n’est pas difficile de comprendre que les hordes d’étrangers envahissant toutes les nations Blanches, les nations anciennement connues sous le nom de Chré- tienté, que ces hordes sont vraiment les hordes de Gog et Magog : l’insistance pour une immigration de plus en plus importante dans les terres Blanches est le tra- vail des banquiers internationaux et des corporations globales qu’ils contrôlent. Il n’existe rien d’autre dans toute l’Histoire, dans la philosophie, et plus spéciale- ment dans les Écritures, qui puisse expliquer comment la plus grande culture au monde s’autodétruit en se laissant inonder complètement par des sauvages sans âme.

Ces hordes étrangères, se dévidant dans les nations Blanches sous le faux-semblant appelé «immigration »,ne diffèrent en rien d’armées conquérantes. À l’époque d’Ézéchiel, elles auraient été perçues comme des armées. Elles pillent et détruisent l’industrie et la culture Blanches sous une façade légale, et elles le font même au détriment des Blancs dans ces nations. Il en résulte qu’Israël est une fois encore devenue la prostituée qui a « bâti ton haut lieu, et tu as rendu ta beauté abomi- nable, et tu t’es découverte à tout passant, et tu as multiplié tes prostitutions», en tant que prostituée qui s’est jointe à la bête du commercialisme global. Com- ment la race Blanche pourrait-elle ne pas être une prostituée? Elle a abandonné sa culture à des étrangers et ses institutions pourvoient maintenant aux besoins de ceux-ci. Elle n’a pas seulement permis sa propre invasion mais elle a elle-même financé sa propre défaite par les aides sociales, les réductions de taxes et autres programmes qui sont tous au bénéfice exclusif des étrangers et aux dépends de son propre peuple. Elle a fait des lois contre ses propres intérêts et maintenant ses propres femmes, ses propres enfants, sont violés, vendus ou donnés aux étran- gers. Il y a chaque jour des milliers de victimes Blanches de crimes perpétrés par les «minorités »et les Blancs ne perçoivent pas cela comme la réalité : une in- vasion violente qui est minimisée ou ignorée par des médias contrôlés par les Juifs. Tout cela correspond exactement aux malédictions promises à une Israël désobéissante, enregistrées dans le Deutéronome 28:32 :

« Tesfils et tes filles seront livrés à un autre peuple, et tes yeux le verront, et se consumeront tout le jour après eux, et tu n’auras aucune force en ta main ».

Voilà comment les enfants d’Israël, la prostituée de la Révélation, doit être laissée dépouillée et nue (Osée 2:3, Rév. 17:16).

Les Mexicains, les Arabes, les Turcs, les Nègres, les Asiatiques, voici les hordes de Gog et Magog. Ce sont les bêtes d’Ésaïe 56 et de Jérémie 31. Ce sont les plaies de Joël, les sauterelles. Et pourtant, il y a de l’espoir à la fin, une fois que le peuple de Dieu réalisera qu’il a suffisamment souffert. Cependant, cet espoir réside uni- quement dans le Christ, ce que nous voyons dans le reste du message d’espoir pour Israël en Osée 2:16–23 :

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« Etil arrivera, en ce jour-là, dit Yahweh, que tu m’appelleras : Mon mari, et tu ne m’appelleras plus : Mon Baal [Seigneur]. Et j’ôterai de sa bouche les noms des Baals, et on ne se souviendra plus de leur nom. Et je ferai pour eux, en ce jour-là, une alliance avec les bêtes des champs, et avec les oiseaux des cieux et avec les reptiles du sol; et j’ôterai du pays, en les brisant, l’arc et l’épée et la guerre; et je les ferai reposer en sécurité. Et je te fiancerai à moi pour toujours; et je te fiancerai à moi en justice, et en jugement, et en bonté, et en miséricorde; et je te fiancerai à moi en vérité; et tu connaîtras Yahweh. Et il arrivera, en ce jour-là, que j’entendrai, dit Yahweh, j’entendrai les cieux, et eux entendront la terre, et la terre entendra le froment et le moût et l’huile, et eux entendront Yahweh qui sème [Jizreël]. Et je la sèmerai pour moi dans le pays, et je ferai miséricorde à celle qui n’avait pas obtenu miséricorde [Lo-Rukhama], et je dirai à ceux qui n’étaient pas mon peuple [Lo-Ammi] : Tu es mon peuple, et il me dira : Mon Dieu ».

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