Au deuxième trimestre 2000, le secteur de la construction a conservé un haut niveau de production. L'activité s'est renforcée dans le second-oeuvre, elle est restée robuste dans le gros-oeuvre malgré une légère inflexion. Début juillet, les carnets de commandes atteignaient le niveau exceptionnel de 6,2 mois de travail par salarié contre 5,3 mois début avril. L'activité devrait à nouveau progresser dans le second-oeuvre et s'infléchirait légèrement dans le gros-oeuvre au cours des mois d'été. Les 4 758 nouvelles mises en chantier effectuées au deuxième trimestre 2000 ont assuré au secteur de la construction un bon niveau de production, inférieur cependant à celui des trimestres précédents. Malgré la baisse de la demande en maisons individuelles, la construction bénéficierait à court terme d'une activité satisfaisante, les projets de construction de collectifs renouant avec une croissance positive après plusieurs trimestres de baisse.
Au deuxième trimestre 2000, le secteur de la construction a conservé un haut niveau de production. L’activité s’est renforcée dans le secondoeuvre, elle est restée robuste dans le grosoeuvre malgré une légère inflexion. Début juillet, les carnets de commandes atteignaient le niveau exceptionnel de 6,2 mois de travail par salarié contre 5,3 mois début avril. L’activité devrait à nouveau progresser dans le secondoeuvre et s’infléchirait légèrement dans le grosoeuvre au cours des mois d’été. Les 4 758 nouvelles mises en chantier effectuées au deuxième trimestre 2000 ont assuré au secteur de la construction un bon niveau de production, inférieur cependant à celui des trimestres précédents. Malgré la baisse de la demande en maisons individuelles, la construction bénéficierait à court terme d’une activité satisfaisante, les projets de construction de collectifs renouant avec une croissance positive après plusieurs trimestres de baisse.
vec le maintien à niveau élevé de A l’activité du bâtiment, les profes sionnels restent confiants dans le court terme. Mais cette confiance s’inflé chit quelque peu. L’indicateur de climat général qui reflète l’opinion des entrepre neurs bretons sur l’évolution générale de l’activité enregistre un léger repli. Début juillet, 76 % des chefs d’entreprise ne pouvaient plus assurer de nouvelles commandes car leurs capacités de pro duction hommes et machines étaient utilisées au maximum. Au début avril, ils
n’étaient que 63 % dans cette situation. L’emploi a évolué favorablement au prin temps malgré l’aggravation des difficultés de recrutement en maind’oeuvre qua lifiée. Début juillet, 83 % des entrepre neurs déclaraient rencontrer des problè mes de recrutement contre 77 % en avril. L’emploi devrait encore progresser au cours de l’été. Les responsables d’entreprise prévoient de réaliser plus de dépenses d’investisse ment en 2000 qu’en 1999.