Le transport maritime de produits frais. Note de synthèse - n° 90 - décembre 2006. : Isemar_85
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Nantes. http://temis.documentation.developpement-durable.gouv.fr/document.xsp?id=Temis-0057783

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Publié le 12 janvier 2006
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Langue Français

Extrait

Note de Synthèse n°85  mai 2006  Quelles perspectives pour le transport maritime de GNL ?   En 2004, 680 milliards de m3de gaz naturel ont été échangés (soit 25% de la production mondiale qui était de 2 691 milliards de m3) principalement par gazoducs (73% des volumes échangés). La part du gaz naturel liquéfié (GNL), qui ne pèse que 6.5% de la production mondiale de gaz et 27% des volumes mondiaux échangés en 2004, augmente chaque année (5 milliards de m3en 1973, 84 milliards de m3en 1993 et 178 milliards de m3en 2004) et devrait connaître un développement rapide. La forte croissance de la consommation d’énergie dans le monde, les prix élevés du pétrole et les contraintes environnementales contribuent au développement des échanges de GNL qui attirent l’attention de nombreux opérateurs dans un contexte de sécurisation des approvisionnements énergétiques et aussi de libéralisation du marché de l’énergie en Europe. L’intégration du transport maritime dans la chaîne GNL, l’essor de la flotte mondiale de méthaniers, l’organisation parfois complexe des opérateurs maritimes et l’ouverture de marchés jusqu’alors très régionaux sont à la base des évolutions du transport maritime de GNL dont les perspectives sont relativement ouvertes.  La modification de la carte des échanges de GNLdu Sud (30 milliards de m3), Taïwan (9.15 milliards  de m3) et l’Inde (2.6 milliards de m3) et le bassin Qualifié de trafic récent car les premières exportations atlantique d’autre part (60 milliards de m3) représenté de GNL ont eu lieu en 1964 entre Arzew en Algérie et essentiellement par les Etats-Unis (18.5 milliards de Canvey Island au Royaume-Uni, le transport de GNL m3), l’Espagne, la France, l’Italie et la Turquie. s’intègre dans une chaîne globale qui comporte les opérations de liquéfaction et de regazéification et dontLes principaux exportateurs de GNL en 2004 (en milliards de m3) la rentabilité devient économiquement intéressante visIndonésie 33,5 à vis du gazoduc au delà de certains volumes et deMalaisie 27,7 certaines distances. Les chiffres les plus souventAlgérie 25,75 annoncés sont de l’ordre de 3000 km pour des volumes 0Qatar 24 proches de 3 milliards de m3/an et de 6000 à 7000 km,T6irinad d& Tobago14 pour les volumes plus conséquents (25 milliards deNigeria 12,6 m3/an).Australie 12,17  Brunei 9,5 Les trafics de GNL ont considérablement augmenté cesOman 9 dernières années avec en toile de fond, l’éloignement des ressources et des bassins de consommation quiotal,72Tres9aut8ed71m no pour certains, comme les Etats-Unis et le Royaume-(Source : BP) Uni, assistent au déclin de leurs ressources nationales, à laugmentation du prix du pétrole, et à la nécessité pSia rlteise  lperuord ubcatsesuirns r éagsiiaotniqalu easv eacli pmeeun tdenetx ppoorut r dger aGnNdLe pour les opérateurs gaziers et électriciens des pays vers d’autres destination, les deux principaux consommateurs de sécuriser mais aussi de diversifier les sources dapprovisionnements énergétiques. ocnotn, soemumx, ateruercso uarssi atiàq uedse (s Jaipmopn oertt atCioonrés e ddua uStrueds)  L’amélioration des coûts de la chaîne GNL (-20% entre destinations pour couvrir leurs besoins énormes : 1990 et 2000) contribue aussi au développement des ainsi les producteurs du Moyen Orient (Qatar, Oman échanges. Ces échanges de GNL sont essentiellement régionaux peta rtliees  deE lmeiurra tsG NALr asbure sl e Ubanisss)i n éAcsoiuelePnat cilfai qume a(j8e5ur%e  avec quelques exportateurs qui concentrent l’essentiel des 40 milliards de m3 2004). Et, l’Algérie et le en des trafics et dont le classement est toutefois amené à se modifier au cours des prochaines années avec la Nigeria complètent, par de petits volumes, les trafics montée en puissance du Qatar et du Nigeria, l’entrée à destination de cette région du globe. 88% de la sur le marché de lIran et de la Russie (premier pays pdruo dNuigcteiroina  aeftr idcea inLeib (yceo)n satliitmuéeen tepnatr  lleE uGrNopL ed dAolgnté rliees,  producteur de gaz naturel au monde, où des projets principaux pays importateurs sont l’Espagne (17.5 d’unités de liquéfaction sont en construction et devraient entrer en production d’ici 2010) et le déclin milliards de m3), la France (7.6 milliards de m3), des ressources de gaz naturel en Indonésie. lPItoarltiue g(al5 .(91)., 3l1a)  eTt ulraq uGireè c(4e. (3)0,. 5l5a) . BLeilngtieqrudeé p(2e.n8d5a),n clee   t forte entre les Etats-Unis et Trinidad & Tobago Les pays producteurs nourrissent deux aires de ecsar lessentiel des importations du premier (18.5 consommation que sont le bassin asiatique (120 milliards de m3nd. secoc  avem de ards2i lnlei)m400ropm sét Gde iNL 3) est couvert par les exportations du principalement le Japon (77 milliards de m3), la Corée
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