Baccalauréat C 1975 Clermont-Ferrand 1
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Description

Niveau: Secondaire, Lycée
Durée : 4 heures [ Baccalauréat C 1975 Clermont-Ferrand 1 \ EXERCICE 1 On désigne par C l'ensemble des fonctions numériques définies et continues sur R. On rappelle que C, muni de l'addition des fonctions et de la multiplication par un nombre réel, est un espace vectoriel sur R ; on le notera (C, +, ·). 1. Soit f un élément de C ; on considère l'application, notée ?, ? R ? R x 7?? ∫x 0 f (t)dt Montrer que ? est dérivable et continue sur R. L'application ? a-t-elle une dérivée seconde pour x = 0 ? 2. On considère l'application, notée ?, ? : C ? C f 7?? ? Montrer que ? est une application linéaire de (C , +, .) dans lui-même. Déterminer le noyau de ?. 3. Dans le cas où : f : R ? R x 7?? 2?x déterminer l'application ?. EXERCICE 2 Dans le plan affine euclidien P, on considère le triangle équilatéral ABC tel que ? ? ? ???AB ? ? ?= ? ? ? ???BC ? ? ?= ? ? ? ???CA ? ? ?= a; a étant un nombre réel strictement positif.

  • courbes ?

  • courbe représentative

  • expression analytique de l'application réciproque

  • ???ca ?

  • clermont-ferrand–grenoble

  • c?1 représentatives des fonc- tions f1


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Langue Français

Extrait

Durée : 4 heures
1 [Baccalauréat C 1975 ClermontFerrand\
EX E R C IC E1 On désigne parCl’ensemble des fonctions numériques définies et continues surR. On rappelle queCr un, muni de l’addition des fonctions et de la multiplication pa nombre réel, est un espace vectoriel surR; on le notera (C,+,).
1.Soitfun élément deC; on considère l’application, notéeϕ,
ϕRR Z x x7f(t) dt 0 Montrer queϕest dérivable et continue surR. L’applicationϕatelle une dérivée seconde pourx=0 ? 2.On considère l’application, notéeθ,
θ:CC f7ϕ Montrer queθest une application linéaire de (C,+, .) dans luimême. Déterminer le noyau deθ. 3.Dans le cas où :
f:RR x x72 déterminer l’applicationϕ.
EX E R C IC E2 Dans le plan affine euclidien P, on considère le triangle équilatéral ABC tel que °AB°=°BC°=°CA°=a; aétant un nombre réel strictement positif. 1.Déterminer le point G, barycentre des points A, B et C respectivement affectés des coefficients 2, 1 et 1. Préciser sur une figure la position du point G. 2.On considère l’applicationfde P dans P qui, au pointM, associe le pointM tel que : −−→ M M=2MA+MB+MC . Préciser la nature de l’applicationfet les éléments qui la caractérisent. 3.Déterminer l’ensembleΓdes pointsMde P vérifiant : 2 2 22 2MA+MB+MC=2a (On pourra remarquer que A est un élément deΓ). 1. Grenoble
Terminale C
4.Déterminer l’ensembleΔdes pointsMde P vérifiant :
−−→ −−→−−→ 2 22 2 MB+MC2MA=2a.
(On pourra remarquer que A est un élément deΔ).
A. P. M. E. P.
PR O B L È M E Les parties A, B et C du problème sont dans une large mesure indépendantes. Dans tout le problème, on désignera par P le plan affine euclidien rapporté au repère ³ ´ orthonormé O,u,v. Partie A Soitaun nombre réel quelconque etfala fonction deRdansRdéfinie par : a(x2) fa(x)=e+1. ³ ´ On désignera parCasa courbe représentative relativement au repèreO,u,v.
1.Étudier, en discutant suivant les valeurs dea, les variations de la fonctionfa (dresser les tableaux de variations). Montrer que les courbesCaont en commun un point A et une asymptoteΔ. Tracer sur une même figure les courbesC1etC1représentatives des fonc tionsf1etf1. 2.Préciser dans chacun des deux cas suivants la relation que doivent vérifier les nombresaetapour que les courbesCetC: a a – aientau point A des tangentes orthogonales – soientsymétriques par rapport à la droite d’équationx2=0 3.Soitλun nombre réel positif. Calculer en fonction deλl’aire du domaine plan défini par : ½ 2λ6x62+λ © ª 1 16y6inff(x),f1(x) © ª 1 où inff(x),f1(xle plus petit des deux nombres) désignef1(x) etf1(x). Cette aire atelle une limite lorsqueλtend vers+∞? Partie B On envisage l’application ponctuelle de P dans P qui, à tout pointmde coordonnées ³ ´ (x,y) dans le repèreO,u,vfait correspondre le pointM(X;Y) défini par les relations : ½ X=x+2 (1) y Y=e+1
1.Cette application estelle injective ? Quel est l’ensemble image de P par cette application, ensemble que l’on no tera P1? Montrer que l’applicationgde P dans Pl définie par les relations (1) est une 1 bijection ; donner l’expression analytique de l’application réciproqueg. ³ ´ −→ 2.Quelle est l’image pargde la droiteO,u? 1 Quelle est l’imageDapargde la courbeCa? ³ ´ TracerD1etD1O,dans le repèreu,v.
ClermontFerrand–Grenoble
2
juin 1975
Terminale C
A. P. M. E. P.
p 3.SoitHla courbe d’équation :y=2+x. 1 On désigne parΓl’image deHparg. Quelle est l’équation deΓdans le re ³ ´ père O,u,v? Tracer la courbeΓen précisant ses particularités.
Partie C SoitCl’ensemble des nombres complexes, oùzdésigne le conjugué dez. On définit la suite (zn) deNdansCpar : z0=k(1+i) µ ¶ 1 (knombre réel non nul) zn= −zn1 2 ³ ´ Soitmnle point du plan P d’affixeznO,relativement au repèreu,v.
1.Calculerznen fonction dez0et den. Quelle est la limite du module deznquandntend vers+∞? ¡ ¢ 2.Exprimer les coordonnéesxn;yndu pointmnen fonction deket den. Montrer que tous les pointsmnappartiennent à la réunion de deux droites fixes que l’on précisera. Dans quelle application indépendante denle pointmn+1estil l’image de mn1? Le pointmnatil une position limite quandntend vers+∞? 3.On poseMn=g(mn). 4.Exprimer les coordonnées (Xn;Yn) deMnen fonction deket den. 5.Montrer que tous les pointsMnappartiennent à la réunion de deux courbes fixes que l’on précisera.
ClermontFerrand–Grenoble
3
juin 1975
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