Corrigé Bac S 2017 - SVT Spécialité
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Description

Les mécanismes nerveux du mouvement volontaire débute dans le cortex moteur
primaire qui va générer des messages moteurs acheminés via les neurones pyramidaux
puis les motoneurones jusqu’au muscle qui va se contracter entrainant le mouvement
volontaire.
(schéma bilan simplifié depuis l’encéphale jusqu’au muscle)
Partie II :
Exercice 1 :QCM :
1. Est supérieure à celle des feuilles de stade 3 et dépend des conditions d’humidité
de l’air
2. Diminue la transpiration foliaire d’autant plus fortement que l’air est sec
3. Sont soumises à un air plus sec et deviennent plus sensibles à l’acide abscissique,
réduisant ainsi leur transpiration foliaire.

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Publié le 22 juin 2017
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Langue Français

Extrait



Baccalauréat S



Session 2017

Épreuve : Sciences de la vie et de la terre
– Spécialité

Durée de l’épreuve : 3 heures 30
Coefficient : 8


PROPOSITION DE CORRIGÉ







1
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Partie I :

Par quels mécanismes aboutit-on à la réalisation d’un mouvement volontaire ?
Nous suivrons ces différents mécanismes depuis l’encéphale, en passant par la moelle épinière
et jusqu’au muscle, l’effecteur du mouvement, dans notre cas, volontaire.

1. L’encéphale (centre nerveux)

L’aire pariétale du cerveau réceptionne les messages sensitifs qui nous informe sur
notre environnement et auxquels nous réagissons pour des mouvements volontaires.
Le rôle du lobe pariétal est de gérer et d’envoyer des messages sur le mouvement que
l’on décide de réaliser.
L’information est alors transmise au cortex moteur primaire qui élabore un message
nerveux moteur par l’intermédiaire de ces neurones pyramidaux, plus exactement au
niveau du corps cellulaire des neurones.
Ceux-ci vont émettre des messages nerveux moteurs en direction de la moelle
épinière.

(Schéma de l’encéphale à faire)

2. La moelle épinière (centre nerveux)

Les messages nerveux vont suivre le trajet des fibres motrices le long de la moelle
épinière. Il est à noter au niveau du tronc cérébral, les messages nerveux émis par
l’hémisphère droit passe du côté gauche et inversement.
Dans la substance grise de la moelle épinière, le neurone pyramidal va faire synapse
avec un motoneurone. La motoneurone reçoit plusieurs informations qui vont être
intégrées, par sommation spatiale et de temporelle, qui va conduire ou pas à la
contraction d’un ou plusieurs muscles.

(Schéma des synapses au niveau du motoneurone, expliquant son rôle intégrateur)

Les messages nerveux sont alors acheminés jusque vers les muscles concernés par le
mouvement volontaire.


3. Les muscles.

Le motoneurone transmet le nouveau message nerveux moteur jusqu’au muscle via la
plaque motrice.
Afin que le mouvement soit possible, le muscle antagoniste au muscle contracté va
recevoir lui l’ordre de s’étirer.

(Schéma de la plaque motrice)



2
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Les mécanismes nerveux du mouvement volontaire débute dans le cortex moteur
primaire qui va générer des messages moteurs acheminés via les neurones pyramidaux
puis les motoneurones jusqu’au muscle qui va se contracter entrainant le mouvement
volontaire.

(Schéma bilan simplifié depuis l’encéphale jusqu’au muscle)


Partie II :

Exercice 1 :QCM :


1. Est supérieure à celle des feuilles de stade 3 et dépend des conditions d’humidité
de l’air

2. Diminue la transpiration foliaire d’autant plus fortement que l’air est sec

3. Sont soumises à un air plus sec et deviennent plus sensibles à l’acide abscissique,
réduisant ainsi leur transpiration foliaire.

Exercice 2 :

Comment les chercheurs en étudiant les momies Egyptiennes peuvent-ils en déduire
l’évolution des précipitations dans la région (située en Afrique Intertropicale) où elles
ont été trouvées, et ces résultats sont-ils en corrélation avec d’autres résultats issus des
données sédimentaires toujours en Afrique Intertropicale.


I. L’étude des momies égyptiennes.

18
L’observation du document 2 permet d’affirmer que δ O (humain) est p
18directement proportionnel au δ O (eau de boisson). w
18Or si l’on regarde le document 3, l’étude du δ O indique la variation quantité
des précipitations car ils sont inversement proportionnels.

On peut donc affirmer en lisant le document 1 : de -4000 ans à -2500 ans les
précipitations ont diminuées puis se sont stabilisées.







3
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II. L’étude des flux sédimentaires détritiques

D’après le texte du document 4, le flux sédimentaire est directement
proportionnel aux précipitations.
Donc en analysant le document 4, on note aussi une diminution globale des
précipitations entre – 4000 ans et – 2500 ans, avec même un assèchement du
lac Sinnda pendant plus de 2000 ans.

Puis une hausse des précipitations qui se stabilise depuis -1200 ans.



Les études de momies égyptiennes ou des flux détritiques sont bien en
corrélation, puisqu’elles montrent toutes 2, une diminution des précipitations
en Afrique intertropicale à partir de -4000 ans, puis une stabilisation de
cellesci depuis -2500 ans pour l’une et -1200 ans. Ces « légères » différences sont
dues au fait que même si l’on se trouve dans la même zone (Afrique
intertropicale) les études ont été menées l’une en Afrique de l’st, l’autre en
Afrique de l’ouest
4
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