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Définition de l'identité corporate l'identité corporate est à la fois la carte d'identité et le porte drapeau de l'entreprise. C'est à elle que revient la mission de traduire sa vocation, son histoire , ses valeurs, ses projets. Les images d'entreprises comme les images de marques doivent être fortes, simples, facilement identifiables et fédérer l'ensemble des publics de l'entreprise ou de la marque. L'identité corporate se décline sur l'ensemble des supports de l'entreprise, de la papeterie aux documents divers. Les signatures qui marchent : – energie – esprit – innovation Les types de discours : – le registre de la souveraineté(je dis ce que je suis) – le registre de l'activité (je dis ce que je fais) – le registre de la vocation(je dis pour qui je le fais) – le registre de la relation(je dis ce que je fais et ce que cela me permet) les tendances actuelles on positive : les signatures traduisent une envie, une idée = EDF « quand votre monde s'éclaire » puis « l'energie est notre avenir, economisons la » puis « changer l'energie ensemble » Le parti pris et l'interprétation : – Carrfeour : « mieux consommer, c'est urgent » Le logo définition : c'est l'expression graphique, figurative ou abstraite d'une marque. Chaque marque possède un logo adapté a sa stratégie d'image. Les logos des entreprises portent des valeurs dans la durée.

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Langue Français

Extrait

Définition de l'identité corporate
l'identité corporate est à la fois la carte d'identité et le porte drapeau de l'entreprise. C'est à elle que
revient la mission de traduire sa vocation, son histoire , ses valeurs, ses projets.
Les images d'entreprises comme les images de marques doivent être fortes, simples, facilement
identifiables et fédérer l'ensemble des publics de l'entreprise ou de la marque.
L'identité corporate se décline sur l'ensemble des supports de l'entreprise, de la papeterie aux
documents divers.
Les signatures qui marchent :
energie
esprit
innovation
Les types de discours :
le registre de la souveraineté(je dis ce que je suis)
le registre de l'activité (je dis ce que je fais)
le registre de la vocation(je dis pour qui je le fais)
le registre de la relation(je dis ce que je fais et ce que cela me permet)
les tendances actuelles
on positive : les signatures traduisent une envie, une idée = EDF « quand votre monde s'éclaire »
puis « l'energie est notre avenir, economisons la » puis « changer l'energie ensemble »
Le parti pris et l'interprétation :
Carrfeour : « mieux consommer, c'est urgent »
Le logo
définition : c'est l'expression graphique, figurative ou abstraite d'une marque. Chaque marque
possède un logo adapté a sa stratégie d'image. Les logos des entreprises portent des valeurs dans la
durée. Les logos des marques vivent généralement des cycles plus courts
les fonctions : l'identification (reconnaissance, distinction)/ la certification(signature, caution)/
l'appartenance(agent communautaire, filiation)/ la symbolique(ambassadeur et condensateur de
valeurs)
Tous les logos sont porteurs d'un message: typo, couleurs, signes, originalité, évolution
4 types de logos :
les logotypes simples: le logo alphanumérique, expression la plus dépouillée de la marque se
compose exclusivement de signes laphanumériques.
Les logotypes complexes : les logos mixtes font se rencontrer, de manière plus ou moins
concomitante, les deux système de signes que sont le scriptural..
les logotypes siglotypes: ils sont formés d'abréviations, d'acronymes plus ou moins
conventionnels ou de sigles
les icotypes: le nom est inscrit(en totalisté ou en partie) dans une représentaion iconique
(image ou figure en liaison avec l'article de l'entreprise ou la nature des produits
Qu'est ce qu'un bon logo?
perception : qui se distingue des autres
compréhension : que sa signification soit claire
mémorisation: qu'un observateur extérieure s'en souvienne
attribution : qu'il s'associe à l'entreprise
les tendances années 2000 : les couleurs
les traditionnelles couleurs institutionnelles sont le rouge, bleu, vert, orange. Pour lutter contre la
morosité ambiante, les marques se tournent vers des couleurs chaudes, lumineuse et gaies avec
notamment
les valeurs : succedant au dynamisme, à la modernité, les valeurs à faire passer sont desormais
celles de la proximité et du caractère humain des collectivités ou sociétés qu'ils représentent.
Arrondis, des personnages complètent l'identité humaine et se suvstituent
En resumé, l'identité visuelle se fondera sur 4 éléments :
le nom ou les initiales
un symbole
un système de couleurs
la charte graphique:
c'est un document de travil qui contient l'ensemble des règles d'utilisation des signes graphiques que
constituent l'identité graphique pour pouvoir les décliner sur différents supports d'une même identité
But : servir de base à la création de divers supports graphiques qui conservent une cohérence entre
elles et se fondent dans la même identité.
Le développement durable
Depuis 50 ans, d'immenses progrès :
l'espérance de vie a augmenté de 4 à 9 ans en une dizaine d'année dans la plupart des pays
du globe
l'analphabétisme recule de 20% dans le monde
depuis 20 ans baisse régulière des pollutions de l'air et de l'eau dans les pays développés
un habitant de la planète sur 6 a un téléphone portable
mais aussi des constats dramatiques :
augmentation de la population : plus 1 milliards d'habitants tous les 10 ans
augmentation des disparités : pauvreté, disparités de consommation, santé, espérance de vie
production de l'economie mondiale : multiplié par 5 depuis 1950
impacts environnementaux : biodiversité, milieux naturels, surfaces imperméabilisées.
Définition du développement durable : il a été défini en 1987, rapport de la commission mondiale
de l'ONU qui définit ce terme de « développement durable »
« forme de progrès qui permette de satisfaire les besoins des générations actuelles, sans
compromettre la capacité des générations futures à satisfaire les leurs. »
notion véritablement apparue en 1992 lors de la conférence de Rio : des gvts, entreprises et des
représentants de la société civiles s e sont réunit pour la première fois a Rio pour un sommet de la
terre qui a débouché sur la signature par 178 gouvernements d'un plan d'action mondial : action 21
nouvelle définition : c'est l'engagement de réunir toutes les conditions d'un développement perenne
(sur le long terme), éthique et propre (notions de préserver l'environnement, les emplois et la
morale) : va aller plus loin que l'environnement
2002 : décret d'application du 20/02/2002 : loi française sur la nouvelle règlementation économique
(NRE) qui oblige les sociétés cotés a faire figurer dans leur rapport de gestion annuel des données
sur les conséquences sociales en environnementales de leur activité
2007 : loi grenelle environnement (ou grenelle 1) donnant des objectifs dans 7 grands domaines du
développement durables
2008 : circulaire du premier ministre en faveur d'un etat exemplaire en termes de dvt durable
2010 : grenelle 3 sur la loi des finances avec notamment l'apparition de la contribution carbone
(finalement abandonnée)
deux concepts sont inhérents à la notion de DD :
le concept de « besoin » et plus particulièrement des besoins essentiels des plus démunis, à
qui il convient d'accorder la plus grande priorité
l'idée des limitations que l'etat de nos techniques et de notre organisation sociale imposent
sur la capacité de l'environnement à répondre aux besoins actuels et à venir.
Notions :
les française prennent conscinece que l'action en faveur du DD peut se traduire par des
gestes concrets de leur part.
Mais meme q'ils sont prets agir, l'argument economque reste encore très présents dans leur
esprit : les incitations financière proposées par l'etat jouent un rôle décisif quand il s'agit
d'engager des montants conséquents
pour ce qui concernent les achats du quotidien, le dvt de dispositifs d'informtion de
proximité semble être un facteur clé pour inciter les français à fair evoluer leurs
comportements de consommations.
Les domaines d'application :
le dvt global, intégré à une dimension :
economique : les producteurs et les consommateurs sont acteurs
sociale : prise en compte de la satisfaction des généarations présentes sans hypothéquer
sur les générations futures
environnementale et ethique : toute les ressources naturels doivent être protégées
la question du dvt peut etre déclinée autour de biens essentiels, l'eau, l'energie et la santé,
enjeux majeurs du 20ème siècles qui risquent à défauts de stratégie active d'etre des facteurs
essentiels de conflits ou de crise
Le poids des entreprises :
le vrai pas depuis ces dix dernière années, c'est l'action des entreprises, elle sentent bien que
si elle ne sont pas ressenties comme bonnes citoyennes elles peuvent y perdre sur le long
terme.
Certaines entreprises ont compris qu'elles avaient intérêt à entrer dans cette demarche là,
parce qu'elles y ont un intérpet financier, industriel, économique et sur leur propre
développement à long terme
la règle en matière de développement durable consiste à drire ce qu'on fait et à faire ce qu'on
dit, en arrivant à situer le chemin parcouru dans un contexte ou beaucoup reste à faire.
L'entreprise qui affiche sa responsabilité sociales se prémunit non seulement contre les mouvements
négatifs de l'opinion publique mais fédère ses cibles internes (salariés) et externe (consommateurs ,
partenaires)
le concept de DD doit être intégré à tous les niveaux de l'entreprise et être partagé par tous.
Une stratégie de DD ne doit pas être envisagée comme un cout mais plutot comme un élément
différenciant
Les entreprises doivent augmenter sur l'intérêt économique de la démarche.
Le « point vert » :
la norme ISO : procédure par laquelle une tierce partie donne une assurance écrite qu'un produit, un
processus ou un service est conforme aux exigence spécifiées dans un référenciel.
Les normes ISO se chiffrent par milliers, les plus connues sont :
l'ISO 9001 : utilisée comme référenciel de qualité par les entreprises et les organisations.
Cette norme est la plus populaire et s'intéresse au management de l'entreprise, à ses
méthodes ainsi qu'à la satisfaction client.
L'ISO 14001 a pour thème le management environnemental : développée pour afficher les
bonnes dispositions d'une entreprise en matière de respect de l'environnement, connaissent
un succès grandissant.
Les etapes de processus de certification ISO
Audit :
etape 1 analyse des éléments essentiels du système de management environnementale et
définition du plan d'audit.
Etape 2 audit sur site
redaction du rapport d'audit
Prise de décision de certification par un comité d'experts
Emission du certification valable 3 ans (si décision favorable)
réalisation d'audits de surveillance annuels
Bénéfices pour l'entreprise :
améliorer ses performances environnementales
connaître et prevenir les risques et incidents liés à son activité
renforcer la confiance de ses partenaires commerciaux
repondre aux exigences environnementales des grands donneurs d'ordre et desparties
intéressées
maitriser son budget en réduisant des postes de dépenses
parfaire l 'image de l'entreprise en affichant ses engagements
gagner de nouveaux marchés
féreder et motiver ses équipes autour de ce projet
Nouvelle norme ISO applicable le 1/11/2010 : ISO 26 000, elle invite les organisations et
entreprises a articuler leurs demarches autour de 7 questions centrales :
la gouvernance
les droits de l'homme
relations et conditions de travail, l'environnement
la loyauté des pratiques
les questions relatives aux consommateurs
la contribution au developpement local
Le principe :
depuis novembre 2006 : le consommateur doit desormais s'acquitter d'une ecoparticipation, lors de
tout ahcte d'un nouvel appareil
clairement indiqué à coté du prix, ce montant varie en fonction du produit
ce n'est pas un pourcentage mais un montant fixe indépendant du prix du produit ; il correspond au
cout de la collecte et de traitement de l'équivalent usagé.
Quels produits sont assujétis à cette eco participation?
Tous les appareils fonctionnant grace à des courants éléctriques (sur secteur ou avec des piles ou
batterie) ou des champs éléctromagnétiques
Le « blanc » (l'éléctroménager)
le « brun » (le matériel audiovisuel)
Le « gris » (l'équipement informatique)
les jouets et le matériel de bricolage et jardinage
les dipositifs médicaux(à l'exception de tous les produits implantés et inféctés)
Tous les producteurs DEEE doit désormais
prendre en charge la fin de vie des équipements éléctriques et éléctronique qu'il met sur le marché
renforcer l'eco- conception des nouveaux produis par une conception et une fabrication facilitant
leur recyclage
marquer d'un pictogramme spécifique (poubelle barrée) les nouveaux produits qui ne doivent plus
être jetés à la poubelle, ainsi qu'un marquage permettant d'identifier son fabricant.
Pour les distributeurs : est considéré comme distributeur toute personne qui quelle que soit la
technque de distribution utilisée y compris la vente à distance, fournit à titre commercial des
équipements éléctriques et éléctroniques aux consommateurs.
Tout distributeurs doit :
reprendre un produit usagé contre l'achat d'un produit neuf équivalent
informer le consommateur sur les filières DEEE, notamment la collecte séléctive
Afficher et facturer une « eco - participation » correspondant au cout de collect et de recyclage du
produit, de façon visible et séparée de son prix de vente.
La RSE : le mouvement de responsabilité sociétale des entreprises considère que les conséquences
des activités des entreprises ne sont pas qu'economique mais aussi sociale et environnementales. La
RSE parle alors des 3 capitaux que l'entreprise doit faire croitre :
son capital economique : capital au sens traditionnelles
son capital social : capacité à améliorer les conditions des salariés et sous traitants
son capital environnemental : capacité à réduire son impact sur la nature
l'ISR : la mise ne oeuvre de l'investissement responsable repose sur la selection des entreprises qui
repondent positivement aux enjeux du DD en fonction de critères extra-financier :
environnementaux, sociaux, et de gouvernance (ESG). Ces critères sont soucr de perfomance à part
entière pour chaque profil de risque dans ses portefeuilles.
Une vision globale des risques et opportunités des acteurs économiques, allant au dela de l'aspect
purement financier, permet une meilleure appréciation de leur valeure et de leur potentiel à
perfomance à long terme
le greenwashing ou blanchiment écologique est le mot utilisé communement lorsqu'un message de
communication abuse ou utilise à mauvais escient l'argument ecologique.
C'est le cas lorsqu'un produit ou service est vanté comme ecologique, protégeant la nature ou
l'environnement, alors que l'interet du produit u du service pourl'environnemeknt est minime, voire
inexistant.
Il en va de meme d'une entreprise, vantée comme engagée dans le developpement durable mais dont
l'activité générale est reconnue comme problématique d'un point de vue environnemental.
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