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  • cours - matière potentielle : préparation par banque
  • cours - matière potentielle : mise en place
  • revision - matière potentielle : budgétaire
1 Principaux points des discussions et recommandations des 4émes assises du Comité Régional de Pilotage du Programme de Productivité Agricole en Afrique de l'Ouest (PPAAO/WAAPP) ---------------------- 24-28 octobre 2011. Dakar-Sénégal. 1. Principaux points des discussions 1.1. Présentations des Bilans 2011 des pays et du CORAF • Les participants ont salué les progrès réalisés par les pays du PPAAO/WAAPP 1A dans la réalisation des activités et ces efforts doivent être maintenus pour atteindre l'objectif de 80% de taux de décaissement global du projet en fin 2011 et 100% de décaissement du budget de
  • stratégie genre
  • pleine implication des systèmes de vulgarisation agricole et de conseil agricole
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  • banque appliquant les dispositions contraignantes de solidarité régionale
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Principaux points des discussions et recommandations des 4émes assises du Comité Régional de Pilotage du Programme de Productivité Agricole en Afrique de l’Ouest (PPAAO/WAAPP) ----------------------24-28 octobre 2011. Dakar-Sénégal. 1. Principauxpoints des discussions 1.1. Présentationsdes Bilans 2011 des pays et du CORAF · Lesparticipants ont salué les progrès réalisés par les pays du PPAAO/WAAPP 1A dans la réalisation des activités et ces efforts doivent être maintenus pour atteindre l’objectif de 80% de taux de décaissement global du projet en fin 2011 et 100% de décaissement du budget de l’année 2012. ·pays du PPAAO/WAAPP 1A ont tous généré des technologies améliorées dans Les plusieurs domaines (variétés, techniques post récolte, transformation agroalimentaires etc.). Les activités futures pour ces pays doivent se concentrer essentiellement dans la consolidation des indicateurs (déclencheurs et intermédiaires). et dans la diffusion à grande échelle de ces technologies pour leur large adoption par les bénéficiaires. Les autres pays du PPAAA/WAAPP 1B et 1C sont également encouragés à diffuser chez les technologies générées par le PPAAO/WAAPP 1A. ·a été noté que beaucoup d’études et de documents stratégiques régionaux ont été Il réalisées par le CORAF (étude sur la dissémination des technologies, études sur les CNS, stratégie genre, stratégie sur le changement climatiques etc.). La vulgarisation et l’accessibilité de ces études sera renforcée ainsi que la mise en œuvre des recommandations de ces études. · L’harmonisationdes systèmes de communication au niveau des pays et au niveau du CORAF/WECARD est une nécessité afin de faciliter les échanges de données et d’information entre tous ces acteurs et l’exploitation optimale et le partage des
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différentes basesde données (technologies, expertises) qui sont en cours de mise en place. · Lespays du PPAAO/PPAAO 1A et 1B sont en train de mettre en œuvre leurs plans de communication basés sur la stratégie régionale. Cependant, il est nécessaire que les impacts de la mise en œuvre de ces activités de communication soient identifiés, mesurés et bien suivis pour être documentés. · Ila été relevé quelques insuffisances sur le rapportage des pays et du CORAF. Ceux-ci doivent mieux faire ressortir de manière plus visible, plus concrète et plus exhaustive les résultats obtenus par le PPAAO/WAAPP. ·efforts des pays dans la formation des jeunes chercheurs seront renforcés avec Les les formations de courte durée et des formations diplômantes. Ces formations doivent cependant être basées sur une stratégie claire de Renforcement de Capacités des SNRA et des pays. Cependant, certaines compétences pourraient provenir de la mutualisation des ressources humaines des autres pays. · Demanière générale, les pays du PPAAO/WAAPP 1B et 1C ont connu un important retard pour la date d’entrée en vigueur faisant suite à l’approbation par le Conseil d’Administration de la Banque. Les pays doivent accélérer le processus pour l’effectivité de cette entrée en vigueur. ·problèmes techniques ont été notés dans le domaine de la connectivité Deset de l’accès électroniquedes pays à leurs comptes au niveau de la Banque Mondiale. Des solutions provisoires ont été proposées telle que l’utilisation de formulaires physiques pour l’établissement des DRF. · Lesappuis techniques spécifiques par des bureaux d’études ou certains centres du CGIAR (IITA, AfricaRice) pour la gestion et mise en œuvre du PPAAO dans certains pays (Togo, Sierra Leone, Libéria etc.) ont été bien appréciés par les participants. ·Côte d’Ivoire a été félicitée pour sa pro activité qui lui a permis d’avoir fait jouer la La clause de rétro activité pour mettre en œuvre certaines activités malgré la situation difficile dans laquelle se trouvait le pays. · Lespays doivent être conscients que le temps perdu avant l’entrée en vigueur du PPAAO/WAAPP est difficilement compensé par une prolongation de la durée du projet, ceci est du à la nature du projet et à cet effet les pays devront réajuster leurs activités prévusdans le temps restant pour pouvoir atteindre les résultats attendus. ·les avis juridiques sur les différents accords, les nouveaux pays du Concernant PPAAO/WAAPP 1B et 1C doivent être prudents et prendre les devants pour
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l’établissement de tous les avis juridiques utiles afin d’éviter les retards dans l’effectivité du projet. · Lesdifficultés rencontrées dans la mise en œuvre du PPAAO/WAAPP 1A sont liées généralement à la longueur des processus de passation de marchés (y comprit l’Avis de Non Objection), à une structuration parfois insuffisante du système de vulgarisation, a l’insuffisance des relations entre la vulgarisation et la recherche, à une insuffisance des disponibilités des nouvelles variétés pour leur diffusion etc.). · Pourappuyer la diffusion des technologies, tous les pays sont encouragés à mettre en place un système national de vulgarisation agricole qui intègre toutes les parties prenantes au niveau national. 1.2. Présentationdes PTBA 2012 des pays et du CORAF ·Banque mondiale a clarifié que pour les pays du PPAAO/WAAPP 1A, le PTBA La doit bien porter sur 12 mois. Cependant, les pays ne doivent inscrire que des activités dont ils sont surs qu’elles seront complètement clôturées en fin 2012. · Les pays du PPAAO/WAAPP 1A ont sollicité de la Banque Mondiale une prolongation de 6 mois de la durée du programme qui prendrait ainsi fin en décembre 2012. Les activités de préparation du PPAAO/WAAPP 2A doivent ainsi être incluses dans le PTBA 2012. · La prolongation du PPAAO/WAAPP 1A ayant été sollicitée pour achever la réalisation de certains projets, et pour éviter une rupture entre les 2 phases, les activités pour 2012 doivent être guidées par ce principe et se concentrer sur la diffusion des résultats disponibles afin de satisfaire le cadre des résultats pour la 1ére phase. Les pays doivent également entamer la préparation de la 2éme phase, notamment réaliser l’évaluation finale du PPAAO/WAAPP 1A tout en restant dans l’enveloppe disponible pour cette année. · Auxpays du PPAAO/WAAPP 1B et surtout du PPAAO/WAAPP 1C, le réseau des équipes fiduciaires (CORAF/WECARD et pays) apportera le soutien nécessaire sur les questions relatives aux passations des marchés ou de budgétisation pour appuyer la mise en œuvre efficace des PTBA. Par ailleurs, les Plans de Passation de marchés pour tous les pays doivent être élaborés et transmis à la Banque Mondiale et au CORAF/WECARD au plus part le 30 novembre 2011. ·filières prioritaires identifiées dans l’étude de l’IFPRI et dans le plan stratégique Les du CORAF/WECARD servent toujours de base pour les pays dans l’identification et la mise en œuvre des projets notamment pour les Centres Nationaux de Spécialisation. L’ouverture vers les autres spéculations se fait à travers le fonds compétitif national (composante 3).
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·manière générale, les PTBA des pays PPAAO/WAAPP 1B et 1C ont été jugés De assez ambitieux et les participants appellent à plus de réalisme. Ils doivent continuer de prendre en compte les questions transversales notamment le Genre et les aspects environnementaux. La prise en compte du principe IAR4D avec une pleine implication des systèmes de vulgarisation agricole et de conseil agricole et rural doit être effective. Les éventuels risques politiques dus aux futures échéances électorales dans certains pays sont également à prendre en compte. ·textes régionaux de la CEDEAO suivent un long processus technique avant leur Les approbation par les politiques au niveau régional et leur adoption au niveau national. Ces textes sont applicables dans les pays et doivent être largement diffusés. Cependant il est nécessaire de renforcer la formation et la sensibilisation des acteurs nationaux pour la mise en œuvre de ces textes. ·MRU n’a pas fait de présentation particulière, les pays membres ayant déjà leurs Le plans nationaux. C’est une instance politique qui pourra créer des synergies pour les résultats du PPAAO/WAAPP notamment dans le domaine de la sécurité alimentaire (riz, manioc) pour lequel il a établi un partenariat spécifique avec le CORAF/WECARD. · Lacréation de synergie doit être une préoccupation constante pour les pays et le CORAF/WECARD, d’autant que des opportunités existent pour plusieurs spéculations (riz, mais, manioc, etc.) · L’accordde crédit de la République de Côte d’Ivoire et celui de la République de Guinée seront signés d’ici 2 à 3 semaines, ce qui facilitera la mise en œuvre du volet du MRU. · Auregard des importants acquis du PPAAO/WAAPP, tous les acteurs concernés au niveau national et régional doivent veiller à que les résultats soient pérennisés. Bien que ce programme soit dans le piller 4 du PDDAA, il doit s’inscrire dans une perspective de durabilité et cela passe entre autres dans son intégration dans les politiques nationales et régionales. 1.3. Etatpréparation PPAAO 2A ·ce cadre, des missions conjointes de pré évaluation (Banque Mondiale, FAO, Dans CORAF/WECARD) ont été effectuées et les résultats restitués au cours d’un atelier au mois septembre 2011. Une note conceptuelle est en cours de préparation par Banque pour guider les pays dans ce processus, cependant les pays concernés (Sénégal, Ghana, Mali) doivent continuer leur processus de préparation et les premières versions des documents de projet doivent être disponibles avant la prochaine mission de pré évaluation prévue courantnovembre- décembre 2011.
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· Ila été cependant constaté un retard dans ce processus du principalement aux difficultés dans l’effectivité du PPAAO/WAAPP 1B et 1C pour certains pays. La Banque appliquant les dispositions contraignantes de solidarité régionale. 1.4. Fonctionnementdu CRP · Dufait du passage du nombre de pays de 3 à 13 et bientôt à 15, les règles de fonctionnement du CRP doivent être adaptées tout en gardant les objectifs qui lui sont assignés. Des propositions sur les changements envisagés ont été faites par les participants. Parmi celles-ci nous notons: (i) l’intégration du MRU en tant que membre votant; (ii) l’intégration d’un membre d’une organisation régionale de femmes ;(iii) la tenue d’un atelier technique séparée des assises du CRP proprement dites. Les propositions seront intégrées dans un draft présenté et le document envoyé aux pays pour observations et qui sera examiné pendant les prochaines assises qui se tiendront à Yamoussoukro en Côte d’Ivoire. · LaCôte d’Ivoire a proposé d’accueillir les prochaines assises du CRP à Yamoussoukro et le CORAF/WECARD a été interpellé pour échanger avec le Comité National de Pilotage de Côte d’Ivoire pour déterminer ensemble les dates précises de la tenue de ces assises. 1.5. Synthèsedes PTBA 2012 ·des différentes rubriques a montré les composantes qui nécessitent une L’analyse attention particulière quand à l’exécution budgétaire. En plus d’une possible révision budgétaire plus réaliste, les pays du PPAAO/WAAPP 1B et 1C vont bénéficier de l’assistance du CORAF etde l’expérience des pays du PPAAO/WAAPP 1A pour l’élaboration des plans de passation des marchés et pour accélérer le processus de passation des marchés. 2. Conclusion ·participants se sont félicités du renforcement de la présence de la CEDEAO Les dans le cadre du PPAAO/WAAPP et de l’engagement de son point focal à appuyer encore les pays pour lever les contraintes et améliorer la mise en œuvre du programme. 3. Recommandationdu CRP Le CRP recommande fortement que les nouveaux pays du PPAAO/WAAPP renforcent leurs efforts pour lever le plus rapidement possible les contraintes afin de rendre effectif leur programme. Ceci facilitera également les avancées dans la préparation PPAAO/WAAPP 2A et l’intégration des 2 pays restant de la CEDEAO (Guinée Bissau, Cap Vert).
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Le CORAF/WECARD et la BM doivent informer continuellement la CEDEAO des contraintes quientravent l’entrée en vigueur du PPAAO/WAAPP au niveau des pays et sur d’autres contraintes rencontres dans la mise en œuvre du programme. La CEDEAO pourrait appuyer efficacement les gouvernements des pays à lever ces contraintes, d’autant plus qu’il ya un point focal spécialement chargé du PPAAO/WAAPP.  Le Niger n’ayant pas présenté de PTBA durant le CRP, le CORAF/WECARD suivra pour le compte du CRP, l’élaboration du PTBA du Niger dans les meilleurs délais et informer les membres du CRP. Le CRP recommande au CORAF/WECARD d’envoyer aux pays pour observations les nouvelles propositions de fonctionnement du CRP. L’examen de celles-ci sera à l’ordre du jour pendant les prochaines assises qui se tiendront à Yamoussoukro en Côte d’Ivoire.
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