Santé et communication : Pfizer, une stratégie  ciblée
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Santé et communication : Pfizer, une stratégie ciblée

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Santé et communication é cPibzleére gie: une strat
Le leader mondial du médicament entend jouer pleinement son rôle d’acteur de santé. Il développe une stratégie pro active dans le domaine des maladies cardiovasculaires.
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Lo drsséu nami eril edERIo ,Pnisérga-aris à P11o l  eerd tcbo, ernierll AkRaer ,ilialbasnopsl-taoisn eed ser publiqu opinion nua eies  snoil-lim 473 t erdiali m 1d,ed el rp raaSsnan. par ros deum liilra13, de la division relations politiques et l’impact qu’elles institutionnelles du laboratoire Pfizer, peuvent avoir sur a décortiqué la stratégie de communi- l’entourage, pré-cation de son groupe. « Si les émet- cise Raffik Allaili. teurs sont désormais multiples, nous Autre difficulté à souhaitons jouer pleinement notre surmonter, le sys-rôle d’acteur de santé, en contribuant tème de prise en à la sensibilisation du public sur les charge français de maladies cardiovasculaires, au moyen pathologies cardiov d’une information de qualité », an- culaires est plus ori nonce-t-il d’entrée. D’autant que chez vers le curatif. En Pfizer, la communication sur ce type gne, les sommes al d’affections ne date pas d’hier. D’après budget pour la p lui, ce choix s’explique à la fois par la niveau hexagonal, prévalence et le coût des pathologies d’euros contre 2,4 qui lui sont apparentées. Au regard des curatif. D’où une dernières données épidémiologiques, tion du risque. elles constituent la première cause deVers une prévention secondair morbi-mortalité, en France, avec prèse de 157 000 décès enregistrés chaque Partant de ce postulat, comment com-année. muniquer de manière plus efficace ? « Nous avons té l de sélec-Un impact financier cœuomme r de4 -0l sesnc 94a ernniotpoda itrap e conséquentcible de nos campagnes. En pratique, De plus, elles représentent également nous sommes ainsi passés d’une méde-un coût important pour la société. cine plus axée sur la prévention secon-L’impact financier de l’infarctus du daire que sur la prévention primaire. myocarde (IMC), de l’insuffisance L’idée étant de faire prendre conscien-cardiaque et des accidents vasculaires ce à ces personnes qu’elles sont porteu-cérébraux (AVC) – soit les trois patho- ses d’un risque et qu’elles ne le savent logies qui concentrent 75 % des cas pas », souligne-t-il. Côté prévalence, de décès en la matière – est plus que cette opération semble se justifier : conséquent. Les montants de leur pri- 1,5 million de citoyens sont porteurs, se en charge atteignent respectivement sans le savoir, d’une hypertension 
PHARMACEUTIQUES - NOVEMBRE 2007
dres épidémiques (cholestérol…). Et pas moins de 84 000 personnes ffr du diabè ’ sou ent te sans s en ren-dre compte. Mais ce n est pas tout. « Pour communiquer efficacement, la difficulté reste surtout de trouver le juste équilibre entre un message simple et les contraintes réglemen-taires qui s’imposent à nous, puisque les informations figurant dans nos campagnes se doivent d’être référen-cées et sourcées. Cette démarche ne doit pas non plus déboucher sur une information trop réductrice, sous peine de ne pas remporter l’adhésion des professionnels de santé. C’est un jeu d’équilibriste », argumente ainsi Rafik Allaili.
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