UNE SOIRÉE RELEVÉE, AROMATISÉE À LA RUSSE, AVEC TCHAÏKOVSKI ...

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UNE SOIRÉE RELEVÉE, AROMATISÉE À LA RUSSE, AVEC TCHAÏKOVSKI ...

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• Publié par: igytogad
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COMMUNIQUÉ Pour diffusion immédiate

UNE SOIRÉE RELEVÉE, AROMATISÉE À LA RUSSE, AVECTCHAÏKOVSKI POSSÉDÉ PAR SON DOUBLE

, - des Arts. Reconnu pour avoir renouvelé le ballet russe avec des œuvres d’une rare intensité dramatique, inspirées de la vie de grandes personnalités du théâtre, de la politique et des arts, Eifman signe cette fois une fantasmagorie extraordinairement riche et complexe sur la vie et les tourments intérieurs du grand compositeur P. I. Tchaïkovski, qui connut de son vivant une gloire peu commune. Une soirée relevée attend les balletomanes, invités pour l’occasion à sonder les profondeurs de l’âme russe…

La vérité sur Tchaïkovski Tchaïkovski possédé par son double,ballet en deux actes pour les 45 danseurs de la compagnie,évoque avec sincérité la vie profonde du compositeur, ses deux visages, incarnés par deux danseurs, ses tourments intérieurs, ses désirs contradictoires de célébrité et de révolte, les vicissitudes d’un mariage malheureux, ses tendances homosexuelles, son angoisse morbide, sa relation étrange avec sa mécène, la baronne Nadejda von Meck, avec qui il entretint des échanges épistolaires pendant de o nombreuses années. Le ballet est construit sur les œuvres suivantes de Tchaïkovski : la5Symphonie n, laLiturgie de Saint- Jean Chrysostome, laSérénade pour cordes op. 48et la finale de laPathétique, et comporte également des références à quelques-uns de ses ballets.

Longtemps occultées, les tendances homosexuelles de Tchaïkovski ne font plus mystère. « Premier tableau. Tchaïkovski sur son lit de mort, la fin est proche. […] Les scènes du passé resurgissent devant les yeux de l’artiste. La baronne von Meck est là, présente à ses derniers instants. Mais elle apporte avec elle l’espoir, la déception cruelle et funeste. Son épouse, Antonina, l’entraîne dans une vision cauchemardesque. Son double est là aussi, le moi qui le torture depuis toujours, source éternelle d’angoisse et d’extase, de déchirement et d’inspiration », explique Boris Eifman.

Un tabac à Paris et à New York Tchaïkovski possédé par son doublea fait un tabac à Paris et à New York, suscitant des commentaires enthousiastes. « Avec ce ballet, Eifman réussit sans aucun doute son œuvre à ce jour la plus accomplie. Tout d’abord, la structure d’ensemble est absolument maîtrisée. Scène après scène, sans longueurs, avec clarté, l’essentiel du combat mené par le compositeur contre lui-même est raconté, montré de manière expressive et prenante. […] Une chorégraphie puissante, originale, sur fond de