*' ^At Va '•M y^^.^ '•^^i '% %y*té ^\ \ K À .^. "\v wV / \ V ;), maïs sont citéstapola « », fréquemment dans Varie. Quant à la petite phrase antipola horiassou, M. Gatschet l'inter- prète par anta, pola pona co «. brother, hâve you corne '/alive » mais, comme Laudonnière dit que les Indiens ; antipola,répétaient antipola, il me parait plus naturel d'expliquer ce mot par la forme «verbale nous sommes amis » honassou peut d'ailleurs fort bien ; être p>ona co « êtes-vous venu ? » La langue que Pareja et ses succeseurs ont appelée 1'Timucuane :>). ((« que M. Gatschet nomme atimoke », et à laquelle il vaudrait mieux peut-être réserver la dési- gnation de « Floridienne était parlée sur toute l'éten-», due de la Floride septentrionale, et principalement depuis le cap Canaveral jusqu'aux bouches du fleuve Saint- Jean. Cette région était habitée par des populations dont M. Gatschet, résumant les anciens écrivains, trace le tableau ethnographique suivant. Dans les passages souli- gnés, j'ai rétabli le texte de Laudonnière : « Les hommes et les femmes allaient nus; ils étaient bien proportionnés : les hommes couleur oli-étaient de uastre, de grande corporance, beaux, sans aucune diffor- mité apparente ; ils étaient tatoués sur les bras, sur les cuisses et même (les chefs?) sur tout le corps, et se frot- taient souvent le corps huile particulière.d'une toute . XIV leur longue chevelure noire en tresses surIls relevaient couvraient leur naturesommet de la tète et d'unele corroyée.
ona co « êtes-vous venu ? » La langue que Pareja et ses succeseurs ont appelée 1'Timucuane :>). ((« que M. Gatschet nomme atimoke », et à laquelle il vaudrait mieux peut-être réserver la dési- gnation de « Floridienne était parlée sur toute l'éten-», due de la Floride septentrionale, et principalement depuis le cap Canaveral jusqu'aux bouches du fleuve Saint- Jean. Cette région était habitée par des populations dont M. Gatschet, résumant les anciens écrivains, trace le tableau ethnographique suivant. Dans les passages souli- gnés, j'ai rétabli le texte de Laudonnière : « Les hommes et les femmes allaient nus; ils étaient bien proportionnés : les hommes couleur oli-étaient de uastre, de grande corporance, beaux, sans aucune diffor- mité apparente ; ils étaient tatoués sur les bras, sur les cuisses et même (les chefs?) sur tout le corps, et se frot- taient souvent le corps huile particulière.d'une toute . XIV leur longue chevelure noire en tresses surIls relevaient couvraient leur naturesommet de la tète et d'unele corroyée." />
*' ^At Va '•M y^^.^ '•^^i '% %y*té^\ \ K À .^. "\v wV / \ V < ^. _ ^ '.V r / /'OBIBLIOTHEQUIi LTNGUISTiaUE AMERICAINE XITOME ARTE LENGVA TIMVQVANA1 JACOI! — OKI.KAXfniP. r.KORGES ,Bi-sea-^ ARTE LENGVA TIMVQVANA COMPVESTO EX 1614 FRANCISCOPOR EL P^ PAREJA Y PUBLICADO CONFORME AL EJEMPLAR ORIGINAL LNICO LUCIEN ADAM v JULIEN VINSON PARIS MAISONNEUVH FRÈRES ît CH LECLERC, ÉDITEURS Q.UAI VOLTAIRE, 2)25, M. DCCC. LXXXVI^0 % ^