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  • mémoire - matière potentielle : sur la vie publique
  • mémoire - matière potentielle : mlle de montpensier
  • leçon - matière potentielle : réitérées
Chronique familiale de Philippe de LA TREMOILLE … une manière déguisée de parler de notre ancêtre Louis CHEDEVILLE … L'histoire de Philippe et de ses descendants a été établie sur 2 générations. Par François Xavier BIBERT
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Langue Français

Extrait











Chronique familiale de Philippe de LA TREMOILLE





… une manière déguisée de parler de notre ancêtre
Louis CHEDEVILLE …





L'histoire de Philippe et de ses descendants a été établie
sur 2 générations.







Par François Xavier BIBERT

Génération 1




Philippe de LA TREMOILLE voit le jour en 1596.

Il portera le titre de Marquis de ROYAN et comte d'OLONNE.

Il épouse en 1622 Madeleine CHAMPROND dite dame de HANCHES, la fille légitime de
Michel CHAMPROND, Seigneur de HANCHES (Eure et Loir).
Ce couple aura 10 enfants :

En 1626 naît son fils Louis. Philippe est âgé de 30 ans.

En novembre 1644 son épouse Madeleine meurt, Philippe est âgé de 48 ans.

Philippe de LA TREMOILLE est décédé le vendredi 8 août 1670, à l'âge de 74 ans.


Génération 2




Louis de LA TREMOILLE voit le jour en 1626.
Il est le fils légitime de Philippe de LA TREMOILLE, âgé de 30 ans et de Madeleine
CHAMPROND dite dame de HANCHES.

Il portera le titre de Comte d’OLONNE.

A Hanches (28130), le 1 janvier 1639, Louis de la Tremoille vit un
événement important : il devient le Parrain de Louis CHEDEVILLE !!!

Voir la page originale du registre paroissial de HANCHES de septembre 1639

Ce Louis CHEDEVILLE « le Jeune » est le second fils de Louis
CHEDEVILLE « l'Aîné » (1607/1678), l'ancêtre ultime (à ce jour) et commun de la
plupart des CHEDEVILLE de CHARTRES et de ses communes avoisinantes.


Louis CHEDEVILLE « l'Aîné » était « Sergent au Baillage des Granges à HANCHES (Eure
et Loir). Il devait donc servir le Seigneur de HANCHES, Michel CHAMPROND, le beau-
père de Philippe de la TREMOILLE, Marquis de ROYAN et Conte d’Olonne.
Louis CHEDEVILLE « l’Aîné » dut obtenir de Philippe de la TREMOILLE, un important et
puissant personnage, très en vogue à la cour à cette époque, que son jeune fils Louis de
la TREMOILLE, alors âgé de 13 ans, devint le parrain de son fils qui venait de naître, qui
naturellement fût prénommé « Louis », et qui devint ainsi Louis CHEDEVILLE «le
Jeune»...

Les CHEDEVILLE habitaient à HANCHES le hameau de la « Billardière »
Louis « l’Aîné» fût ensuite vigneron.
Marié à Anne MESNAGE, il eu de 1637 à 1657 dix enfants dont un seul décéda en
bas âge, tous vignerons ou vigneronnes, dont Christophe CHEDEVILLE
(1654/1688), frère de Louis « Le Jeune ». Christophe, marié à Marie JEULAIN à
Hanches, n'eut lui qu’un seul fils, Jean-Baptiste CHEDEVILLE (1683/1743), avant
de mourir à 33 ans.

C'est ce Jean-Baptiste CHEDEVILLE, qui quitta Hanches pour devenir domestique au
petit Château d'Armenonville en Eure et Loir.

Il se maria avec la fille d'un vigneron de Morancez, Jeanne PANTHOU, et fonda la
vaste lignée des CHEDEVILLE, vignerons de Morancez, puis de Luisant, puis de Saint-
Chéron et du Puits-Drouet…. jusqu’à Julienne CHEDEVILLE, née en 1914 et bon pied bon
œil en 2008, la mère du rédacteur….

On ne sait pas aujourd’hui si Louis CHEDEVILLE « l’aîné » était de HANCHES ou s’il
venait d’ailleurs. Mais cette deuxième solution est la plus probable. La lecture des
registres anciens de Hanches à partir de 1638 démontre qu’il n’y avait pas d’autres
èmeCHEDEVILLE au début du 17 siècle à Hanches que ce Louis, dont les enfants n’ont
aucun parrain ou marraine nommé CHEDEVILLE …

Cependant on trouvent plusieurs branches CHEDEVILLE plus anciennes ou
contemporaines dans les les bourgs ou villages avoisinants, en particulier à Saint-
Hilarion (78), Hermeray (78), ainsi qu’à Epernon (28), avec lesquelles il doit bien exister
des des filiations…
(suite de l’histoire de Philippe de LA TREMOILLE)


Madeleine CHAMROND, Dame de HANCHES, la mère de Louis de la TREMOILLE, comte
d’Olonne, meurt en novembre 1644, Louis est alors âgé de 18 ans.

Il épouse Catherine Henriette d'ANGENNES, la fille légitime de Charles d'ANGENNES,
Baron de La Loupe.

Ils se marient en 1652.

Son père Philippe meurt le 8 août 1670, Louis est âgé de 44 ans.

Louis de LA TREMOILLE dit Comte d'Olonne est décédé en 1686, à l'âge de 60 ans.




HANCHES - Rue de la Billardière - Début du XXème siècle

Quelques écrits historiques

Les filles du baron de La Loupe étaient célèbres par leur beauté, et elles le devinrent
plus tard par leurs galanteries. L'aînée fut la trop fameuse Madame d'Olonne. Elle se
maria en 1652. Loret écrivait, le 3 mars 1652 :

D'Olonne aspire à l'hyménée
De la belle Loupe l'aînée,
Et l'on croit que dans peu de jours
Ils jouiront de leurs amours.

La seconde demoiselle de La Loupe devint la maréchale de La Ferté. Saint-Simon donne
des détails piquants sur la vieillesse et la mort des deux sœurs : « Elles étoient
d'Angennes, d'une branche cadette éteinte en elles. Leur beauté et le débordement de
leur vie fit grand bruit. Aucune femme, même des plus décriées pour la galanterie,
n'osoit les voir ni paroître nulle part avec elles. On en étoit là alors ; la mode a bien
changé depuis. Quand elles furent vieilles et que personne n'en voulut plus, elles
tâchèrent de devenir dévotes. Elles logeoient ensemble, et un mercredi des Cendres
elles s'en allèrent au sermon : ce sermon, qui fut sur le jeûne et sur la nécessité de faire
pénitence, les effraya. « Ma sœur, se dirent-elles au retour ; mais c'est tout de bon ; il
n'y a point de raillerie ; il faut faire pénitence, ou nous sommes perdues. Mais ma sœur,
que ferons-nous ? » Après avoir bien pensé : « Ma sœur, dit madame d'Olonne, voici ce
qu'il faut faire : faisons jeûner nos gens. » Elle étoit fort avare ; et, avec tout son esprit,
car elle en avoit beaucoup, elle crut avoir très-bien rencontré. A la fin pourtant elle se
mit tout de bon dans la piété et la pénitence, et mourut trois mois après sa sœur la
maréchale de la Ferté. » Les deux sœurs moururent en 1714.

« Mémoires de Mlle de Montpensier »





Malgré ces leçons réitérées, l'abbé Fouquet n'en continua pas moins de rivaliser avec les
plus grands seigneurs. Repoussé par la duchesse de Châtillon, il s'attacha à madame
d'Olonne, qui était alors une des beautés les plus renommées et les plus compromises
de la cour. Fille aînée du baron de la Loupe, longtemps célèbre pour sa vertu comme
pour sa beauté, comptée au nombre des précieuses, et des habituées de l'hôtel de
Rambouillet, Henriette-Catherine d'Angennes ne résista pas à l'influence d'une cour
corrompue, et ce fut une des personnes qui gardèrent le moins de retenue dans le vice
et l'emportement des passions. Le duc de Candale, le marquis de Sillery, de la famille
des Brulart de Puysieux, le comte de Guiche, fils du maréchal de Gramont, le prince de
Marsillac, fils du duc de la Rochefoucauld, se disputaient l'amour de madame d'Olonne.
C'étaient, avec Vardes, les jeunes seigneurs les plus renommés, vers 1658, pour leur
éclat et leurs galanteries. L'abbé Fouquet, ne pouvant lutter avec eux, s'efforça de les
diviser. Sa nature, jalouse et envieuse, tournait de plus en plus à l'aigreur et à la
bassesse. Blessé par le prince de Marsillac, il chercha à s'en venger en se faisant livrer
les lettres qu'il avait écrites à madame d'Olonne. Lorsqu'il les eut entre les mains, il
voulut s'en servir pour rompre le mariage projeté entre Marsillac et sa cousine,
mademoiselle de Liancourt, que l'on élevait dans la pieuse retraite de Port-Royal. Ce
mariage, sur lequel la maison de la Rochefoucauld comptait pour relever sa fortune,
dépendait surtout du vieux duc de Liancourt. L'abbé eut soin de lui faire parvenir les
lettres de Marsillac à madame d'Olonne ; mais, bien loin de s'en indigner, le duc de Liancourt répondit que l'on ne rompait pas un mariage pour quelques galanteries. «Pour
moi, qui ai ét

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