Fiche de visite: Après l impressionnisme, de Van Gogh à Matisse (1886-1906)
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Fiche de visite: Après l'impressionnisme, de Van Gogh à Matisse (1886-1906)

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Description

Musée d’Orsay Service culturel texte : J. Bolloch Après l’impressionnisme graphisme et impression : Musée d’Orsay, Paris 1999 de Van Gogh à Matisse (1886-1906) • Présentation • Préparation et prolongement de la visite • Liste d’œuvres • Bibliographie Henri de Toulouse-Lautrec liées à l’euphorie, les couleurs sombres à laLes Nabis Les “nabis”Bibliographie Présentation mélancolie... A cet ensemble de systèmes plus ou • Claire et José Frèches, Toulouse-Lautrec, les moins rigoureux, les néo-impressionnistes,• , catalogue de l’exposition des Galeries Paul Sérusier montre à un groupe de jeuneslumières de la nuit, Gallimard “Découvertes” / Baptisé lors de la première exposition du groupe, également appelés divisionnistes ou pointillistesLe post-impressionnisme Nationales du Grand Palais, RMN, 1993 peintres qui fréquentent l’Académie Julian, atelierRMN, 1991 en 1874, par le terme moqueur du critique Louis en raison de l’usage qu’ils font de la juxtaposition• Claire Frèches et Antoine Terrasse, Les Nabis, où l’enseignement est plus libre qu’à l’Ecole• Toulouse-Lautrec, catalogue de l’exposition des Leroy à propos du tableau de Claude Monet, des touches, ajoutent des préoccupations sociales.

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Publié le 04 septembre 2013
Nombre de lectures 220
Langue Français

Extrait

Nationael sudG ardnP-la ce,alatueoge dxe’lisopnoitsed ée d mus’Or9188aznn •éCtacadee gulosopxe’l ud noitia ev céCsrtaoisndition czanne, éaF teuqsssare te C8•veone,ll97 1 ,onnaecopdnrrseGuve •5991 ,NMR ,siaCo, neanéz CulPa00 0e 5301 t300 die vux (es 1ASen ,ésirsed e d’Orsay, CézanitisopaiésuM seva,ulac M D8•97 1P M.p raar,n .oDpntéerésegntaSae La. on Mm udfitoeloi ecn95• La v RMN, 19imunet,sHV,S2 6, ergiarFd mlif ,noitposil’ex de filml enn,eéCaz • pLeiephprimt-osinnoissehoJ •emswaldn Re Pos, Lerpse-tmiinmsisnoBbiilgoarL ,lavegoC yuG •-istpos éenn aesssipmeritios EdelleNouvhciM“ leeno, eluvurPll”ienor veeuelé iditvolumeseuqlteq uarteu sgh, Gouin Gaug1991 ,epzéC luaPenCa, esopch’EL89•8A blre tuAirns françaises, 1ne eiep utn, er sLeboymsmlinne,Céza91• , 19R NM”s/ reetocvu-5918: e ssneeuj ed seénna sel ne “puisg, CézanhcleH oonaen •iMrdmaDé “Glialilostnas te VHS,s”, ette“Palé idet,simun2 6aiAld’m il fh,ogebuaJ nrence Mah et Lauedilen ,artpssnaontionsMoB ecollJ •ellëoceitocllur ls”, é’arthc al te à erbma cs,leAr, omérédmluitémid/aMRN, version mac-PitidV no olitlumédim/LiaCia aideM/+xednIéréd cl,eiol Sonsiis,rM brei coSdéri Fré998•C, 1e eroJ t •ceialC-LsetrauToe ouulH8neird P ,C1 99 versionFactory,Ga, itnud arimllerèimuls al ed s-Lauouse, letrecèrhcésF oTluse ,gulodee ’e losxpL-esrtua ,ceatacMN, 1991• ToulouD“céuoevtrse ”R/irto(1e iicV ed)luaP-0786881, fi Cézannebure,ts aJ”,esttlePa “ieértunim 62 ,SHV ntpaMoP uaoM,ies •nrsaéC lnnazc ,erédé, omN RMT/ nIed+x ,evsrion Mac/PC, 1995 tnecniVhgoG naValscPa• ouafon BnaG ,xV l ego,hil esoleGR NM ,91reet”s/ “Découvallimardolat eugsiraac ,ghGo P à• 87n Vaas,y’drOés eumo’expde ld eésum sevitisoapDi• 8819, MN Rséries de O’srya ,aV noGg5500t e 01005 xidseuvSA( 01 e. Ljaunambra Chh ua •aLto eetn cein Vde Gan VntrA à essionniséo-impreio xuan eeDalrc’E Dènugig Sc,na •79luaPNMR 91 ,ble,renode Gsée uumnod isitxeopl’dee gulotaca, rueluoc al ed no ctel ailébaritRMN, 1991• SignaeT e spmrueS ,ta(cl leolifct L),9119NM ,txeu •eTnd-P Gras, RalaioitaNseiud selan dontisieral Geselî’ ed dim-là iJae e tt Glandrav re,tp o argn,eUn Aprèsourpre. 1 SA( seuv xid eieoputL’• 7)0500noinseismirpso-tie d sér unesme,apDiitosesivus Md eésrO’ ,yap eL’impressionnismeH,reamnn ,9166 •Fé• 8719néFéx lid-uA ,nol ed àleréédme, n, Hitionn“ reamri,”aSov Pe.cliè-sden-fi ednegél enU •)4 Goue laue daraql baopruua xnaenutLac,relooue-usasrOT ,yésuM’d eS 10 005 vues (A eedd xinu eésirT spmeT -esuoluoecllco (Le, f)tiaiop•1D ev sisitrec,Laut 199RMN,aN snoitsela ud ioitden alsGieer,N1 99•2T xeutleGrand-Palais, RMcéuo dD“miraaGllN, 1/ RMes” verttac ,tarueS •199poexl’e dueogalms•eF arseisnoinachin, Snçoise Cêr ed evaruel ,tiesce,ncl’e t-ar“Palrie s”, ette62m HV,Sse ,nitunsioitédartpon M eLessanrpmi-oénlue (1895)de Henird eoTluuoesL-trau, eclmfi’A dnialuaJ trebés ,main-GerLaye-en-e tvAneiatnedS s éeus mt-on Pdesopxe’l sednoitivant etAprès, 19rpsè ,dEtioisnA inguAv, t an aet91 , •69luaPuaG isitxeop e’leud alog catier,érusS luaP •9891 ,NM Rs,aial Pndra Golug eedre ,acatuffeneckmile Sch991 E •1A-tn,nev déePoe donusumxe’l ed noitisopal Ges datsNieerN baL)seeL ssi •s, cNabiogueatal •39ialCF erhcèr eesAnt intoTee oianel sudG ardn Palais, RMN, 19ér sne un,uiugGaA( seuv xid edeiivesositDiap89• ya ,O’sreéd M sue dx diesunieér 01 8500seuvSA( 1), EcolS 10 004-tvAne , eedP nodécém,roN RMGa/ a eu cevrueS ,ta / France Télécollmira dejnuseesPa9619, guau Guloisrev,mCP/caM nen,ct-AvonniloiscEloni ,P no eedmlifA’d ueS ,tareo Gesrg88(1de6)teet”s ,ir eP“labert, sélain JauraptnoM snoitidé, esutin6m 2S,VHicqrA uei,roSbrric rédée• Fnassno-tvAne ,’lcEloe buissonnière,GilladraméD“ vuocteer /s”MN R19, aGgu39 •c taiu,nue dalogexpoe l’d noitisrelaG seioatsNiedus lenathétismesme, synsi eaChc •rFnaoçn,uice “, inugGa iomasedlam érgimarGalle”, uvagse ”evtrcéuo dD“nt A9•98 1N,RM/ P ,essarreT eniooitioMsnaptnsanrLeseau Fsmvi Pe•tairecB caehaldr, Derain, un fauif ,dralalA’d mlbeau Jinrisé, rteltt“eaPV SHse,” min, 26, édutese,irnadioras pveocéD“ dramillaG MN, / Rtes”uvermélange optique : l’association de tons juxtaposés
sur la toile donne plus d’éclat aux couleurs qu’un
mélange au préalable sur la palette de l’artiste.
Enfin ils s’intéressent, en particulier Seurat, à la
psychologie des sensations développée par
Charles Henry dans sonIntroduction à une
esthétique scientifique(1885). D’après ces théories,
l’art est, comme les sciences, régi par des lois. Les
lignes ascendantes suscitent la joie, les
descendantes la tristesse, les couleurs vives sont

nabis”
rusier montre à un groupe de jeunes
s qui fréquentent l’Académie Julian, atelier
seignement est plus libre qu’à l’Ecole
le supérieure des Beaux-Arts, un petit
qu’il a réalisé à Pont-Aven, au cours de
88, en suivant ces conseils de Gauguin :
ent voyez-vous ces arbres ? Ils sont jaunes.
, mettez du jaune ; cette ombre, plutôt
eignez-la avec de l’outremer pur ; ces
rouges ? mettez du vermillon”. CePaysage
d’Amour, aux formes simplifiées presque
l’abstraction, aux couleurs pures et
ées en aplats, devientLe Talismanpour
onnard et ses amis qui constituent le
des “nabis” (prophètes en hébreu).
tifs préférés des nabis sont les scènes
eur, intimistes, et les portraits, individuels
roupe. Ils privilégient l’aspect décoratif de
ure et veulent que l’art soit présent partout,
lement sur des “tableaux de chevalet”.
s supports les intéressent, ils réalisent des
ts, des décorations d’intérieurs, créent des
s, des décors de théâtre, des costumes,
nt des ouvrages, se font tour à tour
urs, graveurs... Les nabis sont très réceptifs
aponais que Paris découvre par
édiaire, entre autres, du galeriste Siegfried
uel) Bing, spécialiste des arts d’extrême-
et éditeur, de 1889 à 1891, d’une revue
e Japon artistique. Cette influence se
ste surtout dans les cadrages audacieux et
se en cause de la perspective traditionnelle.
e Denis, l’un des membres du groupe,
en 1890 laDéfinition du néo-traditionnisme,
quelle il souligne qu’“un tableau, avant
n cheval de bataille, une femme nue ou
elconque anecdote, est essentiellement une
plane recouverte de couleurs en un
ordre assemblées”.
isite, qui permet de s’intéresser à des
restés hors courants, comme Vincent Van
aul Cézanne ou Henri de Toulouse-
, et aux représentants des diverses
ces évoquées ci-dessus, couvre
logiquement la fin de la période
ondant aux collections du musée d’Orsay
largement, du XIXesiècle. La modernité de
ure du XXesiècle est abordée à travers le
u fauvisme, mais c’est avec Pablo Picasso
emoiselles d’Avignon(1907) qu’elle prend
force, et la découverte est à poursuivre
s collections des musées d’art moderne...

vo on a o r a rarc e en re ar s ma eurs e
arts mineurs, et leurs innovations plastiques vont
de pair avec une quête spirituelle qui les
rapproche du symbolisme.
Avant de poursuivre plus loin sa quête d’exotisme
et de primitivisme, à Tahiti puis aux îles
Marquises, Gauguin participe à Paris, au Café
Volpini, en 1889, à l’exposition du Groupe
impressionniste et synthétiste, exposition qui
marque profondément les jeunes artistes qui vont
se rassembler sous le nom de “nabis”.

9149isen Dce plat e9500 01 iruaM •)dix e de (ASvuessi ,N baésirnu e 1AS000 ),34es Ldeirid euv x( se Bonnard, une sé suMés e’drOas,yliuV drauodE’d)489(1s icblpus inaJdreL sri .vuneu soes dAlléLes 91 , •39,setNMR 2 2numi, èsS,VHiwegeKtrli m’ddEnabie, feinture / R et”s9139NM ,uric• Manis,e Deotéd spmlaG,énru “rdmalieruvcoDé09 •uG yoCegav,l Vuillard, le tesarr ,es seLibaNFls,maamonri19, nn,1ermae, HcadiitevopisD ai99•3s,niDee icurMa• rA’l te leiC eL musée detion du NM ,9149L oy,nR , 43taca87 1190-xe’lisopugoled e
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