Sujets Bac de Mathématiques de niveau Terminale
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Avec correction. Cmetropole
Sujets Bac en Mathématiques (2011) pour Terminale S

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Langue Français

Extrait

Terminale SJuin 2011 Métropole Exercice 1: Partie A 1. a. Les données de l’énoncé permettent de donner directement : 0,99T|p(V! = 0,02 ; V0,02 |p(T! V= 0,99 ;0,01 T |p(T! V= 0,97. T0,03 0,98 VArbre pondéré : 0,97 p VÇT!1p(V!´p(T!10, 02´0, 9910, 0198. T b.Vp(T!; OrT1(VÇT!ÈVÇT( 2.On cherche donc( !formule des probabilités totales) d’où :(T!p(V T! p1(Ç È(VÇT!!  s2 événements sont incompatibles 1p(VÇT!#p(VÇT!car ce  caril y a dépendance 10, 0198#p(V!´p(T! V 10, 0198#0, 98´0, 0310, 0198#0, 029410, 0492; CQFD ! 3.a.positif :Probabilité que la personne soit contaminée si le test estp(V!;T Ç p(V T!0, 0198 Orp(V!»1 10, 402soit environ 40% de "chances". T p(T!0, 0492 oncV;b.On cherche dp( ! T Ç ´ p(T V!p(V!p(T! V0, 98´0, 970, 9506 Or»1 111 1.p(V!0, 9998 T p T1%p(T!1%0, 95080, 0492 ( ! Partie B 1. Aune personne choisie au hasard, on associe deux « issues » : soit la personne est contaminée (avec un probabilité p = p(V) = 0,02), soit elle ne l’est pas ; c’est donc une épreuve de Bernoulli ; On répète cette expérience 10 fois ; on a donc un « pseudo » schéma de Bernoulli (car a priori, une personne choisie ne peut l’être de nouveau). La variable aléatoire X compte le nombre de personne contaminées ; X suit donc sensiblement la loi binomiale de paramètresn= 10 etp= 0,02. p X³2!11%p(X02!11%(p(X10!#p(X10!! 2. Oncherche  10 10  0 101 9 1 %´ ´# ´ ´. 1 0, 980, 02 0, 980, 020 1     10 9 ( !11%0, 98#10´0, 02´0, 98»1%0, 9838»0, 0162.
Patrick CHATE
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Exercice 2:   Le plan complexe est rapporté au repère orthonormal direct. (O;u,v! On désigne par A, B, C, D les points d’affixes respectiveszA= 1,zB= i,zC= −1,zD= −i. p i  1 3 3 1&E1r(D!Ûz%z1e(z%z!Ûz1 #i(z%z!z#pD AE De AA A   2 2 A;   3       1 31 31 31#3 1#3 1#3 Û 1 #i(%i%1!#11 %i# %i%1# 1i% 1(1i!: E       2 22 22 22 22       réponse2.2.#i1z%1Ûz%z1z%zÛDM1AMD A L’ensemble est donc la médiatrice du segment [AD] (qui est aussi celle du segment [BC] !). réponse1.et4.  z#i z%z D ÎiÛ ÎiÛCM^DM¹ 3. (etM C) z#1z%z C L’ensemble est donc le cercle de diamètre [CD] privé du point C. réponse2. p pp 4.B arg(i!2karg(z z!2k(u;BM!2k% 1% #pÛ %1 %#p%Û 1p# 2 22 L’ensemble est donc la demi droite ]BD) d’origine B, passant par D et privée du point B (car sinon z – i = 0 et on ne peut pas considérer l’argument). réponse3.
Exercice 3: n%x (x!1x e Pour tout entier naturel n supérieur ou égal à 1, on désigne par fnpar :la fonction définie surn.   O;i,j On note Cnsa courbe représentative dans un repère orthogonal( !du plan. Patrick CHATE2 TerminaleS
Partie A
Sur le graphique ci-dessus, on a représenté une courbe Ckoù k est un entier naturel non nul, sa tangente Tkau point d’abscisse 1 et la courbe C3· La droite Tkcoupe l’axe des abscisses au point A de coordonnées (4/5 ;0) x1xe 1.1. a.Limites def1: 1 %x X%x x# limx1 %¥lime1lime1 #¥lime1lim1 #¥lime10 En :et (oucar ), x x|%¥x|%¥X|#¥x|%¥ |xx|%¥ e limf(x!1 %¥ donc, par produit,1. x|%¥ x %x limxe1lim10limf(x!10 En +: (croissancescomparées) donc,1. x x|#¥ |#x¥x|#¥ e b.La fonctionf1comme produit de fonctions dérivables et pour tout réelest dérivable surx, % %x x% '(x!11´e#x´ %e!1(1%x!e 1(. c.%x |'f'(x!20Û(1%x!e20Û1%x20Ûx01 Signe de1:1; %x e20 |  Variations de1:f1est donc croissante sur ]; 1] et décroissante sur [1 ; +[. ¹ La courbe Ckne correspond donc pas à C1(variations non cohérentes) donck 1; Et commek≥ 1,k≥ 2 ; CQFD ! n x x1x e 2.na.Pour tout entier naturel n non nul, f(0!10O(0; 0!ÎC C nn, soit les courbesnpassent toutes par O ; %111 1f(1!1e1B1;ÎC CB1; n n, soit les courbesnpassent toutes par . ee e
Patrick CHATE
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b.Pour tout entier naturelnnon nulfnest dérivable surcomme produit de fonctions dérivables et n%1%x n%x n1%x%n1% pour tout réelx:n( !; CQFD ! '(x!1nx e#x%e1x e(n%x!1x(n%x!e 2%2%x '(x!1x(3%x!e f'(x!20Ûx(3%x!e20Û3%x20Ûx03 3. Pourtout réelxon a :3, et3; 2%x x e³0   f3est donc croissante sur ][ ; elle admet donc bien un maximum en 3.; 3] et décroissante sur [3 ; + 4. a.L’équation de Tkest :y=fk’(1) ( x – 1) +fk(1) = 0 ; % %% %# 1%1k1k1 1k1k2 Orketk d’oùk; f(1!1f'(1!1(k%1!e1T:y1(x%1!# 1x# e ee ee e La droite Tkcoupe donc l’axe des abscisses lorsque : %k#2 k%1%k#2e k%2 y10Ûx# 10Ûx1 %1 ; e ek%1e k%1 k%2Donc Tkcoupe bien l’axe des abscisses au point de coordonnées : . ; 0 k%1b.On déduit de ce qui précède et des données de l’énoncé que : k%2 4k%2 4 ; 01; 0Û 1Û5(k%2!14(k%1!Ûk16   . k%1 5k%1 5 Partie B 1 1 n%x I1dxx e1f(x!dx,n≥ 1. n n00 1 %x I1xe dx 1. Calculde1à l’aide d’une intégration par parties 0 % %   u'(x)1eu(x)1 %e Posons et; Alorsgrâce à la formule d'intégration par parties , il vient :   v(x)1xv'(x)11   1 11 1 %x I11xe dx=u'(x)v(x)dx1[u(x)v(x)]%u(x)v'(x)dx000 0 1 1 1 %x%x1%x%11%2      1 %xe%e%1´dx1e%0%e% 1%e%1%11. 0e e ( !( !( !  0  0  2. a.Pour tout entier naturel non nuln,fn estpositive sur [0 ; 1]. On peut donc interpréter géométriquement In commel’aire délimitée par la courbe Cn, l’axe des abscisses et les droites d’équations x = 0 et x = 1. Les représentations graphiques données permettent alors de conjecturer le fait que la suite (In) semble décroissante. b.Soitnun entier naturel non nul ; 1 11 1 n#1%x n%x n1# %x nx%n x% n#1nI%I1x e dx%x edx1x e%x edx1(x1%!dxx e; 00 parlinéarité00 n%x (x%1!x e£0 donc,par "négativité" de l’intégrale, Or, sur l’intervalle [0 ; 1],on en déduit que 1 n%x n#1n n#1n, ce qui démontre le fait que la suite (In) est décroissante. (x%1!x edx£0ÛI%I£0I£I 0
Patrick CHATE
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c.Pour tout entier naturelnnon nul et tout réelxde [0 ; 1], fn(x) ≥ 0, donc par positivité de l’intégrale, pour tout entier naturelnnon nul In≥ 0. La suite (In) est décroissante et minorée (par 0) : elle est donc convergente. d.La fonction exponentielle étant croissante sur [0 ; 1], pour tout entier naturelnnon nul, et Pour toutréelxde [0 ; 1], il vient successivement : 0£x£1%1£ %x£0%1%x0 e£e£ecarx֏ecroissante surn%1n%nx n x e£x e£xcarx³0croissante sur [0 ; 1] ième Donc par passage à l’intégrale dans la 2inégalité, il vient : 1 1 1 n%x n1n#11 I1dxx e£x dx1x1; ∫ ∫ n 0 0n#1n#1 0 1 1 Ainsi,nle théorème des gendarmes donne :Comme ,n. 0£I£;lim 01lim10limI10 n|#¥ |#¥n|#¥ n#1nn#1
Exercice 4: non spécialistes Partie A  nM HH étant le projeté orthogonal de M sur le plan, les vecteurset0sont colinéaires donc :
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    1.La formuleu.v1u´v´cosu;vdu produit scalaire donne : ( !       2 2 2 n.M H1n´M H´cosn;M H1a#b#c´M H´cosn;M Hd’où : 0 0(0!0(0!     2 2 2 n.M H1a#b#c´M H´cosn;M H( ! 0 00   2 2 22 2 2 ; 1a#b#c´M H´cosn;M H1a#b#c´M H´cosn;M H ( !( ! 0 00 0 xy1x´y x³0x1x  H étantle projeté orthogonal deM0 surle plan, les vecteurs0colinéaires donc : sont Maisn etM H  2 2 2 cosn;M H1 ±1d’où finalementn.M H1a#b#c´M H; CQFD ! (0!0 0  2.La forme analytique du produit scalaire donne :n.M H1a(x%x!#b(y%y!#c(z%z!0H0H0H0 1(ax#by#cz!%(ax#by#cz!1 %d%(ax#by#cz!1a%x b%y cz%d; CQFD ! H H H0 0 00 0 00 0 0 HÎ(P! 3.On déduit de ce qui précède que :  2 2 2 |n.M H1a#b#c´M H, 0 0  1 %% % %1 %# # #1 ##z d#; |n.M0H ax0by0cz d(ax by cz d!ax by c 0 00 00 0 0 %x1x ax#by#cz#d 2 2 20 0 0 D’oùa#b#c´M H1ax#by#cz#dÛM H1 1d(M;(P!!. 0 00 00 0 2 2 2 a#b#c Partie B A(4 ; 1 ; 5), B(3 ; 2 ; 0), C(1 ; 3 ; 6) et F(7 ; 0 ; 4). 1.a.  On a :AB(%7;1;%5!etAC(%3; 2;1!; Les coordonnées de ces vecteurs n’étant pas proportionnelles, les vecteurs ne sont pas colinéaires, les points A, B et C définissent donc un plan. Les coordonnées des points A, B et C vérifient l’équation x + 2y –z –1 = 0 qui est l’équation cartésienne d’un plan. On en déduit qu’il s’agit d’une équation du plan (ABC). Autre méthode(plus longue à mettre en œuvre): on peut aussi retrouver cette équation en  recherchant un vecteur normal, doncorthogonal àAB etACen vérifiant que le vecteur de (ou   coordonnées (1 ; 2 ; -1) est orthogonal àAB etAC) et en utilisant un des points A, B ou C pour trouver la constante correspondant. 1(7!2 0(1!4 1 ax#by#cz#d%´ %# ´ # %´ %612 12 F F F b.d1d(F;(P!!1 1 11 12 6. 2 2 22 6 6 2 2 a#b#c1#2#(%1! 2.a.(D!admet tout vecteur normal àétant la droite passant par le point F et perpendiculaire au plan (P) (P) pour un vecteur directeur donc notammentn(1; 2;%1!. x#71k´1x1 %7#k    Et,1 ´1 ÛÎ D Û M(x;y;z! ( !FM kny k2Ûy12kkÎ.   %41k´(%1!z14k%   Patrick CHATE6 TerminaleS
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