et... ma vie changea!
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Description

la jeune fille qui avait dit non à tout élément du sexe opposé se voit prise aux piège de l'amour. pourtant, ce garçon est merveilleux et elle le sait.

Informations

Publié par
Publié le 05 mars 2012
Nombre de lectures 975
Licence : Libre de droits
Langue Français

Extrait

“Un mec pas comme les autres!“
1.
-au revoir m’man! J’vais faire un tour à la bibliothèque donc je risque de rentrer un peu tard ! Ok ?
-ok chérie ! Mais ne rentre pas trop tard. L’entendis-je dire dans la cuisine.
J’opinai et je sortis de la maison. Là était ma routine. Je me nomme Kelly Wilson. Je suis le genre de fille qui ne fait que changer de ville. Ma mère Molli Wilson et moi venons d’aménager dans une petite ville de Washington, le département de Forks. Nous sommes arrivés il y a deux semaines de cela. J’ai perdu mon père il y a sept ans maintenant je n’avais que 10 ans. Depuis lors ma mère s’occupe de moi sans jamais se plaindre. Dix minutes après
ma sortie de la maison, j’apercevais la bibliothèque à seulement une dizaine de mètre de l’endroit où se situait le parc que je nai jamais vu ouvert. Je mis arrêtai pour y jeter un coup d’œil. Il était en rénovation. Je le trouvais magnifique. Avec sa barrière dune couleur turquoise et sa taille denviron un mètre. A l’intérieur de ce parc clôt, on pouvait admirer les beau arbres d’une multitude de couleur allant du vert au jaunâtre et du jaune au marron. Cette saison de l’automne qui débutait dotait les lieux d’une couleur paisible, accueillante, mystique… puis je me souvins de la raison de ma venue dans ce lieu. Je détournais mon regard pour me diriger vers la bibliothèque. Je venais tout juste de dépasser le parc il ne restait plus que cinq mètres entre moi et la bibliothèque ou je réfugiais pour éviter le regard des autres sur moi, moi la nouvelle venue. Soudain j’entendis des feuilles craquées comme si quelqu’un s’approchait de la barrière. Je fis volte-face et je ne vis rien du tout. Pensant que je devenais parano, je continuai mon chemin. Arrivée devant la bibliothèque, j’ouvris la porte d’entrée constituée de vitres, l’intérieur était comme je l’espérais VIDE….CALME. Je m’approchai du comptoir ou se trouvait une jeune Damme.
-bonsoir demoiselle Kelly ! Puis-je vous aider ? dit-elle d’une douce et belle voix qui s’harmonisait au calme ambiant.
-bonsoir madame Stanley, je voudrais vous emprunter un livre. Dis-je en étant tout aussi décontractée.
-évidemment ! Choisissez votre livre et revenez ici.
- merci, dis-je en lui tournant le dos.
Je me dirigeai alors vers de grandes étagères bourrées de livres tous rangés par ordre alphabétique. Ne sachant pas trop lequel choisir, j’entrepris de lire les titres et je trouvais enfin un qui me conviendrais “les hauts de hurlement “dewilliams Shakespeare.Après je me dirigeais de nouveau vers le comptoir de madame Stanley qui avait l’habitude de me voir trainer ici plutôt que dans les restos, les cinés, les bars où je ne sais quoi d’autre. En me voyant arriver avec un livre de la taille d’un dictionnaire, elle se mit à me sourire et ses yeux noisette en amande lui donnaient pas plus que la vingtaine. -encore un livre qui ne fait pas ton âge, dit-elle en me souriant de plus belle, tu n’es pas du tout comme les jeunes de ton âge. -merci du compliment, répondis-je en en lui rendant on sourire, mais la lecture est un véritable hobby pour moi. -je nen doute pas une seconde, dit-elle en enregistrant mon livre sur son ordinateur qui semblait usé, tu me le rendras dans un mois. -ou peut être même avant ! Bonsoir madame Stanley -au revoir et à bientôt ! Je pris congé de Mme Stanley, en me tournant vers la porte-vitre, j’entrevu mon reflet : j’étais grande (la taille normale), avec de longs cheveux bruns qui me tombaient jusqu’à ma taille, des yeux d’un bleu caraïbe encadrés de cils épais, des lèvres charnues avec une teinte de rose, des joues où se fondaient des fossettes au moindre sourire et qui devenait écarlate au moindre regard indiscret ou compliment, j’avais la peau de crème et de rose, vêtue d’ un jean noir et d’un tee-shirt
d’une couleur perle et au pieds je portais des converses noires a pois blancs. J’étais ce que les autres mecs appelaient“ UN CANON“ ce qui les intéressaient chez moi c’était mon physique. J’en ai eu la preuve avec Matt, mon ex-petit ami qui m’avait trompée avec une amie et fait bien pire encore. Lorsque je les ai surpris, j’ai pris la fuite. Il m’avait suivit et arrivé chez moi, au lieu d’essayer de s’excuser, il a essayé dabuser de moi. Heureusement que ma mère est entrée au bon moment et l’a chassé en le menaçant de prévenir la police. J’en avais été terrorisée. Depuis, je ne m’intéresse plus au garçon, je ne leur accorde donc plus aucune importance. Je me faisais remarquer des garçons de mon âge partout où je me rendais alors je préférais rester seule le plus souvent possible. Lorsque je fus dehors j’inspirai profondément l’air frais. Je jetai un regard furtif à ma montre pour me rendre compte qu’il était 21h05mn. « J’ai encore le temps », pensais-je. Je me dirigeais alors vers le parc. Soudain j’entendis beaucoup de bruits de côté du couloir en face du parc et lorsque je me tournai pour voir de il s’agit je vis un groupe de garçons qui s’avançaient vers moi en hurlant et en criant. Ils avaient l’air bourrés jusqu’aux yeux. Ils étaient au moins cinq, tous plus grands que moi. Ils s’avançaient et j’étais tellement terrifiée que j’en étais pétrifiée.
-eh ma jolie !, dit l’un d’entre eux, blond et avec un sourire malicieux, où tu vas comme ça ?
-viens jouer avec nous ma belle, dit l’un d’entre eux que je ne réussi à voir. Puis je sortis de ma stupeur et me remis à marcher un peu vite, ils accélérèrent le pas, et je me mis à
courir, ils me suivaient toujours. Je venais juste de dépasser le portail turquoise lorsque je trébuchai sur une pierre et je tombai à plat ventre sur une piste pleine de gravier et de grosse pierre, j’essayai de me relever mais je me rendis compte que le m’étais tordu la cheville et j’avais très mal. -q-q-que voulez-v-vous ? Dis-je en haletant -voyez- vous les gars ! Que voulons-nous ? Laisses moi réfléchir, me dit-il pendant que ses amis esclaffèrent, nous voulons…heu… duplaisir !
-alors allez le chercher ailleurs ! dit une voix qui n’appartenait pas aux individus qui m’encerclaient. Je sentais de plus en plus la douleur de ma cheville mais je tentais tant bien que mal de voir qui avait réussi à détourner l’attention de mes agresseurs. -qui es-tu ? dit le blond
-cela n‘a aucune importance, répondit la voix -peu importe, tu regretteras ton arrogance -je tremble de peur, rigola-t-il
Puis je me laisser tomber sur le sol car la douleur de ma cheville devenait de plus en plus insupportable. -va lui régler son compte à ce prétentieux Tom, dis le blond au brun à sa gauche. Celui-ci se rua sur la personne qui venait d’intervenir, je n’entendis alors que des coups et des gémissements de douleur. Et mon cœur se serra car ce qui
venait de se produire était de ma faute puis c’est avec un grand soulagement que j’entendis de nouveau la voix de l’inconnu…
-tu en as encore des plaisantins dans ce genre ? Bref, fin des enfantillages, lâchez-la ou vous allez le regretter dit-il dun ton réfrigérant.
Les autres paraissaient furieux. Ils mêlaient grognements à grondements. Cependant, ils prirent la menace au sérieux, et s’en allèrent. Bientôt le silence régna et mon souffle devint plus heurté. Puis j’entendis des pas venant dans ma direction, j’essayai de me relever sans y parvenir, cet effort me fit pousser un cri de douleur et je doutais qu’il n’y ait que ma cheville qui soit blessée.
-comment tu vas ? Tu peux te relever ? S’enquit l’inconnu tout en s’approchant et là je le vis : il était grand, avait des cheveux bruns en batailles qui lui tombaient presque sur les épaules, il avait de belles lèvres d’un rose à peine visible, ses traits étaient sans aucun défauts.
-non, je crois que je me suis foulée la cheville, répondis-je tout en le fixant.
Il s’accroupit pour examiner ma jambe, dès qu’il y posa sa main, je ressenti une douleur intense et j’étouffai un cri de douleur.
-hum, dit-il, comment tu t’es fais ça ?
-je suis tombée en essayant d’échapper à ces…au fait merci pour ton intervention.
-de rien, dit-il tout en fixant ma jambe.
Il avait une voix de velours à la voix captivante et …sensuel.
-tu habites loin d’ici ? reprit-il après un moment de silence.
-non, merci de m’avoir aidé mais je vais me débrouiller pour rentrer. Dis-je pour ne pas abuser de la de la générosité de mon sauveur inconnu.
-ne sois pas stupide, car tu n’en as pas l’air, dit-il en se tournant enfin pour me faire face.
Et… il était magnifique ! Il était tellement beau que j’en eu le souffle coupé. Il avait les yeux -d’un vert émeraude – encadrés par des cils fins qui lui donnait un regard ravageur, il avait un petit nez boudiné, sa peau était d’une couleur perle avec un soupçon de rose. Je ne trouvais pas les mots, ni pour le décrire ni pour objecter à sa proposition. Il se pencha vers moi et mon cœur se mit à battre la chamade, passa ses bras sous mon corps de sorte à pouvoir me porter et je sentis que je m’empourprai, il me souleva du sol aussi facilement que sil avait soulevé un bébé, et ma respiration devint de plus en plus saccadée. Je ne décrochai pas mon regard de son visage.
-alors tu m’indique le chemin, finit-il pas lâcher tout en se dirigeant vers la ruelle qui conduisait à ma maison. Nous gardâmes le silence tout le long du chemin. On s’approchait de ma maison lorsque je la lui montrai.
-oh ! T’es donc la nouvelle voisine, me dit-il en fronçant les yeux.
-pardon ? Dis-je complètement paumée. Voisine ?
-oui j’habite la maison juste à côté, répondit-il en me désignant la maison de droite. -ah ! Je m’appelle Kelly Wilson, dis-je tandis qu’il sonnait à ma porte. J’avais oublié l’heure que m’man m’avais fixé, elle devait être furax. Elle ouvrit la porte prête à me crier dessus lorsqu’elle se ravisât vu le tableau qui s’offrait à elle : sa fille ANTI-MEC, dans les bras d’un MEC. Alors elle posa la plus logique des questions : -qu’est ce qui t’es arrivé ?, dit-elle d’une voix anxieuse. -je sortais de la bibliothèque lorsque……je lui racontai toute l’histoire. -nom de Dieu, dit elle effrayée lorsque nous entrâmes dans le vestibule (moi toujours dans ses bras), j’opinai. -merci ….dit-elle en se tournant vers mon héro -Nick, Nick Rogers, répondit-il en adressant un sourire aimable à ma mère. C’était la première fois qu’il souriait et j’en fus immédiatement éblouie, de plus je connaissais enfin le nom de mon sauveur. -Nick accepteras-tu de diner demain soir avec nous pour te remercier, proposa ma mère. -non merci madame mais cela n’est pas nécessaire, répondit-il -j’insiste, rétorqua ma mère.
-hum… dans ce cas j’accepte, dit-il à mon plus grand bonheur. Je ne savais pourquoi mais je voulais absolument le revoir. -demain 19h30, ça te va ?
-oui madame. S’il vous plaît où puis-je la poser ? demanda-t-il poliment.
-oh ! Excuse moi, pose la dans sa chambre à l’étage, elle t’indiquera où c’est. Je ne lui accordai aucune attention car j’étais focalisée sur le fait que Nick allait pénétrer dans ma chambre. Il se dirigea vers les escaliers, monta les marches puis on arriva dans un couloir avec plein de portes. -laquelle est ta chambre ? demanda-t-il. -c-c’est la t-t-troisième s-s-sur ta gauche, balbutiai-je. J’avais l’air idiot et je le savais. Il rit doucement et je devins de plus en plus écarlate.
-tu dois me trouver bizarre ! Dis-je gêné. Mais il ne répondit même pas. Il était vraiment mystérieux. Devant ma chambre, il tourna le poignet de verre de ma porte, et entra. Il s’approcha de mon lit et m’y posa avec une certaine douceur puis il voulut s’en aller mais je le retins par la main, il me dévisagea avec étonnement, alors je me rapprochai de lui. Très lentement et avec une grande douceur je posai mes lèvres sur ses joues, les yeux toujours fermés je chuchotai un merci à ses oreilles. Je devais être aussi rouge qu’une tomate car il me regarda dans les yeux, posa sa main sur ma joue et je ne
m’empêcher d’appuyer ma tête contre sa paume, il caressa mes pommettes et rit doucement, se leva et madressa un sourire en biais-qui me coupa le souffle-avant de s’en aller. Pendant un instant j’eu l’impression que mon cœur sortirait de ma poitrine tant il battait fort. Je me laisser tomber sur le lit en soupirant. Mais que m’arrivait-il ? Pourquoi avais-je fait cela ? Mais surtout pourquoi ce garçon brun aux yeux verts me faisait me sentir toute bizarre ? Pourquoi je voulais être près de lui ? Puis je me rendis compte que je le voulais. Je le désirais ardemment, je voulais qu’il soit MIEN, et je voulais lui appartenir. Mais je m’interdis de tomber amoureuse car les mecs sont là pour vous faire souffrir or je ne veux pas souffrir encore moins pleurer pour un homme quel qui soit. Sur ce je m’endormie.
2.
Je me réveillai dans ma chambre éclairée par les rayons du soleil. Quelques minutes plus tard, ma mère entra dans ma chambre avec un plateau en main.
-Bonjour ma chérie ! Tu as bien dormie ? -lu m’man ! Oui ça va à part ma jambe qui me fait un mal de chien ! -je sais, je sais ! Je viens d’appeler le docteur weber. Il vient dans environ une heure. Donc mange ! me dit-elle en posant le plateau devant moi. -d’accord m’man ! Elle me laissa alors seul. Puis comme je m’en doutais je me remis à penser à Nick, à ses yeux émeraudes, et… « NON, je ne doit pas penser à lui ! » pensais-je. Puis je me mis à manger sans beaucoup d’appétit. Je mangeai la moitié de mon plat lorsque ma mère frappa en m’annonçant que le médecin était là. -vous pouvez entrer, dis je. --bonjour demoiselle, me dit le docteur -salut ! Répondis-je la tête ailleurs.il m’examina et fixa un plâtre que j’étais sensé garder une semaine. - au revoir docteur. - au revoir mademoiselle, et n’oublie pas, pendant une semaine. -D’accord, dis-je agacée garder ce plâtre toute une semaine n’était pas un perceptif alléchant pour moi car j’allais devoir rester à la maison- heureusement – je pouvais descendre. Sachant que j’étais condamnée à une semaine à la maison,
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