La Bilble Lacanienne commentée par S Zizek ( fr - ang )
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Description


Slavoj Zizek
Pourquoi Freud compléter le mythe d'Œdipe avec le récit mythique de la «père primordial" dans Totem et Tabou (T & T)?
Why did Freud supplement the Oedipal myth with the mythical narrative of the "primordial father" in Totem and Taboo (T&T)? The lesson of this second myth is the exact obverse of the Oedipus: far from having to deal with the father who, intervening as the Third, prevents direct contact with the incestuous object (thus sustaining the illusion that his annihilation would give us free access to this object), it is the killing of the father, i.e., the very realization of the Oedipal wish, which gives rise to symbolic prohibition (the dead father returns as his Name).
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Langue Français

Extrait

la question de alf roamitnov io uci oneosppioitaL n nacsuoRgnate quet des celquédarnois sepitnollneonrs jui qesèpse'l enetta ererp taeiedtnv toure et vnte lectseuq....r sorame aisc ve J.«sue  »idne snAicel sers onti volsait te ,tnalrehtnoManac Luesqai sje ne llocitceannoes lis lt aiuttoarer sterpcéeisunt les éditions neréfér A xua ecraSe. eslae -cisd Reuterna guotses etrid lect landpoceancoe esrrripsnu e iuqni'm de Thye festinsneeca xu? R férémal 'iqut aiorgni iuq iulec ,etsde Rèse a thts.Lfnnasee tis gnae dontinibes uieperul elli is ettang oustan s:Lac tomreiai'antrd e  ce quntsoes sfne stna'uq « lil ne senourrissatip sad  easovriEIDÉGART AL ERTNESNSFEDÉS LET  ENI T .OPeg» m naES ERENCIFFÉDE Ditoh euq uaycyspa  lrvpeé axrsveSEQ IUISP REEVSR : un noGNIFIENTs ioovrisees t'lle qrdiae saue litidnoceomirp no aonsiermmcoc ve : «'Cse topruuqenne comme suit 'l slocéaL einacientDél.nifionssillut l'nnansedoét ,coéines ne tuproeg rses teyslanahcysp sel iois chacutous, marehcne tli serhcrslou' qseri ant slioéhtnois'uq e etéoria the. Lpeulerd édill  ee stri t :rseusi enu ertne xiohcoi avec n pour ssaemes tes saftnioat unsllhainucu sruqinid nuocsr féd seec sréne dità lathéoe « 'J ."eirrocne ias inmoe voou plespcyohesf arcneh et une psychosetrapeéga te vuost enlmcoéeatar ptneuqnam iuq sepdus les pat on srpsosi e suqtanaharles cis l, ma euqs eduq ànocietrme tr dirpee sec  eeneh.seCtr des myte passer C AesnéI QUX EUod seéssitsed tn DOU QUI ACETENTHCNEHCREECXU T Amp'iteorui qn', nret tneavedn tns remarques adremioptr euqio .eLinpo'etd'y ni  atni'rpreuerrd srisir en e de platnq 'ulioslugian ast'e.CNTIERO Cpicnirp ud mon uNT EENSEUI PUX QQ IUECXU N A TONnetérp esap tnad oi ntétaeld us rnataestien nire 
enseigner, dire le faux du vrai, mais simplement faire état de mesmodestes lectures.« Aucun psychanalyste ne peut aider son patient à aller plus loinqu'il n'a été lui-même dans sa propre analyse » L'analyste qui aura négligé de se faire analyser sera puni par sonincapacité à dépasser un certain niveau de connaissance en analysantses patients et par le risque de nuire à autrui.Certes, ces réflexions générales sont pertinentes mais j'ai une autreperspective de l'analysant et de son désir d'analyse : c'est lorsd'une cure la possibilité de l'analysant éprouvera le sentiment de «passer de l'autre côté de la barrière », de devenir lui-même analyste.Son analyste peut alors faire germer cet espoir et de le diriger versune analyse didactique en parallèle avec sa propre analyse.tassigny frans-------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------1.“Si nous avons suivi Lacan, écrit François RoustangD'après une lecture de :François Roustang, Lacan, de l’équivoque à l’impasse, Paris, Les Editions de Minuit, 1986“Si nous avons suivi Lacan, écrit François Roustang, c’est qu’il a été un prestidigitateur de génie" (Roustang,p. 12) Ainsi toute la théorie de Lacan n’est-elle qu’une fumisterie, et puisqu’elle a prétendu à la Vérité, unevéritable tromperie. L’auteur nous explique qu’au départ, Lacan avait réussi à ouvrir sur son dehors, sur lesautres disciplines savantes et sur le tout de la culture ; puis de cette phase d’ouverture nous sommes passésà une phase où la théorie analytique se serait refermée sur l’ensemble des connaissances, prétendant lesdominer. Un des aspects de cette “méchanceté” de Lacan, affectant cette fois ses proches et son Ecole, tientà ce que “Lacan a voulu demeurer celui qui était supposé savoir" (p. 14). Rappelons que la “supposition dusavoir” est l’autre nom du transfert opéré par l’analysant sur l’analyste à qui s’adresse sa demande, ce quibien sûr a pour effet immédiat d’interdire toute communication d’égal ou égal Lacan aurait donc fait perdurerce lien propre à l’analyse entre sa personne et les membres de son Ecole, à seule fin d’assurer sa maîtrise. Sil’on admet cet argument (un peu simpliste, reconnaissons-le), il n’est pas difficile de relever une contradictionabsolue entre la volonté de maîtrise et ce qui devrait être le désir de l’analyste, à savoir justement ne jamaisêtre vraiment là où l’analysant le suppose. Toute la chicane repose sur le fait que les places respectives del’enseignant et du psychanalyste sont inconciliables, alors que Lacan aurait justement tenté de les confondre.Pire il aurait tenté de valider son savoir par sa position d’analyste, ne recevant aucune critique, n’acceptantaucun dialogue. Dans le principe, l’argument de cette critique est fondé. Cependant il paraît fragile carreposant sur des faits qui restent à eux-mêmes à critiquer et à interpréter. On nous demande d’admettre, defait, que Lacan occupait intentionnellement et sans vergogne ces deux places pour un certain public. Mais
n’était-il pas contingent (et aussi bien inévitable) qu’une bonne partie de ce public fût en même temps analysépar Lacan ? Concernant la “tromperie” supposée, de deux choses l’une : ou bien Lacan savait ce qu’il disait(cela semble acquis !) mais savait aussi, pour diverses raisons, tenir à distance son public (son style élliptique,énigmatique, son côté maître zen) ; ou bien il “bluffait” ou tout au moins se complaisait à entretenir laconfusion et l’équivoque, laissant croire qu’il savait. Mais on ne peut pas se contenter de supposer la feinte ;le seul moyen de savoir est d’y aller voir et d’étudier ce que dit Lacan.Quoi qu’il en soit, Roustang (avec d’autres) omet de faire une distinction capitale, qui est la véritable solutionde ce problème en quelque sorte “politique” : il faut séparer d’un côté l’Ecole de Lacan, et de l’autre sonséminaire Ce qui se passe lors du séminaire peut bien connaître les impasses spécifiques de la maîtrise, del’illusion du discours, etc ; ce qui se produit dans l’Ecole connaît les inconvénients majeurs mais classiquesde toute institution et de toute administration, essentiellement le centralisme. On ne peut pas confondre cesdeux problèmes en un seul qui aurait comme cause ou même comme nom principal: Lacan. Par ailleurs on nepeut pas demander à la psychanalyse de s’enseigner et de s’administrer comme n’importe quel savoir,c’est-à-dire dans un cadre institutionnel classique et “républicain”, puisqu’elle n’est pas un savoir rajouté à lasomme des savoirs, ni une nouvelle matière, mais une théorie (et une pratique) nouvelle. Une théorie qui estbien obligée de militer pour sa cause, elle-même étant d’ailleurs sa propre cause. On ne peut guère luidemander l’“objectivité” ! Il est bien normal qu’un psychanalyste adhère aux thèses principales de lapsychanalyse, plus précisément aux thèses lacaniennes dans le contexte que nous décrivons. Mais Roustangpense que “les analystes exigent de tout critique qu’il ait fait une psychanalyse. Ainsi espèrent-ils que le cerclerestera vicieux" (p. 16). Il y a bien un “principe d’analyse suffisante” qui sous-entend que personne, en réalité,ne peut échapper à la psychanalyse et qui conditionne effectivement la validité des positions théoriques àl’expérience préalable de la cure ; mais nous savons aussi que ce principe existe beaucoup plus puissammentencore et sous des formes bien plus aliénantes dans le “sens commun” et dans la philosophie en tant quesens commun “supérieur”.Mais selon certains Lacan aurait aggravé encore la suffisance habituelle de la psychanalyse en n’acceptantpas la réplique, pire en ayant créé les conditions de son impossibilité. Mais une nouvelle fois, de quoi parlet-on ? De ce lieu d’enseignement qu’on appelle “séminaire” ? Mais quel enseignant ne pose-t-il pas a priorison discours comme vrai? Disons clairement qu’un séminaire, du moins dans la tradition philosophique quereprend ici Lacan, n’est pas un lieu de recherche collective et d’“échanges fructueux” car il n’a pas pourvocation la recherche, justement, mais l’enseignement. Parle t-on de l’Ecole ? C’est alors un lieu derecherche, et c’est bien ainsi que Lacan l’a conçue et en a prévu le fonctionnement. Ce n’est pas un simplelieu de transmission du savoir, mais un lieu de production : production de travail et de savoir. On dira pourtantque dans l’Ecole de Lacan, il faut adhérer aux thèses du maître! Certes, l’école de Lacan est l’école de Lacan,ce n’est pas l’école de la République : nul n’est obligé d’y entrer. Dès 1964 Lacan a produit un véritableconcept de l’“Ecole” pour répondre à deux questions essentielles. “Pour traiter de la première question,“qu’est-ce que la psychanalyse ?”, Lacan a inventé le cartel, pour la seconde, “qu’est-ce qu’unpsychanalyste ?” il a inventé le dispositif de la passe." (J.-C. Razavet, in La lettre mensuelle de l’E.C.F., Juin95). L’Ecole rassemble un certain nombre de sujets décidés à travailler ces questions “ensemble”, enconjurant à la fois les méfaits de l’isolement et de la maîtrise: telle est précisément la fonction du cartel avec leprincipe du “plus-un” (cinquième membre assurant une sorte de maîtrise “faible”, ni censeur ni organisateur,tout au plus coordinateur du travail…). “La notion de concept d’école est née à mon sens de la transformationd’une crise imaginaire groupale en crise de travail" (id.). La “passe”, quant à elle, est une invention de Lacan :à la fois une idée, un mécanisme et aussi matériellement un cartel spécial destiné à régler et promouvoir àl’infini la production d’analystes.Mais F Roustang critique globalement la notion de “transfert de travail” qui prévaut dans l’Ecole de Lacan, àla manière du cartel ou de la passe. Cela correspondrait à une généralisation abusive et dangereuse dutransfert comme pratique/théorie, allant de pair avec la notion de “psychanalyse pure” (c’est-à-dire-didactique)défendue par Lacan en 64, au-delà et surtout au détriment de la visée initialement thérapeutique de lapsychanalyse. Pour beaucoup encore, le but de la psychanalyse devrait être de soigner des malades et nonde contaminer tendanciellement tout le tissu social en engageant chaque analysant à devenir analyste... Eneffet la psychanalyse pure n’est rien que passage du psychanalysant au psychanalyste. Le transfert estpremier, auto-suffisant, et Lacan dénigre la thérapie comme telle : “Observai-je en effet qu’il n’y a aucunedéfinition possible de la thérapie, si ce n’est la restitution d’un état antérieur ? Définition justement impossibleà fixer dans la psychanalyse" (J. Lacan, “Proposition du 9 octobre 1967 sur le psychanalyste de l’Ecole”). Lecritique se demande alors si généraliser et perpétuer le transfert, faisant “travailler” ainsi à perte de vue letransfert, ne revient pas à placer éternellement les signifiants lacaniens en position de grand Autre. Il soulignel’ambiguïté frappant ceux que Lacan distingue en 1964 comme “Analystes de l’Ecole” (par oppositions aux“simples” membres praticiens), car cela conduit dans la foulée à distinguer les “vrais” passants, ceux qui ontdécidé de “suivre” Lacan. Or, “Pas moyen de me suivre sans passer par mes signifiants" prévient Lacan. D’oùl’ambiguïté et finalement l’échec, selon certains, de ce procédé de la passe où l’analysant (parfois déjà
analyste) est invité initialement à témoigner de son “passage au désir d’être analyste”. Car le désir d’êtreanalyste ne se distingue plus vraiment de l’envie d’être analyste de l’Ecole ; et le passage ne peut plus guèretémoigner, au mieux que de l’assimilation d’un enseignement, au pire du ralliement à une croyance. “Devenir‘Analyste de l’Ecole’, c’est pouvoir témoigner que son analyse a été la mise en acte de la doctrine de Lacan”écrit assez durement Anne Levallois. L’idéal de la passe est repris avec le mathème qui garantit l’unité de latransmission. Mais la véritable unité de la doctrine comme de sa transmission est assurée par le nom mêmede Lacan. Lequel l’avoue lui-même : “Le seul nom propre dans tout ça, c’est le mien. L’extension de Lacan ausymbolique, à l’imaginaire et au réel, c’est ce qui permet à ces trois termes de consister" (J. Lacan, LeSéminaire, Livre XXIV, L’insu que sait de l’une-bévue s’aile à mourre, séance du 16 novembre 1976). Ainsi lenom de Lacan et sa “nomination “en doctrine (RSI) se prêtent-ils aux “fidèles” pour un transfert où la névrosedes uns est intégrée et dépassée dans la névrose de l’Autre : à savoir cette communauté culturelle (au fondtoujours névrosée) qu’est la psychanalyse. Au bout du compte, on peut craindre que la “question de l’origine”propre à chaque analysant se déplace avec la psychanalyse pure sur le terrain d’une question plus théorique :celle du rapport originel entre chaque analysant/analyste et “La” psychanalyse. Rapport qui risque dedemeurer inanalysé tellement il confine au sacré.Cependant il convient de relativiser ces critiques qui font cercle, beaucoup plus qu’il n’y paraît, avec leurcible Si l’on s’en tient au dernier point, la soit-disant confusion du champ analytique avec le signifiant“Lacan”, il est bien difficile de l’attribuer à Lacan lui-même, à son idéal de “pureté” ou à son théoricisme. A côtédu “grand” Autre il y a les “petits” autres, non moins idéalistes ! Il est bien vrai du reste que le problème dusignifiant “Lacan” est l’indice d’un problème majeur se posant à la psychanalyse tout entière : celui de lathéorie comme enjeu analytique, et/ou de la psychanalyse comme enjeu théorique. Si cette question met malà l’aise les tenants d’une pratique plus thérapeutique (plus originelle?), ne peut-on retourner leur argumentcontre eux et les soupçonner de chercher une pureté, une simplicité de l’expérience analytique n’existant nullepart ? A la fois surestimation de l’expérience et sous-estimation du discours analytique, dont l’impact socialn’est ni à craindre ni à désirer car déjà bien réel et de toute façon inévitable. L’on ne s’en rendra compte que sil’on met sur un pied d’égalité le discours analytique et le discours philosophique, et si l’on s’aperçoit de laconcurrence radicale à laquelle ils sont entrain de se livrer. On s’étonnerait moins alors de l’aspect proliférant,appropriant, contaminant d’un tel discours analytique prétendant faire lien social ; surtout l’on remarqueraitque ses prétentions “hégémoniques” ne sont pas pires que celles de son concurrent philosophique (dont lediscours de la science) qui règne sans partage — n’était son symptôme : justement l’analyse — sur le mondemoderne. Cela ne veut pas dire que le discours analytique ne fasse pas partie finalement de la penséephilosophique, une entité plus puissante que lui et à laquelle il collabore. Mais — pour terminer ce point —Roustang voit dans le discours analytique et sa surexploitation lacanienne une contradiction simple,horriblement éloignée de la pratique thérapeutique ; bref une aberration. Le succès même de Lacan estimputable à ses excès de discours mais l’échec de sa pratique est patent. Pour Roustang, Lacan érige lapratique des équivoques et des provocations discursives en un véritable “principe d’incohérence”. Passonssur le fond de la position théorique de Roustang qui, en vérité, n’admet pas l’inconscient freudien et ne peutpas plus adhérer au credo lacanien : “l’inconscient est structuré comme un langage”. Pour lui il y a là unsophisme qui voudrait imposer une définition de l’inconscient à partir de son mode de dévoilement, enl’occurrence le langage. Mais l’argument de cette critique est insuffisant, voire philosophiquement périmé :effectivement, il n’y a pas de vérité en dehors du dévoilement de la vérité, et l’inconscient freudien est unehypothèse forgée à partir de ses multiples dévoilements. Lacan chercherait l’incohérence pour l’incohérence,en surréaliste, et penserait ainsi être fidèle à la découverte freudienne de l’inconscient. Formellement, ceprincipe d’incohérence comprendrait deux aspects logiques : celui de l’équivoque et celui de l’unilatéralité. “Al’escamotage généralisé de l’équivoque se conjoint l’affirmation tranchée et suffisante de l’unilatéralité" (p.115). La première permet d’abolir les frontières entre les domaines les plus hétérogènes, puisqu’ellethématise toutes les frontières; la seconde permet à la psychanalyse de se retrancher, de s’excepter du“semblant” généralisé et de “traiter” celui-ci sans que la moindre réciproque soit envisageable. Finalement toutceci rappelle bien la psychose. Le lacanisme est présenté comme un “délire scientifique”, plus délirantd'ailleurs que scientifique..._______________________________________________________________________________________________________________________________________________________________________L‘ordinaireLieu d’accueil pour des paroles qui n’ayant pu se dire ou n’ayant pas reçu de réponses ont été écrites.Fabriquer un lieu de parole où celle-ci ne serait pas à prendre. Où elle tournerait pour éviter que l’on
puisse à l’ordinaire prendre rang, en étant prié de laisser son nom au vestiaire.L’ordinaire n’est pas un fantasme de pouvoir mais de vérité.PrésentationL'Ordinaire du Psychanalyste est une revue qui a été fondée en 1973 parFrancis Hofstein et moi-même, alorsque nous étions tous deux membres de l'Ecole Freudienne de Paris. Elle a une valeur à la fois sentimentale ethistorique : après avoir averti Jacques Lacan, directeur de l'Ecole Freudienne, de notre projet de publicationsnon signées, nous nous sommes lancés dans l'aventure qui allait au-delà de l’anonymat de la revue Scilicetque dirigeait Jacques Lacan lui-même. Le dogmatisme avait déjà commencé à régner et la course au meilleurélèvede Lacan était telle que s'est imposée à nous la nécessité de donner la parole, une parole libre et parfoisnaïve, à tous ceux qui souffraient de l'orthodoxie, ce qui n'a été possible que grâce à la non signature destextes. La plupart de ceux qui ont écrit ont pu, après-coup, assumer le contenu de leurs écrits.Non seulement les textes n'étaient pas signés, mais il n'y avait pas de directeur de publication, seul le prénomde Freud, Sigismund,apparaissait à ce titre.Aucune censure et aucune sélection n'avaient lieu, à l'exception durefus de textes calomniant nommémentune personne. Il y a eu dumeilleur et du pire. Malheureusement, nous n'avons pas pu fairerééditer l'ensembledes textes, et la revue est aujourd'hui introuvable.Francis Hofstein et moi-même avons décidé de mettre un terme àl'aventure au moment où une crises'ébauchait à l'intérieur de l'EcoleFreudienne et où on ne pouvait plus entrer dans la bataille qu'àvisagedécouvert.Figurent ici l'ensemble de mes seuls textes publiés dans cette revue.Seul le dernier texte est une co-écritureavec Francis Hofstein.ScilicetScilicetDocuments (Référence)Article :Introduction de Scilicet au titre de la revue de l'Ecole freudienne de Paris / LACAN Jacques.Scilicet, 1968, n° n°1. - p. 3-13Article :Proposition du 9 octobre 1967 sur le psychanalyste de l'Ecole / LACAN Jacques. Scilicet, 1968,n° n°1. - p. 14-30Article :La méprise du sujet supposé savoir / LACAN Jacques. Scilicet, 1968, n° n°1. - p. 31-41Article :De Rome 53 à Rome 67 : La psychanalyse : raison d'un échec : au " Magistero " del'Université de Rome, le 15 décembre 1967 à 18 heures, en la présence de notre ambassadeur / LACANJacques. Scilicet, 1968, n° n°1. - p. 42-50Article :De la psychanalyse dans ses rapports avec la réalité : à l'Institut français de Milan, le 18décembre 1967 / LACAN Jacques. Scilicet, 1968, n° n°1. - p. 51-59Article :La phase phallique et la portée subjective du complexe de castration / NON SIGNÉ. Scilicet,1968, n° n°1. - p. 61 à p. 84Article :Bisexualité et différence des sexes / NON SIGNÉ. Scilicet, 1968, n° n°1. - p. 85-96Article :Note sur la menace de castration, ou du cheminement de la vérité dans l'inconscient / NON
SIGNÉ. Scilicet, 1968, n° n°1. - p. 97-102Article :Le moment du retour, comme phase éclipsante et mutante du sujet / NON SIGNÉ. Scilicet,1968, n° n°1. - p. 103-119Article :Introduction critique à l'étude de l'hallucination / NON SIGNÉ. Scilicet, 1968, n° n°1. - p. 120-135Article :Essai sur la signification de la mort par suicide / NON SIGNÉ. Scilicet, 1968, n° n°1. - p. 135-146Article :A propos du Moïse / NON SIGNÉ. Scilicet, 1968, n° n°1. - p. 147-152Article :Fétichisation d'un objet phobique / NON SIGNÉ. Scilicet, 1968, n° n°1. - p. 153-167Article :A propos de psychopathologie africaine ou d'ailleurs. Scilicet n°1, Documents cliniques, pp.168-172. / NON SIGNÉ. Scilicet, 1968, n° n°1. - p. 168-172Article :Notes prises aux présentations de malades du Dr. Lacan à l'hôpital Sainte-Anne / NON SIGNÉ.Scilicet, 1968, n° n°1. - p. 173-177Article :Sur " Le problème de la valeur en psychanalyse ", par James W. Daley, Diogène,juillet-septembre 1967 / NON SIGNÉ. Scilicet, 1968, n° n°1. - p. 178-180Article :Un débat peu rassurant / NON SIGNÉ. Scilicet, 1968, n° n°1. - p. 191Article :Sur le numéro " Freud " de la revue " L'Arc " : 1968 / LACAN Jacques. Scilicet, 1968, n° n°1. - p.191Article :Liminaire : en manière d'excuse à l'Ecole : présentation du numéro / LACAN Jacques. Scilicet,1970, n° n°2/3. - p. 3-6Article :Discours à l'E.F.P./ LACAN Jacques. Scilicet, 1970, n° n°2/3. - p. 9-29Article :Principes concernant l'accession au titre de psychanalyste dans l'Ecole freudienne de Paris :dite par la suite : proposition A / COLLECTIF. Scilicet, 1970, n° n°2/3. - p. 30-33Article :Le jury d'accueil à l'assemblée générale des 25-26 Janvier 1969 / COLLECTIF. Scilicet, 1970, n°n°2/3. - p. 34 -38Article :Proposition concernant la garantie de formation dans l'Ecole freudienne de Paris: PropositionB : présentée à l'assemblée générale de l'EFP janvier 1969 / NON SIGNÉ. Scilicet, 1970, n° n°2/3. - p.39-41Article :Proposition présentée par A.T. Abdouchéli: Proposition C : présentée à l'assemblée généralede l'EFP janvier 1969 / ABDOUCHELI A. T.. Scilicet, 1970, n° n°2/3. - p. 41-44Article :Principes concernant l'accession au titre de psychanalyse dans l'Ecole freudienne de Paris :texte dit par la suite : proposition A / COLLECTIF. Scilicet, 1970, n° n°2/3. - p. 34-38Article :Propositions pour la discussion / FAURE J.-L. ; BORDIGONI D. ; AUBRY Jenny. Scilicet, 1970, n°n°2/3. - p. 44-46Article :Petit discours critique sur une utilisation possible de l'E.F.P. / OURY Jean. Scilicet, 1970, n°n°2/3. - p. 46-49Article :Adresse du jury d'accueil à l'assemblée avant son vote, le 25 janvier 1969 / COLLECTIF.Scilicet, 1970, n° n°2/3. - p. 49-51
Article :Lettre à l'adresse du directeur / CASTORIADIS-AULAGNIER Piera ; PERRIER François ;VALABREGA Jean-Paul. Scilicet, 1970, n° n°2/3. - p. 51Article :Lettre à l'adresse du directeur / PERRIER François ; VALABREGA Jean-Paul ;CASTORIADIS-AULAGNIER Piera. Scilicet, 1970, n° n°2/3. - p. 51 à p. 0Article :Radiophonie : entretien diffusé par la RTB les 5, 10, 19, 26 juin 1970, repris par l'ORTF,France-Culture, le 7 juin 1970 / LACAN Jacques. Scilicet, 1970, n° n°2/3. - p. 55-99Article :Le clivage du sujet et son identification / NON SIGNÉ. Scilicet, 1970, n° n°2/3. - p. 103-136Article :Avoir et s'approprier / NON SIGNÉ. Scilicet, 1970, n° n°2/3. - p. 137-148Article :Individu et structure de groupe / NON SIGNÉ. Scilicet, 1970, n° n°2/3. - p. 149-165Article :Introduction à la topologie des formations de l'inconscient / NON SIGNÉ. Scilicet, 1970, n°n°2/3. - p. 169-194Article :Condensation et déplacement: une élucidation / NON SIGNÉ. Scilicet, 1970, n° n°2/3. - p.195-220Article :Pour une logique du fantasme / NON SIGNÉ. Scilicet, 1970, n° n°2/3. - p. 223-273Article :Poids et mesure du nom / NON SIGNÉ. Scilicet, 1970, n° n°2/3. - p 274-282 .Article :Paraphrase de « Kant avec Sade » / NON SIGNÉ. Scilicet, 1970, n° n°2/3. - p. 283-324Article :Le vrai lieu d'Europe / NON SIGNÉ. Scilicet, 1970, n° n°2/3. - p. 327-340Article :Du clerc et de son masque. Observations sur la charge historique de l'institutionuniversitaire / NON SIGNÉ. Scilicet, 1970, n° n°2/3. - p. 341-348Article :Casque - de - Bronze : itinéraire psychothérapique avec un psychotique / NON SIGNÉ. Scilicet,1970, n° n°2/3. p. 351-361-Article :La mère et l'argent / NON SIGNÉ. Scilicet, 1970, n° n°2/3. - p. 362-370Article :Allocution prononcée pour la clôture du congrès de l'Ecole freudienne de Paris le 19 avril1970, par son directeur / LACAN Jacques. Scilicet, 1970, n° n°2/3. - p. 361-369Article :... ou pire : compte rendu pour l'Annuaire de l'Ecole pratique des Hautes Etudes du Séminairede l'année 1971-72 / LACAN Jacques. Scilicet, 1975, n° n°5. - p. 5-10Article :Introduction à l'édition allemande d'un premier volume des « Ecrits » : Walter Verlag / LACANJacques. Scilicet, 1975, n° n°5. - p. 11-22Article :Les lieux du réel I : les lieux de l'impossible / NON SIGNÉ. Scilicet, 1975, n° n°5. - p. 23-28Article :Les lieux du réel II. Le sujet et l'acte sexuel: une affaire de Réel / NON SIGNÉ. Scilicet, 1975, n°n°5 - p. 29-44.Article :L'ancestrale régit-elle la chaîne signifiante? : questions et recherches sur l'ordre dusignifiant / NON SIGNÉ. Scilicet, 1975, n° n°5. - p. 45-60Article :Prédication et ordination : questions et recherches sur l'ordre du signifiant / NON SIGNÉ.
Scilicet, 1975, n° n°5. - p. 61-90Article :La sexualité féminine dans la doctrine psychanalytique / NON SIGNÉ. Scilicet, 1975, n° n°5. - p.91-104Article :L'alcoolisme II : approche clinique / NON SIGNÉ. Scilicet, 1975, n° n°5. - p. 105-110Article :Le geste du paiement : approche clinique / NON SIGNÉ. Scilicet, 1975, n° n°5. - p. 111-124Article :Une paternité : approche clinique / NON SIGNÉ. Scilicet, 1975, n° n°5. p. 125-134-Article :Du terminable dans une cure analytique avec un enfant : remarques sur la psychanalyse desenfants / NON SIGNÉ. Scilicet, 1975, n° n°5. - p. 135-140Article :L'enfant du Docteur : remarques sur la psychanalyse des enfants / NON SIGNÉ. Scilicet, 1975,n° n°5. - p. 141-146Article :Une famille, un nom : remarques sur la psychanalyse des enfants / NON SIGNÉ. Scilicet, 1975,n° n°5. - p. 147-152Article :La psychologie de la femme, de Karen Horney, Payot / NON SIGNÉ. Scilicet, 1975, n° n°5. - p.153-158Article :Scène primitive et perversion sexuelle, de Joyce Mc Dougall / NON SIGNÉ. Scilicet, 1975, n°n°5. - p. 159-167Article :Médecins d'enfants, de Ginette Raimbault/ NON SIGNÉ. Scilicet, 1975, n° n°5. - p. 168-174Article :L'écrivain, l'écriture et l'enfant : essais / NON SIGNÉ. Scilicet, 1975, n° n°5. - p. 175-200Article :Une « corps est-ce pont danse » à ouvrir : essais / NON SIGNÉ. Scilicet, 1975, n° n°5. - p.201-218Article :Contribution à l'étude de l'histoire du mouvement psychanalytique / NON SIGNÉ. Scilicet,1973, n° n°4. - p. 325-243Article :Une étude : la remarquable famille Schreber / NON SIGNÉ. Scilicet, 1973, n° n°4. - p. 287-321Article :Une remarque en plus / NON SIGNÉ. Scilicet, 1973, n° n°4. - p. 283-284Article :Le fantasme dans la doctrine psychanalytique et la question de la fin de l'analyse / NONSIGNÉ. Scilicet, 1973, n° n°4 - p. 243-282.Article :Autour de la passe / NON SIGNÉ. Scilicet, 1973, n° n°4. - p. 229-239Article :Faire la théorie de la didactique / NON SIGNÉ. Scilicet, 1973, n° n°4. - p. 191-227Article :Le meurtre de l'enfant et l'impasse des civilisations / NON SIGNÉ. Scilicet, 1973, n° n°4. - p.167-188Article :Essai pour une clinique psychanalytique : l'alcoolique / NON SIGNÉ. Scilicet, 1973, n° n°4. - p.161-166Article :Contribution à la psychanalyse du transsexualisme / NON SIGNÉ. Scilicet, 1973, n° n°4. p.-137-159
Article :L'infini et la castration / NON SIGNÉ. Scilicet, 1973, n° n°4 - p. 75-133.Article :Commentaire de l'intervention, en forme de lettre adressée au docteur Lacan : 18 juin 1972 /NON SIGNÉ. Scilicet, 1973, n° n°4. - p. 64-73Article :Texte parlé de l'intervention faite le 14 juin 1972 par un assistant au Séminaire du docteurLacan à la faculté de Droit, Paris I / NON SIGNÉ. Scilicet, 1973, n° n°4. - p. 55-63Article :L'Etourdit / LACAN Jacques. Scilicet, 1973, n° n°4. - p. 5-52Article :Liminaire / NON SIGNÉ. Scilicet, 1973, n° n°4. - p. 3Article :Conférences et entretiens dans les universités américaines : Yale University, Kanzer Seminar,24 novembre 1975 / LACAN Jacques. Scilicet, 1976, n° n°6/7 - p. 7-31.Article :Conférences et entretiens dans les universités américaines : Yale University, 24 novembre1975 : entretien avec des étudiants : réponses à leurs questions / LACAN Jacques. Scilicet, 1976, n°n°6/7. - p. 32-37Article :Conférences et entretiens dans les universités américaines : Yale University, Law SchoolAuditorium, 25 novembre 1975 / LACAN Jacques. Scilicet, 1976, n° n°6/7. - p. 38-41Article :Conférences et entretiens dans les universités américaines : Columbia University :Auditorium School of International Affairs, 1er décembre 1975, " Le symptôme " / LACAN Jacques.Scilicet, 1976, n° n°6/7. - p. 42-52Article :Conférences et entretiens dans les universités américaines : Massachusetts Institute ofTechnology, 2 décembre 1975 / LACAN Jacques. Scilicet, 1976, n° n°6/7. - p. 53-61Article :Conférences et entretiens dans les universités américaines : 2 décembre 1975, " Impromptusur le discours analytique " / LACAN Jacques. Scilicet, 1976, n° n°6/7. - p. 62-63Article :Le plaisir et la règle fondamentale / NON SIGNÉ. Scilicet, 1976, n° n°6/7. - p. 67-80Article :Temps et effets de temps dans l'analyse / NON SIGNÉ. Scilicet, 1976, n° n°6/7. - p. 81-110Article :L'acting-out, réalisation d'une réponse, production de l'inconscient / NON SIGNÉ. Scilicet,1976, n° n°6/7. - p. 111-126Article :Jouissance et division / NON SIGNÉ. Scilicet, 1976, n° n°6/7. - p. 129 à p. 141Article :Die Verpönung, l'opprobe / NON SIGNÉ. Scilicet, 1976, n° n°6/7. - p. 142-156Article :L'autre psychanalyse ? / NON SIGNÉ. Scilicet, 1976, n° n°6/7. - p. 157-178Article :L'alcoolisme : essai pour une clinique psychanalytique : troisième et dernier tour / NONSIGNÉ. Scilicet, 1976, n° n°6/7. - p. 179-183Article :Sur l'histoire de la formation des analystes / NON SIGNÉ. Scilicet, 1976, n° n°6/7. - p. 187-203Article :D'un discours à l'autre, l'institution dite du contrôle / NON SIGNÉ. Scilicet, 1976, n° n°6/7. - p.204-212Article :S'autoriser ? Temps d'impasse et de passe chez Freud / NON SIGNÉ. Scilicet, 1976, n° n°6/7. -p. 223-253
Article :Discours philosophique et discours analytique / NON SIGNÉ. Scilicet, 1976, n° n°6/7. - p.257-294Article :La raison avant Freud : compte rendu de la philosophie des formes symboliques de Cassirer /NON SIGNÉ. Scilicet, 1976, n° n°6/7. - p. 295-325Article :De l'objet musical dans le champ de la psychanalyse / NON SIGNÉ. Scilicet, 1976, n° n°6/7. - p.329-336Article :Note sur la beauté / NON SIGNÉ. Scilicet, 1976, n° n°6/7. - p. 337-342Article :Ecriture et sexuation / NON SIGNÉ. Scilicet, 1976, n° n°6/7. - p. 343-355Article :Surgissement du poème " les Elégies de Duino " : un acting-out ? / NON SIGNÉ. Scilicet, 1976,n° n°6/7. - p. 356-367Article :The Richtofen Sisters, par Martin Green : The Freud-Jung Letters / NON SIGNÉ. Scilicet, 1976,n° n°6/7. - p. 371-378Article :L'enfant et la Mort, par Ginette Raimbault : notes de lecture / NON SIGNÉ. Scilicet, 1976, n°n°6/7 - p. 379-382.Ouvrage :Les objets a dans l'expérience analytique / dir. MILLER Jacques-Alain ; COLLECTIF.Scilicet;Ecole de la Cause freudienne, 2008. - 453 p.ISBN 978 2 9050 4063 3Ouvrage :Semblants et sinthome / dir. MILLER Jacques-Alain ; COLLECTIF. Scilicet;Ecole de la Causefreudienne, 2009. - 375 p.ISBN 978 2 9050 4064 0Article :Semblants et sinthome / MILLER Jacques-Alain. Scilicet;Ecole de la Cause freudienne, 2009. -p.15-25ISBN 978 2 9050 4064 0Ouvrage :L'ordre symbolique au XXIe siècle : il n'est plus ce qu'il était : quelle conséquences pour lacure ? : VIIIe Congrès Association Mondiale de Psychanalyse 2012 / dir. MILLER Jacques-Alain ;COLLECTIF. Scilicet;Ecole de la Cause freudienne, 2011. - 415 p.ISBN 1240 1684-------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------Scilicet « L’ordre symbolique au XXIème siècle »Le SCILICET 2012 est arrivé par Monique AmiraultLacan Quotidien est heureux d’annoncer la parution de Scilicet « L’ordre symbolique au XXIèmesiècle » dans lacollection rue Huysmans.Vous lirez la suite de cette présentation par Monique Amirault, responsable de l’édition du volume avecJeanne Joucla.Le SCILICET 2012 est arrivé
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