LES DIX COMMANDEMENTS EN SONT-ILS VRAIMENT?
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Description

LES DIX COMMANDEMENTS EN SONT-ILS VRAIMENT? Le contexte dans lequel ils ont été reçus de Dieu par Moise est aussi important sinon plus que les commandements eux-mêmes. Le peuple juif avait été libéré par un des leurs, Moise. Cet homme avait été choisi par Dieu pour le représenter. Selon les écrits bibliques, il aurait réussi par la parole inspirée et le support physique de Dieu à faire libérer le peuple de l’emprise d’un pharaon égyptien. Libéré de leur esclavage le peuple tout entier prit la route vers une terre promise par Dieu. Un voyage assez long et dangereux qui s’étala sur quarante années. Durant ce long voyage, Dieu voyant la reconnaissance des Hommes à son égard s’effriter, senti le besoin d’offrir à son peuple les moyens de s’encadrer eux-mêmes dans des règles de comportements autant envers lui qu’envers les uns et les autres. Dieu fit monter Moise au sommet d’une montagne et lui dicta les Dix Commandements. C’était une série de règles visant à rassembler le peuple autour d’un idéal de vie et de réaffirmer son autorité afin que ne se perdre pas en route tout le sens de ce grand projet. Rappelons le contexte dans lequel ce peuple vivait. Ils avaient d’abord été des esclaves sous le joug des grands rois de Babylone. Des milliers d’années d’asservissements tant sous le règne des Sumériens que celui des égyptiens, donnait au juif une perception particulière de l’autorité.

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Publié le 09 avril 2014
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Extrait

LES DIX COMMANDEMENTS EN SONTILS VRAIMENT?Le contexte dans lequel ils ont été reçus de Dieu par Moise est aussi important sinon plus que les commandements euxmêmes. Le peuple juif avait été libéré par un des leurs, Moise. Cet homme avait été choisi par Dieu pour le représenter. Selon les écrits bibliques, il aurait réussi par la parole inspirée et le support physique de Dieu à faire libérer le peuple de l’emprise d’unpharaon égyptien. Libéré de leur esclavage le peuple tout entier prit la route vers une terre promise par Dieu. Un voyage assez long et dangereux qui s’étala sur quarante années.Durant ce long voyage, Dieu voyant la reconnaissance des Hommes à son égard s’effriter, senti le besoin d’offrir à son peuple les moyens de s’encadrer euxmêmes dans des règles de comportements autant envers lui qu’envers les uns et les autres. Dieu fit monter Moise au sommet d’une montagne et lui dicta les Dix Commandements. C’était une série de règles visant à rassemblerle peuple autour d’un idéal de vie et deson autorité afin réaffirmer que ne se perdre pas en route tout le sens de ce grand projet.
Rappelons le contexte dans lequel ce peuple vivait. Ils avaient d’abord été des esclaves sous le joug des grands rois de Babylone. Des milliers d’années d’asservissements tant sous le règne des Sumériens que celui des égyptiens, donnait au juif une perception particulière de l’autorité.Ils étaient bien habitués à la soumission et au respect de l’autorité sous peine de la mort la plupart du temps. Ils n’avaient jamais mot à dire. Que dire alors que Dieu aie ainsi livré son message sous une tendance autoritaire en tant que Dieu conquérant et maitre de tout. Il se postait en tant qu’autorité suprême que tous devaient nécessairement respecter sous peine capitale. Les Juifs de ce temps n’y voyaient aucune surprise au contraire, le portrait d’un Dieu d’amour qui invite au lieu d’imposer leur aurait pas apparu comme noncrédible. Or, la crédibilité avait tout lieu d’être pour ainsi assurer que son message serait bien entendu et ses conseils suivis à la lettre, littéralement. Bien entendu, plus tard dans l’histoire l’Homme serait peutêtre prêt à son affranchissement, mais c’est une autre histoire.De nos jours, dans le contexte de notre propre société il va sans dire quel’autorité suprême n’est pas très populaire et est loin d’avoir la même crédibilité. Pourtant son message reste le même. La manière dont il est livré y fait toute la différence cependant. C’estune invitation et non une imposition. Mais comment pouvonsnous savoir ou croire que ce Dieu en est un d’amour et non un personnage qui impose par sa dictature sous la menace?
J’omets volontairement de parler de ses soidisant représentants de Dieu sur Terre, l’Église. Et je n’expliquerai même pas pourquoi, car cela n’en vaut pas la peine.C’est dans la nature même de Dieu que se trouve la réponse. Effectivement comment un être surnaturel, immatériel qui aurait créé l’universpourrait ne pas l’avoir fait sans être motivé par l’amour. Je veux dire qu’il faut considérer que s’il avait eu d’autres motivations, précisément celui de nous dominer cela n’aurait en fait aucun sens. Comment un être si puissant et si omnipotent pourrait trouver un réel plaisir à dominer l’Homme qu’il a luimême créé. C’est comme si des scientifiques créeraient une nouvelle race de fourmispour s’amuser à un grandjeude domination. C’est pure folie à mon sens. S’intéresser à une chose aussi insignifiante sur l’échelle de l’univers que l’Être humain doit nécessairement être motivé par quelque chose de bien plus noble, de bien plus grand.
Il y a un autre critère à considérer dans ce grand dessein. La nature même de notre existence. L’âme qui est assurément une part du divin et qui réside en chacun des êtres vivants de notre monde joue un rôle primordial dans notre relation avec ce Créateur. Puis la pierre angulaire du sens de notre existence réside dans le librearbitre. Sans lui, toute notre relation avec le Divin n’en serait une que de dominantdominé. Or, si vous offrez le librearbitre et aussi un part de vousmême dans une création ce n’est pas pour la voir souffrir, mais bel et bien pour la voir s’élever le plus haut possible. Je veux dire qui fait des enfants pour les voir vivre le malheur et les voir demeurer insignifiants. Dieu aussi nommer communément comme père a établi la même relation avec toute sa création, plus précisément celle qui nous intéresse,l’Homme.
L’amour et le librearbitre est par làmême en contradiction avec le principe du commandement. Bien entendu pour ceux qui ont de l’expérience avec l’éduction des enfants savent quec’est parle commandement et l’autorité à prime abord que nous établissons le respect de l’autorité. Cette dernière est nécessaire à l’établissementd’un rapport visant àdicter une marche à suivre en l’absence de raisonnement suffisant des enfants. Au fur et à mesure de leur éducation, il devient possible de remplacer l’autorité par l’invitation. À l’adolescence par exemple, nous cherchons plus à discuter des « pourquoi » etdes «comment » de biens des situations dans le but de développer chez lui un esprit assez critique pour lui assurer une certaine forme d’autonomie.Il en a été de même avec le peuple juif du temps que nous pourrions considérer comme ayant été à l’enfance de son évolution à cette époque précise de son histoire.
De nos jours, après une longue histoire qui nous a mené sur des chemins bien sinueux, nous pouvons je crois affirmer que nous soyons assez matures et évolués pour participer à la discussion. Nous pouvons désormais nous assoir à table et parler franchement des problèmes et des défis qui se dressent entre nous et le bonheur de cette magnifique existence. Voilà pourquoi nous pouvons aujourd’hui jeter un regard nouveau sur ces récits historiques et en tirer des enseignements tant précieux que nécessaires à notre équilibre.
D’ailleurs, ce dont il est question ici n’est pas nouveau et est partager en grande partie par tous les peuples du monde, même ceux qui ne sont pas en relation directe avec ce Créateur que nous nommons DIEU. Jetons un œil sur ces commandements ou plutôt je dois dire sur ces invitations à la discussion. Notons que les quatre prede vie s’adressent à la relationmières suggestions que nous entretenons avec ce Créateur amoureux. Les six suivantes sont de nature à définir notre relation avec les autres. Je rappelle que ce que vous allez lire pour certains n’est pas nouveau. Nous vivons déjà selon des valeurs qui nous ont été transmises de générations en générations par nos parents. Ces valeurs prennent leur source depuis ce livre. De ce fait, affirmer que tout cela n’a de sens c’est porter un jugement direct sur nos propres parents et nos aïeux.
Tu n'auras pas d'autres Dieux devant ma facene peux servir 2 maitres, de ........(Tu nos jours chacun est son propre dieu.)
Je le renommerais ainsi :Je t’invite à avoir une relation personnelle et unique avec moiC’est la première des suggestions que Dieu nous fait. En fait il nous invite à avoir une relation unique avec lui. Nombreux sont ceux qui jette toute leur confiance afin de définir leur existence en fonction de bien d’autres cibles. Ce que Dieu souhaite le plus c’est d’établir une relationdirecte avec nous. Tel un père à son fils, il désir que nous ayons suffisamment de respect et d’amour pour lui afin de lui conférer la crédibilité nécessaire pour avoir confiance en son jugement. Agir seul dans l’existence ne tient pas la promesse du bonheur, car la solitude est de loin la chose la plus effroyable que nous pouvons connaitre.C’est aussi d’affirmer que nous ayons toutes les réponses à toutes les questions or, cela n’est pas possible nous le savons tous. L’idée d’avoir plusieurs sources fiables en rapport avec le sens de notre existence nous rendrait aussi bien confus. Il nous invite alors à cette relation personnelle et fait la promesse de toutes les réponses au moment voulu, au moment où nous en sommes prêts. Tu ne te fera pas d'idole..................................(Pas de statue de Marie, Joseph etc. Cela revient à adorer un autre que Dieu.) Je le renommerais ainsi:Je t’invite à ne vénérer pas des choses ou des gens qui ne peuvent t’apporter les réponses
La deuxième invitation est subordonnée à la première. Elle tient compte de la relation personnelle que nous avons avec Dieu. Si pour intercéder en notre faveur auprès de toute sa puissance nous devons passer par des gens, des «saints »ou même des choses vivantes ou non il y a lieu de s’interroger sur la nature de cette relation.
Elle devient une relation malsaine de crainte et d’ignorance de qui ce Créateur est pour nous. La peur? Pourquoi devrionsnous avoir peur d’un être qui neveut que notre bien. Tu ne prononceras pas le nom de Dieux en vainmarque de respect.)......(Une grande Je le renommerais ainsi :Je t’invite à parler avec moi et non pas de moiCette troisième invitation donne le ton de notre relation avec lui. Elle suggère aussi parler de Dieu en son absence pour bien souvent le condamner ou le rendre responsable de notre malheur est en discordance avec la nature même de sa relation avec sa propre création. Après avoir offert le librearbitre à sa création, comment pourraitil être responsable de nos choix. De même que toutes activités humaines bonnes ou mauvaises ne sauraient être que sous le joug de la fatalité. Dieu n’est jamais responsable de nos bonheurs ni de nos malheurs. Toutefois il est toujours disponible et nous invite à la discussion sur tous les sujets possibles.Ce que Dieu veut à prime abord c’est notre bonheur dans la réalisation de notre propre sens de l’existence. Il tient à notre évolutionlibre et consentante. Souvienstoi du jour du reposjournée de congé obligatoire par ............................(1 semaine,c’estbon pour le moral et la santé.) Je le renommerais ainsi :Je t’invite à prendre le temps
La quatrième invitation est j’estime être une transition de son message du rapport avec lui et du rapport avec nousmême. Il met tout le reste des invitations restantes au service de notre bienêtre. Tout d’abord lors du récit de la création du monde selon la Bible, il aurait travaillé six jours à la création et le septième jour il se serait reposé. Plus important encore il aurait pris le temps d’observer et d’apprécier ce qu’il avait créé.
N’estce pas tout le drame de nos vies que de la passer à toute vitesse. Prendre le temps au rythmedes semaines nous permet d’évaluer notre existence et de mesurer nos évolutions personnelles et celle de nos propres créations parce que oui nous sommes à l’image de Dieu, nous sommes créateurs.Le cas échéant nous ne faisons que la course à la réussite par rapport à tout ce que nous avons fait dans le passé. Nous en perdons toute la valeur dans la course. Nous en venons même à considérer que chaque création peut être supplantée par une autre encore meilleure comme si par exemple avoir des enfants suggère qu’après le premier chacun des suivants serait définitivement mieux ou meilleur. Or, nos créations qu’ils s’agissent de notre descendance ou de la fabrication d’un meuble en passant par nos découvertes ne sont pas mesurés par sa valeur par rapport à une autre, mais bien par son unicité. Tout a de la valeur et ne doit pas être comparé.
Tout doit être apprécié par son caractère unique et non par rapport à d’autres.Il en est de même de nos relations avec les autres. Nous sommes tous uniques et égaux en valeur. Tu honoreras ton père et ta mèrebesoin d'explication ici , m'enfin .......................(Pas jel’espère.) Je le renommerais ainsi:Je t’invite à considérer le dévouement et l’expérience de l’existence de tes propres parents et de tous ceux savent ceque tu ne sais pas et vice et versa. Cette cinquième invitation concerne certainement le respect et l’amour que nous portons à nos parents. Audelà des sentiments que nous leur portons nous avons un respect pour leur expérience et leur connaissance sans égard à la quantité. Qu’ils soient limités en ce sens ou biendotés d’une grande intelligence ils ont toujours de quoi nous épatés. Ils nous ont amené là où nous pouvons jouir de notre autonomie, ils ont fait de nous des adultes responsables et critiques. Grâce à eux nous pouvoir jouir de notre existence avec tous les outils nécessaire à notre épanouissement. Il en est de même de pour tous ceux qui ont un savoir et une expérience différente de la nôtre. La diversité humaine est une source inépuisable de connaissances et d’expérience qu’il faut chérir. Nulle besoin d’être toujours en compétition avec les autres, il suffit simplement de s’ouvrir et d’avoir la conscience de notre propre valeur.Si nous voyons les autres d’un œil méfiant ou si nous dénigrons l’expérience des autres c’est que notre propre confiance en nousmême a été ébranlé quelque part au court de notre existence. Nous sommes dès lors sur la défensive. Tu ne tueras point .........................................(Ily a des choses pire que la mort, mais bon!) Je le renommerais ainsi:Je t’invite à ne pas mettre fin à l’existence d’un autre au profit de la tienne
Cette sixième invitationpeut sembler évidente pour tous. Cependant c’est dans le sens de la mort qu’il faut porter notre attention.Selon la nature de la création de Dieu, ses âmes (de la fine partie de luimême) sont éternelles. Si on tient compte du fait de la dualité de lanature de l’Homme soit qu’il soit chair et immatériel à la fois nous devons considérer le fait qu’une part de nous soit éternelle à son tour. Notre corps physique et corruptible nous pousse inévitablement vers la fin. Il mourra et se décomposera et fera partie à nouveau de son environnement. Notre âme quant à elle ira rejoindre ceux qui lui ressemble sinon le Créateur luimême.Faire croire à quelqu’un que sa fin physique est une finalité est de lui offrir la mort en fait. Tout simplement la fin.
Le drame de cette affirmation est de considérer notre existence comme finale. Cela a pour effet sur les gens déjà avancé dans leur vie de penser que tout est fini. En admettant que pour une raison ou une autre une personne aurait fait de mauvais choix en lien avec son existence charnelle dans importe les sphères de l’activité humaine une telle croyance en une finalité pourrait pousser à la dépression ou à comme qui dirait à la tendance à baisser les bras. Or, dans toute la durée de l’existence il y a de la magie, de la valeur. Le monde est extraordinaire et une seule vie ne peut suffire à en savourer pleinement toute sa magnificence. D’un autre point de vue, pour ce qui est du crime de meurtre. Les raisons qui poussent une personne à le commettre sont parfois diverses et obscures. N’atil pas lieu de s’interroger sur le pourquoi, sur ce qui a mené une personne à commettre un geste aussi disgracieux en tant qu’espèce? Toute notre société tend à s’intéresserà la finalité d’une action et d’appliquer son énergie à la correction plutôt qu’à la prévention. Cette façon de procéder nous empêche de comprendre et de réaliser combien nous avons impact réel sur notre prochain. Nos actions influent sur les autres et vice et versa. Nous avons tous une responsabilité envers les autres, car nous sommes de la même essence, nous sommes tous frères et sœurs sur le plan de Dieu. Nous devons considérer toute la valeur de l’existence humaine en rapport avec toute la création. Il a va de même pour tout ce qui existe dans l’univers, car tout est issue de la même création, celle de DIEU.Tu ne commettras point d'adultèremène inévitablement au .......................(L'adultère mensonge.) Je le renommerais ainsi :Je t’inviteà ne pas chercher ailleurs le bonheur que tu as déjà
Cette septième invitation nous pousse à se poser des questions autant sur nousmêmes que sur notre relation par rapport aux autres.L’adultère n’est d’autres choses que la recherche du plaisir ailleurs qu’avec celle ou celui avec qui nous avons choisi de cheminer dans notre existence humaine. Elle ne concerne pas seulement le plaisir charnel, mais aussi le plaisir de l’esprit. Cette recherche montre aussi comment nous apprécions ce qui se trouve sous nos yeux. Tout près.Tout d’abord pour en arriver à poser le geste dans le concret il faut d’abord en avoir eu le désir intérieur. Ce désir est né d’un manque, d’une frustration. Il importe de s’interroger sur cette carence qui nous gruge de l’intérieur. Un manque d’amour, d’excitation, de nouveautéou plus encore de sentiment de pouvoir? À la base, il est question d’estime de soi. Combien nous nous aimons est la clé qui ouvre toutes les réponses. Nous recherchons chez l’autre de la complicité, de la compréhension, de l’union intense et personnelle ancrée jusqu’au plus profond de notre être. Il ne suffit pas de grandes choses pour miner cette symbiose. Une seule insécurité nous fait replier sur nousmême et bloque la communication que nous avons avec l’autre. Nous nous retranchons dans notre bastions à l’abri du jugement parce que nous nous jugeons nous même si fort.
De ce fait, ce qui nous préoccupe à notre propre sujet nous empêche aussi de le communiquer à l’autre. Avec le temps, nous nous privons de cette symbiose qui nous rend si heureux. Rappelons que nous sommes d’abord et avant tout des âmes et quand dans leur condition il n’y a pas de limite de communication, pas de distance.Notre recherche de l’autre n’est motivée que par vouloir retrouver cette relation divine. Cette chaleur particulière est en carence permanente dans cette existence charnelle. Et c’est cette dernière qui nous en sépare le plus. Il est donc difficile de traverser cette barrière, alors il ne suffit d’un rien pour nous en empêcher. Bref! Cette symbiose déjà meurtri nous fera porter notre recherche ailleurs. Et bien évidement elle se concentrera sur le plus près de la ressemblance de notre premier lieu de recherche. Soit la relation ou le corps d’une autre personne.Cette recherche se fera bien étendue à l’insu de notre partenaire. Qui dit à l’insu veut nécessairement dire qu’à un moment donné ou un autre nous devrons lui mentir. Et le mensonge est bien malfaisant et douloureux. Tu ne voleras point ........................................(Prendrele bien d'autrui, des heures non travaillées, le fruit du travail d'un autre.) Je le nommerais ainsi:Je t’invite à prendre de l’existence ce qui te revient et de laisserce qui n’est pas pour toi
Cette huitième invitation n’est pas très difficile à comprendre surtout à notre époque moderne où ce fléau fait ses ravages.Tout le monde s’est fait voler quelque chose à un moment ou un autre de sa vie. C’est un sentiment presque indescriptible. Il ne concerne même pas la valeur de la chose qui nous a été prise. Elle est plutôt en lien avec la perte. Nous avons beaucoup de difficulté avec la perte de quelque chose. Nous avons déjà du mal à accepter ce que nous avons déjà encore plus de perdre quelque chose.C’est bien pour les «choses », mais cela concerne aussi la crainte de ne pas avoir. Entrant dans le monde déjà en carence d’amour c’est ce que nous recherchons toute notre vie. Que ce soit en situation amoureuse, en relation familiale ou en possession de reconnaissance des autres nous recherchons toujours plus, car nous n’en avons jamais assez. Notre nature charnelle fait obstacle au plus grand sentiment d’amour qui soit, celle de Dieu.
Concrètement il s’agit d’honnêteté et desincérité. Voler c’est l’action de prendre ce que nous ne pouvons posséder. Pour y arriver nous somme malhonnête envers les autres et nous manquons de sincérité envers nousmêmes à accepter nos limites ou les limites de la condition dans laquelle nous nous trouvons. Cela suppose aussi une insatisfaction de que nous avons déjà. Voilà qu’entre en jeux tous les discours mielleux de «contente toi de ce que tu as » ou «un tien vaut mieux de deux tu l’auras».
Ce message concerne notre capacité à apprécier ce qui est. Et surtout le moment présent. Le refus de cette attitude nous pousse parfois positivement à élaborer des rêves et des objectifs de vie. C’est bien. Toutefois des embûches peuvent se dresser sur notre chemin et entraver notre route vers la réalisation de notre rêve. Il est tentant de chercher des raccourcis. Tout le monde n’est pas voleur en son âme, mais la tentation peut parfois être grande. Surtout lorsque les risques d’être reconnue d’avoir été malhonnêtes sont faibles. Reste que lorsque une action de cette nature est mise en branle le résultat est définitif : si nous avons quelque chose pour rien, quelque part quelqu’un à rien pour ce quelque chose. Que ce soit un vol direct et évident ou une simple tricherie cela de demeure pas moins un geste malhonnête qui traduit notre manque d’appréciation de ce que nous avons déjà et une incapacité à utiliser les mécanismes de réalisations et surtout notre manque créativité à cet égard. Tu ne mentiras point...................................... (Omettre de dire la vérité, ou bien mentir pour bien faire est pas mal limite.) Je le renommerais ainsi :Tu t’invites à la communication honnête
Cette neuvième et avant dernière invitation qui semble se diriger de plus en plus dans notre fort intérieur vient nous soumette à un examen de conscience visàvis la relation que nous entretenons avec nousmême, puis avec les autres et finalement avec le Créateur. Mentir aux autres est une action extérieure à soi, mais elle est le miroir de la relation que nous avons avec nousmême. C’est pourquoi nous disons souvent que nous nous mentons à nousmême et puis que certains se croient. En fait nous nous croyons bien plus souvent que nous le pensons. Il faut bien faire attention avec façon de se gérer. Il se trouve en nous un outil puissant qui n’est pas directement sous le contrôle de notre esprit. C’est un cadeau de Dieu en fait. C’est le mécanisme de la création pure.
Je nommerai notre subconscient. Il est tout à fait indépendant. Nous pourrions le comparer à un ordinateur qui ne faitque lire les lignes d’un programme sans même en comprendre le sens. Il ne fait qu’obéir à celui qui a écrit le programme. Il ne peut ni le modifier la structure ni la finalité. Il fait ce qu’on lui dit de faire point à la ligne.Mais un exemple encore plus imagé me vient à l’esprit et c’est celui de l’auteur Earl Nightingale dans son livre « Le secret le plus étrange ».
Le subconscient est comme la terre de culture. Si vous y plantez une graine peu importe si elle fait naitre une plante bonne ou mauvaise, cette terre la fera pousser. Elle ne s’interroge pas, elle ne déduit rien, elle ne peut modifier le programme de la semence ni sur son utilité finale. Elle fera poussé coute que coute cette graine ainsi planté en elle. C’est le secret le plus étrange et le plus méconnu.
C’est la puissance de la création dans son état le plus pur. Ce que vous dites, ce que vous souhaitez votre subconscient a pour fonction de tout mettre en œuvre pour le faire germer. Dès la suggestion, il lance dans l’univers le message puis les forces se réunissent afin de conspirer en votre faveur. Ce que vous souhaitez se réalise toujours. De ce fait tout ce que vous dites, tout ce que vous affirmez est considéré comme vrai par votre subconscient. Il noubliera pas non plus den informer votre esprit, votre intellect de son projet nouveau. Sans même vous en apercevoir ce que vous avez souhaité bon ou mauvais naitra dans la réalité. Voilà pourquoi le malheur attire le malheur et les bons jours attirent les bons jours. En somme le mensonge peu importe si il est dirigé sur lautre ou sur soi pour cacher une vérité elle ne restera pas longtemps. Doù lexpression que toute vérité fini par se savoir. Tu n'envieras point...(Si tu envies .....................................c’estque t'est pas parce satisfait de ta propre vie et de tes choix.) Je le renommerais ainsi :Je tinvite à ne pas ignorer qui tu es
Cette dixième et dernière invitation nest pas la moins importante au contraire. Elle concerne le sentiment denvie qui nait par rapport aux autres. Elle trahi notre manque destime de nos propres capacité. Davantage elle dévoile notre méconnaissance de qui nous sommes.
Nous envions parce que nous trouvons ailleurs lillusion de la satisfaction. Tandis que nous sommes minés par nos propres échecs et frustrations, nous envions, nous désirons ce que nous savons même ne pas être réels ailleurs. Nous nous enfuyons ailleurs loin de ce qui nous opprime.Or cela dit que nous ne connaissons pas notre valeur réelle en tant que création divine. En fait cest vrai que nous ne la connaissons pas. Toutefois nous lavons déjà connue. Avant daccepter linvitation à venir faire lexpérience de lexistence, parce que nous y avons été invités pleinement et rien nest laissé au hasard dans certains domaines, nous savions tout et nous avions une pleine connaissance de qui nous étions. Nous savions combien nous avions de valeur quand nous étions en pleine connexion avec celui qui nous a créer et qui a implanter en chacune de nos âmes cette flamme créative, cette lumière divine. Nous étions complets.
À partir de cette état divin nous avons volontairement choisi doublier qui nous sommes afin dapprécier pleinement la valeur de la vie physique et peu importe sa forme. Je précise que lÊtre humain est la forme de vie la plus apte à nous offrir lentier potentiel de la vie. Grâce à nos cinq sens, notre intellect, notre esprit, notre corps nous pouvons faire la plus grande expérience qui soit. Parfois mauvaises, parfois magiques, nos expériences de la vie nous permettent de nous rappeler qui nous sommes.
En ce faisant tout au long de notre existence nous devenons plus sage, plus créatifs, plus conscient de lextraordinaire de la vie. Dieu dans son magnifique plan, nous a offert ce cadeau, il sest offert ce cadeau. Lexistence dans le réel est la plus savoureuse expérience pour lui et pour nous. Chercher à envier les autres cest refuser de prendre conscience de qui nous sommes. Cest aussi refuser de se connecter à tous les outils épanouissement mis à notre disposition. Dieu nous a offert des points de sauvegardes et de repères pour nous guider sur ce chemin fantastique. Il nen tient quà nous de les trouver. Lailleurs nest pas lendroit où se trouve le trésor caché, mais bel et bien là sous nos yeux.
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