Epilogue du Présent (conclusion)
444 pages
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Le bonheur, c'est d'ouvrir le journal et de ne pas se voir dedans.
George Harrison

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Publié le 11 août 2012
Nombre de lectures 128
Licence : Libre de droits
Langue Français
Poids de l'ouvrage 5 Mo

Extrait

24/12/2011 La psychiatri eest une spé cialité médi tcaralietant dem lalaa die ment ou deale s maladies me ntales. L'étymologie du mpsyotch iatr proviie ent du motp gresychc (ψυe χὴ), qui signiâfime ou espri, et t iatros qui signimfiéde ci (ln ittéraleméedenctine de lâ'me). Le termpes ychiatri ae été introdui t parJ ohann Christian Re en 1808il , qui, d'emblée, a situé cette spécialité sous le signe de traitements qui comprenaient le traitement psychologique (aujourd'psychui hot, on dihérapi »).erait « Le champ de la psychiatrie sdi'aétgnosend du aticut raiteme, entn passant par la préve ntion des troubles menta, i uxncluant les divers tcogniroublet, sic fsomportement eauxta ffec. Ptifsratiqué e ordinairement papr un sychia, ltrea discipline est connepédops xey àc lhia t, quirie concerne les enfants, àp lsya chogériat, deriestinée apeuxrsonne s âgée, ou es ncore à lneaurops ychia.trie Histoire Article détaillHéi :sto ire de la psyc.hiatrie Origines Emil Kraepel ain étudié et proposé des idées de classification des maladies mentales. L'histoire de la psychiatrie est relativement brève. C'est une discipline j eune. En 1656, Louis XIV décréta l'ouverture des hôpitaux de France, dans le but d'enfermer toute pers onne qui n'est pas en ligne avec la société de l’époque : des "débauchés", des pères dépensiers, des fi ls prodigues, des blasphémateurs, etc... Ceci marqua lel dé'butem depri "sonnement à grande échelle". des fous Ces hôpitaux n'étaient enclins à aucune thérapie. Les conditions qui y ré gnaient faisaient leur réputation. Les détenus sont enchaînés, mal traités, et y sont flagellés. Ces détenus vivaient dans des conditions insalCubr'eesst. dans ces conditions que les gardiens de ces hôpitaux développaient leur "expertise en psyc". Lhiaetsri déetenus sont souvent jetés dans une fosse grouillant e de serpents afin de les ramener à la raison. Bien que travailler dans les asiles ne soit pas le plus valorisant, c es gardiens se positionnaient comme porteurs exclusifs et légitimes d’une discipline médicSaleelon n ouvellement créée. eux, c'était un art et une science aussi complexe. :s qe)t çuae n'a pa ls cha cangéhimi, ealors ? qu'est-ce qu'un c ? Ceonux-là sont extrêmement. nocifs Le mot "psychiatrie", inventé en 1803 paJohann Chrir stian Re, siignil fie "étude de l'âme". Il fut le premier à affirmer que les méthodes de traitement psychique relevaient des m éthodes médicales et chirurgicales les mieux étudiées. Ces traitements consistaient en mflagessalgla est, cionorrections, etopi um . D'autres méthodes consistaient à faire tourner les "fous" jusqu'à ce que du sang coulât de leurs bouche, oreilles et nez. Emil Kraepel einn 1918 a défini le psychiatre comme un chef qui pourrait int ervenir sans pitié dans les conditions de vie des gens et obtiendra sûrement la diminution de la folie. Genèse : d l'ale iéni à lsmea psychiatr (Jeie commenterais : de la psychiatrie à l'aliénation) Certains considèrePnthi lippe c Piommne lle découvreur de la psychiatri (Pe m inodeez-lrne.e, à tuer)... Le mot psychiatrie date de Joha 1808 (nn Christian Re 1759-1813) eil t est enregistré en 1842 ; il e reste cependant peu usité j XXus qu' siaècu . le C'est après lRéavol ution franç queaise la psychiatrie s'estd éirisgécie epn line m eédti quecal le e statut demal ade a remplacé celui de « fou ». Dans l'esprit de rupture de la Ré volution, ce n'est plus l'État qui décide de l'internement mais le préfet (dans l'intérêt général) e t le médecin (dans l'intérêt du malade). La folie ne pouvant être un crime, un statut médical est c réé ainsi que des hôpitaux correspondants qui sont en fait souvent des établissement privés. Cette nouve lle perception de la folie et les lois qui en découlent sont imputables au malouveiénims" patents rm diit l de esque " ls on peut notamment citer Pinel ou ELa loisqui du 30 jrol. uin 1838 peut se résumer à une l égislation qui doit veiller à ce que les maux d'un homme souffrant et malhe(pasureux ssez loi e àent adoucis, l'eau chaude c'est mie uxet) sa guérison obtenue si possible, et en même temps pre ndre des mesures qui ôtent à un être dangereux pour les autres ou pour lui-même les moy(ce'nses det faire le mal" bien fait quand même la soc[3]iét, lé a psy chia trie c'est la mère des enfers, je n 'ai pas encore trouvé le père, quelle porte gar lede par t-iadi ls,?, elle a un rôle de juge, quand j e parlais de « magistratur » le a dernière fois je n'étais pas loin, -l'Etat régit par une magis trature...- -on naît pas égaux, et on est pas égaux-, 'la vie c'est marche ou crève ou psychiatrie', j e préfère crever, j'étais déjà le trou je n'ai pas voulu marcher là où il n'y avait que de la merde ici pour QUE DU (travail merdique) t,a «» merde de dicda det corpus et de cursus sociétale autrem ent dit ta doctrine, du cursus je n'en avais pas, quand au corpus trop dur de le combattre s eule pour me faire une place... pot de terre contre pot de fer, avec 10 fois moins de force pour moi, s 'élever socialement seul, écris-moi -dessines-moi un mout. Jeon- ne) bêle pas malheureux. (On peut en faire de s tonnes) ,- il faut me suivre, c'est fin, c'est juste de la diction des sens... et d'une ponc tuation, mais bon allez casses-toi. A cette époque, les malades mentaux étaient considérés comme aliénés, c'est -à-dire non soumis à la raison et en quelque sorte esclavedé ras deison. l (Aeurl iène-moi ,>) L'évolution de la discipline s'est particulièrement faite en Europe, ani amveéec de l'École française figures comPmhie lippe P, iEnesquilrol, Henri Ey ou encorChae rles Lasègue et ave lc'Éc ole allemande, deW ilhelm Griesinge à Ermil Kraepel. Dine ces auteurs, on retiendra s urtout les premiers grands systèmes de classification des maladies mentales, mai s aussi leur prise en compte du traitement psychique (on disait aussi moral) des troubles. Aux États-Uni s, les pionniers dans le traitement des patienEtlsi s Tontodd e tD orothea Dix. En particulier, Todd fonde en 1823 un hôpi tal d'aliénés dans Conne le ctic, autveunec forte participation financière de la part du gouvernement américain. Loi du 30 juin 1838 sur : l Lees al résulitéantés thérapeutiques étaient relativem ent isolés, la pharmacopée était peu développée et les cures morales nécessitaient un gra nd investissement souvent réservé aux privilégiés. En paMicshetilc Fhaoucnt a, on pourrault it dire que le rôl e des psychiatres, des asiles puis des hôpitaux psychiatriquesursv (HeilPle) ér, itasiolt deer , clas sifier et ramener à la rais lones malades. Leur condition de vie était souvent déplorabl e, les progrès dans l'hébergement ou dans la prise en charge se sont faits par paliers. Les gra nds ensembles hospitaliers, éloignés des villes, vivant en autarcie étaient souvent la règle. Ce n'est que dans la deuxième partie e du XX sièc que le certains hôpitaux seront construits en ville dans le but alaf firmé de désenclaver foli.e On retiendra notamment qu'en FrancSee, duraconde nt G luearre mondi, daalens les hôpit aux psychiatriques, 40 000 patients sont morts parce
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