MON UNIVERS MUSICAL
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Description

Comme dans tous mes récits autobiographiques, je ne travaille qu’avec ma mémoire.
Je n'ai aucune documentation, puisque cela fait très, très longtemps que je ne l'ai plus à disposition.
De fait de mes nombreux déménagements et la pertes sèches de mes documents et papiers, pouvant plus ou moins me relier avec mon passé.

Informations

Publié par
Publié le 22 janvier 2013
Nombre de lectures 51
Licence : Tous droits réservés
Langue Français

Extrait

P a g e | 1

MON UNIVERS MUSICAL


Je commence par une citation :

- Sans la musique, la vie serait une erreur
Nietzsche, Friedrich (1844-1900)

Oh, combien il a raison, pour cette Vérité à laquelle j'adhère plus que tout.


Chez Bonne-Maman, j’ai toujours entendu la radio.

Ma grand-mère travaillant à son domicile du matin jusqu’au soir sur ses stoppages,
pour que le temps passe plus rapidement, elle écoutait ses émissions radiophoniques.

Quand nous avons eu un tourne–disque, puis une platine, j’avais mes propres
disques de rondes enfantines, France Gall et son Charlemagne, les Colonies de Vacances
de Pierre Perret, le Petit Prince chantant : un ami de plus (Label : Riviera, Référence :
CED 231052).
Les trois 45 tours de musique de films pour enfants qui me reviennent en mémoire
sont Bambi, la Guerre des Boutons tiré du film d’Yves Robert, Vivre libre de celui de
James Hill sorti le 13 Juillet 1966, le jour de mes 10 ans.

Maman et bonne-maman avaient des 45 et 33 tours propres aux grandes
personnes, que j’ai mis longtemps à pouvoir entendre.

En ce temps là, les enfants n’écoutaient que ce qui leur était destiné.
Mêmes chez les parents la censure existait.
Ils passaient au crible tout ce qui touchait de prés ou de loin, la vie de leurs
enfants.
Les limites étaient bien délimitées.

La discographie proposée là concerne les périodes de l’enfance et l’adolescence.

Pour la variété française :
Anne Vanderlove une des chanteuses préférée de bonne-maman, Georges
Brassens, Alain Barrière, Hugues Auffray, Adamo, Patrick Abrial, Georges Moustaki,
Léo Ferré, Dalida, Nana Mouskouri et les Athéniens, Claude Nougaro, Pétula Clark, Jo
Dassin, Nicoletta, Yvan Rébroff, Juliette Gréco, Serge Reggiani, Michel Sardou,
Jacques Dutronc, Guy Marchand, Les Haricots Rouges.

De l’international avec :
Paul Anka, Franck Sinatra, Nancy Sinatra, Tom Jones, The Rolling Stones, The
Mungo Jerry, The Animals, Murey Head, etc.

Il me semble quelques disques de Jazz :
Duke Ellington, un autre dont je ne me souviens plus le titre, et …

De la musique de divers pays :
D’Irlande (33 tours de cornemuses), de Turquie (45 tours de marche militaire des
Janissaires, dont Ceddin Deden entres autres), de Grèce, les Chœurs de l’Armée Rouge,
un 33 tours de la version orchestrée anglaise du Lion est mort ce soir, qui n’en n’est
qu’un extrait, le vrai Négro Spiritual du Mississipi, et d’autres.

Un double 33 tours de musiques Militaire Française.
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L’opérette : Les cloches de Corneville de Robert Planquette.

Et personnellement le top du top, le classique avec :
erLe 1 concerto pour piano et orchestre de Tchaïkovski, et toujours du même
auteur : des extraits du Lac des Cygnes dirigé par Pierre Monteux, avec en final un
petit bijou au piano que j’ai réentendu bien plus tard, rien qu’une fois, sans pour
autant retenir son nom et son auteur.
Des ouvertures de Rossini,
Le songe d’une nuit d’été de Mendelssohn (Extraits),
Le coffret des 9 symphonies de Beethoven, sans le chœur de la neuvième, dirigé
par Herbert Von Karajan,
Des Danses hongroises (extraits) de Brahms,
La Symphonie Espagnole d’Édouard Lalo pour violon et orchestre,
Le Capriccio Espagnol Op 34 de Rimski-Korsakov ainsi que Shéhérazade,
La danse du sabre extraite de Gayaneh d’Aram Khatchatourian,
Les morceaux orchestraux d’España, La joyeuse marche, La suite pastorale, a
bourrée fantasque, d’Emmanuel Chabrier,
Certaines des ouvertures d’Offenbach,
Des extraits symphoniques de l’Arlésienne de Georges Biset,
Le Boléro, la Valse de Ravel ainsi que Daphnis et Chloé,
La symphonie du Nouveau Monde de Dvorak,
Les Valses de Vienne de la famille Strauss,
Le Sacre du Printemps de Stravinsky,
Un américain à Paris de Gershwin,
La danse du feu (45 tours pianistique) tiré de l’Amour Sorcier de Manuel de Falla,
avec Asturias de la Suite Espagnole d’Isaac Albéniz + 2 autres morceaux qui
m’échappent.
Musique pour les feux d’artifice royaux (Firewoks Music) et Musique sur l’eau
(Water Music, suites 1,2 3) d’Haendel.
Sur un marché persan de d’Albert William Ketèlbey.
Un 33 du grand Alexandre Lagoya qui dans ce disque jouait de la guitare classique
avec sa femme Ida Presti.
Un disque de musiques de ballets avec entre-autres des extraits de Coppelia et les
Sylphides de Léo Delibes, ainsi que de Giselle d’Adam, peut-être du Mozart, et
d’autres airs qui ont pris allègrement, avec leurs compositeurs, la poudre d’escampette
de ma mémoire.

Le seul opéra en entier : L’enlèvement au Sérail de Mozart
Et peut-être celui de : Werther de Jules Massenet

Et là je cale puisqu’au fil du temps la discographie familiale s’est drôlement
étoffée.

Et je suis un peu (beaucoup) fâchée avec l’Anglais.
Ce qui fait que plusieurs chateurs et groupes anglo-saxons m’échappent.

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