paraffine et clôture surplus indépendant du journal
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Publié le 11 août 2012
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Paternité, pas d'utilisation commerciale, partage des conditions initiales à l'identique
Langue Français
Poids de l'ouvrage 4 Mo

Extrait

*03/01/2012 ( *date remise) Sarkosy et les fonctionna *, diiresscours que je n'ai pas écouté je m'en contre fou, par cont re je met cette anecdote, sachant petit A qu'il doit s'ennuyer, petit B qu'ils a ses cons eillés bouffons lecteurs du web, petit C que je suis là pour le divertir, petit D que j'imagine e t que je fais un délire d'interprétation petit E qu'il n'y a pas de coïncidence en politique sans feu peti t F que je suis l'appât petit G que si je suis l'appât il mord à l'hameçon petit H que vous être tous des cons j'étais là et que vous êtes aussi bouffons que ses conseillés petit I conseil révélé et par conséquent pratique foutue. Je subodore et fait de la fiction... à vous de trouver ou se taurrouvee voi lr a fiction, allez rajout : je sais pas franchement, un con comme toi là (j'y repense ça me hante) j e t'écris en même temps ducon. *(je mors à l'hameçon) N.Sarkosy les fonctionnaires (affiché partout en titre sur mails), inspiré d'après un passage lecture Pink Emoi, le temps limité d'après ce discours questionne, synchronicité? Non synchronicité? Dans le doute donc... en fait j'ai rédigé ce surplus un peu à cause de ça, ça n'est qu'ensuite que j'ai "(ré)enchaîné"; j'ai pour habi tude de bien faire mon travail, donc là je réédite ce texte sur ce que j'ai écrit hier sans avoir lu mon mai l aujourd'hui, en même temps je veux préserver mes dires et montrer leur évolution parce qu'il y a médiation ou interlocuteur, une suite serait donc à envisager si j'ai une réponse."un dialogue (mailé c)'est mieux qu'un long discours". C'EST QUOI CES CATEGORIES DE CONS EN PLACE ! Sinon virgule, voici un thème que je met sur la perversion sadique anale narcissiqu e avec perversion de caractère sous LouiXIVs : "prédateurs" et des "pervers structurels" qui ne cherchent "pas uniquement "à a ssouvir un désir mais qui aime(nt) faire souffrir L'expression perversion narcissique est proposée en 1986 par le psychanalyste Paul-Claude Racamier dans Entre agonie psychique, déni psychotique et perversion narcissique 1, puis en 1987 dans La Perversion narcissique, enfin en 1992 dans Génie des origines. Racamier ne cherche pas à qualifier des individus mais à identifier l'origine d'un dysfonctionnement dans les interactions : Gérard Bayle explique que la notion « sert son souci de dé crire et de traquer les processus pervers dans les familles et dans les groupes ». La mise en acte s de ces stratégies est précisée par Racamier. Elle a été popularisée dans les années 1990 par Marie-France H irigoyen et Alberto Eiguer. Malgré un écho populaire important, le concept reste limité à la littérature francophone. La perversion dite "narcissique" n'est pas reconnue comme une notion à part entière. E lle est très peu reprise par les psychanalystes car, dans la réalité clinique, elle ne diffère pas de la perversion. Pour certains, il conviendrait de dispteirvenguersionr l dea c "aractère ", dont l'objectif e st de dénier le droit à l'autre de posséder des intérêts propres afin de de nourri l'"arm l éneages smi ensnt, pervers" dont la pratique consiste à dénier au sexe féminin un pouvoir phallique, de la "perversion sexuelle" dont l'objet est d'imposer ses désirs sexuels aux autres sans leur accord. Définition La perversion dite "narcissique" est souvent confondue avec le troubl e de la personnalité narcissique, défini comme la surestimation de soi-même et de ses capacités , l'impression d'être unique, le besoin d'être reconnu comme exceptionnel tout en acceptant difficilement les critiques. La perversion d'un proche, d'un conjoint, d'un parent, d'un supérieur peut briser un c ouple, défaire une vie ou ruiner une carrière professionnelle. Celle-ci cherche à déstab iliser l'autre, par une séduction flatte un acuse ouharnement souvent sournois et subtil, ainsi que par une disqualificati on insidieuse et récur. r(eah,nte là si j'osais j'aurai dit Pèr e! j, m ei lnc'eai d!)L iet but est d'obtenir un moye n de contrôle sur l'affection, l'attention et la disponibilité de l'autre ; sans reconnaître sa p ropre vulnérabilité. (la vieillesse excuse bien des choses, même si je suis obscène, on pour rait me traiter de salope ou de garce l'important c'est la vérité que j'ai vécue, et comme je suis à la f in puisqu'on m'a tué, JE BALANCE TOUT ,-) La mise en œuvre de l'intention perverse opère principalement dans la discrétion, souve nt sur un mode séducteur, par retournement des situations, et, en cas de risque, en prenant s oin d'éviter toute forme de preuve, de témoignage ou de dénonciat. iJone ne publ saiiques ou se place l'intellig ence dans ces cas là, si vraiment le calcul en fait parti en tout cas je le décèle, je décèl e aussi celui qui n'arrive pas tout à fait à prendre soin dévitehir hi... La perversion désigne le fait de détourner, de renverser et de retourner. Ell e correspond à certaines stratégies du sujet assurant la satisfaction de ses pulsions aux dépens des aut res. Ils sont utilisés comme des choses et leurs sentiment(ouis) sont niés. « La perversion est une anti-relation, elle ne fonctionne que sous le mode du rapport, elle ne produit que des rapports de force, donc de pouvoir : séduction, emprise, domination. [...] La perversion joue sur tous les tableaux. Elle mêle l’inversion de la réalité à la banalisation des situations graves et au déni des actes profanateurs. Elle prône l’impudeur et le non-re spect de l’intimité, échange fausses confidences contre confidences forcées, renverse les principes humains, retourne les situations en défaveur de la vérité et empoisonne pour garder l’au tre en prison malgré lui… » on peut s'en défaire adulte; sinon on est complice qui ne dis rien cons.ent En bref, « le mot de perversion est employé pour qualifier l'instrumentalisation de l'humain et toutes les entreprises de désubjectivation ». Références ↑ Revue française de psychanalyse, vol. 50, no 5. ↑ Gruppo, no 3. ↑ Paul-Claude Racamier, Génie des origines, 4e partie p. 279–340, Payot, 1992 (ISBN 978- 2228885126). Il la décrit comme "une organisation durable caractérisée par la capac ité à se mettre à l'abri des conflits internes, et en particulier du deuil, en se faisant val oir au détriment d'un objet manipulé comme un ustensile ou un faire-valoir.", P.-C. Racamier, Cortège conce ptuel, Apsygée, 1993 (ISBN 290787408X). ↑ Gérard Bayle, Paul-Claude Racamier, PUF, « Psychanalystes d’aujourd’hui », 1997. (s ource utilisée [archive]) ↑ « Il n’y a rien à attendre de la fréquentation des pervers narcissiques, on peut s eulement espérer s’en sortir indemne. » Paul-Claude Racamier (rapportée ici [archive]) ↑ Maurice Hurni, Saccages psychiques au quotidien perversion narcissique dans l es familles, L'Harmattan, 2002. ISBN 2747532542, p. 48. Jeanne Defontaine, l'Empreinte familiale : Transfert, Transmission, Transagir, L'Harmattan, 2007. ISBN 2296034683, p. 81. ↑ Serge Reznik et al., Le malaise pervers, Che Vuoi ? n° 32, L’Harmattan, décembre 2009. ↑ Jean Bergeret (psychanalyste), La personnalité normale et pathologique, 3eme Edition, Dunod, 2007, p.160 & 169. ↑ Saverio Tomasella, La perversion : renverser le monde, Eyrolles,
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