Le Roman de la rose, par Guillaume de Lorris et Jean de Meung. Éd. accompagnée d'une traduction en vers, précédée d'une introd., notices historiques et critiques; suivie de notes et d'un glossaire par Pierre Marteau
)LE ROMANDE LA ROSE.TIRAGEezempUires svr papier vergé.470—12 sur papier Whatman.— sur papier de Chine.10— sur papier du6 Japon.—3 sur peau de vélin.exemplaires.joot s~c>wOtiétui, it O. /«(«J>, «i>son(Ronsard.)LE XIX^ SIECLE ET L'AMOUR.LE XIX<^ SIECLE.Qui donc t'a donné, bel enfant.Cette toute fraîche éclose?fleursuis déjà vieux, pourtantJe etJamais ne vis si belle Rose..'Quel éclat, quelle douce odeurDe la Nuit, sur sa tige verte,Scintille encore un tendre pleur,Et là, sur sa lèvre entrouverte.Parmi cejardin radieuxQue chaque jour l'Aurore,fleuritQue n'ai-je l'arbre merveilleuxQui si belle éclore !fit fleurDessus ses rameaux vigoureuxGreffant >nes délicates entes,Je verrais son suc généreuxmesRégénérer frêles plantes.LE XIXe SIÈCLE ET l'AMOUR.rous connaissez pas,C'est que »ieO vieillard, toutes vos richesses.Aux jeunes plantes pourquoi, las ...
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LE ROMAN
DE LA ROSE.
TIRAGE
ezempUires svr papier vergé.470
—12 sur papier Whatman.
— sur papier de Chine.10
— sur papier du6 Japon.
—3 sur peau de vélin.
exemplaires.joo
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Otiétui, it O. /«(«J>, «i