Nouvelles histoires pour t attendre
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Description

Il rentre tard, elle l'attend, en pensant à lui, en y pensant. Les gestes qu'il fera, les mots qu'elle dira. Elle ne pense qu'à cela. Plutôt que de boire un coup ! Les nuits sont chaudes, les jours ensoleillés, des histoires à baiser debout.

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Publié le 26 mars 2011
Nombre de lectures 2 033
Langue Français

Extrait

Nouvelles histoires pour t’attendre
Un chemin sous la lune
Ce fut la lune qui la réveilla. Un rayon dans l’œil peut-être. Non elle devait être déjà réveillée. Elle a ouvert les yeux et alors elle a vu le rond plein et brillant qui s’encastrait au milieu du cadre de la fenêtre. Oui elle était déjà réveillée car son corps avait une idée derrière la tête ! La nuit c’est le corps qui commande. Elle ne s’attarda pas longtemps à contempler la lune qui déjà s’était cachée derrière les nuages. Elle s’enfouie à nouveau dans la chaleur du lit. C’était un vieux lit de campagne dont le matelas, creusé par le poids des dormeurs et les années faisaient dire à certains le matin : dieu qu’on dort mal dans ces vieux lits, on roule sans arrêt l’un sur l autre… Mais elle bien sûr ne le disait pas. Elle adorait mal dormir, entrevoir la lune dans un demi-sommeil et surtout rouler, sur l’autre, sur lui. Son corps se plaquait alors contre le sien et c’est là que la vraie nuit commençait, non celle qui sert à bien dormir mais celle qui rapproche les corps et pourquoi pas les âmes. Dès le premier contact, d’ailleurs non, on ne peut parler de premier contact car jamais sa peau n’a lâché la sienne depuis qu’ils sont entrés sous les draps, alors dès qu’elle se plaqua à nouveau contre lui, elle sentit une pression, là au milieu, un bâton dur qui vint la frotter. C’était assez brutal, on ne pouvait parler d’une caresse. Le bâton semblait vouloir se frayer un chemin rapidement et n’hésitait pas à employer la force pour arriver à ses fins. Quelles fins ? Elle se le demanda quelques secondes. Par précaution, elle ouvrit son corps à l’envahisseur. Mieux valait à cette heure de la nuit ne pas résister. D’ailleurs elle était absolument prisonnière depuis un cours instant. Il avait empoigné à pleines mains ses deux seins si bien qu’elle ne pouvait plus vraiment bouger. Sa seule marge de manœuvre étant une légère ondulation du corps, elle donnait des coups de fesses à la mesure de la violence de l’agression. Oh, elle était une agressée très consentente, un effet de la pleine lune sans doute. Lui était vite parvenu là où il voulait en venir. Il était resté à l’orée de son cul un petit moment, semblant se demander quel chemin emprunter à cette heure de la nuit. Mais depuis que les nuages avaient dérobé la lumière de la lune, la nuit était noire et sans doute cela lui donna l’idée de suivre le chemin le plus sombre, le plus dangereux, le plus mystérieux. Il entra alors dans son cul s’agrippant de plus belle à ses seins. Il entra doucement, avec précaution, s’attarda un instant encore à l’entrée mais bien décidé à ne pas rebrousser chemin. Elle l’attirait plus avant en emplifiant son ondulation. Une de ses mains l’avait guidé il est vrai vers le
trou de son cul, lui faisant comprendre qu’il ne faisait pas fausse route et qu’il ne regretterait pas son choix. Comme elle était un peu plus éveillée que lui, elle pouvait lui murmurer des mots assez distinctement. Encule-moi, lui disait-elle, elle ajouta, c’est la pleine lune, mais il ne la comprit pas. Parce qu’il était surtout à l’affut des sensations qui lui parvenait depuis qu’il l’enculait, tel un chasseur à l’écoute du moindre bruit, mais aussi de plus en plus excité par le plaisir de la chasse. Il l’enculait, entrant de plus en plus loin au fond d’elle. Le chemin devenait plus étroit et tout tanguait parce qu’elle le repoussait avec ses fesses. Mais loin de l’éloigner de son but, cela le rapprochait de sa destination, l’aidait à avancer plus encore. Ses mains avaient fini par lâcher ses seins quand il l’avait sentie définitivement soumise. Elle l’était d’ailleurs depuis le commencement mais il aimait l’idée de la mettre à sa merci avec son sexe. L’une des mains était descendue vers sa chatte qui était inondée. Il l’avait à peine touchée qu’elle gémit et lui entra encore plus profondément au fond du cul. Il murmura, je te bourre le cul jusqu’à que tu jouisses. Et il la bourra de plus belle. Elle ouvrit les yeux un instant pour voir à nouveau la lune s’échapper de derrière les nuages. La lumière éclaira son visage et lui la vit sourire. Il l’embrassa. Sa main caressait sa chatte, il introduisit son doigt. Il sentit qu’elle vibrait de l’intérieur, autour de sa queue et autour de son doigt. Il répéta pour lui-même, je te bourre jusquà ce que tu jouisses et explosa à son tour au fond, tout au fond de son cul. Les nuages recouvrirent à nouveau la lune, laissant les deux corps se serrer l’un contre l’autre. Quelques heures plus tard, elle laisserait échapper, trempant sa tartine dans son bol de ricoré : comme on dort bien dans ses vieux lits de campagne, même les nuits de pleine lune…
Fred rentre du boulot
Il se sent fatigué. J’ai passé une sale journée pense-t-il. Il est d’assez mauvaise humeur. Il se laisse tomber sur le canapé du salon, envoie balader ses chaussures et ferme les yeux.
Elle est arrivée par la porte derrière lui et l’a trouvé endormi. Elle le regarde quelques instants. Le T-shirt qu’il porte est légèrement relevé laissant apparaître le bas de son ventre et les poils blonds qui le recouvrent. Le soleil éclaire doucement sa peau et un souffle d’air fait frissonner le duvet blond. Elle y pose la main. Cela bien sûr ne le réveille pas. Alors elle se penche et va respirer sa peau. Elle y retrouve l’odeur de la journée passée, le parfum dont il s’asperge le matin mêlé à sa sueur légèrement acide. Elle sent son propre sexe devenir humide. Mais Fred dort toujours.
Avec la langue, elle caresse la peau et descend jusqu’aux poils blonds avec lesquels le vent jouait tout à l’heure. Elle s’attarde à la limite du tissu du jean mais pose une main sur le sexe de
l’homme. Elle sourit en sentant le tissu tendu, mais les yeux de Fred sont toujours fermés. Alors elle murmure, ah oui tu dors… Elle arrête de caresser l’homme et s’accroupit à ses côtés. Elle a revêtu sa robe blanche à bretelles pour l’attendre. Elle commence à se caresser en attendant que Fred se réveille. Elle touche un peu les lèvres mouillées de son sexe et introduit un doigt. Elle se balance d’avant en arrière en même temps qu’elle se caresse. Fred a bougé un peu. Le bras est venu la toucher. Il caresse maintenant avec nonchalance un sein qui pointe sous le tissu. Il joue avec la bretelle qui glisse. Elle se caresse encore mais brûle d’envie de le toucher à nouveau. C’est lui qui ouvre sa braguette finalement et son sexe est libéré, gonflant le coton du caleçon.
Que faire ? Les yeux de Fred restent obstinément clos. Elle voudrait qu’il la regarde et lui sourit. Elle ne sait pas qu’il a passé une sale journée et qu’il boude vaguement. Elle pose alors un doigt léger sur son sexe et le caresse doucement. Elle introduit le doigt dans la fente du sous-vêtement. Pratique dit-elle, espérant le faire sourire. Rien. Enfin, si l’on peut dire, car le sexe, ignorant l’humeur maussade de Fred est animé de sa propre vie. Il est chaud et commence à vibrer sous ses doigts. Comme toujours à ce moment-là, elle a envie de prendre la queue de Fred dans sa bouche. Comme il ne veut toujours pas lui prêter attention, elle parle au sexe directement : je vais te sucer ma belle queue, j’en meurs d’envie, je vais te prendre dans ma bouche. Et on s’en fout de Fred. Elle commence à le sucer, la queue à demi sortie du tissu. Mais elle le veut en entier dans sa bouche, alors d’un coup sec elle baisse le pantalon et le caleçon avec. Le sexe de Fred est maintenant dressé. Elle est accroupie à ses côtés, la tête penchée au-dessus de lui, elle l’a entièrement dans sa bouche. Elle entortille la langue autour, aspire goulûment le liquide chaud et parfumé qui s’exhale de la pointe. Elle a donné du mouvement à tout son corps, ondule de gauche à droite et d’avant en arrière. Son cul est offert et ouvert…
Mais Fred ne le voit pas, puisqu’il dort. D’ailleurs, dort-il encore ? Sa main qui caressait d’un geste nonchalant un sein, se fait plus pesante. Il a saisi la pointe entre les doigts et joue avec, l’air de rien. Elle est penchée sur lui et ses seins sont lourds dans ses mains. Il s’anime un peu semble-t-il. Il a relevé la robe blanche et a enfin réalisé que ses fesses lui étaient offertes. Il glisse un doigt dans le trou du cul et se laisse sucer la
queue encore quelques instants. Fred se réveille et décide de prendre les choses en main, si l’on peut dire.
Tel un chat resté à l’affût de longues minutes, guettant sa proie qui ne se doute de rien, Fred la renverse brusquement sur le canapé, toutes jupes relevées. Il se plaque derrière elle, qui n’a pas dit ouf. Ou plutôt si, elle a dit, tiens tu ne dors plus. Comme son cul était déjà offert depuis un certain temps, il l’encula de suite. Comme sa queue était dure, elle se fraya un chemin sans peine. Mais bien qu’à peine réveillé, Fred savait où il voulait la mener, les mener tous les deux. Il sortit alors doucement du cul de sa femme et l’encula à nouveau, et encore, lui arrachant à chaque fois un gémissement qui faisait grimper son propre plaisir. Il avait glissé ses mains sous ses seins, tant pour la caresser que pour avoir une meilleure prise pour la bourrer. La bourrer avec douceur. La bourrer avec vigueur. Sa bouche était collée à son cou, à la racine des cheveux. Lui ne disait rien, mais elle lui marmonnait des mots qu’il entendait mal mais qu’il devinait : elle voulait qu’il l’encule encore, qu’il la bourre toujours plus. Elle disait qu’elle allait jouir bientôt et lui pensait non pas tout de suite ma belle. Dans un moment encore, tu vas voir. Et en effet il retardait le moment en s’arrêtant quelques secondes de bouger. Une de ses mains était descendue toucher la chatte et ce fut le coup de grâce. Il sentit d’abord vibrer les lèvres, puis le sexe entier. Les ondes se répercutèrent dans le trou de son cul. Sa bouche était toujours collée à son cou et il jouit à son tour, libérant le reste de son énergie dans le cul de sa femme. Il s’écroula sur elle et se dit qu’il aurait mieux fait de la baiser toute la journée plutôt que d’aller bosser. Il aurait passé une bien meilleure journée.
Ils viennent de faire l’amour
Ils viennent de faire l’amour. C’était à la fin de la nuit et cela les a menés jusqu’au petit matin. Alors ils se sont rendormis. Puis lui s’est levé. Elle a senti qu’il sortait du lit et l’a entendu s’habiller. Il est maintenant assis sur le lit près d’elle mais il ne la regarde pas. Elle se frotte au drap ce qui réveille en elle les sensations de la nuit. Alors elle repousse la couette et se retrouve nue sur le lit. C’est ce moment que choisit le soleil pour sortir tout à fait et un rayon vient éclairer son cul nu sur les draps. Elle a le nez enfoui dans l’oreiller. Sous la caresse imprévue du soleil, elle ouvre ses fesses et commence à se balancer doucement en soulevant le bassin. Elle sait que l’homme doit partir alors avec ses doigts, elle commence à se caresser doucement les lèvres du sexe. Elle est à peine éveillée mais ses caresses sont assez précises. Elle croit qu’elle n’a rien à espérer du côté de l’homme qui doit avoir mis ses chaussures à présent. Elle l’a entendu s’agiter un peu mais n’a pas pris la peine de sortir du sommeil, tout occupée à savourer la chaleur du soleil sur ses fesses. D’ailleurs elle les a ramenées vers le haut pour mieux les offrir. Le soleil maintenant doit les éclairer largement et s’infiltrer à l’intérieur du trou de son cul. Elle continue de se balancer et ouvre son cul le plus largement qu’elle peut. Sous sa main elle sent que son sexe s’inonde. Elle préfère poursuivre ses caresses légères et se concentrer sur la lumière qui entre par ses fesses. Soudain elle sent que le soleil entre plus profondément dans son cul. Ce n’est plus un rayon qui cherche à s’infiltrer mais le soleil tout entier. Pour l’accueillir elle ouvre encore plus largement les fesses si c’est possible. Elle savait que le soleil était brûlant et puissant mais là elle comprend à quel point il est énorme par rapport à son petit trou du cul. Lui doit le savoir aussi car il n’est pas encore vraiment entré. Mais elle sent sa chaleur. Bizarrement son trou se mouille lui aussi. Le gros soleil entre plus profondément, comme rafraîchi par l’humidité de l’endroit. Elle le sent alors donner des coups pour se frayer un chemin. Il va bientôt
être au fond de son trou, là où il n’y a pas de lumière, où il fait tout noir, où tout est possible. Voilà qu’il la bourre. Le soleil bourre mon cul pense-t-elle mais cela ne la réveille pas. Elle est concentrée sur cette chose énorme et puissante qui la pénètre jusqu’au fond d’elle-même, qui la bourre avec force et chaleur. Elle ne va pas se laisser faire par le soleil. Alors elle le repousse avec ses fesses. Mais lui maintenant la tient fermement. Il entre et sort de son cul avec un rythme sauvage. Elle répond à ses va et vient en serrant les fesses autour de lui. Elle est pleine du soleil qui semble encore grossir à l’intérieur d’elle. Elle le tient prisonnier puis le laisse pour mieux l’enserrer à nouveau. Le soleil joue avec son cul à présent. Il fait semblant de sortir tout à fait pour revenir au dernier moment et la bourrer jusqu’au fond. Elle murmure, bourre-moi bourre moi encore et le soleil gémit. Alors elle se dégage de l’étreinte et sort sa tête de l’oreiller. Elle se tourne un peu et lui sourit. Tu es resté finalement ? Alors il lui murmure qu’il doit y aller maintenant et il explose dans son cul. Un tressaillement interminable lui répond. Sa main à lui la rejointe sur son sexe et elle se répand comme une fontaine. Elle se retourne et le regarde en face. Il a un sourire vainqueur quand elle jouit une nouvelle fois.
Ils viennent de faire l’amour. Puis l’homme est entré dans la douche. Elle a songé à le rejoindre mais paresseuse a préféré continuer à se prélasser en repensant aux minutes précédentes. Elle ne doit pas aller travailler. Elle n’a rien d’autre à faire que baiser avec lui quand il est libre. Elle n’a rien envie de faire d’autre d’ailleurs. Elle se répête je n’ai envie que de baiser avec lui. Il a mis un de ses tricots sans manche qu’il s’obstine à porter. Il lui tourne le dos et elle peut admirer tranquille ses épaules qui se détachent du vêtement blanc. Les taches de rousseur atténuent la force qui se dégage du dos de l’homme. Mélange de fragilité et de puissance. Il enfile maintenant son jean et elle note au passage qu’il ne met pas de caleçon. Elle s’en étonne à peine que déjà il a ouvert la porte d’entrée et sort sur le palier. Il ne se retourne même pas pour lui faire signe de le suivre, sûr de son pouvoir. D’ailleurs il n’a pas tort. Déjà elle a sauté du lit, elle qui semblait vouloir y rester jusqu’au soir. Elle enfile très vite sa chemise de dentelles. Est-ce une chemise ce bout de tissu qui couvre à moitié ses seins et effleure les poils du sexe ? En tout cas elle se sent couverte et
se risque aussi sur le palier. Le marbre blanc est baigné de lumière et les dalles sont chaudes sous ses pieds. Il la regarde s’avancer vers lui et cette fois-ci son sourire est légèrement moqueur. Quand elle est vraiment près, son regard se tourne vers la fenêtre. De l’autre côté de la rue, à la fenêtre lui aussi, un homme fume une cigarette. Il les fixe semble-t-il mais avec le contre jour, peut-être ne les voit-il pas vraiment. Elle regarde à son tour le fumeur à la fenêtre puis met sa main sur le sexe à sa portée. L’homme est adossé à la rampe et l’attrape pas les fesses mais elle se dégage et s’agenouille devant lui. Son sexe bande déjà et sort du pantalon dès qu’elle déboutonne la braguette. Elle enfouie son nez dans la toison, glisse sa langue sous les bourses. Elle s’attarde puis revient au sexe brandi. Elle le prend à plein dans sa bouche. Ses lèvres le mouille un peu puis la langue entre en jeu. Elle s’amuse. Le sexe de l’homme est un sucre d’orge qu’elle suce en prenant son temps. Elle fait durer le plaisir pour que la friandise dure longtemps. La langue s’entortille et remonte vers la pointe du sexe qui laisse échapper un petit jus salé. Elle sourit en léchant son sucre d’orge au goût salé. Puis elle redescend vers les bourses et remonte. Ses mains caressent ses fesses. L’un de ses doigts cherche le trou du cul de l’homme. Il a bien l’intention d’y faire son chemin. Voilà, il est entré. Les fesses de l’homme se resserrent autour du doigt de la femme et son sexe se durcit encore davantage. Alors elle fait des va et vient avec sa bouche le long du sexe. Elle sert ses lèvres autour. L’homme qui jusque alors était resté impassible a tressailli quand le doigt a pénétré ses fesses. Ses mains ont agrippé les cheveux de la femme et son bassin maintenant se balance pour mieux pénétrer la bouche de la femme. Elle le regarde et lui la regarde aussi lui sucer la queue. Elle est maintenant accroupie et son sexe est largement ouvert, son cul aussi. Elle pense qu’il va jouir dans sa bouche et commence à se caresser la chatte mais il l’a prend par les épaules et la remonte contre lui. Elle résiste un peu et lui dit j’aime sucer ta queue, j’aime ton sexe dans ma bouche, laisse-le moi encore mais il ne veut pas. Il la retourne et la plaque contre la vitre de la fenêtre. Il relève la dentelle de sa chemise, exposant son cul à tous les regards. Il se met derrière elle, sa queue immense dressée contre ses fesses. Il va m’enculer pense-t-elle. Encule-moi dit-elle. Et c’est ce qu’il fait. Son trou est grand ouvert et il entre d’un coup. D’un coup il est tout au fond et il l’encule à grand coup de sexe. Encule-moi dit-elle encore et il l’encule encore et encore. Il entre et la bourre avec vigueur. Elle le
repousse avec force elle aussi. Ils sont collés l’un à l’autre, reliés par la queue de l’homme tout au fond du sexe de la femme. Alors elle lève les yeux et regarde par la fenêtre. L’homme à la cigarette est encore là mais il ne songe plus à fumer. Elle le voit distinctement cette fois et elle sait qu’il les regarde. Elle regarde son sexe qui bande et son corps qui se balance d’avant en arrière à leur rythme. Elle plisse un peu les yeux pour abolir la perspective qui éloigne le sexe de l’autre. Elle ouvre les lèvres et le sexe désormais tout proche la pénètre par la bouche. Le sexe qui la bourre redouble de vigueur. Les fesses qui l’entoure le pousse et le rattrape. L’homme n’en peut plus, elle le sait, elle l’appelle, vient, vient lui dit-elle, tu peux jouir maintenant, je vais jouir. Elle jouit avant lui. Il a mit une main sur sa chatte et caresse ses lèvres, il continue de la bourrer et elle jouit à nouveau. Alors seulement il jouit à son tour. Elle sent une explosion dans son cul. Il pousse un gémissement rauque et se plaque à elle. Sa main est agrippée à son sexe et un doigt s’est introduit. Il bouge encore le doigt le long des lèvres. L’homme à la fenêtre a disparu. Le doigt la caresse délicatement et un long gémissement sort de la femme. Alors l’homme la prend par la main, la fait rentrer chez eux et referme la porte.
Ils viennent de faire l’amour. La porte s’est refermée sur eux et ils se sont allongés à même le sol. Le soleil est haut dans le ciel maintenant, ses rayons entrent à travers les rideaux pourpres du salon. Cela fait une lumière douce qui recouvre leurs corps. Lui s’est endormi finalement. Cela la fait rire un peu. Elle murmure pour elle : lui aussi n’a que cela à faire, me baiser. Elle s’étire de contentement et son mouvement, pourtant lent et silencieux réveille l’homme étendu à ses côtés. Il a perdu son air moqueur et la regarde avec une grande douceur. Il embrasse d’abord ses lèvres, c’est plus un effleurement qu’un baiser. C’est elle qui ouvre plus largement la bouche. Alors le baiser se fait plus appuyé. Ses lèvres ont gardé un goût de poivre puisé sur la queue de l’homme. Leur baiser est long et doux et lui donne envie d’autre chose en même temps. Le goût du poivre peut-être… Mais lui ne l’a pas laissée prendre les devants. Sa bouche est descendue le long de sa joue et les dents mordillent maintenant son oreille. Les mains aussi se sont mises en action. Il a saisi un sein et est en train semble-t-il de le soupeser. Oui, c’est bien ce qu’il fait car il se met à lui parler de ses seins. Il a la bouche tout
contre son oreille et il lui murmure qu’il aime ses seins dans sa main, qu’il va les malaxer comme de la terre glaise. Il empoigne maintenant les deux seins à pleines mains et les pelote avec vigueur. Puis ses doigts se mettent à l’ouvrage. Il saisit la pointe déjà bien dure de l’un des seins et la tire vers le haut. Les caresses de l’homme deviennent précises et elle sent que sa chatte à nouveau est dans l’attente qu’il la touche. Mais lui ne se presse pas. Sa bouche est maintenant descendue et il mordille les seins que les doigts ont lâché. Il la tient fermement sous lui. Elle peut à peine bouger mais son corps imperceptiblement s’est mis à onduler. Il sent le corps de la femme sous lui qui s’ouvre déjà et sa queue se raidit brutalement. Elle l’a sentie bien sûr et a écarté les jambes pour l’accueillir. Mais le visage de l’homme continue sa descente le long du corps de la femme offerte. Sa langue lèche son ventre et s’attarde un peu autour du nombril. Il sait que si sa langue atteint la chatte de la femme, elle le prendra par la tête et le ramènera vers son visage. Pourquoi ? Mystère. Cette femme aime se faire enculer mais ne se laisse pas sucer la chatte. Pourtant contrairement à ce qu’il imaginait, elle le laisse à hauteur de son sexe. Alors avec précaution il lui caresse les lèvres de la chatte avec la langue. Elle est déjà très humide. Il sent sa queue se durcir encore. Elle bouge doucement sous sa langue qui s’introduit à l’intérieur de son sexe. Elle s’est petit à petit tournée et a pris sa queue dans ses mains. Elle la sert sans la caresser, tout au plaisir qu’il lui donne avec sa langue sur son sexe. Il caresse les fesses de la femme avec les doigts et lui baise la touffe. Elle ondoie au rythme de ses caresses. Ses doigts se sont rapprochés de son trou de cul et caresse l’extrème limite de l’entrée du trou. Elle ondoie toujours. Toujours sa queue serrée dans sa main. La langue de l’homme joue avec les lèvres du sexe de la femme. Elle lui dit “encore“ et elle lui dit aussi qu’elle va jouir. Mais elle ne jouit pas encore et il continue de lui baiser la chatte. Elle sent le plaisir monter par vague à chaque nouvelle caresse de l’homme sur son sexe. Elle dit encore qu’elle va jouir, sa main sert de plus en fort le sexe de l’homme qui la sent vibrer sous lui. Cette fois, elle va jouir, il le sait. S a main, celle qui ne tient pas le sexe s’est ouverte puis refermée, comme pour rythmer le plaisir qui l’habite. Enfin elle a gémi et posé sa main libre sur la tête de l’homme, enfoui dans son sexe inondé. Ils sont restés ainsi un moment mais le sexe de l’homme est toujours aussi raide. Il peut la faire jouir encore. Elle se retourne alors et il entre en elle. Ses deux mains tiennent ses seins et il
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