POEME; JE L ADMETS
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Description

JE L’ADMETS Que pensez maintenant si l'autre est le seul à vouloir rompre alors que vous êtes convaincus que votre relation ira jusqu’à l’assemblage réussi? Vous avez tout à fait le droit de lui en parler, peut-être y a-t-il simplement une équivoque entre vous.

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Publié le 12 mars 2013
Nombre de lectures 141
Langue Français

Extrait

JE L’ADMETS
Que pensez maintenant si l'autre est le seul à
vouloir rompre alors que vous êtes convaincus
que votre relation ira jusqu’à l’assemblage
réussi? Vous avez tout à fait le droit de lui en
parler, peut-être y a-t-il simplement une
équivoque entre vous. S’il tient vraiment à
rompre, ce n'est pas la peine de vous humilier
avec des larmes, alors qu'il n'est évidemment
pas amoureux de vous. Il y a un temps pour
chercher et un temps pour contempler comme
perdu. Sachez tout naturellement que votre
imagination est plus importante que votre
savoir cependant l’amour demande un peu de
volonté, de sacrifice et de l’effort.
Ce poème est dédié à vous qui sont déjà tombés amoureux pour un homme ou une femme
Pourtant vous avez un jour peur de la/ le perdre. Votre vie est sacrée pour vous-même
cependant faites un peu d’effort dans votre relation. Soyez juste honnête et ne cachez rien de
ce que vous ressentez pour lui //elle.
Raphael Yende Grevisse, Etudiant st. Lawrence university
raphaelyendegrevisse@yahoo.com. 256793371889
Je suis un humain comme tant d’autres;
Je ne suis ni irréprochable, ni idiot ;
Je suis juste moi ;
Voilà ce qui fait mon indifférence ;
J’ai fait des trucs ignobles ;
J’ai fait endurer des gens ;
J’ai été expert en abominable chose ;
Mon âme esseulée et ombrageuse, n’a fait rien de divertissante ;
Malgré cela toute sa vigueur a été anéantie par l’amour que tu m’as laissé percevoir en toi ;
Tu ne m’as rien appris cependant tu m’as guérit ;
Y a-t-il plus beau que cela au monde ?
Maintenant que nous avons entamé une phase avec toi ;
La meilleure façon de préserver ma conviction, c’est de te dire que tu ne m’appartiens pas ;
Surtout ne pense pas que je serai cet impeccable être dont tu te fais l’image ;
Ou bien cette personne qui ne défaillira jamais à ses serments!
J’ai un cœur, j’ai une peau et un cerveau ;
Ce qui revient à te dire que je commettrai des erreurs;
Aussi longtemps que le soleil éclairera l’aube et la lune au crépuscule ;
Auras-tu à m’abandonner quand je te scandaliserais? à désavouer tes sensations par ce que tu auras honte de la personne dont je suis ?Auras-tu à faire apparence de m’aimer pour m’épargner de ton antipathie ? à dissimuler tes sentiments que tu conçois pour moi ?
Dans tout cela, apprends une chose : tu es l’unique qui me rendra puissant dans ses situations ;
Puisque ce que tu auras appris de moi durant cet instant ;
C’est elle, l’authentique histoire de mon existence et non ce que tu aurais entendu ;
Chaque ethnique a sa prédilection, humain a son authenticité ;
Chaque personnalité a ses annales ;
La mienne a débuté le jour où tu m’as offert ce qu’aucune femme n’a osé dévoiler : ‘ton âme’;
Etre aimé n’a jamais été pour moi le signe d’un amour parfait ;
Cela me réconforta lorsque tu ne m’exhibas que ce que tu détenais;
Je mésestime la phase ultérieure de notre parcours néanmoins je sais pourquoi je t’aime ;
Tu combles mon existence d’un épisode légendaire de chroniques ardentes les plus affables du
cosmos ;
Ah! Laisse-moi me souvenir comment tu étais, quand tu n'existais pas encore ;
Une créature si petite, immaculée et démesurée pourtant aussi admirable que l’étoile de l’orient ;
Pendant que le vent triste galope en tuant des papillons et tout ce qui vit ;
Les ébranlements qui nous trébuchent dessus ;
Cependant Just après ton sourire, j’aperçus un nouveau monde qui s’égaye de garder notre
éphémérides aussi sensible qu’avant ;
Si tout ceci, est un cauchemar fictif, si ton cœur n’a jamais éprouvé des sensations;
Alors ôte-le de ta poitrine pour esquiver ce tourment qui t’attend ;
Car l’amour non-partagé procrée la malveillance, l’agressivité, la rancune, l’animosité ;
Voilà pourquoi l’amour nous laisse perplexe et avide pour ceux dont nous affectionnons !
Ecrit par Grevisse Raphael Yende

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