« Nous avons appris qu'au mont Vardan le vieillerd est venu, Au nid nocture des Boulghares ; le vieux chasseur, Sur le somment de l'Ararat et la crête du coture, Avec ses pieds mauvais, sa démarche sauvage, Le pillard Nicolas, le destructeur au nom funestre. Arme-toi vite, fais de ton corps une arme Et concours vaillamment dans l'arêne du stade Comme un champions qui combat nu. Terrible contre toi s'avance la défense de l'éléphant ; L'ours blon blond des forêts s'apprêtre à t'affronter […] Ainsi, à une corde tands ton arc, celui - énorme - de nos ancêtres ; Transperce de la flèche, élance-toi, abats. Le combat de Bêl et de Haïk de la race de Torgom à toi aussi est dévolu. […]