Sauver la façade Les lapalissades La bougie qui s’éteint De ces cieux jamais atteints
Un peu de musique Dans la nuit La Sainte Afrique Haut delà l’infini
Je regarde la nuit dans les yeux Mes yeux noirs transpercés de pieux
Sans connaître la douceur d’être à deux
ET PUIS
Quand la nuit refermera ma porte Que mon caveau sera vide de ceux qui me supportent Ce ne sera plus mon ombre que la terre porte Mais ceux que j’aime et peu importe
Alors, pour enfer ou paradis Il n’y aura qu’un drôle de tapis Volant, je me tapis Quant à la racine je mangerai les radis
Ma voix ne portera plus Mon corps ne sera plus Et puis...
Mon cœur ne bondira plus Mon corps ne jouira plus Et puis...