Sonnets (Malherbe)
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Sonnets
François de Malherbe
À Rabel, peintre, sur un livre de fleurs (1603)
À madame la princesse douairière Charlotte de la Trimouille (1605)
Au roi : « Je le connais, Destins, vous avez arrêté » ...

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Langue Français

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Sonnets François de Malherbe
À Rabel, peintre, sur un livre de fleurs (1603) À madame la princesse douairière Charlotte de la Trimouille (1605) Au roi : « Je le connais, Destins, vous avez arrêté » (1607) Au roi : « Mon roi, s’il est ainsi » (1608) À M. de Flurance, sur son livre de l’art d’embellir (1608) Sur l’absence de la vicomtesse d’Auchy : « Quel astre malheureux ma fortune a batie » (1608) Pour la vicomtesse d’Auchy : « Il n’est rien de si beau que Caliste est belle » (1608) Pour la vicomtesse d’Auchy : « Beauté de qui la grâce étonne la nature » (1608) Sur l’absence de la vicomtesse d’Auchy : « Beaux et grands bâtiments d’éternelle structure » (1608) Sur l’absence de la vicomtesse d’Auchy : « Caliste, en cet exil j’ai l’âme si gênée » (1608) À la vicomtesse d’Auchy : « C’est fait, belle Caliste, il n’y faut plus penser » (1608) Au roi : « Quoi donc ! c’est un arrêt qui n’épargne personne » (1609) À monseigneur le dauphin, depuis Louis XIII(1609) Épitaphe de mademoiselle de Conti, Marie de Bourbon (1610) Au roi, pour le premier ballet de monseigneur le Dauphin (1610) À la reine, sur la mort de monseigneur le duc d’Orléans, son second fils (1611) Épitaphe du monseigneur le duc d’Orléans (1611) À M. du Maine, sur ses œuvres spirituelles (1611) À la reine : « J’estime la Ceppède, et l’honore, et l’admire » (1612) Épitaphe de la femme de M. Puget, qui fut dans la suite évêque de Marseille (1614) À madame la princesse de Conti : « Race de mille rois, adorable princesse » (1619) Au roi, après la guerre de 1621 et 1622, contre les huguenots (1623) À monseigneur le duc d’Orléans : « Muses, quand finira cette longue remise » (1624) À M. le cardinal de Richelieu : « À ce coup nos frayeurs n’auront plus de raison » (1624) Au roi : « Qu’avec une valeur à nulle autre seconde » (1624) À M. le marquis de la Vieuville, superintendant des finances (1624) Pour le cardinal de Richelieu : « Peuples, ça de l'encens » (1626) Sur la mort du fils de l'auteur (1627) Sur la mort d’un gentilhomme qui fut assassiné
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