POURQUOI ET COMMENT EST NEE L ACVV (suite et fin )
46 pages
Français

POURQUOI ET COMMENT EST NEE L'ACVV (suite et fin )

-

Le téléchargement nécessite un accès à la bibliothèque YouScribe
Tout savoir sur nos offres
46 pages
Français
Le téléchargement nécessite un accès à la bibliothèque YouScribe
Tout savoir sur nos offres

Description

Suite J’aimerais ouvrir une parenthèse sur quelque chose qui certainement doit trotter dans la tête du lecteur. Si je l’ai déjà dite, ce n’est pas grave de la redire. Mais ne pas dire risque de laisser les points d’interrogations. J’ai commencé mon histoire par vous dire que la Parole de l’Eternel me fut adressée … Comment est venue cette révélation ? Ce 31 janvier 2003 à Ephèse, quand j’avais fini de lire la lettre ; déjà quand je la lisais, les visages de la majorité des participants commençaient à se transformer. Et au fur et à mesure que je lisais, je voyais le mépris sur leurs visages. Je puis dire même la haine. Quand j’ai fini de poser ces questions, silence absolu. Silence glacial. Comme aiment dire les gens « Silence des morts » Quelques secondes après, le coordonnateur prend la parole et demande tout de suite une pause. Je les ai vus transpirer. Presque tout le monde s’est levé pour aller se soulager. Je suis resté avec le coordonnateur assistant du pays et Madame A.O qui était assise à ma gauche. C’est à ce moment que je me suis rendu compte que ce que je venais de faire «était grave. A l’exception du coordonnateur de mon rameau et son épouse ; tous m’ont regardé avec un air de mépris. Je ne dis pas de bêtises. Avant qu’ils ne reviennent tous, je n’ai jamais bougé de ma chaise. Alors sur le coup j’ai prié. « Père ce que je vois est indigne des enfants de Dieu. Et je sais maintenant qu’il y a quelque chose. Père montre-moi la situation ...

Informations

Publié par
Nombre de lectures 103
Langue Français

Extrait

Suite  J’aimerais ouvrir une parenthèse sur quelque chose q ui certainement doit trotter dans la tête du lecteur. Si je l’ai déjà dite, ce n’est pas grav e de la redire. Mais ne pas dire risque de laisser les points d’interrogations. J’ai commencé mon histoire par vous dire que la Parole de l’Eternel me fut adressée … Comment est venue cette révélation ? Ce 31 janvier 2003 à Ephèse, quand j’avais fini de lire la lettre ; déjà quand je la lisais, les visages de la majorité des participants commençaient à se transformer. Et au fur et à mesure que je lisais, je voyais le mépris sur leurs visages. Je puis dire même la haine. Quand j’ai fini de poser ces que stions, silence absolu. Silence glacial. Comme aiment dire les gens « Silence des morts » Quelques secondes après, le coordonnateur prend la parole et demande tout de suite une pause. Je les ai vus transpirer. Presque tout le monde s’est levé pour aller se soulager. Je suis resté avec le coordonnateur assistant du pays et Madame A.O qui était assise à ma gauche. C’est à ce moment que je me suis rendu compte que ce que je venais de faire «était grave. A l’exception du coordonnateur de mon rameau et son épouse ; tous m’ont regardé avec un air de mépri s. Je ne dis pas de bêtises. Avant qu’ils ne reviennent tous, je n’ai jamais bougé de ma chaise. Alors sur le coup j’ai prié. « Père ce que je vois est indigne des enfants de Dieu. Et je sais maintenant qu’il y a quelque chose. Père montre-moi la situation spirituelle de ces trois personnes qui dirigent ce pays. Je n’avais pour seul recours que ma Bible. J’ai fermé les yeux et j’a i dis ; Père dans cette expérience, Tu ne m’as jamais menti. Et du coup, j’ouvre la Bible juste sur Ezékiel 43 : 1-4. A partir de cet instant précis, j’ai été convaincu de la pourriture de la direction. J’ai remercié Dieu, j’ai noté et j’ai fermé ma Bible. Alors, je dis bien alors ! Qu and la cour des grands ou précisément quand les grands de la cours ont commencé à me répondre, ni la considération, ni l’amour, ni la Parole n’y étaient. Les deux chefs m’ont d’abord ramassé chacun à son tour !!! Et quand les autres corrompus ont pris chacun la parole ; J’ai été traité de tous les noms sans ménagement, sans amour mais avec dédain. Et pourtant avant que je lise ma lettre, comme j’ai été le dernier à prendre la parole ; tous ont parlé et chose étonn ante, c’est de chacun d’eux que j’ai appris des choses que je ne connaissais même pas, que eux savaient déjà dans leurs rameaux. J’étais même surpris. Et à la fin c’est moi qui fus mis sur le banc des accusés. Vous savez pourquoi ? C’est parce que personne ne l’avait jamais fait avant. (Le faux respect et la corruption oblige). Une femme courageuse, la femme du coordonnateur du ramea u de l’Essonne a coupé court dans ce bombardement dont j’étais la cible pour leur dire en face d’arrêter de faire le procès d’Emmanuel. « Répondez d’abord aux questions d’Emmanu el avant de le condamner ! » Le secrétaire trésorier aussi a appuyé dans le même sens. Ainsi prenant de nouveau la parole, le bosse a commencé à répondre. Quelle ne fut pas ma surprise, et je crois qu’elle fut aussi celle des corrompus quand nous avons commencé à entendre les vérités sortir de sa propre bouche ! Entre autres « Oui c’est vrai j’ai pris l’argent du ministère, mais pas 200 000 francs, mais seulement 40 000 et d’ailleurs le Q.G est au courant. C’est qui évidemment était faux sur tous les plans, et le montant et le Q.G. Malgré toutes se s fausses vérités j’ai reçu des menaces et des intimidations à partir du jour suivant. L’un d’eux m’a écrit me disant que Emmanuel, ce que tu as fait est un suicide pour toi. Ce frère, ce petit frère, cet enfant doit remercier Dieu de nous avoir transformés. Car, un tel langage à mon en contre quelques années en arrière lui aurait coûté de très, très sérieux ennuis. Je n’ai pas peur de le dire. L’intimidation est quelque chose dont j’ai horreur. Même devant plus fort que moi.. Je rends grâce à Dieu de la maîtrise dont j’ai fait preuve ce jour là. Continuons notre affaire…    
 
1
Le 27 juin, le département de la diffusion international écrit au Coordonnateur de la Voie en France de me rencontrer d’urgence.  Le 28 juin 2003, j’ai rencontré la coordination de la Voie en France en présence des témoins.  Entre le 28 juin jusqu’au 26 septembre ; il s’est passé un temps mort, avec une seule réunion des dirigeants à la porte de Bagnolet. Pure camouflet plus tôt qu’une réunion.  Entre ces dates, plusieurs croyants m’ont rejoints a vec le coordonnateur de rameau de l’Essonne et les quatre signataires de la lettre du 23 février 2003 ; et le groupe des vaillants pour la vérité s’est constitué. Une seule personne quittera le groupe, non pour défendre la direction mais pour mener son combat en solitaire pour des raisons qui lui sont propres et que je respecte d’ailleurs ;  Ce qui est choquant, c’est de constater que les cro yants attendaient beaucoup de cette réunion ; mais la seule chose que la direction a faite, c’est de reconnaître tous les faits qui lui est reprochés et cela pour la première fois devant l es croyants, sans demander pardon au peuple de Dieu ; alors que ce dernier n’attendait que cela pour repartir à zéro. Les croyants n’en veulent surtout pas à la personne des dirigeants et sont prêts à leur pardonner tout ce qu’ils ont fait. Mais ces dernier s ne l’ont jamais entendu de cette oreille. Seule l’orgueil les anime et ils sont prêts à tout f aire sauf demander pardon. Ignorant délibérément le mal qu’ils ont fait subir aux croyants, portant préjudice à leur vies. Ceux qui soutenaient que les accusations qui pesaient sur la direction étaient fausses ont été confus. L’étaient encore plus que les autres, les deux diri geants qui m’ont personnellement écrit. D’ailleurs, je ne leur en veux pas. Je ne leur ai j amais répondu. Leurs réponses ils les obtiennent au fil des événements.  Le 27 septembre 2003, un groupe de croyants s’est réuni chez moi pour une réflexion autour de la recherche des solutions pour la paix. Nous avons demandé quatre choses : 1 - La démission du coordonnateur assistant  2 - La démission du secrétaire- trésorier  3 - La poursuite provisoire de l’œuvre du ministère par le coordonnateur de la Voie en France pour une courte période de transition.  4 - L’envoie d’un corps de la Voie expérimenté pour se rendre compte de la réalité sur le terrain. Cette lettre n’a jamais eu de réponse.  Au mois de novembre, le coordonnateur de la Voie en F rance convoque une réunion pour le 16 à l’hôtel Novotel à Noisy le grand. Avant cette date, le groupe des vaillants pour la v érité s’est réuni chez l’un d’eux pour préparer une stratégie comment faire capoter cette ré union du 16 novembre. Car pour nous, cette réunion était une manigance de plus de la part de la direction pour pouvoir reprendre les arènes du pouvoir. Mais nous avons travaillé avec D ieu pour mettre en échec le plan de l’adversaire. Chacun savait ce qu’il allait faire à quel moment. Le jour venu, tout s’est passé comme prévu ; et de la façon tellement synchronisée que si vous ne bougez pas avec Dieu, il est impossible de réussir. Les vérités ont été dites en face des dirigeants devant tous. Certaines choses que le coordonnateur du pays avait dites à propos de ses dirigeants ont été mises à jour ce jour là. Leurs femmes les ont démontrées devant tou s en prenant parole dans l’assemblée. Les coordonnateurs des rameaux ont démontrés devant tous qu’ils étaient réellement des incapables corrompus et prêts à tous pour maintenir leurs postes.  
 
2
Après cette réunion, nous avons sollicité d’autres rendez-vous avec le coordonnateur du pays mais en vain. Au même moment les croyants qui adhèrent d e plus en plus aux actions du groupe attendent avec impatience la réponse du quartier général qui ne viendra jamais. Pendant ce temps, on entend tout de tous les côtés. Certaines vérités sur la conduite de la direction commencent à jaillir. Mais ceci n’est pas ma motivation première ; de mettre à nu les faiblesse des gens.  Le 29 décembre 2003, le groupe écrit au quartier général pour leur signifier sa dissolution en tant que groupe de médiation car le quartier général fait la sourde oreille et que les croyants agiraient selon leurs initiatives aux risques et périls. Ce geste nous a paru normal, car nous pensions après conseil de certains croyants qui connaissaient bien le fonctionnement du quartier gén éral que notre mouvement n’était pas coordonné. Il n’y avait pas de tête. Donc pas d’ord re, pas d’interlocuteur valable auprès du quartier général. Puisque tout le monde pouvait écr ire. Nous avons vraiment voulu user de l’humilité pour que le quartier général nous comprenne mais en vain.  Profitant de cette manière de voir les choses de notre part, la direction en a profité pour dire que nous sommes fatigués. Le 11 janvier 2004, le coor donnateur du pays est aussitôt monté au créneau en fermant la communion de Saint Denis, en voulant changer la direction du rameau de l’Essonne en consultant et en faisant des propositions à des supposés prétendants. La femme du coordonnateur de la Voie en France appell era personnellement les préposés ; son mari dira plus tard qu’il n’était pas au courant de ces manœuvres.  C’est triste de voir comment un homme sensé être l’homme de Dieu pouvait-il cultiver une sournoiserie à ce stade ? Il mentait sur presque tout. Mais quand il vous parle ; il est tellement calme et sincère que vous ne pouvez que tomber dans l e panneau. Certains disent qu’il est dicté par son assistant ; mais pour qui a des yeux pour voir ; il est plus dangereux que les deux autres membres du comité exécutif. D’ailleurs je persiste et signe que si le secrétair e- trésorier a dévoilé certains secrets ; c’est plus parce qu’il s’est senti doublé plus que pour l ’intérêt de la maisonnée. Car aucun d’eux n’y était plus réellement attaché par amour pour Dieu. C’est pour l’argent et le pouvoir. L’un d’eux a dit un jour je cite : « Qu’est ce que nous gagnons dans cette affaire de Dieu ? que laisserons-nous à nos enfants ? quand je pense que nous avons refusé certains grands titres dans le monde ? Nous avons sacrifié nos vies pour la maisonnée ? »  Faux ! Personne ne peut dire qu’il a sacrifié sa vie pour la maisonnée. C’est de l’égoïsme et de l’égocentrisme. Beaucoup de croyants sont capable de faire mieux. O n ne leur a jamais donné l’occasion. Ceux qui ont voulu prévaloir dans certaines affectations ont tout simplement été éjectés. Les méthodes de cette direction de se débarrasser des talents sont connues de tous les croyants avertis. Aujourd’hui, si vraiment personne d’entre eux n’avait rien à gagner dans cette affaire ; il aurait déjà démissionné après quinze a ns de service avec le bilan que nous connaissons. Qu’ils nous montrent les comptes du ministère et nous leur diront qu’ils n’ont pas perdu leur temps pour rien.  Le groupe a compris que l’adversaire voulait frapper un grand coup, qu’il fallait le stopper. Rendez-vous est pris avec l’avocat le 26 janvier 2004.  
 
3
Nous étions deux à répondre au rendez-vous avec l’a vocat. Nous lui avons brossé toute la situation. Il nous conseillera d’entrée d’écrire une lettre de demande officielle ayant valeur de mise en demeure. Ce qui sera fait le 29 janvier 2004.  Nous avons chercher par tous les moyens pour trouver une voie de sortie de cette crise. Des contacts ont été entrepris avec les croyants aux Etats-Unis, voire au quartier général. Mais la réponse que nous avons reçue du conseiller juridique de The Way International nous a laissés sidérées. Elle nous a très choqués. Je pouvais m’imaginer tout sauf cela ; car comment voulez-vous comprendre le fonctionnement de ce mini stère quand tu vois comment les croyants se cassent la tête et appellent au secours , et ne reçoivent rien. J’ai fait allusion à l’apôtre Paul qui chaque fois quand il apprenait des choses sur des croyants où qu’ils soient écrivaient à ces derniers pour les confronter ou les exhorter. Cela n’a jamais été le cas pour la France, ni d’ailleurs pour aucun autre pays .  Mais nous avons décidé de chercher un intermédiaire de poids auprès du quartier général. En date du 14 février 2004, nous avons écrit une lettr e au coordonnateur de la Voie en Belgique pour solliciter des conseils et la médiation avec le quartier général.  Le 19 février 2004, le coordonnateur de Belgique nous répond. Dans cette affaire, les croyants se sont vraiment i nvestis. Des croyants qui par leur position d’anciens se sont donnés corps et âmes. Mais si je p uis dire aujourd’hui jusqu’alors, ils ne sont pas considérés ni pour leur rang d’ancien, ni pour leur âge, et moins encore pour leur relations parentales avec certains d’entre eux.  L’un de ces croyants, un médecin, a sollicité renco ntrer le groupe car il se serait entretenu auparavant avec le coordonnateur du pays à qui il a fait la proposition de démissionner le coordonnateur assistant et le secrétaire- trésorier pour avancer vers les solutions de paix. D’après lui, le coordonnateur du pays avait bien ac cepté cette proposition ; et il a écrit au quartier général. Il voulait savoir qu’en pensait le groupe ? Que pouvait penser le groupe. Ce même groupe dans ses précédentes requêtes n’a-t-il pas souhaité cela ? Le 22 février 2004 eut lieu cette r encontre chez moi. Furent présents ; le médecin, sa femme et tout le groupe Mais coup de théâtre comme de coutume ; cinq jours ap rès, le coordonnateur du pays niera par personne interposée avoir dit oui aux propositions du médecin. Quelle sournoiserie ? Le 25 février 2004, nous avons reçu la lettre du co nseil juridique de The Way International. Cette lettre nous avait vraiment choqués. Mais la fi n de cette lettre nous a paru comme un appel de Dieu à être humble. Nous avons fait ce que le Q.G nous a demandé en multipliant des rendez-vous et des rencontres avec le coordonnateur du pays dans l’espoir d’en finir avec cette affaire qui continuait d’empester la maisonnée de la Voie en France. Le 26 février 2004, un membre du groupe et moi nous sommes allés en Belgique rencontrer le coordonnateur de la Voie en Belgique. Nous avons travaillé avec lui de 16 heures à 22 heures. Ce dernier nous donnera beaucoup de conseils. Avec le recul, je peux dire qu’il se donnait vraiment des limites car il savait mieux que nous le vrai fonctionnement de la diffusion internationale. Car à chacune de ses réponses, je ne sentais jamais un engagement ferme de sa part pour nous dire que si je vous dis ceci et que vous l’utilisez, je m’engage. Il nous disait toujours, si vous voulez faire quelque chose et vou s pensez que vous avez raison devant Dieu ; alors faites-la. Mais après, j’ai compris qu’il était réellement en contact avec le quartier général mais aussi avec le coordonnateur de la France.  
 
4
Un fait m’a choqué au comble du choc. Un jour j’appel le le coordonnateur de Belgique, qui dans notre entretien me demande si j’avais fait part ie d’un grand parti politique angolais connu pour avoir mené une guérilla en Angola. Je lu i répondis que oui, j’étais dans la mobilisation à Paris. Il me demande ensuite pourquoi j’avais quitté ce parti ; je lui dis que c’était pour des raisons personnelles liées à mes convictions idéologiques, mais j’ai continué à sympathiser avec eux. Il rétorque, qui le savait en France ? Je lui dis que cela n’était pas un secret. Je peux le dire aujourd’hui que je suis un fils de la révolution. J’ai grandi dans la révolution, ma famille y a été impliquée depuis le déclanchement de la guerre de libération. Qu’est ce qui pouvait être un secret pour moi d’être un militant indépendantiste ? Je lui demande à mon tour de qui tient-il ces informations ; et en quoi ces dernières concernent l’affaire de la Voie en France ? Bref… Il me dira à la fin que pour le quartier général, c’ est normal que je provoque cette affaire en France car je suis de nature contestataire. Car le parti en question est réputé dans l’opposition armée très dure. Ceci par le caractère contestataire et dur de son leader.  Imaginez quelle a été ma déception ? Que moi qui crois être dans cette maisonnée qui m’enseigne la Parole de Dieu, je me retrouve confronté sur un terrain mondain mais tellement bas et mesquin que je me suis dit, notre ministère est descendu très bas. Et je ne me suis pas mis le doigt dans l’œil car les faits nous le prouve nt. Je ne les citerai pas. Mais ils sont très nombreux. C’est ce qui fait que je tiendrai jusqu’a u bout dans cette affaire car ce ministère n’appartient pas aux hommes mais à Dieu. Et Dieu n’habite pas aux Etats- Unis et des temps en temps Il vient en France nous rendre visite et Il retourne, ou le saint-esprit n’agit qu’aux croyants qui restent au quartier général. Le Christ agit puissamment en moi autant qu’il agira en quiconque aura cru en lui en vérité où qu’il se trouve. Nous avions dans le groupe planifié une réunion le 29 février 2004, nous en avons parlé au coordonnateur de Belgique. Il nous a conseillé si c’était lui de faire ce que le coordonnateur de la France avait dit de changer la date. Mais si nous tenions à la faire quand même ; il serait convenable d’envoyer une invitation au coordonnateur du pays. Jusqu’aujourd’hui, je n’arrive pas vraiment à cerner le rôle qu’il a joué ou qu’il jouera dans cette affaire quand bien même toutes les informations qu’il nous a données nous ont beaucoup aidé. Je suis convaincu qu’il pouvait faire plus mais il ne l’a pas fait. Pourquoi ? Le coordonnateur de la Belgique est plus pourri que les autres. Aujourd’hui la Belgique s’es t éclatée. Et si vous savez ce qui s’est passé, vous tomberez raide. (C’est une autre histoire)   C’est au file des temps que je me rends compte que cette affaire de la Voie en France est tout simplement allée buter contre la situation de The Way International qui ne va pas mieux aux USA. Beaucoup de croyants quittent le ministère car ils reprochent le côté administratif du ministère qui prend trop le dessus dans les affaires de Dieu et qui de surcroît camouffle les erreurs qu’on ne veut pas confronter.   Le 29 février, nous avons tenu notre réunion comme p révu au Millénaire à Savigny- Le-Temple. Ce jour là, les croyants ont exprimé leurs cœ urs par rapport à la situation et on signé des pétitions pour dire qu’ils ne voulaient plus être diriger par l’actuelle direction.  Au même moment, la logique d’aller en justice suivait s on cours. Seulement, je peux le dire aujourd’hui c’est que quelque part, le cœur de la M aisonnée n’était pas de traîner les trois membres du comité exécutif en justice, mais plus tôt de les contraindre à reconnaître leurs erreurs et à demander pardon au peuple de Dieu pour enfin prendre des mesures qui s’imposent et avancer. Or de l’autre côté, le coordonnateur de la Voie en France essayait tout
 
5
simplement de gagner du temps pour faire croire au qu artier général que les choses sont calmes et qu’il pouvait rester à la tête du ministère en France et faire ce qu’il voulait. Cela ne nous a pas empêché de lui faire confiance et de bouger dans ce que nous croyions le bon sens. Un croyant qui est engagé dans cette affaire, qui est du rameau Nord est allé voir un ancien chez lui pour lui rappeler qu’il avait en tant qu’a ncien un rôle à jouer dans cette affaire. Ce dernier tentera par la suite de m’appeler pour une r encontre. J’ai accepté et j’ai souhaité que cela soit en présence des autres membres du groupe.. La rencontre eu lieu, et de cette dernière sortira le grand rendez-vous du 7 mars qui devrait n ous emmener à adopter une position commune vis-à-vis du quartier général pour leur manif ester notre humilité et notre amour pour cette maisonnée en écrivant un courrier conjoint avec le coordonnateur du pays.  Le 7 mars 2004, chez moi, a eu lieu cette rencontre avec le coordonnateur du pays en présence de tous les membres du groupe avec comme témoins l’ancien dont j’ai fait mention plus haut avec son épouse. Le groupe a présenté ses propositions au coordonnat eur de la Voie en France. Et d’un commun accord, il a été convenu que le groupe devrai t écrire une lettre d’excuses quartier général pour redorer son image au cas où, bien qu’an imés de bonnes intentions, et que ses motivations étaient nobles ; le forme les aurait dérangés. Voici l’intégralité de cette lettre : Cette lettre fut envoyée le 9 mars 2004.  Le 13 mars 2004, le coordonnateur du rameau de l’Essonne et moi-même avons une fois de plus rencontré chez lui le coordonnateur de la Voie en France. Nous étions porteurs d’un message du groupe qui a réitéré ses propositions et a demandé au coordonnateur du pays de parler aux croyants lors de la réunion des croyants qui était programmée pour le 21 mars 2004 au Millénaire à Savigny-Le-Temple. Il était d’avis q u’on tienne cette réunion pour informer les croyants des avancées de la situation ; mais lui ne pouvait pas y être. Dans tout cela, il voulait utiliser le travail du g roupe pour faire croire aux croyants qu’il voulait réellement la paix dans la maisonnée. D’aille urs il l’a souvent dit que les meilleures cargaisons arrivent sur les mers tranquilles. Et il savait pertinemment qu’il mentait sur toute la ligne. Ce qui l’intéressait, c’était de faire croire au qu artier général qu’il contrôlait la situation et qu’il pouvait mâter ce qu’ils considéraient tous la rébellion. Jusqu’à ce jour là, je me posais beaucoup de questions sur comment en autant de temps, le quartier général n’arrivait pas à apporter une vraie solution à cette affaire. Mais avec le temps, j’ai les réponses.  Le 17 mars 2004, le coordonnateur de la Voie en France dira au coordonnateur du rameau de l’Essonne par téléphone qu’il a eu un entretien téléphonique avec le quartier général et il lui confirme avoir transmis toutes les propositions aux dirigeants de la Diffusion Internationale ; que les décisions dès lors dépendaient d’eux. Il était question de temps.  Le 21 mars 2004, s’est enfin tenue au Millénaire de Savigny-Le-Temple la fameuse réunion des croyants au cours de la quelle je me suis évertué à expliquer la situations depuis le début jusque là où nous en étions. J’ai ce jour là dit aux croyants que nous leur tiendrons informés de la suite des événements.  La lenteur des décisions du quartier général cachait toujours quelque chose à mon avis. Car je connais le coordonnateur de la Voie en France par expérience. Je savais que je n’avais aucune garantie sur ce qu’il me disait et ce qu’il disait réellement au quartier général. Et plus les jours avançaient, moins je lui faisais confiance. Cela ne m’a pas empêché de croire que Dieu agira en la faveur de sa maisonnée tôt ou tard.
 
6
 Ce qui était très aberrant, c’est qu’il voulait nou s imposer un texte selon le quel, nous acception de nous soumettre au coordonnateur du pays et de ce fait renoncions à la poursuite du mouvement. Mais nous étions très claires comme d’a illeurs nous l’avons été dans nos précédents courriers ; que nous, nous investirons à 100% jusqu’à la vraie solution. Celle qui vient de Dieu et non des hommes.  La preuve, en mi-avril, malgré toutes les résolutio ns d’aller réveiller le coordonnateur du pays, le coup de guillotine arrive. Le coordonnateur et le coordonnateur assistant du rameau de l’Essonne sont démis de leur fonction par le Directeur de la diffusion internationale. Ce qui a attiser encore la colère des croyants qui ont enfin compris que le coordonnateur de la Voie n’est qu’un menteur et il le restera pour très longtemps. Une croyante dans un rameau parisien qui recevait la communion chez elle, ayant appris la destitution des deux coordonnateurs de l’Essonne a refusé d’accueillir désormais la communion chez elle. Voici l’intégralité de cette lettre de démission : Ce qui est triste et incompréhensible bibliquement ; c’est de voir que cette décision a été prise sans confrontation apparente de ces deux dirigeants. Et cette décision n’est venue qu’ajouter un nuage à la noirceur du paysage existant, au lieu de s’attaquer aux vrais problèmes. Ici, je ne suis plus posé de questions car celles que j’ai déjà posées n’ont pas eu de réponses.  La logique de la justice s’est renforcée car j’ai vraiment senti de l’injustice. A ce moment là, j’ai pensé à tout. Mais à la fin, une seule chose apaise mes pensées. Je me dis toujours, si Dieu m’a donné cette révélation pour qu’elle n’aboutisse pas, la Parole de Dieu c’est du cinéma. Mais étant convaincu que la maisonnée devait être nettoyée, je continuerai à tenir.  Nous avons été voir l’avocat avec un des membres très actifs du groupe, ce dernier nous donne d’abord une précision sur la première démarche chez un autre avocat. Ce dernier avait trop anticipé les démarches sans préparation ; en no us faisant écrire une lettre de demande tenant lieu de mise en demeure. Ce qui nous a éclairé sur la réponse que nous avions reçue du quartier général qui disait … Voici la copie intégrale :  Il nous envoie chercher d’abord le statut du ministère et c’est lors de notre seconde rencontre avec ce statut que l’avocat nous dira que nous n’avons aucun droit dans ce ministère. Nous ne sommes même pas membres. C’est comme nous n’étions que de s passants devant une église qui balancent leur argent et n’ont pas le droit de savoir qu’en font ceux qui le récoltent. J’étais très choqué, c’est à ce moment là que j’ai reconsidéré la lettre du conseiller juridique de The Way International et j’ai eu la certitude qu e cette affaire était gérée par des gens qui aimaient tout, sauf la Parole de Dieu. Aussi gradée s soient-elles dans leur révérence, je ne peux pas les considérer autrement que des croyants a vant tout et je considère qu’ils doivent aussi le considérer eux mêmes. Cette position ne les met pas au dessus de la Parol e. Bien au contraire, ils devraient être les mieux placés à appliquer la Parole.  Nous avons organisé une chaîne de prière d’un mois d u 04 mai au 04 juin 2004 pour demander à Dieu de nous aider dans cette affaire qui prenait plus tôt des dimensions plus charnelles que spirituelles de la part de ceux qui étaient censé la traiter.  
 
7
Je ne veux même plus parler de combien de fois le grou pe s’est résolu d’aller voir le coordonnateur du pays, tellement ce dernier est devenu de plus en plus sournois.  Le 27 juin 2004, le groupe réussi à faire une réunion de travail avec le coordonnateur du pays. C’est moi qui avais conduit cette réunion. Voici l’intégralité de ce que je lui avais dit ce jour là : Cela n’a une fois de plus servi à rien. Au point où il était vraiment difficile de comprendre qu’est ce qui empêche le coordonnateur du pays d’agir selon le bon sens.   Le groupe a décidé le dimanche 04 juillet 2004 d’al ler le voir dans le but de définir avec lui les modalités précises d’une période de transition prélude à la sortie effective de la crise allant de ce mois de juillet jusqu’au mois de septembre 2004. Cette période devait avoir et suivre un calendrier bien élaboré, dans le respect des dispos itions pratiques qui ont été prises et de celles qui sont à concrétiser ; autrement, la dénonciation de cette période pourrait avoir lieu à tout moment, et par tout moyen. Les réunions de travail doivent être planifiées sur un document écrit officiel ( distribué à tous les membres du conseil, suivant les objectifs et les buts hebdomadaires : tous les problèmes à traiter devant être traités au plus tard en septembre 2004.) Pour entrer de plein pied dans cette période, il était urgent d’annoncer dans la semaine du 04 au 11 juillet 2004, un conseil de transition maisonn ée qui aura pour but de faire revivre la maisonnée suivant les grandes orientations suivantes : - Assainir les affaires de la maisonnée en rendant transparente la gestion des affaires, dans le but de rassurer les croyants et de ressusciter leur confiance en la maisonnée. - Gérer les affaires courantes en faisant exécuter les décisions - Assurer le relais d’information envers la maisonnée entière. - Préparer le redémarrage des activités à tous les n iveaux de la Voie en France pour le mois d’octobre 2004.  Entre cette date jusqu’aujourd’hui, il s’est passé beaucoup de choses. Mon premier constat entre autres est que le coordonnateur de la Voie en France croyant que je suis le seul à tenir la résistance ; profite à chacun de mes déplacements pour semer le trouble dans le groupe. Quand je suis parti pour la chine du 29 mars 2004 au 26 avril 2004. Au mois de juillet, je suis allé en Angola du 18 juillet 2004 au 12 septembre 2004 ; profitant de mon absence, il refuse de présenter le conseil. La mise en place du conseil nous a demandé énormément du travail. Nous devrions d’abord nous mettre d’accord dans le groupe pour trouver une raison biblique d’un conseil, ensuite élaborer un traité qui serait un support écrit qui serait un document de travail dont personne ne pouvait se passer. Je venais de louper mon voyage pour l’Angola ce dimanche 11 juillet 2004 de Bruxelles, j’ai reporté pour le dimanche 18. Et j’ai remercié Dieu c ar il fallait vraiment que je sois là le samedi 10 quand le groupe a travaillé sur la fin de l’élaboration du traité 1 des orientations et du fonctionnement de l’administration de transition. Le débat était très houleux et c’est moi qui heureusement avais conduit les travaux. Je me suis dit plus tard que si je n’étais pas là ce jour là, les travaux n’auraient pas aboutis. En tout cas pas ce jour là, car deux membres du groupe sont all és très loin dans leur opposition jusqu’à des échanges de paroles très virulents. Mais grâce à Dieu nous sommes arrivés à nous mettre d’accord sur le texte final qui devrait être présenté au coordonnateur de la Voie en France.  Voici le traité en question dans son intégralité :  
 
8
Le dimanche 18 juillet 2004, j’ai voyagé pour l’Angola. C’est après moi que le coordonnateur du pays décidera de ne plus présenter le conseil à toute la maisonnée. Et jusqu’aujourd’hui je ne peux pas dire si réellem ent le Q.G était ou non au courant de tous ces travaux.  Chaque fois que nous recevons une lettre du Q.G, on nous renvoie toujours chez le coordonnateur du pays. Mais quand nous pensons aboutir dans tout ce que nous faisons avec lui ; le mot de la fin est toujours le Q.G ne veut pas.  Le groupe était prêt à soutenir le coordonnateur dans la relance des activités du ministère en France. Mais nous lui avons demandé de prendre d’abord des mesures d’urgence afin que la confiance et la sérénité reprennent le dessus. Nous lui avons adressé la lettre dont voici le contenu : Nous avons travaillé avec lui dans ce sens dans un climat de respect et d’entente. Mais enfin de compte, le coordonnateur de la Voie en France s’e st montré très charnel et sournois. Il a fermé toutes les portes pouvant emmener la paix dans la maisonnée. Il a d’abord repoussé la date de présentation du co nseil de maisonnée qui était prévue le 18 juillet 2004 au 31 juillet 2004 pour ensuite dire que le Q.G ne voulait pas de ce conseil.  C’est ainsi que quelques membres du groupe avec quelques croyants se sont pointés chez lui pour lui demander comment il pouvait justifier une tel le décision. Ces croyants ont affronté une résistance physique de la part des gardes du corps du coordonnateur du pays. Ces derniers ont même appelé la police qui a enregistré cet incident. Quelques mois plus tard, le directeur de la Diffusio n Internationale envoie une lettre à ces croyants leur signifiant qu’ils sont mis à l’approbation. C'est-à-dire ; qu’ils ne peuvent plus assister en aucune communion de maisonnée, ni en aucu ne autre activité. Mais ils peuvent continuer à envoyer leur argent au coordonnateur du pays, ils peuvent s’abonner aux cassettes du dimanche soir et doivent contacter le coordonnate ur de la Voie une fois tous les mois et rendre je ne sais quel compte.  Quelle n’a pas été la déception des croyants de la Voie en France ? Depuis des années que cette affaire dure, jamais le Q.G a répondu aux croyants considérant réellement cette affaire. Mais dès qu’un croyant ou un groupe de croyants fait un pas individuel dans cette affaire, ils sont rapides à réagir. Aujourd’hui ; j’ai des réponses à tout ceci. Ceux qui ont quitté The Way International, et qui ont occupé des postes élevés dans le département des recherches par exemple, ont parlé et continuent de parler. Il y a des sites internet americains qui disent des réalités sur le Q.G qui nous laissent à nous poser des questions aujourd’hui si oui ou non nous sommes encore dirigés par des hommes qui sont spirituels ou tout simplement par des hommes q ui tirent leur gain sur l’administratif seulement et non sur la Parole de Dieu. Bref, à chaque avancée, le coordonnateur du pays di sposait d’un délai de réflexion lui permettant de consulter qui il voulait avant de prendre sa décision. C’est ainsi qu’il annoncera de sa propre bouche les décisions suivantes en prés ences de tous les dirigeants de la maisonnée : Réunion du 29 mai 2004 : Suspension des activités des rameaux Réunion du 13 juin 2004 : Suspension des deux autres membres du Comités Exécutif Réunion spéciale du 10 juillet 2004 : Adoption par le coordonnateur de la Voie en France du projet de Conseil de Maisonnée appelé à tenir les assises générales de la Voie en France.
 
9
Douze membres du Conseil choisis selon certains crit ères devaient être présentés à toute la maisonnée d’abord le 18 juillet 2004, ensuite repoussé le 31 juillet 2004. Le coordonnateur de la Voie décide de ne plus prése nter le conseil de maisonnée aux dirigeants comme prévu ; soit disant que le Q.G n’en veut pas.  Mais avant cela, un groupe de croyants vaillants pour la vérité a campé devant chez lui et s’est heurté très violemment à d’autres croyants qui sont d evenus des gardes du corps du coordonnateur.  Le coordonnateur a préféré appeler la police plus t ôt que de trouver une solution entre croyants dans la maisonnée.  Quelques mois plus tard, ces croyants ont reçu des lettres du Directeur de la Diffusion Internationale qui les met en approbation. Ils n’on t plus le droit de participer en aucune communion, ni en aucune activité de la maisonnée.  C’est qui est très choquant concernant cette lettre, c’est de voir ce que dit un haut dirigeant du ministère de The Way International concernant un dirigeant qui a utilisé l’argent des croyants pour s’acheter une maison individuelle, et qui collabore avec des croyants qu’on soupçonne des pratiques occultes et contraires à la Parole de Dieu . Je cite : « Peu importe ce que cet homme a fait, vous n’avez pas le droit de faire ce que vous avez fait. »  Cela veut dire que cet homme aurait abusé de nos femm es et de nos enfants, tout ce que nous aurions à faire de fermer nos bouches. Je n’ai jamais vu, cela nulle part dans la bible.  Depuis des années que cette affaire dure, les croyants ont écrit beaucoup de lettres au Q.G, on n’a répondu à personne sinon à moi. Les croyants ont beau écrire, téléphoné ; rien à faire. Une fois j’ai tenté d’écrire au n° 3 de la Diffusio n Internationale, il ne m’a même pas répondu.   Mais à chaque fois que les croyants essayent de faire un geste, ils sont les premiers à réagir.  D’un commun accord, les membres du groupe se sont décid é de faire abstraction de la direction et d’avancer tout simplement dans ce processus de rebâtir la maisonnée de la Voie en France.. La deuxième et dernière confrontation publique a eu lieu lors de la dernière soi-disant réunion du rameau de l’Essonne. Ces réunions sont devenues une rencontre entre les amis et les membres des familles des dirigeants des rameaux et d u pays. Les croyants qui prennent position dans la Parole n’y vont plus. C’est lors de cette réunion qu’ils appelleront encore la police pour la deuxième fois. Je comprends que le jour où ils le feront pour la tr oisième fois, ils vont tenter de lâcher une grenade dégoupillée depuis longtemps, attachée à leur ceinture pendant qu’ils ont la goupille entre les dents. La grenade explosera sur eux.  Tout cela n’a pas découragé les vaillants pour la vérité. Nous nous sommes tout simplement décidé d’avancer.  Nous avons programmé une réunion des croyants le 03 octobre 2004 au Millénaire de Savigny Le Temple.  
 
10
Ce jour là, nous avons relevé le défi de lancer les activités du ministère, car nous sommes convaincu que c’est nous qui tenons le vrai bout. Ne pas le faire, aurait permis à l’adversaire de continuer à détruire ce qui restait encore debout.  Dans cette affaire, je ne parle pas trop des coulisses du groupe, mais il est important de dire que nous avons eu des fois beaucoup de difficultés pour nous mettre d’accord. Je me rappelle par exemple quand nous avons travaillé ensemble pour accoucher le traité des orientations et du fonctionnement de l’administration de transition ; les tentions étaient montées à tel point qu’un rien suffisait, le groupe éclatait. Mais à la fin, on tombait toujours daccord. Ceci montre combien ce mouvement est de Dieu et person ne ne peut l’arrêter. Nous avons continué à travailler, et avons programmé d’autres ré unions et avons établi les calendrier d’activités jusqu’au mois de décembre.  Le 05 octobre, nous avons envoyé notre premier rapport au Q.G.:  Au fur et à mesure que les jours passent, les croyants rallient le groupe des vaillants. Tous les croyants des Productions de la Voie à l’exception de deux, ont rallié le groupe.  Les communions se sont organisées autour des coordon nateurs vaillants. Ma communion a connue une scission et a donné naissance à deux autres communions. Celle d’Evry Champtier du Coq, coordonné par un frère Togolais, qui a toujours soutenu l’action du groupe. Et la deuxième est la communion de Melun qui est coor donnée par un vaillant membre du groupe. Il y a aussi la communion de Courcouronne qui est née. Nous sommes arrivés à 20 communions, et à chaque réunion, Dieu ajoutait des croyants.  Nous avons lancé un défi à l’adversaire le mois de novembre car depuis le début de cette affaire, jamais nous avions tenu une réunion de tous les croyants ailleurs qu’au Millénaire dans l’Essonne. Nous avons alors décidé de reconquérir les vieux territoires.  Vous remarquerez que nous avons organisé beaucoup de chaînes de prières car nous savons très bien que sans ces prières, l’adversaire ne reculera pas.  Et ce mois de novembre, nous avons planifié une chaîne de prière d’un mois, de 4 heures à 7 heures, du 01 novembre au 30 novembre.  Avant la réunion des dirigeants du14 novembre 2004, j’ai brossé le programme de la réunion en choisissant les rubriques et les intervenant. Mais dans le groupe des vaillants pour la vérité, une rubrique n’a pas fait l’unanimité. Celle de la p résentation de la situation structurelle et administrative de la maisonnée. Pourtant j’ai tenu à la présenter ainsi car j’ai se nti que dans le groupe, il y a encore une incompréhension de la situation de la part de beauc oup de membres. Il fallait absolument clarifier que nous étions dans une deuxième période de notre travail de restauration. Et cela pour moi était plus que nécessaire. Car l’attitude du groupe commençait à accuser un certain antagonisme. Le mot est peut être trop fort, mais cela en avait l’air.  J’ai jusqu’à ce jour une certaine légitimité dans le groupe, celle d’avoir allumer la flamme. Mais quand à la légitimité de direction ; elle revenait on dirait à tout le monde.
 
11
  • Univers Univers
  • Ebooks Ebooks
  • Livres audio Livres audio
  • Presse Presse
  • Podcasts Podcasts
  • BD BD
  • Documents Documents