divagation masturbatoire
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Description

Divagation masturbatoire 1. Camille. Après deux jours de festival, Nina, ma coloc, Camille, trop épuisée pour prendre le volant jusqu'à chez elle, et moi étions enfin rentrées à l'appartement. Camille est mon premier amour femme, on à mis 5 ans à se sauter dessus pour ensuite vivre 6 mois de passion intense. Ce jour-la nous n'avions pas encore couché ensemble. Comme d'habitude Nina est moi nous étions blotties sous sa couette pour regarder une série, ensommeillées, Camille c'était jointe à nous. Nous avons été, pour la première fois depuis notre cohabitation, prise d'une envie de se donner de la tendresse sensuelle, Nina et moi. Elle était sur le bord de droite, j'étais au milieu et Camille à gauche. Nos respirations ce sont accélérées et nous avons compris de suite l'envie réciproque. Nous avions envie de gouiner! Tout avait disparu autour de nous, même Camille, la fatigue, l'alcool, l'euphorie du festival nous étourdissez dans une transe sexuellement primaire. Nina a commencé à me caresser l'entre-jambe. J'ai gémi sans retenu, elle me faisait un effet de malade. J'ai poussé l'ordinateur d'un geste aveugle sur Camille etj'ai commencé téter à téter Nina. Camille était paralysée entre le désir et la gêne, elle matait sans le vouloir vraiment trop timide pour oser assumer. Elle se découvrait voyeuse.

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Publié le 08 septembre 2018
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Langue Français

Extrait

Divagation masturbatoire
1. Camille. Après deux jours de festival, Nina, ma coloc, Camille, trop épuisée pour prendre le volant jusqu'à chez elle, et moi étions enfin rentrées à l'appartement. Camille est mon premier amour femme, on à mis 5 ans à se sauter dessus pour ensuite vivre 6 mois de passion intense. Ce jour-la nous n'avions pas encore couché ensemble.  Comme d'habitude Nina est moi nous étions blotties sous sa couette pour regarder une série, ensommeillées, Camille c'était jointe à nous. Nous avons été, pour la première fois depuis notre cohabitation, prise d'une envie de se donner de la tendresse sensuelle, Nina et moi. Elle était sur le bord de droite, j'étais au milieu et Camille à gauche. Nos respirations ce sont accélérées et nous avons compris de suite l'envie réciproque. Nous avions envie de gouiner! Tout avait disparu autour de nous, même Camille, la fatigue, l'alcool, l'euphorie du festival nous étourdissez dans une transe sexuellement primaire. Nina a commencé à me caresser l'entre-jambe. J'ai gémi sans retenu, elle me faisait un effet de malade. J'ai poussé l'ordinateur d'un geste aveugle sur Camille et j'ai commencé téter à téter Nina. Camille était paralysée entre le désir et la gêne, elle matait sans le vouloir vraiment trop timide pour oser assumer. Elle se découvrait voyeuse. Elle était honteuse et excitée de la scène, en même temps elle était en colère de notre manque de respect et de pudeur, mais aussi jalouse d'être mise de coter, de ne pas être l'une d'entre nous, de me voir coucher avec Nina alors qu'elle en rêvait depuis longtemps. Son estomac était retourné par les émotions contradictoires et par les contractions de glaire que sa chatte expulsait. J'ai titillé la tétine bien tubéreuse et bandante de Nina, son torse m'aguichait pour que je file vers sa foufoune. Je sentais sa chaleur sur ma cuisse. j'avais envie de boire son jus. Je l'ai foutue à poil en moins de deux, Camille subissait immobile le regard rempli d'envie, ça m'a rendu d'autant plus folle que je l'ai ressenti en un bref regard. J'arrachais dans un dernier mouvement sa petite culotte et me suis jetée toute langue dehors dans son minou fournie de poils frisés noir. Je l'ai fait jouir une première fois les yeux fermés, mon regard était planté dans celui de la fragileCamille.J’imprégnais mon visage de ses glaires chaudes et je l'écoutais hurler.je me suis assise sur sa face pour la baiser d'en haut tout en la doigtant, toute griffe sorti jouant avec son grelot écarlate du bout des ongles. Mes reins dansaient sur son nez. Elle ne pouvait pas s’empêcher de couiner!Sans gêne j'ai titillé la mamelle de la petite Camille assise pas loin, le regard frustré, désireux et énervé. J'ai poussé l'humiliation en me servant de son corps pour me satisfaire un peux plus, pendant que Nina me grignotait la cerise.
Nous avons joui ensemble puis je me suis levée pour aller pisser. En ouvrant la porte de la salle de bain je suis tombée nez à nez sur Camille qui m'a dit :"Je n'en peux plus à partir de maintenant je suis ton apprentie brouteuse, je veux moi aussi ressentir du plaisir interdit au lieu d'être seulement voyeuse !"Notre amour a commencé ainsi, après 5 ans de regards, de frissons au moindre contact, de silence timide et pleins d’énergies sexuelle. Je l'ai soulevé pour l'allonger sur l’îlot de la cuisine et je l'ai doigté comme une bite baise une femme. Elle a éjaculé à grande coulée. je me suis endormie sans me nettoyer. Nous avons dormi nue toutes les 3. Au réveil, j'ai voulut secouer Camille, alors J'ai brouté, les yeux à peine ouvert, le cul de Nina encore endormi. Sans besoin de se mettre nous savions cette ardeur sexuelle éphémère. Se désire, entre nous, ne rimait a rien je le savais et j'en ais profité. Camille par contre je savais que ça pouvais durer un temps. Nina m'a, quand même, demandé qu'a partir de ce jour je baise toujours la porte ouverte pour qu'elle puisse se branler les soirs de disette. Elle a ensuite filé pour sa garde de 24h à l’hôpital."Aujourd'hui je vais assouvir ses années de frustrations en y allant fort tu choisis ensuite de continuer ou de partir""Oui Chloé!"Dans un premier temps je l'ai observé boire dans la gamelle de mon chat, le fouet de cuisine planté dans le cul, elle miaulait. Je me suis servis d'elle une première fois comme papier toilette, j'infligeais l'uro, à quelqu'un, pour la première fois. Étonnement ça l'a fait gémir. J’ai eu l'idée de réaliser un premier fantasme pas inavouable avec elle, je voulais qu'elle m'injecte de l'eau dans le cul avec une poire et ensuite la rejeter sur son torse. J'ai tapé fort car je voulais me venger des souvenir de masturbations, en pensant à elle, depuis tant d'années. Je sortais d'une relation de soumise avec un homme, je ressentais le besoin d' une nouvelle approche du Bdsm. Elle a bu les 3/4 de mon jus d'anus. Je lui ai demandé de me laver impeccablement, de me sécher et me coiffer. Son tour venu, j'ai enduit sa rondelle de crème dépilatoire et j'ai enlevé son pompon brun tout frisé. Je lui ai laissé la chatte velu, j'aimais bien par moment, bouffer du poils, sa changeait! J'ai ensuite pris soin d’ausculter son trou, équipé d'une pince à épiler.Je lui ai fait 5 lavements anal au lait de vache, 4 vaginale à l'eau froide.Je lui ai fait un dernier lavement anal en lui demandant de retenir le liquide pendant 30 fessées sur son derche.
J'ai compté chaque coups en fixant son corps et son visage, j'étais à l'affût de tout lessignesémotifs. J'ai vu son regard fixe et vide essayer de se concentrer, sur son trou sous pression, pour faire abstraction des sensations explosives dans son corps, elle a tenu le défît grâce a son mental car son corps luttait contre elle. Une nouvelle envie m’aie venu. Pour qu'elle accepte ma pratique du moment, plus facilement, je lui ai tout naturellement ordonné de me l'infliger."Je m'allonge dans la baignoire et tu vas pisser sur ma bouche, ma gorge et mes seins."L'envie lui ai arrivé très vite et j'ai savouré la chaleur de son champagne. Sale je lui ai fait signe de me remplacer et je lui ai rendu l'appareil on finissant notre première baise imbibées de pisse.
2. J. Espion. Vers 00h je laisse ma chérie, ses deux copines Ophélie et Nao ainsi que ma meilleure amie Manon bavarder et je pars me coucher. Je suis réveillé quelques heures plus tard par des petits bruits aiguë provenant du salon, je tente de les ignorer puis je prends conscience que Julie n'est toujours pas prêt de moi, je me lève, avance doucement vers la porte et je l'ouvre sans un bruit. Dans l’entrebâillement de la porte j'assiste à une scène hors du commun. Quatre gazelles se broutent à quelques mètres de moi. Ma main est sur ma verge déjà tendue, dans un mouvement réflexe. Je me branle. Manon est à quatre pattes le cul tendu sur la bouche de Nao qui le bouffe, son visage est enfoui dans le minou de ma douce. Mon amoureuse se fait culbuter le museau par Ophélie à califourchon,la poitrine et la face collées au mur derrière le canapé. Elles couinent, gémissent, éclate de rire. Manon corse le plaisir de Julie en remontant ses chevilles vers ses oreilles et plaque au passage un peux plus Ophélie sur son visage. Nao profite du mouvement pour empoigner à pleine main chacune de ses fesses, les écarter fermement et rouler des galoches frénétique au pétale rose de ma meilleure amie. Je peux voir le cul d’Ophélie onduler et danser pour se donner du plaisir contre la langue certainement tendue de ma gourgandine. Ma Julie joui la première, elle envahi la gorge de Manon qui aspire sa liqueur bruyamment. Son orgasme déchaîne son torse d'avant en arrière, elle est figée sous le pubis d'Ophélie qui suit le mouvement du plaisir, elle donne des coups de bassins non retenu sur la face de sa brouteuse. Dans un enchaînement parfait Manon prend le relais est se tord à son tour, le nez dans les poils pubien de ma copine. Elle renifle ses effluves post coït à plein nez, pour monter encore plus haut dans sa transe. Elle fait traîner son orgasmeen longueur, savoure chaque seconde jusqu’à la dernière minuscule montée. Elle laisse le temps a Ophélie de se libérer, a son tour, de sa frénésie sexuelle puis, les regarde, elles sont envieuses, la bouche tordue et crispée par le plaisir presque ultime à la limite extrême de l'apothéose qui se fait désirer. Elles reprennent leurs esprits, je peux sentir d'ici la frustration de Nao qui ne dit rien mais fait la moue. Elle n'ose pas demander son dut mais à peur d'être oubliée et de s'endormir la chatte en feux. "Nao, allonge toi au sol, tu n'as pas été servie!"Elle s’exécute sans se faire prier, les 3 filles s'installent de manière à la brouter à 3 bouches. A peine deux lippées de chaque filles et elle hurle d'un plaisir gardé trop longtemps en elle. Je repars me coucher, pour attendre que Julie me rejoigne et la prendre jusqu'à ce qu'elle gueule comme une truie. Des qu'elle s'allonge je la retourne et la saute mon visage calé dans le creux de sa joue je peux sentir les ébats féminin s’échapper de sa bouche ni rincée, ni essuyée. Elle l'avoue sans
l'avouer et veux que je la punisse silencieusement mais très fortement en dilatant a leur maximum ses trous.3.
Lola Je rejoins Lola dans un bar, c'est une très bonne amie qui revient de 6 mois en Amérique Latine, elle a réussie à s'envoyer de la Cok par la poste et elle coule à flot. Nous sommes hystérique par la blanche et le plaisir de nous revoir. Nous finissons dans une boite de nuit branchée du centre ville, quand elle me lance: "Si nous étions toutes les deux sur le même mec, il serait bien chanceux!"L'idée fait "tilt" dans nos têtes et nous passons la fin de la soirée à démarcher des mecs pour un plan à trois avec nous deux. On aguiche, on se montre franche, on s'approche en lançant des regards et en ondulant nos corps de manière très sexy. On réussis tant bien que mal à ramener un gars qui s'endort sur la canapé car bien trop imbibé d'alcool. Un poil frustrée on opte pour papoter calé dans son plumard en fumant des joins et en buvant du champagne. Je bouillonne d'envie mais je me contiens, je ne suis absolument pas concentré sur ses histoires de mec, l'esprit parasité par des pensées lubrique. Au bout d'une petite demie heure elle se tourne vers moi et me dit: "Je mouille beaucoup, je vais me masturber dans la chambre d'à coté."Je me maudit mais je la laisse partir sans dire un mot, étourdie, elle laisse tout de même les portes des chambres ouverte. Les portes sont face à face et leur lit aussi, j'ai une plein vue sur ma copine. Sa tête bascule vers l’arrière, elle ne me voit pas, je matte sans vergogne le spectacle tout en me frottant l'entre jambe avec la dentelle d'une de ses culottes sale qui traîne. Son buste se soulève et ses seins pointu font les beaux, si tendu qu'on pourrais les comparer à une queue en érection. J'ai mes doigts sur ma chatte, je la farfouille guider par l'excitation de mater sans autorisation. Du coin de l’œil j'aperçois un autre de ses string usagé au sol pasloin de moi, je l'attrape le pose sur mon nez respire et me délecte de l'odeur d'un minou mouillé, transpirant de la journée et rehaussée par l'acidité de l'urée. J'ouvre ma bouche et j'enfonce le fond du string dedans pour jouir discrètement. Je me masturbe une seconde fois mais cette fois j’éjacule sur son coussin roulé entre mes jambes et dépose mon jus à son insu, dans le même principe qu'une frotteuse. Je la vois se lever, partir dans la salle de bain et revenir, prés de moi avec une bouteille, qu'elle pose de son coté du lit. "Tu crois que je ne t'ai pas vu abrutie? Te branler dans mon lit et le souiller, manger ma culotte et attraper mon coussin!"Je ne sais plus ou me mettre je suis pétrifiée.
"Je vais te punir et c'est tout! Tu vas te mettre à genoux au pied du lit et boire ma bouteille de pisse petite conne!"Je me suis levée du lit pour m'agenouiller devant elle et j'ai bu la quart de litre de pisse, sans un renvoi, jusqu’à la dernière goutte devant Lola qui me film.Pour finir de m'humilier, elle m'ordonne d'une voix sèche: " Quatre pattes dos à moi je vais te pilonner avec mon pied!"En position, je sens son large membres pleins d'orteils, préalablement huilé, s'insinuer en moi. Quand elle le juge assez enfoncé, je sens ses orteils m'agacer l'ampoule rectale. J'ai honte, je voudrais arrêter hanter par les "Qu'en dira t-on", mais mon corps n’obéit plus. Je hurle de plaisir et elle secoue son pieds de plus en plus et vite et de plus en plus fort. Je me fais violer le fion à coup de panard. Je dégueule mon orgasme par la bouche et par le cul. Ma rondelle brûle, tire, spasme et baille de la largeur du pied. Je m’écroule sur le parquet et m'endors souillée.4.Feuille de rose.
J'entre dans l'appartement. La porte est entrouverte. Le mystérieux "Qnu" du site de chat est bien cul tendu en offrande. Je dégage ma veste d'un geste. Je suis à genoux, je dévore le cul poilu de cet homme. Je farfouille à travers sa touffe de poils collants et frisés pour agiter les nervures de sa rondelle. J’appuie sur l'entrée pour détendre son anneau de calamar.Je lèche ses fentes de la base de ses boules jusqu'à son coccyx. Ma langue tourne dans tous les sens autour du trou de son cul. Je me régale. Je prend de grandes inspirations et savoure son odeur d'anus. Je joue avec ses cris, et ses mouvements incontrôlés. "Truie brouteuse de fion, tu aime ?" Ma chatte contracte pour laisser ma mouille se libérer de mon trou. Il est très poilu et odorant. Son corps ce tord de spasmes guidé au rythme de ses râles sonores. Il joui de ma langue. Je part sans avoir eu quelconque attention.
5. Elle.
Je suis à mon bureau, assise sur le tabouret, jambes écartées, je suis nue... Enfin pas vraiment.... J'ai un beau plug dans le cul (6cm) et j'ai des pinces à tétons . Livia est à la maison, à genoux, sous le bureau nue, elle aussi. Elle entame un cunnilingus/ footlingus accompagné de tillages mammaires, et je dois vous l'écrire en direct. Je vais devoir vous livrer le plus profond de mon intimité. Elle est entrain de renifler ma minette, je sens ses chaudes expirations, ma chatte se tend et je sens la mouille abondante qui sort déjà. Je sens son bout de nez effleurer ma fente, écarter mes poils pubien volontairement longs, pour me raser le moment venu. J'entends son nez renifler ma minette sale et velue. Si vous saviez le temps que je mets à taper les lignes de ses sévices. Je suis stoppée par mon torse qui se tords dans tout les sens à chaque montée de plaisir. Elle est entrain de me sucer timidement la cerise. Elle est déjà très grosse. J'ai la chatte en feux, si elle tarde à rouler de grosses pelles à mon trou béant, elle va boire la tasse. Elle tête longuement et se fais désirer je peux me concentrer et me fixer sur les mots à écrire j'émets, tout de même des gémissements sonores. Sa langue tourne autour de mon oignon rouge vif, sa langue claque. Mes pieds ont migré sur ses genoux, elle les enlace avec les doigts. Ho! Elle aspire ma liqueur, j'entends les bruits de succions. Mon cul sent encore l’écartèlement du plug mis en place, je ne suis pas encore totalement dilatée et tant mieux. Enfin sa langue entre, sort, tourne autour et essuie mes sucs... Ma sauce. Sa petite bouche aux lèvres gercées, sa douce langue baveuse. Elle galoche, enfin, mon minou, mord mon clitoris, tire mes longs poils de chatte, joue à m'agacer, sa timidité première larguée aux oubliettes. J'ai détourné mon regard de l’écran et je suis tombée dans ses yeux, sont visage déformé par ma dégustation. Changement de programme, elle veut me doigter avec ses petites mains toute fine, tout en suçant mes orteils. OUch! 5 doigts d'un coups. Je kiff! Je fais parti de celle qui aime sauter l'étape des préliminaire et de la préparation. Ils ne sont pas utiles, je coule si fort. Je sens qu'elle gratte ma petite masse à l’intérieur.Sa bouche suce mes orteils un à un. Je vais devoir arrêter... De gros flots de cyprine dégouline, je ne veux plus perdre un miette du plaisir qu'elle m'offre.
6. Gages, Potes.
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