Let my people go

Collège Jean Jaurès 4

Description

Les élèves qui ont réalisé cette œuvre ont été sensibilisé à la question des droits d'auteur. Ils sont fiers de leur travail et tiennent à en être reconnu comme les créateurs. Les illustrations sont aussi de leur création. Ainsi ils souhaitent ne pas voir leur travail modifié et/ ou utilisé à des fins commerciales quand eux mêmes l'ont réalisé sans autre rémunération que le plaisir de participer à un concours de création de livre numérique.

Sujets

• Rome antique
• Lion
• Liberté
• Concours Bookin

Informations

• Publié par: collegejeanjaures
• Publié le: 01 février 2016
• Nombre de lectures: 19
• Licence : En savoir +
  Paternité, pas d'utilisation commerciale, pas de modification
• Langue: Français

Extrait

Une nuit, dans la savane, des chasseurs romains qui cherchaient des lionceau pour l’arène ce sont introduits dans un camp de lions. Les chasseurs avançant à plat ventre dans de grand fourré, se dirigèrent vers une clairière ou il y avait 5 petits lionceaux qui jouaient à attraper un papillon. Ils étaient gardés par une lionne qui les surveillait de près. Les chasseurs élaborèrent un plan pour capturer les lionceaux, ils surgirent brusquement des fourrés. La lionne se précipita aussitôt et un des chasseurs armé lui donna un coup d’épée et elle tomba brusquement inerte laissant les lionceaux sans défense. Les chasseurs embarquèrent les petits rapidement avant que d'autres lions n'arrivent et ils s'en allèrent à dos de chevaux. Une fois grands lesSekhmet qui estlions se sont fait une place dans l’arène. Il y a devenue leur chef, elle est imposante et gentille sa bonté est d'ailleurs sa seule faiblesse. Son frère Adonis est musclé et solidaire mais lui aussi a sa faiblesse: l'amour passionné qu'il voue à sa femme Eras. Celleci est très belle et aussi narcissique, puis les deux autres Musafar un peu chétif et plutôt lâche et Zénon qui est fort, fourbe et sans pitié, tous deux de grand manipulateurs. Musafar est devenu aussi méchant à cause du rejet constant des autres et il a fini par se renfermer dans sa bulle. Zénon, lui, est devenu fourbe et sans pitié depuis le jour où il a vu sa mère se faire tuer de sangfroid devant lui. Et depuis ce jour il s' est endurcit pour ne plus souffrir comme il a souffert autrefois. Ils étaient enfermés à longueur de journée et ils n'étaient pas libre de leur faits et

gestes. Les lions tuaient les ennemies romains, c'était pour eux une chose quotidienne, c'est pour cela qu'ils avaient été enlevés. Ils mangeaient à leur faim et certes c'était une bonne chose pour eux mais ils devenaient de plus en plus féroces. Malheureusement Ils vivaient dans des cages et ils y avaient beaucoup de maladies De plus, ils se sentaient mal à force de manger des hommes avec plein de maladie, leur conscience et leur cœur en étaient affectés .

ème Cette œuvre de fiction numériqueLet my people goa été créée par des élèves de 4 du Collège Jean Jaurès de Villepinte dans le cadre du concours Hadopi «BOOKIN’ avec nous » 2015/2016. Textes et illustrations : Alabama Jérémy, Hamzaoui Amine, Irbouh Salim et Laouedj Lilia Nombre de mots : 1942

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Une nuit, dans la savane, des chasseurs romains qui cherchaient des lionceaux pour l’arène ce sont introduit dans un camp de lions. Les chasseurs avançant à plat ventre dans de grands fourrés se dirigèrent vers une clairière ou il y avait cinq petits lionceaux qui jouaient à attraper un papillon. Les chasseurs élaborèrent un plan pour capturer les lionceaux et surgirent brusquement des fourrés. La lionne se précipita aussitôt et un des chasseurs armé lui donna un coup d’épée. Elle tomba brusquement inerte laissant les lionceaux sans défense. Les chasseurs embarquèrent alors les petits avant que d'autres lions n'arrivent et s'en allèrent à dos de chevaux. Une fois grands les lions se sont fait une place dans l’arène. Il y a Sekhmet qui est devenue leur chef, elle est imposante et gentille sa bonté est d'ailleurs sa seule faiblesse. Son frère Adonis est musclé et solidaire mais lui aussi a safaiblesse: l’amourpassionné qu'il voue à sa femme Eras. Celleci est très belle et aussi narcissique, puis les deux autres, Musafar un peu chétif et plutôt lâche et Zénon qui est fort, fourbe et sans pitié, tous deux de grand manipulateurs. Musafar est devenu aussi méchant à cause du rejet constant des autres il a fini par se renfermer dans sa bulle, Zénon, lui, est devenu fourbe et sans pitié depuis le jour où il a vu sa mère sa faire tuer de sangfroid devant lui et depuis ce jour ils’estendurcit pour ne plus souffrir comme il a souffert autrefois. Ils étaient enfermés à longueur de journée et ils n'étaient pas libres de leurs faits et gestes. Les lions tuaient les ennemies romain, c'était pour eux une chose quotidienne, c'est pour cela qu'ils avaient été enlevés par les romains. Ils mangeaient à leur faim et certes c'était une bonne chose pour eux mais ils devenaient de plus en plus féroces. Malheureusement Ils vivaient dans des cages et ils y avaient beaucoup de maladies. De plus, ils se sentaient mal à force de manger des hommes, leur conscience et leur cœur en étaient affectés. 3

Les lions était battue quotidiennement par les gardes pour développer leur férocité mais Eras ne supportait plus ce traitement et elle tombait de plus en plus malade. Un jour Eras a refusé de rentrer dans l'arène. Les gardes arrivèrent et la bâtèrent. Eras tombât au sol. La maladie et les coups l’avaient épuisé. Les gardes ont d'abord pensé qu’ellefaisait semblant. Alors ils l'amenèrent dans une salle sombre et peu éclairée où ils l’enfermèrent. Un des gardes pris un morceau de bois qui trainait dans un coin et lui donna un coup d'une force inexpliquée sur la tête. Eras perdit connaissance et reprit connaissance quelques minutes après. Alors les romains crièrent:  Lèvetoi et arrête de faire semblant! Mais Eras vidée de toute énergie ne put pas se lever. Un garde romain dit:  Tu ne veux pas te lever peut être qu'après quelque coup tu obéiras. Elle prit plusieurs coups de bâton mais elle ne se levait toujours pas. Alors un des gardes la frappa plus fort. Eras se mis à saigner abondamment de la tête et commença à perdre peu à peu connaissance. Dans un dernier souffle Eras fit un rugissement bestiale qui laissa bouche bée ses assassins. Les autres lions entendirent et comprirent ce qu'il s'était passé et Adonis en fut dévasté.

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Seckhmet et Adonis décidèrent de commencer à se battre pour retrouver leur liberté mais les traîtres Musafar et Zénon avaient fait un pacte. Leur pacte consistait à se rallier aux romains pour contrôler les faits et geste de Sekhemet et Adonis. Musafar influençait Zénon dans ses décisions Musafar dit à Zénon:  Accepte ce pacte et tu seras mieux traité. Zénon rétorqua:  Je ne suis pas sûr, je veux retrouver ma liberté. Musafar lui dit :  Tu la retrouveras bientôt si tu fais ce que je te dis. Zénon accepta croyant les paroles de Musafar naïvement. Ils allèrent donc voir le général romain et conclurent le pacte non sans difficultés puisque les romains hésitèrent un long moment avant d'accepter. Ils trouvaient bizarre que des lions se lient contre leur semblable. De jour en jour Adonis et Sekhmet inventaient des plans pour s'enfuir mais ils se rendirent compte qu'à chaque fois qu'ils parlaient de leur plans à Musafar et Zénon leurs plans échouait, alors ils ont décidé de les suivre. Musafar et Zénon se dirigèrent vers un couloir isolé au bout de ce couloir il y avait un

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général. Alors les deux traitres commencèrent à raconter les plans d'évasion inventés pas Sekhmet et Adonis. Mais Musafar et Zénon ne se doutaient pas que Sekhemet et Adonis avaient tout écouté, et qu'ils étaient au courant de leur trahison. Pendant ce temps Seckhmet et Adonis avaient élaboré un plan pour s'enfuir mais ils se sont dit que pour cela il fallait rallier Zénon à leur cause afin d’éviter que leur plan tombe à l'eau et que Musafar aille les dénoncer. Alors une nuit Sekhmet et Adonis partirent voir Zénon pour le ramener à leur cause. Sekhmet lui dit:  Zénon pourquoi t'estu allier avec Musafar ? Il répondit :

 Car c'est le seul qui a su m'aider. Elle rétorqua :  si tu restes avec lui, tu resteras pour toujours coincé dans cette arène et tu finiras comme Éras et Musafar te trahira. Adonis pris d'un air furieux la parole:  Si tu veux finir comme Éras c'est ton choix mais je t'en supplie aide nous à nous enfuir. Zénon dit d'un air résigné :  Je suis d'accord. Car il avait peur que Musafar le trahisse. Zénon accepte la proposition de Seckhmet et Adonis qui est de se rallier avec eux. Pour s’enfuirassassiner Musafar., les lions devaient tuer des soldats romains et Pour tuer Musafar les lions ont du faire un piège avec Zénon, lui faisant croire que leur pacte avec les romains était toujours valable et l'emmena dans un endroit isolé à coté d'une salle d'entrainement où les lions l'attendaient. À peine Musafar fut rentré Adonis se jeta sur lui d'une extrême sauvagerie aveuglé par sa rage. Une fois qu'il reprit ses esprits il recula et vit qu'il l'avait tué.

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Une fois après avoir caché le corps de Musafar ils élaboraient un plan pour s'enfuir de l'arène. Les lions ont dû passer par la grande cour délabrée. Sekhmet se sépara d'eux et passa dans un couloir en attirant l'attention des romains pour que les autres lions puissents’enfuir. Mais une grille les empêcha de sortir, tandis que Sekhmet se battait, Adonis eu une idée. Son idée était de rejoindre sa sœur et de rester en groupe. Ils trouvèrent une issue, c'était une trappe par où les lions rentraient dans l'arène qui était restée ouverte. À l'autre bout de cette trappe il y avait un garde qui gardait une porte qui menait à la liberté. Les lions lui sautèrent dessus, mais d'un coup cinq gardes arrivèrent. Alors les lions se précipitèrent vers la sortie,coururent sans s’arrêter pendantvingt minutes pour échapper aux gardes furieux qui les poursuivaient. Une fois après les avoir semé, ils s'arrêtèrent et ils savourèrent leurs libertés retrouvées. Ils étaient bouche bée face à la beauté du paysage. Devant eux il y avait une belle et grande montagne qui s'élevait jusqu'au ciel. A coté il y avait une prairie verdoyante où des biches broutaient. Ils étaient émerveillé face à cette nature encore inconnu à leur yeux, eux qui n'avaient connu que les cages. 7

Les 3 amis décidèrent de rentré en Afrique. Après avoir parcourus l'Allemagne et ses pâturages là ou Zénon découvrit les serpents avec tous leur danger, l'Italie et ses taureaux là ou sekhemet appris à faire la différence entre vaches et taureaux, la France et ses chiens airant qui n'étaient pas tout à fait airant car c'était des chiens de chasses mais se fut bien sûr la découverte d'Adonis et enfin l'Algérie et ses animaux du désert là où Sekhemet, Adonis et Zénon découvrirent les animaux les plus dangereux du monde entre les scorpions, les cobras et les araignées mortelles. Après leur tumultueux voyage il ne resta que quelques jours avant d'arriver au Mali. Quand ils arrivèrent au Mali, Adonis, Sekhemet et Zénon croisèrent un groupe d'éléphant qui laissèrent les amis perplexes, puis un groupe géant d’herbivore qui s'abreuvait et qui ressemblait au zèbre, gnou ,buffle et quelques girafes immenses qui surplombaient le troupeau. Dès que les girafes virent s'approcher les trois lions elles lancèrent un cri d'alerte et d'un coup le troupeau se transforma en un chaos totale. Les zèbres donnèrent des coups de sabot dans tous les sens, les gnous qui rentraient dans les autres et les buffle donnaient des coups de corne. Après dix minutes le troupeau se dissipa et les lions continuèrent leurs routes.

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Un jour plus tard Zénon aperçut une troupe de lionne. Sekhmet alla voir les lionnes et elle reconnut une odeur qui se détachait de toute les autres, elle se dirigea vers l'odeur. C'était la lionne la plus âgée du groupe. La lionne la plus âgée s'est révélée être sa mère. Elle se nommait Amaléna. Amaléna dit à Sekhemet et à Adonis qu'un jour ils ont disparu et tout le monde croyaient qu’ilsétaient morts. Une fois que les retrouvailles furent finies et qu'ils retrouvèrent les autres lions de la troupe, Sekhemet et Zénon tombèrent de jour en jour amoureux l'un de l'autre puis décidèrent un jour de se marier.

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