The life is a dream, but to dream is not to life. (suite 11)
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Publié le 03 mars 2012
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Scène11:hCuaddentva,saiuf...t
L’ombre que le soleil projetait au sol, était celle d’un idiot. Un idiot avec un masque et un katana.
Déboussolé je rentrais pour m’interroger. Que lui était-il arrivé ? La veille quand c’était.... Lundi ! Ouf... J’ai eu peur de ne pas m’en souvenir expirai-je en m’adossant sur le canapé. Donc il avait parlé, mais dit quoi ? Je devais avoir une surprise, puis j’ai voulu aller dormir, il à causé mais.... Merde ! J’aurais dû l’écouter jusqu’au bout. Et maintenant ?
En même temps que je me préparais, je réfléchissais à l’endroit où il pouvait être. Il ne pouvait être mort, sinon il y aurait eu des traces de sang à tout va, et même son cadavre. Se serait-il enfui ? Non impossible à moins que ce soit pour réapparaitre comme il fait si bien. Mais dans ce cas il aurait gardé son masque. A part la sangle qui était cassée, le masque ne semblait pas plus abimé.
__ 18h23... Comment ?! M’exclamai-je en regardant la pendule. Forcément il à dû partir, feignant que je suis ! Il faisait toujours jour et beau temps, mais le crépuscule devenait pressant. Avant la tombée de la nuit je devrais peut-être partir, s’il n’est plus là c’est pour une bonne raison. Je serai sûrement obligé de faire pareil.
Quelques paquets de minutes plus tard, un bruit de moteur attira mon attention et ma vigilance. Il venait de la rue défoncée. Depuis la fenêtre fermée du premier j’aperçu une voiture normale, grise, vitres teintées qui venait de s’arrêter. Pendant un instant il n’y eu aucun mouvement. La nuit était à mes portes, la lumière se consumait peu à peu. Les 4 portières s’ouvrirent d’un seul coup. 4 filles en sortirent, armées de pistolets derniers cris, habillées en tenue des forces spéciales de polices, lunettes de soleil calqué sur les casquettes et ceinturons plein d’équipements. Mais ce sont des GIGN ou quoi ?!
L’une d’entre elle regarda vers la fenêtre. Je m’éjectai en arrière aussitôt, écrasant les nouveaux gâteaux dans mon sac. Il fallait que je me cache, si elles me trouvaient...
Je pensais au toit mais cela me rappelait de mauvais souvenirs, de même pour rester simplement dans la maison. La terrasse ? Non, il n’y a aucune cachette, en revanche peut-être que le jardin des voisins ... ? Je me sentais refroidir par la peur qu’elles
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m’inspiraient, cette peur devenue régulière, une peur qui vous paralyse, qui vous glace jusqu'à la plus profonde petite cellule de votre corps, qui vous coud des nœuds dans l’estomac. Une peur qui fait peur pour résumer ! Des lumières s’élançaient à travers les vitres du boudoir dans le couloir menant à la rue. Dansantes de haut en bas de l’escalier. Elles avaient même des lampes en accessoire à leurs flingues ? Purée !
Sans plus tarder je m’élançais sur la terrasse. Elle était encadrée d’une barrière faite d’un filet vert foncé dévoré par le lierre, tantôt verdoyant en été, tantôt maronnâtes en automne. Notre voisin, agréable au possible, avait une baie vitré teintée. Je me souvins petit y avoir jeté divers objets, plus par ennui que par sadisme heureusement. L’heure était au test de résistance d’un poids humain qui veut sauver sa vie. D’autres lumières venaient de la rue, elles m’affolaient plus que nécessaire. Un petit homme était en équilibre sur du verre à présent, la vitre crissait légèrement sous la masse qui s’exerçait sur elle. Pas à pas, doucement. Il y avait quelques mètres séparant l’embouchure et la terrasse, dont seule cette vitre les reliait. Chaque pas était sous-pesé avant même de penser à le poser, les battements de cœur m’envahissaient l’esprit. J’étais à la moitié quand je vis une lumière passer rapidement depuis le salon. Je lâchai un juron tout bas et accélérai le pas au mieux dans la limite de la prudence. Le faisceau passait et repassait, une d’entre elles finira bien par venir voir. Je pris mon sac et le lança aussi mollement que possible sur la toiture saillie du bout de mon arme longue en m’étirant de mon long. La perte de quelques grammes me redonna espoir. Mais pas d’imprudence. La vitre était sale et peu fiable, la peur m’engageait à sauter d’un coup et de poser le pied sur un truc dur, n’importe quoi. Une énorme envie d’éternuer farouche fit son apparition. Le blocage brusque de la respiration attira l’attention des occupantes. Un silence menaçant planait.
 Quitte ou double, élancé comme j’étais je fis un pas maladroit, l’autre pire, le prochain encore pis et atteignis le passage ! Le reflet sur la pierre terne m’alerta. Je pris le sac et le serra de toutes mes forces, abrité derrière l’angle. La lumière fit une ronde. Une deuxième. Encore une. Plus lente et plus aux aguets. Scrutant chaque détail aux alentours. Mes jambes tremblaient comme des feuilles, les poumons demandaient de l’air et moi de l’aide intérieurement. La lampe se braqua dans ma direction, et s’attarda sur la vitre sale. Si j’étais croyant j’aurais prié tous les Dieux existants pour qu’elle ne fasse aucun lien.
__ Je l’ai ! Déteint une voix.
Non... Non !
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__ Vous pouvez rappelez Vénus 2-4, dites leurs qu’on à retrouvé ce que le VIP avez caché.... Négatif, on ne l’a pas trouvé, il à dû s’enfuir depuis un moment. Bien reçu, terminé.
La lumière disparut... Qu’avaient-elles trouvée ?
Elles discutèrent plus doucement, m’empêchant d’entendre quoi que ce soit de compréhensible. Un silence étrange régnait. Le stress rassasié et courroucé d’attendre, j’entrais par une fenêtre mis-ouverte. Gardant seulement une arme blanche à la taille. Je me faufilais dans les pièces. En réfléchissant j’eus l’idée de partir à vélo. Discret, facile à prendre en main. Et inaccessible au passage... mais quel idiot. La porte d’entrée était pourvue d’une ouverture quadrillée avec une fenêtre aux verres irréguliers. La rue était déserte. J’ouvris la porte doucement et me plaqua contre une voiture sur le coté opposé. Toujours rien. Chouette. Voir la voiture des folles me donna une idée, risquée mais...
Bête comme chameau je pris le risque d’aller jusque dans cette fameuse voiture. S’il y avait quelqu’un dedans je l’aurais eu dans l’os songeai-je en ouvrant la portière. L’intérieur puait le déo, agrémentant la couleur royale pourpre des sièges. Plutôt, voyons voir, très au taqué je fichai un bazar pas possible. J’avais le nez dans la boite à gants au moment ou mon 6éme sens m’alerta. Les yeux relevés, je vis les filles qui sortaient dans la rue.
__ Putain de... Non je n’ai pas le temps de m’énerver. Vite, j’dois trouver ce que, oh ! Et si... ?
Bingo ! Une petite boîte à gants superposée entre les sièges avant contenant une clé, surement un double, un revolver glock (oh joie !) et deux chargeurs pleins. Je pris maladroitement le tout et eu, par malchance, l’idée de tourner le moteur juste sous leurs nez. Elles s’arrêtèrent, surprises et aveuglées par les phares. J’enfonçais la pédale et démarrai en trombe, tout comme mon cardiaux. Elles dégainèrent toutes et ouvrirent le feu. Le verre explosa de part en part, le pare choc se faisait perforer en tous sens. Baissé en avant je ne voyais rien, je les percutais, du moins je pense, juste avant d’encastrer un véhicule dans des voitures garées, digne d’un mauvais conducteur. D’autres coups de feu fusaient, je sortis m’abriter derrière la pauvre voiture grise qui n’avait rien demandé. Je pris le pistolet en main et jeta un coup d’œil rapide, moins rapide que la balle qui m’érafla la tête. J’en avais renversé une qui gisait, apparemment aidé par sa camarade, pendant que les deux autres la couvraient. Les coups de feu était réguliers, elles ne sont pas des amateurs des armes à feu comme les précédentes. Les portières brayaient sous les coups des balles
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de 9mm. Grâce à ma vie de geek, je savais que ce calibre ne pouvait traverser si facilement une voiture banalisée. Mais ne sait-on jamais, je l’ai bien appris...
Je pris le risque de tirer un coup de feu au hasard dans leur direction. Espérant engager leur esprit de survie à se planquer. En guise de premier pépin, suivit de quelques tirs jugés mieux placés. Puis vint la réplique ardente. Certaines semblaient tirer à environ deux mètres. Quid ?
__ Pourquoi ?! M’étripais-je, pourquoi tirer dans une zone où je ne mettrai pas les pieds !
Il fallait une solution d’urgence, même par le fait qu’elles n’aient pas le droit de vie ou de mort sur ma personne, leurs tirs étaient pour tuer. Du verre détruit m’échina le cou. La blessure était superficielle, mais la douleur dérangeante. Un filet de sang coulait doucement. Mon sac et son contenu me paraissait désespérément inutiles. Un clin d’œil m’interpela, l’accident formait dans la rue (déjà salement amochée) un L avec les autres voitures. Deux d’entres elles étaient cachées derrière la tête du L pendant que la troisième couvrait et gardait la blessée derrière une barricade de fortune sur le trottoir opposé. Une odeur de gazole fit son apparition. Le vent venant de la tête du L la transportait, provenant d’une flaque d’essence plutôt fraîche. Intéressement dangereux. Leurs tirs s’arrêtèrent et un démon passa. Peut-être se calmaient-elles sur les balles ? Ca ne m’étonnerait pas que là-bas il y ait un bon paquet de douille. Une idée me vint, aussi frappante qu’ardente.
Je déposai mon sac, tira quelques coups de feu en l’air et entra foncièrement dans le bar d’à coté à quelques mètres. Je pris à la volée 3 bouteilles d’alcool, des torchons ainsi qu’une boite d’allumettes sur un placard dégoutant. Je pris un pastis coincé dans l’élastique du froc, n’ayant rien d’autre comme moyen de transport. Les deux autres dans mes mains tout en ayant des torchons sales dépassant de l’autre poche. On m’ajoutait de la suie sur la tronche et une salopette, on m’aurait confondu avec ces anciens enfants miniers qui faisaient la sale besogne. J’en esquissai un sourire pour mon idiotie. En sortant du bar, j’eu 3 nouvelles.
La première fut une meuf avec un révolver pointant dans ma direction à trois mètres.
La deuxième était la cause/effet pour ne pas avoir pigé plutôt que le cessez-le-feu était le signe d’une infiltration.
La troisième était une terrible envie de pisser.
__ Tu bouges, t’es mort.
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__ Merde...
Elle avait tout d’une allure de chef, la casquette bleu marine, les écouteurs cachés derrière une averse de cheveux blond vénitien, le husler vide... Bref... Une ******** (censure congruente de la politesse et du respect de l’autre) qui voulait me buter.
Elle tourna la tête pour demander de l’aide à ses camarades en renfort. Son arme était toujours orientée, mais décrivait un axe oblique qui permettait à n’importe qui de logique de comprendre qu’elle visait plus le sol que moi-même. Je serrai le goulot de la bouteille et lui balançai à la gueule. Elle la prit en plein sur le nez, et tira un coup de feu qui me déchira le pantalon. Prenant appui sur mes jambes j’attaquai son buste d’un revers gauche qui l’envoya au sol (pas facile avec une bouteille aux fesses). Je pris le glock dans mon dos et tirai deux coups dans celle-ci. Enchainant sur une roulade avant pour éviter sa coéquipière qui arrivait en longeant le L. Au sol, je m’allongeai jusqu’à avoir la tête dans la longueur du L et vidai mon chargeur dans la batarde qui n’eut le temps de rien. Toujours dans la précipitation je cherchais, en tremblant de frayeur, une bouteille non brisée. Celle au derrière avait survécu. J’enfouis dans le haut un des torchons jusqu'à ce qu’une bonne partie trempe dans le liquide. Une petite flammèche d’allumette puis, une flamme adéquate consumant le chiffon naquit. Je jetai un rapide coup d’œil avant de lancer le cocktail Molotov dans la dernière position supposé d’une des folles. Un arc de cercle enflammé voyagea humblement vers le milieu de la route. A son atterrissage une gerbe de flamme orangée parfumée au Ricard s’empourpra et s’estompa en moins de temps qu’il ne faut pour un moteur de démarrer. Des éclats de voix paniquée surgirent du garage et une torche se roula au sol. Sautant par-dessus le capot stylisé gruyère, l’arme au poing, je m’expédiais in petto voir le résultat de ma prompte pyromanie. Malgré la haine que j’avais pour ces gens qui voulaient me tuer depuis plusieurs jours, je ne supporte pas vraiment l’idée de les faires souffrir à long terme. Une fois sur place, le spectacle n’était pas comme je l’imaginais.
Le coté droit de la fille était consumé, dévoré par des lanières de feux. Elle se faisait ronger chaudement. Je pris l’arme de poing. En joue pour tirer. Le glock cliqueta. Elle hurlait à la mort, sa peau d’abord rougeoyante devenant diablement amarante, se détériorait à la fois si vite et si cruellement doucement. J’eus un réflexe humain, pas si fréquent de nos jours mais tout de même. Je l’enveloppai d’un de mes vêtements et tapant partout où l’air subsistait pour étouffer les flammes. Etendu au sol, non loin du reste de l’alcool brulant, elle avait les yeux rivés vers le ciel. Ses mouvements étaient vides, tout comme son regard qui était empli de larmes. Sa respiration était embrumée et fuyante. Elle avait peu de chances de survie.
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__ Hey ! Tu m’entends ?
Elle avait toujours le regard neutre. Je commençais à avoir des regrets. Ce qui m’effarait.
__ Pourquoi ?! Pourquoi vouloir risquer des vies pour attraper un nigaud ! Pourquoi ?! Explosai-je en écartant les bras impuissant autour d’elle, qui mourut rapidement à mes genoux. Les flammes rigolaient en se reflétant dans ses pupilles marrons-bûches. La mort se jouait de moi.
__ Effectivement... Pourquoi... Articula péniblement une voix sur la droite.
La folle que j’avais à priori renversée était assise au fond d’un garage désordonné. Elle toussait et crachait du sang.
__ Toi aussi tu va tenter de me tuer ? Dis-je sur un ton qui laissait penser que je n’allais pas apprécier du tout.
__ Penses-tu que j’en ai la capacité ? Ricana-t-elle
J’approchais jusqu’à être à quelques mètres. Son arme n’était pas dans ses mains ni son husler. Elle continua :
__ Elles ont raison, dans le fond, tu n’es pas comme les autres.
__ Quels autres ?
Elle s’éclaircit la voix :
__ Tu n’es pas le premier, tu.... Tu es juste le « bon ». J’aurais beau t’expliquer tu ne comprendras... Surement jamais. Il faut être avec nous ou...
Elle avait du mal à terminer ses phrases. Si j’avais su je lui aurais roulé un peu moins dessus...
__Ou.... Ou....
__ Tu l’fais exprès ou quoi ?
__ Ta gueule ! Cracha-t-elle en s’enfonçant une seringue dans le bras avant de reprendre : ...Ou le rituel !
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Il y eut un silence. Le sifflement des flammes léchant la gnôle. Vu qu’elle ne semblait rien avoir à ajouter je pris la parole de nouveau :
__ Je m’en doutais... Parfois j’aimerais presque me rendre pour en finir. Mais... Il y a quelque chose en moi qui me retient. Qui m’ordonne de... De désobéir. Je ne sais pas si c’est par instinct de survie ou un sixième sens, mais je sens qu’il a raison. Cela ne plairait pas non plus à l’Am... Euh à certaines personnes. Mince l’Ami ! Je n’y pensais plus... Songeai-je. Je repris de plus belle :
__ Alors quoi que vous disiez, quoi que vous fassiez je ne me laisserai jamais faire. C’est compris ? Jamais !
Une odeur puante se déchargea. On aurait dit qu’un pétrolier s’était perdu dans la rue. La brune blessée (car je ne connaissais pas son nom) me tira de mes pensées.
__ Tu veux savoir le vrai pourquoi n’est-ce pas ?.... Tu...
__ Le rituel, je suis au courant. Tu me l’a as...
__ Laisse moi terminer enflure !! Combina-t-elle avec des éructations sanguinolentes. Je suis peut-être la moins utile de Vénus 2-4 mais je sais que je vaux mieux tourna-t-elle avec des sanglots.
 Elle mit sa main à la poche moi au pistolet. Elle sortit un papier. Ce papier ressemblait à celui que j’avais trouvé dans les escaliers... Mais... C’était ce papier ! Après l’avoir séché le lendemain du bain de chez le voisin je l’avais refilé à l’Ami. Alors ça voudrait dire que c’est ce qu’elles cherchaient ?
__ Qu’est-ce que c’est ?
__ Ce papier est une sorte de carte magnétique et de carte géographique. Il faut une Lily Ball pour pouvoir....l’utiliser. C’est une bille avec une gravure en fleur de lys. Le symbole de la royauté, Alice notre chef à toutes... (Elle cracha du sang). C’est ceci que nous devions chercher.
__ Pourquoi ?
__ Seule les officières étaient habilitées à savoir la réelle nature de la mission. Mais... Je crois savoir pourquoi en fait et... Ah !... mon ventre...
__ Dis le moi et je te soignerai ! Proposai-je en dépit de la situation.
__ ...La vraie mission... était... de....
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Une énorme explosion me projeta en avant contre la table où reposaient plusieurs outils. Une boule de feu se trouvait là ou l’alcool brûlait. Mon dos était douloureux et mes oreilles sifflaient un tantinet. De l’essence aurait prit feu ? Mais oui, l’odeur que j’avais flairée après l’accident.... Note personnelle : Eviter d’utiliser le feu dans une zone explosive ou inflammable sachant que je suis à coté... Péniblement je repris contrôle de mes sens, perturbés aux possibles. Mon cou était transpirant et se mélangeait au sang qui dégoulinait. Au moment où je voulus reprendre le questionnaire de la blessée, il était trop tard. La mort riait de nouveau. Et elle a le rire ténébreux. La brune était transpercée par un morceau de ferraille épais comme une télécommande. Elle n’eut pas le temps de souffrir heureusement. Sinon ça aurait ét....
__ Merde ! La vraie mission, c’est quoi ?? Mais c’est pas vrai !!
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