Divers 7 et Paroles sur H & D (dernier morceau de publication)
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Description


Divers 7
Et c'est d'actualité!
Pays fermé où règne l'assommoir,
Où pour des idées on te colle au placard,
Bouclé bâillonné tu vas crever,
Régime d'oppression tu perds la raison,
H comme hôpital D comme débile,
Electrochocs tu craches ta bile,
R comme refus O comme opposant,
De crier de penser t'as plus le temps,
On t'interneras à la Loubianka,
Ton erreur à toi c'est d'avoir commis un faux pas,
Car tu as constaté l'absurdité,
De dictatures basées sur la torture,
H comme hôpital D comme débile,
Démocratique équivaut psychiatrique,
R comme refus D comme dissident,
De crier de gueuler... T'as plus le temps,
Univers concentrationnaire primaire,
Où l'on t'as ôté toute ta dignité,
Le seul calmant le centre d'internement,
Mutilé pour des idées un mot ignoré,
Liberté Liberté Liberté,
H comme hôpital D comme débile,
Démocratique équivaut psychiatrique,
R comme refus D comme dissident,
De crier de penser... T'as plus le temps,
Non non non non non...
De crier de gueuler t'as plus le temps...
Merci Trust (Bernie)

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Publié le 14 août 2012
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Licence : Libre de droits
Langue Français

Extrait

Enfer et Paradis Dans mon enfer je prend ton paradis Je met les points sur les 'i' Je met le point sur ton « ! » Car je viens sur un fil Et même si, j'ai le vertige Il faut la faire cette performance Je serais sur la scène avec toi Je serais l'enfer et toi le paradis Je serais le fer le feu et l'explosion Tu seras la quiétude la beauté et l'amour Mes boules d'explosion partirons dans des jardins delimon Tes bulles de joie scintillerons dans un parterre (de) cocon. Les enfants du limon(lol) Raymond Queneau
Raymond Queneau, né au Havre (Seine-Inférieure, aujourd’hui Seine-Maritime) le 21 février 1903 et mort à Paris le 25 octobre 1976, est un romancier, poète, dramaturge français, cofondateur du groupe littéraire Oulipo Biographie Raymond Queneau a grandi dans une famille de commerçants1. Il monte à Paris pour faire des études de philosophie à la Sorbonne et à l’École pratique des hautes études où il suit notamment les cours d’Alexandre Kojève sur Georg Wilhelm Friedrich Hegel. Il fréquente le groupe surréaliste auquel il adhère en 1924. À la suite de son exclusion en 1930, il participe au pamphlet Un cadavre contre André Breton avec un texte intitulé « Dédé ». Raymond Queneau a relaté de façon satirique son expérience du surréalisme dans Odile, où Breton apparaît sous les traits du personnage d’Anglarès. Après la rupture avec le surréalisme, Raymond Queneau se lance dans l’étude des « fous littéraires » et travaille à une Encyclopédie des sciences inexactes. Refusée par les éditeurs, cette encyclopédie lui servira pour le roman Les Enfants du Limon (1938). Son service militaire en Algérie et au Maroc (1925-1927) lui permet de s’initier à l’arabe. Au cours d’un voyage en Grèce en 1932 (Odile), il prend conscience du danger de laisser la langue littéraire s’éloigner de la langue parlée. Rapprocher ces deux extrêmes deviendra son grand projet littéraire. Dans cet esprit, Il jettera les bases du néo-français caractérisé par une syntaxe et un vocabulaire typiques du langage parlé et par une orthographe plus ou moins phonétique. Dans les dernières années de sa vie, il reconnaîtra l’échec de ce projet, et que la télévision, par exemple, ne semblait pas avoir eu l’effet négatif sur la langue écrite qu’il craignait. Il collabore à la revue La Critique sociale de Boris Souvarine (ainsi qu'au Cercle communiste démocratique fondé par ce dernier2), puis au quotidien L'Intransigeant.
C’est en 1933 qu’il publie son premier roman, Le Chiendent, qu’il construisit selon ses dires comme une illustration littéraire du Discours de la méthode de René Descartes. Ce roman lui vaudra la reconnaissance de quelques amateurs qui lui décernent le premier prix des Deux-Magots de l'histoire. Suivront quatre romans d’inspiration autobiographique : Les Derniers Jours, Odile, Les Enfants du limonet Chêne et Chien, ce dernier entièrement écrit en vers.
Après avoir été journaliste pendant quelques années et avoir fait plusieurs petits métiers, Queneau entre en 1938 aux éditions Gallimard où il devient lecteur, traducteur d’anglais, puis membre du Comité de lecture. Il est nommé en 1954 directeur de la collection « Bibliothèque de la Pléiade ». Parallèlement, il participe à la fondation de la revue Volontés et commence une psychanalyse.
C’est avec Pierrot mon ami, paru en 1942, qu’il connaît son premier succès. En 1947 paraît Exercices de style, un court récit décliné en une centaine de styles, dont certains seront adaptés au théâtre par Yves Robert. Ces Exercices de style lui furent inspirés par L’Art de la fugue de Johann Sebastian Bach, lors d’un concert auquel il avait assisté, en compagnie de son ami Michel Leiris, et qui avait fait naître en lui l’envie de développer différents styles d’écriture. Sous le nom de Sally Mara, auteur fictif qu'il a créé, il publie la même année On est toujours trop bon avec les femmes qui lui vaut des démêlés avec la censure.
En 1949 est publiée sa traduction du roman de George Du Maurier Peter Ibbetson, et en 1950 un second ouvrage sous pseudonyme, le Journal intime de Sally Mara, pour lequel il reçoit le prix Claire Belon.
À la Libération, il fréquente Saint-Germain-des-Prés. Son poème Si tu t’imagines, mis en musique par Joseph Kosma à l’initiative de Jean-Paul Sartre, est un des succès de la chanteuse Juliette Gréco. D’autres textes sont interprétés par les Frères Jacques. Il écrit des paroles pour des comédies musicales, des dialogues de films dont Monsieur Ripois, réalisé par René Clément, et aussi le commentaire du court métrage d’Alain Resnais Le Chant du styrène. Il réalise et interprète le film Le Lendemain.
Il publie de nouvelles chroniques fantaisistes de la vie de banlieue : Loin de Rueil (1944), Le Dimanche de la vie (1952), dont le titre est emprunté à Hegel. Un roman plus expérimental, Saint-Glinglin (1948), rassemble des textes publiés séparément depuis 1934.
Amoureux des sciences, Raymond Queneau adhère à la Société mathématique de France en 1948. Il s’applique à appliquer des règles arithmétiques à la construction de ses œuvres, à la façon de la méthode lescurienne « S + 7 » : prendre un texte, n’importe lequel, prendre un dictionnaire, n’importe lequel, généraliste ou thématique, et remplacer tous les substantifs dudit texte par d’autres substantifs trouvés dans le dictionnaire choisi et situés sept places plus loin ou sept places avant par rapport à la place initialement occupée par le substantif à remplacer (ou qu’il aurait occupée s’il y figurait). En 1950, il publie un texte d’inspiration scientifique, Petite cosmogonie portative. Il publie également cette année-là un recueil d’études critiques, Bâtons, chiffres et lettres.
Toujours en 1950, il entre comme satrape au Collège de ’Pataphysique, et est élu à l’Académie Goncourt en 1951.
En 1959 paraît Zazie dans le métro qui s’ouvre par l’expression « Doukipudonktan ! » Le succès de ce roman surprit Queneau lui-même et fit de lui un auteur populaire. Une adaptation au théâtre par Olivier Hussenot et au cinéma par Louis Malle suivront.
À la suite d’un colloque en septembre 1960 (une décade de Cerisy intitulée « Raymond Queneau et une nouvelle illustration de la langue française »), dirigé par Georges-Emmanuel Clancier et Jean
Lescure, il fonde en décembre 1960, avec François Le Lionnais, un groupe de recherche littéraire, le Séminaire de littérature expérimentale (Selitex) qui allait très vite devenir l’Oulipo (Ouvroir de littérature potentielle). Sa soif de mathématiques combinatoires s’étanchera aussi à la coupe de l’Ouvroir qui accueille, entre autres, le « père » de la théorie des graphes, Claude Berge. Raymond Queneau fait aussi publier, en 1972, un article dans une revue pour chercheurs, le Journal of Combinatorial Theory3. Quant à l’Oulipo, il aura une grande descendance, plus ou moins sécessionniste, avec d’autres groupes comme l’Oupeinpo, l’Outrapo, l’Oubapo... Avec Cent mille milliards de poèmes (1961), Raymond Queneau réussit un exploit tant littéraire qu’éditorial. C’est un « livre-objet » qui offre au lecteur la possibilité de combiner lui-même des vers de façon à composer des poèmes répondant à la forme classique du sonnet régulier : deux quatrains suivis de deux tercets, soit quatorze vers. « Cent mille milliards » est le nombre de combinaisons possibles calculé par Queneau : « C’est somme toute une sorte de machine à fabriquer des poèmes, mais en nombre limité ; il est vrai que ce nombre, quoique limité, fournit de la lecture pour près de deux cents millions d’années (en lisant vingt-quatre heures sur vingt-quatre).» Le roman Les Fleurs bleues (1965), nouveau succès public, illustre l’apologue du penseur taoïste chinois Tchouang-Tseu se demandant s’il est Tchouang-Tseu rêvant d’un papillon ou un papillon rêvant qu’il est Tchouang-Tseu… Il poursuit son œuvre poétique avec Courir les rues, Battre la campagne, Fendre les flots. Raymond Queneau meurt le 25 octobre 1976 d'un cancer du poumon. Il est inhumé au cimetière ancien deJuvisy-sur-Orge(Essonne).
Œuvres  Signature de Raymond Queneau Les Œuvres complètes sont éditées aux éditions Gallimard dans la « Bibliothèque de la Pléiade ». Romans Le Chiendent, 1933, Prix des Deux Magots Gueule de pierre, 1934 Les Derniers Jours, 1936 Odile, 1937 Les Enfants du limon, 1938 Un rude hiver, 1939 Les Temps mêlés (Gueule de pierre II), 1941 Pierrot mon Ami, 1942 Loin de Rueil, 1944 On est toujours trop bon avec les femmes, 1947 Saint-Glinglin, 1948 Le Journal intime de Sally Mara, 1950 Le Dimanche de la vie, 1952 Zazie dans le métro, 1959 Les Fleurs bleues, 1965 Le Vol d'Icare, 1968 Poésie Chêne et chien, 1937 Les Ziaux, 1943 L'Instant fatal, 1946
Petite cosmogonie portative, 1950 Si tu t'imagines, (reprenant les trois premiers recueils), 1952 Cent mille milliards de poèmes, 1961 Le Chien à la mandoline, 1965 Courir les rues, 1967 Battre la campagne, 1968 Fendre les flots, 1969 Morale élémentaire, 1975 Analyse logique, 1947 Essais et articles Bâtons, chiffres et lettres, 1950 Pour une bibliothèque idéale, 1956 Entretiens avec Georges Charbonnier, 1962 Bords, 1963 Une Histoire modèle, 1966 Le Voyage en Grèce, 1973 Traité des vertus démocratiques, 1993 Divers Exercices de style, 1947 Contes et propos, 1981 Journal 1939-1940, 1986 Journaux 1914-1965, 1996 Lettres croisées 1949-1976 : André Blavier-Raymond Queneau, correspondance présentée et annotée par Jean-Marie Klinkenberg, 1988 Sur les suites s-additives, Journal of Combinatorial Theory 12 (1972), p. 31-71 Traductions Le Mystère du train d'or d'Edgar Wallace, avec sa femme Janine, sous le nom de Jean Raymond, 1934 Peter Ibbetson de George du Maurier, 1949 L'Ivrogne dans la brousse (The Palm wine drinkard) d'Amos Tutuola, 1953 Cela ne peut arriver ici, Sinclair Lewis, 1953 Correspondances Correspondances Raymond Queneau - Élie Lascaux, Verviers, Temps Mêlés, octobre 1979 (126 p.) Une correspondance Raymond Queneau - Boris Vian, Les amis de Valentin Brû, n° 21, 1982 (48 p.) Raymond Queneau et la peinture, Jean Hélion, Les amis de Valentin Brû, n° 24-25, 1983 (100 p.) Raymond Queneau et la ppeeiinnttuurree, II,,  EÉniriec Lo aBscaja,u Lx,e sL aesm is de Valentin Brû, n° 26, 1984 (50 p.) Raymond Queneau et la , IV l amis de Valentin Brû, 1985 (88 p.) 30 lettres de Raymond Queneau à Jean Paulhan, Revue de l'association des amis de Valentin Brû, 1986 (102 p.) Discographie Raymond Queneau mis en musique Raymond Queneau mis en musique et chanté, par Jean-Marie Humel, Paris : Jacques Canetti, 1991, Jacques Canetti 107752 François Cotinaud fait son Raymond Queneau, par l'ensemble Text'up 2004, Label Musivi Si tu t'imagines, musique Joseph Kosma, par Juliette Gréco, 1949 L'instant fatal, musique Max Unger, 20104 9 chansons sur des poèmes de Raymond Queneau, par Gilles Maugenest, 2002 Éléments de bibliographie Jean Queval, Raymond Queneau, Paris, collection Poètes d’aujourd’hui, éditions Seghers, 1960;
renouvelé en 1971 (172 p.) Claude Simonnet, Queneau déchiffré (Notes sur « le Chiendent », Paris, Dossiers des Lettres Nouvelles, Julliard, 1962; Genève, Slatkine, 1981 (190 p.) Jacques Bens, Queneau, Bibliothèque idéale, Gallimard, 1962 Andrée Bergens, Raymond Queneau, Gevève, Librairie Droz, 1963 (236 p.) Raymond Queneau, L'Arc, n° 28, février 1966 Paul Gayot, Raymond Queneau, Paris, éditions universitaires, 1967 (128 p.) Raymond Queneau, cahier dirigé par Andrée Bergens, Paris, L'Herne, 1975 (394 p.) Raymond Queneau plus intime, Bibliothèque nationale, Gallimard, 1978 (96 p.) Raymond Queneau, Paris, Europe, n° 650-651, juin-juillet 1983 (224 p.) Raymond Queneau romancier, Actes du 1er colloque international Raymond Queneau, Verviers, Temps Mêlés, avril 1983 (150 p.) Queneau aujourd'hui, Actes du colloque de Limoges, 1984, Paris, Clancier-Guénaud, 1985 Raymond Queneau poète, Actes du 2ème congrès international Raymond Queneau, Verviers, Temps Mêlés, mai 1985 (318 p.) Raymond Queneau et/en son temps, Actes du 3ème colloque international Raymond Queneau, Verviers, Temps Mêlés, juillet 1987 (383 p.) Lectures de Raymond Queneau, n° 1 : Morale élémentaire, Trames, Faculté des lettres et sciences humaines de Limoges, 1987 (162 p.) (ISBN 2-904949-09-7) Jacques Jouet, Raymond Queneau, Paris, La manufacture, 1989 (188 p.) (ISBN 2-7377-0190-2) Raymond Queneau au Havre, Cahiers Raymond Queneau, Revue de l'association des amis de Valentin Brû, n° 14-15, 1991 (214 p.) Colloque Raymond Queneau et la ville, Revue de l'association des amis de Valentin Brû, n° 17-19, 1990 (160 p.) Raymond Queneau et les langages, Colloque de Thionville 1992, actes édités par André Blavier et Claude Debon, Verviers, Temps Mêlés, 1993 Raymond Queneau et les spectacles, sous la direction de Daniel Delbreil avec la collaboration d'Astrid Bouygues, numéro commun Association des amis de Valentin Brû n° 28-31 et Formules n° 8, Noésis 2003-2004 (406 p.) (ISBN 2-914645-49-X) Remembrances de Claude Simonnet sur Raymond Queneau, revue de l'association des amis de Valentin Brû, N) 32-33, mars 2004 (96 p.) Raymond Queneau en campagne, Le solennel emmerdement de la ruralité, édition établie par Christine Méry, revue de l'association des amis de Valentin Brû, n° 40-42, éditions Regards (196 p.) (ISBN 2-914383-02-9) Jean-Pierre Longre, Raymond Queneau en scènes, Limoges, Presses Universitaires de Limoges, 2005 Marie-Noëlle Campana, Queneau pudique, Queneau coquin, Limoges, Presses Universitaires de Limoges, 2007
Sur les autres projets : « Raymond Queneau », sur Wikiquote (recueil de citations) Queneau et le jazz Omajakeno Queneau, l'histoire et la 'pataphysique La vérité sur la Poldévie Références[modifier] ↑ « Je naquis au Havre un vingt et un février/en mil neuf cent et trois./Ma mère était mercière et mon père mercier :/ils trépignaient de joie. », Raymond Queneau, Chêne et chien, Gallimard, 1969, p. 31 ↑ Présentation, sur le site de la Bibliothèque nationale de France. ↑ Raymond Queneau, « Sur les suites s-additives », dans Journal of Combinatorial Theory, Series A,
vol. 12, no 1, 1972, p. 31-71 (ISSN 0097-3165) ↑ au New Morning : http://www.youtube.com/watch?v=fNiH24iELmM https://secure.wikimedia.org/wikipedia/fr/wiki/Raymond_Queneau
Ceci pourunexemple de (sérenpidité)..
...mais il faut être un peu poète.. vraiment « poète » Next.. Les enfants du limon ça donne ça : (synchronicité) »Soleils ambulants, Chambernac et Purpulan se promenaient dans la campagne, l'un lent et lourd, l'autre sifflant l'air d'une baguette et décapitant les fleurs. Le sentier filait le long d'une pente, entre champs, jusqu'à la route nationale. Là le proviseur s'assit dans un petit abri érigé par les soins de la compagnie des Autocars de la Région Mourméchienne. Purpulan mit son pied sur une borne, s'accouda sur son genou et regarda les autos qui gazaient sur la belle ligne droite qui leur était offerte. Le soleil, dit Chambernac, le soleil ce sera le point central. C'est le centre du système. Excrémentiel, satanique - qui donc a jamais pu concevoir cela ?Qu'en pensez-vous, Purpulan ?Purpulan ne daigna répondre. Enfin, dit Chambernac, vous devez bien en savoir quelque chose.Purpulan mima l'ignorance, comme décidé à laisser l'autre monologuer. Comment, reprit Chambernac soudain résigné à l'ignorance sur ce chapitre peut-être prétendu de la démonologie, cette opinion a-t-elle pu naître ?Purpulan témoigna par un geste qu'il s'en foutait royalement.« http://www.decitre.fr/livres/Les-enfants-du-Limon.aspx/9782070734405 Je vous dis bien le bonjour:) Ceci est un messageaux hauts lieux Et bien nous serons deux moi aussi je me fou de vous mais alors plus que royalement ! C'est du royal mental... Pourvu qu'ils vous arrivent quelque chose.. pourvu une jambe cassée ne suffit pas, il m'en faut plus. J'ai détesté les bourges mais les diplômés... c'est encore pire Tiens, il pleut à verse (averse) inverse le cours du 'je' inverse le cours du jeu ma pluie Quand à « toi », j'ai hâte de te revoir aux portes de l'enfer (et des enfers) Tu n'y aura même pas droit Lis bien ma feuille précédente Elle dis ton nom elle te concerne.
Autre forme de sérenpidité mais moins sérieuse et plus art conceptuel.. Cocoon (film) Pour les articles homonymes, voir Cocoon (homonymie). Cocoon Données clésTitre original Cocoon Réalisation Ron Howard ScénarioTom Benedek d'après l'histoire de David Saperstein Acteurs principaux Don Ameche Wilford Brimley Hume Cronyn Brian Dennehy Jack Gilford Steve Guttenberg Sociétés de production Twentieth Century Fox Zanuck/Brown Productions Pays d’origine États-Unis Genre Science-fiction Sortie 1985 Durée 117 minutes
Pour plus de détails, voir Fiche technique et Distribution Cocoon est un film de science-fiction américain réalisé par Ron Howard, sorti en 1985, sur le scénario de Tom Benedek d'après l'histoire de David Saperstein, mettant en scène Don Ameche, Wilford Brimley, Hume Cronyn, Brian Dennehy, Jack Gilford et Steve Guttenberg. Ce film a reçu en 1986 un Oscar du meilleur acteur dans un second rôle pour Don Ameche et un autre Oscar des meilleurs effets visuels pour Industrial Light & Magic ainsi qu'un Saturn Award du meilleur réalisateur pour Ron Howard. Deux ans après le succès, une suite a été réalisée, Cocoon, le retour, par Daniel Petrie.
Synopsis Un groupe de trois personnes âgées, pensionnaires d'une maison de retraite, entre par effraction dans une maison, afin de profiter des joies de la piscine. Ils trouvent dans celle-ci des "cocons", d'une taille équivalente à celle d'un homme. Les vieillards étant trop âgés, ils ne réussissent pas à sortir les cocons de l'eau et se baignent donc en leur compagnie. Quelques minutes après le début du bain, ils se rendent compte qu'ils ont subitement recouvré une "nouvelle jeunesse".
Le studio avait appelé Robert Zemeckis1 pour le tournage de Cocoon, mais ce dernier était déjà appelé à la dernière minute par Michael Douglas pour tourner « À la poursuite du diamant vert ». Les producteurs se sont alors tournés vers Ron Howard. Fiche technique Titre original : Cocoon Réalisation : Ron Howard Scénario : Tom Benedek et David Saperstein (histoire) Production : David Brown, Lili Fini Zanuck et Richard D. Zanuck Société de production : Twentieth Century Fox Musique : James Horner Photographie : Donald Peterman Montage : Daniel P. Hanley et Mike Hill
Décors : Jack T. Collis ie Guerard Rodgers PCaoysst ud'moeris g:i nAeg :g  États-Unis Langue : anglais Lieux de tournage : Floride, Bahamas Format : Couleurs - 1,85:1 - Dolby - 35 mm Genre : Science-fiction Durée : 117 minutes Dates de sortie : États-Unis : 21 juin 1985 France : 27 novembre 1985 Distribution[modifier] Don Ameche (VF : Serge Lhorca) : Arthur 'Art' Selwyn Wilford Brimley (VF : Claude Joseph) : Benjamin 'Ben' Luckett Hume Cronyn (VF : Philippe Dumat) : Joseph Finley Brian Dennehy (VF : Marc de Georgi) : Walter Jack Gilford (VF : Maurice Chevit) : Bernard 'Bernie' Lefkowitz Steve Guttenberg (VF : Hervé Bellon) : Jack Bonner Maureen Stapleton (VF : Jacqueline Cohen) : Marilyn 'Mary' Luckett Jessica Tandy (VF : Monique Mélinand) : Alma Finley Gwen Verdon (VF : Nadine Alari) : Bess McCarthy/Selwyn Herta Ware (VF : Lita Recio) : Rosie Lefkowitz Tahnee Welch (VF : Micky Sebastian) : Kitty Barret Oliver : David, petit-fils de Ben et Mary Linda Harrison (VF : Martine Messager) : Susan Tyrone Power Jr. : Pillsbury Clint Howard (VF : Roger Crouzet) : John Dexter, le surveillant à la communauté de retraite Lieux de tournage Clearwater, Floride Nassau, New Providence Island, Bahamas South Ocean, New Providence Island, Bahamas pour les scènes sous la mer St. Petersburg, Floride Box-office Ce fut à la sixième place des plus gros succès de l'année aux États-Unis qu'il a terminé sa carrière avec quatre-vingt six millions de dollars de recettes1. La suite Cocoon, le retour de Daniel Petrie n'a pas pu réussir à atteindre la hauteur du film précédent. Avec un tel plébiscite, une suite a évidemment été mise en route. Mais les séquelles de ce genre sont rarement de franches réussites et le film de Daniel Petrie ne réussit jamais à arriver à la cheville de son prédécesseur. Pays Box-office Nbre de sem. Classement TLT2Date Box-office Mondial 85.313.124 $ - - Total Box-office États-Unis/ Canada 76.113.124 $ - 516e Total Box-office France 752.614 entrées 9 sem. - Total Box-office Paris 215.840 entrées 9 sem. - Total Musique Toutes les musiques sont de James Horner à l'exception de Gravity qui est de Michael Sembello.# Titre Compositeur(s) Durée Note 1. Through the Window 2:54 2. The Lovemaking 4:21 3. The Chase 4:27 4. Rose's Death 2:10 5. The Boys are Out 2:35 6. Returning to Sea 4:13 7. Gravity Michael Sembello 4:52 8. Discovered in the Poolhouse 2:45 9. First Tears 1:49 10. Sad Goodbyes 2:22
11. The Ascension 5:55 12. Theme from Cocoon 6:03 Distinctions Récompenses 1986 : Oscar du meilleur acteur dans un second rôle pour Don Ameche 1986 : Oscar des meilleurs effets visuels pour Industrial Light & Magic 1986 : Saturn Award du meilleur réalisateur pour Ron Howard Nominations 1986 : Golden Globes pour meilleure comédie 1986 : Saturn Award du meilleur acteur pour Hume Cronyn 1986 : Saturn Award de la meilleure actrice pour Jessica Tandy 1986 : Saturn Award de la meilleure musique pour James Horner 1986 : Saturn Award du meilleur film de science-fiction 1986 : Saturn Award de la meilleure actrice dans un second rôle pour Gwen Verdon 1986 : Saturn Award du meilleur scénariste pour Tom Benedek Références ↑ a et b « Film culte Cocoon », sur le site de Film de Culte. ↑ Tous les temps - All Time Voir aussi Lien interne Cocoon, le retour, la suite. Lien externe Cocoon (film) sur l’Internet Movie Database - Version plus complète en anglais
En fait faire de la serenpidité c'est « enfantin » ce qui m'intéresse c'est la synchronicité car si on peut modifier le cour des choses ce sera par la manipulation technique de la synchronicité. En d'autres termes on pourra faire notre avenir nous même à notre convenance (ou comme il nous convient). Et pas qu'une « histoire » ! Action.. ici non (suite) Cocoon, le retour (Cocoon: The Return) est un film américain réalisé par Daniel Petrie, sorti en 1988. Sommaire Synopsis Les pacifiques extra-terrestres reviennent sur Terre pour reprendre leur cocons. Fiche technique Titre : Cocoon, le retour Titre québécois : Cocoon: Le retour Titre original : Cocoon, the return Réalisation : Daniel Petrie Scénario : Stephen McPherson (scénario) Stephen McPherson et Elizabeth Bradley (histoire) David Saperstein (personnages) Production : David Brown, Lili Fini Zanuck et Richard D. Zanuck Société de production : Twentieth Century Fox Musique : James Horner Photographie : Tak Fujimoto Montage : Mark Warner
Décors : Lawrence G. Paull Costumes : Ja e Pays d'origine y:   HÉutralts-yUnis Lieu de tournage : Miami (Floride) Format : Couleurs - 1,85:1 - Dolby Genre : Science Fiction Durée : 116 minutes (115 minutes pour la version anglaise, la scène du suicide fut coupée) Dates de sortie : États-Unis : 23 novembre 1988 France : 3 mai 1989 Box-office Pays Box-office Nbre de sem. Classement TLT1Date Box-office Mondial 25.024.919 $ - - Total Box-office États-Unis/ Canada 18.924.919 $ - 2.200e Total ↑ Tous les temps - All Time Distribution[modifier] Don Ameche (VF : ?) : Arthur 'Art' Selwyn Wilford Brimley (VF : Claude Joseph) : Benjamin 'Ben' Luckett Courteney Cox (VF : Véronique Augereau ?) : Sara Hume Cronyn (VF : Henri Labrussère ?) : Joseph 'Joe' Finley Jack Gilford (VF : Maurice Chevit) : Bernard 'Bernie' Lefkowitz Steve Guttenberg (VF : Hervé Bellon) : Jack Bonner Barret Oliver : David Maureen Stapleton : Marilyn 'Mary' Luckett Elaine Stritch (VF : Paul Emanuele) : Ruby Feinberg Jessica Tandy (VF : Monique Melinand) : Alma Finley Gwen Verdon : Bess McCarthy Selwyn Tahnee Welch : Kitty Linda Harrison (VF : Martine Messager) : Susan Tyrone Power Jr. : Pillsbury Mike Nomad : Doc Distinctions Nominations 1990 : Saturn Award du meilleur acteur pour Hume Cronyn 1990 : Saturn Award de la meilleure actrice pour Jessica Tandy 1990 : Saturn Award du meilleur film de science-fiction 1990 : Saturn Award du meilleur acteur dans un second rôle pour Jack Gilford Voir aussi Lien interne Cocoon, 1er opus. Lien externe (fr+en) Cocoon, le retour sur Internet Movie Database
Attention néanmoins avec les noms, tout ne va pas ensemble il faut que ça colle, sinon ça n'a aucun intérêt. Ludique en premier scientifique en second. Ici c'est le new-age qui m'instruit... il y a t'il une mémoire monsieur le scientifique ? Quelle est cette mémoire qui actionne la sérenpidité ? « L'amour » « l'affect » ! Le désir ? Il faut analyser les poèmes.. et les proses..Un être qui écrit est un être qui se dévoile. Un être qui écrit est un être qui est. Et comme je n'ai plus rien à faire. j'écris, en même temps je met les points sur les 'i'. ... Si un pèlerin me lit c'est qu'il est riche... pute va. Onnaîtpas égaux.
Action et évolution sachant qu'on évolue sans agir c'est encore plus frustrant.
Tu me débecte système. Tiens y a que dalle sur antisystème dans le moteur de recherche.. ah si sur Avanquest.. Pas surIXQUICK Sinon dans un autre style univers browser : OPERA c'est de la merde les allemands c'est de la merde en techno informatique point barre. Mozzilla y a que ça d'mieux. Voici un article sur A Marcoeur... avant j'écoutais, j'aimais bien..
Albert Marcoeur, l'anti-système : < On a tout cassé chez nous, la télé, tout ça...> Marcœur, depuis trois décennies, travers le ciel musical français comme un OVNI. L’homme qui n’aime pas faire là où on lui dit de faire a cassé sa télé, largué les amarres avec la SACEM et trouvé "sa" recette du bonheur et d’une musique désormais sereine. Samedi 27 février, il joue L' à l’Escapade d'Hénin-Beaumont avant de faire l’événement, le 31 mars à Oignies, en jouant ses Travaux pratiques sur le carreau de la fosse 9/9 bis. Même si son nom ne dira sans doute rien au public lambda, Marcœur c’est comme la statue du commandeur. Musicalement ce type-là, en marge de tous les circuits commerciaux, qui ne sait pas ce que le mot compromission veut dire, inspire le respect. Comme sa musique, envoûtante et même si c’est crétin à dire, intelligente, est toujours un moment de pur bonheur. Rencontre avec un vrai maître artisan.
Comment définiriez-vous votre musique sur laquelle n’adhère aucune étiquette ? Difficile d’en poser une. C’est une musique où on retrouve toutes les influences du monde. Elle est imprégnée de toutes les choses qui ont pu nous régaler, des réminiscences classico-contemporaines, c’est sûr, du pop-rock, mais aussi tout ce qui se passe dans la rue, les transports. Moi, je mélange tout ça pour faire une musique innovante qu’on peut décrire comme pop-trad-new age ; c’est un conglomérat. Il existe un site internet qui recense toues les genres de musique et ils en ont recensé 275. Il y a de quoi s’amuser... Le débat autour de la protection des droits sur internet, ça vous parle, vous qui avez pris la décision de quitter la SACEM ? C’est quelque chose de sidérant que cette histoire de propriété artistique. Ben oui, parler de création dans toute la sphère musicale, je trouve ça un peu ballot, démesuré. Enfin, tout le monde c’est toujours inspiré de tout le monde, et c’est pour ça que je suis convaincu qu’au niveau des droits il faut tout chambouler, tout changer. A la SACEM, ils vous ont laissé partir facilement? Ils se sont fait tirer l’oreille. Figurez-vous qu’ils m’ont demandé carrément une lettre de motivation. Je leur ai ri au nez, en leur disant qu’on était en plein rêve là. Une lettre de motivation, c’est ce qu’on fait quand on veut rentrer dans une entreprise pour voir ce qu’on a dans les couilles et dans le crâne, pas quand on en sort. Mais eux pensaient que je voulais aller ailleurs donc j’ai été obligé de prendre un avocat et ça s’est éternisé le temps d’un an de procédure. D’autres artistes qui voulaient faire comme moi ont laissée tomber, mais d’autres ont aussi lancé leur procédure. Cette société-là, c’est bien pour les grandes banques, pour ceux qui gagnent énormément d’argent. Mais pour les artistes, ils ont toujours été à 100 milliards de kilomètres de la réalité… L’artiste, pourquoi aurait-il un régime supérieur à ses compatriotes. Pourquoi bénéficierait-il d’un statut spécial, d’une aura ? Tout ça c’est du commerce, du bizness, c’est très loin de la musique. Moi, je me débrouille tout seul, je contracte avec les gens qui ont besoin de musique et me rénumèrent pour cette musique, avec parfois un contrat d’édition directement. On a créé un site et un label pour bénéficier de tous
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