Stratégie Internet n° 91 - Mar 2005
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Tous les mois, l’essentiel de l’Internet : des informations et des conseils pour les dirigeants.

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Publié le 07 juin 2012
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ark Group, 2004 Intelligent navigation et durée des visites). Par contre, dans le Management group Stratégie Internet n° 91 - Mars 2005 1 En couverture Méthodologie Le rôle de l’e-Pub dans Pour 2005, les trois quarts des entreprises pré- Dans le cadre de son étude voient d’accroître leurs dépenses. Parmi lesles campagnes plurimédias “Publicité et marketing sur annonceurs qui vont augmenter le plus significa- Internet : retours d’expérience et tivement leur budget, cela est lié pour deux Accentuation de l'impact 67 %bilan des annonceurs” Benchmark d’entre eux à la volonté d’avoir une présence per- global du message Group a interrogé 20 grands manente sur certains mots ou expressions. annonceurs, décrypté en détail Les deux tiers des entreprises annoncent sur les Ciblage d'une population leurs campagnes d’e-publicité, trois réseaux de liens publicitaires (Overture,difficile à toucher avec 50 % les autres médiasd’e-mailing ou d’achats de mots- Espotting, Google). Trois n’ont annoncé que sur clés, procédé à un bilan critique un seul réseau : Overture et ou Google en l’oc- Positionnement tactiquede leurs opérations et cerné leurs currence. Mais pour procéder à l’achat de cesdans le déroulement 33 % orientations pour 2005. du plan média mots, une large majorité passent par leur agence médias habituelle et un tiers recourent à un spé- Somme supérieure à 100 % car plusieurs réponses possibles.20 annonceurs interrogés cialiste du référencement. Sur la base de 18 entreprises ayant communiqué en Auchan, Cegetel, Crédit Agricole e-publicité en 2004 dans le cadre de campagnes plurimédias. Ile de France, Crédit Lyonnais, Source : Benchmark Group, 2004 L’e-mailing, une pratique Décathlon, Fiat, Garnier, quasi généralisée Groupama, Heineken, Kenzo, Kraft cadre d’une campagne de marketing direct, les Foods, La Poste, MAAF, annonceurs vont davantage se préoccuper de L’e-mailing apparaît comme une pratique quasi Masterfoods, Michelin, Nokia, taux de conversion/transformation (nombre de généralisée. Sur 20 sociétés interrogées, 17 prati- Peugeot, Siemens, Société contacts utiles générés, nombre de demandes quaient l’e-mailing en 2004 tandis que trois ont Générale, Volkswagen. d’informations, etc.) que du simple taux de clic. prévu d’en faire en 2005. Toutefois, au sein de notre échantillon, 13 sociétés seulement recou- ePUb : 843 millions rent à des fichiers externes quand 17 utilisentLes liens promotionnels d’euros en 2004 leurs propres bases. Quatre travaillent unique-en progression Les annonceurs ont consacré ment à partir de bases externes, achetées, louées 43 millions d’euros à la publicité En 2004, 17 annonceurs sur les 20 interrogés ou issues de partenariats d’échange. sur les sites web français en avaient investi dans les liens sponsorisés sur les Côté budgets, en 2004, plus d’un tiers des sociétés 2004, en hausse de 78,1 %. moteurs ou annuaires, et deux comptaient se lan- interrogées ont consacré à l’e-mailing un montant Internet a représenté ainsi 4,6 % cer en 2005. Plus des deux tiers d’entre eux ont en supérieur à 50 000 euros. des investissements sur le mar- fait réalisé des investissements sporadiques. En ché des médias selon TNS Media effet, seules cinq sociétés ont acheté des mots à Achats de mots-clés : Intelligence pour l’étude annuelle l’année. le mode d’investissement de l’IAB (Interactive Advertising Parmi les annonceurs interrogés, les investisse- Bureau). ments en achats de mots-clés restent encore rela- tivement modestes comparativement aux inves- Les deuxtissements liés à l’e-publicité. Plus des deux tiers Achats 24 % de mots-clés des entreprises interrogées ont dépensé moins de à l'année seulement 50 000 euros sur ce levier. Ainsi, la majorité des 6 % annonceurs, les investissements en liens promo- Achatstionnels ne dépassent pas 10 % de leur budget sporadiques 70 %e-marketing et donc moins de 0,5 % de leur bud- get publicitaire total. Au global, la somme totale de mots ou expres- sions acquises (à l’année ou ponctuellement) s’échelonne d’une quinzaine de mots à 300 mots. Sur la base des réponses de 17 entreprises ayant pratiqué l’achat de mots-clés en 2004Moins d’un tiers des annonceurs ont acquis plus Source : Benchmark Group, 2004d’une centaine de mots ou expressions en 2004. Tous les mois, l’essentiel de l’Internet : des informations et des conseils pour les dirigeants stratégie Informations et d’entreprise (direction générale, direction de la communication, direction marketing, direc- conseils pour dirigeants d’entreprises internet tion commerciale, direction des systèmes d’information...) Edité par Benchmark Group, www.strategie-internet.com, 4 rue Diderot 92156 Suresnes Cedex Téléphone : 01 41 44 94 40 - Fax : 01 41 44 94 52. PDG/directeur de la publication : Corinne Delaporte. Rédaction : Thierry Hamelin (benchsi@benchmark.fr), Stéphane Loire, Xavier Fiquemo et Marc Mironneau. Flashage/impression : Indica, Colombes (92), 01 47 82 32 32. Dépôt légal : Mars 2005 ; ISSN : 1270-9301. Prix du numéro : 49 euros. Prix de l’abonnement annuel (10 numéros : France 460 euros / Etranger 490 euros). Copyright : toute reproduction même partielle, par quelque procédé que ce soit, du contenu de la revue, est interdite par la loi du 11/3/1957 sans l’autorisation écrite préalable de la direction de la revue.© Benchmark Group. 2 Stratégie Internet n° 91 - Mars 2005 Focus Comment savoir si un site publie un flux RSS ?RSS : pour qui, pour quoi, La plupart du temps, ce flux est indiqué par un petit icône avec l’inscription XML ou RSS en blanccomment ? sur fond orange. Qui a créé RSS et qui le Comment produire et lireOn parle de plus en plus des fait vivre ? un flux RSS ?flux RSS et ils ont déjà fait leur Netscape (aujourd’hui rattaché à apparition en France sur Techniquement, un flux RSS n’est rien d’autre AOL) est à l’origine de la première certains grands sites éditoriaux. qu’un fichier XML, composé de balises encadrant incarnation du format (la version Eclairage sur un nouveau mode du contenu. Ces balises indiquent que tel contenu 0.90). Jugée trop complexe, elle de diffusion de contenu qui est un titre, tel autre un lien, etc. Pour produire un est simplifiée par Netscape qui ne gagne peu à peu du terrain. fichier XML à partir d’une page Web statique ou tarde pourtant pas à abandonner d’une base de données, il suffit d’un script appro- le projet. Userland Software, édi- SS pour Really Simple Syndication, c’est un prié en Perl, php, Java ou tout autre langage simi- teur d’outils de weblogs, devientRfichier XML mis à jour en temps réel. Il laire. Les outils de gestion de contenu ou de alors propriétaire de la version reprend automatiquement soit les titres, soit le weblog incluent souvent une fonctionnalité per- 0.91. Il fait évoluer le format mais texte intégral d’un site d’actualité ou d’un blog. mettant de produire les flux RSS correspondant une organisation non commer- Un flux d’information en RSS peut ensuite être aux dernières entrées dans le référentiel de ciale, RSS-DEV Working Group, affiché sous forme de liens cliquables sur un autre contenu. A l’autre bout, pour lire un flux RSS, il reprend les principes initiaux la site Web ou sur un logiciel gratuit spécialisé qui faut, un script qui convertisse le XML en HTML. version 0.90 pour aboutir à RSS joue le rôle de “lecteur”. Certains disposent de C’est ce qu’utilisent les “agrégateurs de news” ou 1.0. Depuis Userland Software a leur propre interface, d’autres s’intègrent à un “lecteurs RSS”.
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