Financement de l entreprise
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Il faut prêter intérêt au financement de l’entreprise. En matière d’entreprise aussi, l’argent est le nerf de la guerre. Qu’il s’agisse de développer une nouvelle activité, de créer une
entreprise ou encore de financer les besoins de trésorerie, le recours à des concours bancaires ou encore à des investisseurs, est souvent la règle.

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Publié le 17 juin 2011
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Langue Français

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Do s s i e r Financements >
Dossier réalisé par Laurent Locurcio
En matière d’entreprise aussi, l’argent est le nerf de la guerre. Qu’il s’agisse de développer une nouvelle activité, de créer une entreprise ou encore de financer les besoins de trésorerie, le recours à des concours bancaires ou encore à des investisseurs, est souvent la règle.
Il faut prêter intérêt au financement de l’entreprise
remier constat : les besoins n’ont jamais été aussi importants qu’aujour-d’ePntreprise en France, dont 708 dans l’Aube, d’hui. L’année 2007 a battu encore des records avec 321.000 créations et les financements ont suivi ; Plus de 100.000 PCE, les prêts à la création d’entreprises, mis en place par Oséo et les banques, ayant été accordés. Bon nombre d’acteurs interviennent également sur le financement du créateur d’entreprise. C’est le cas par exemple dans le département, d’organismes tels que Aube Initiative ou encore de Champagne-Ardenne Entreprendre. Leur intervention, sous la forme de prêt d’honneur au porteur de projet, permet de renforcer les fonds propres et de rassurer les partenaires financiers, à commencer par les banques.
Financement permanent
Au passage, ces interventions financières se doublent de systèmes d’accompagnement se révélant tout aussi intéressants que l’aide financière, pour assurer la pérennité de la jeune entreprise. En fait, il y a beaucoup d’intervenants pour le financement d’une entreprise, non seulement lors de sa création,
mais également dans toutes les phases de son existence. Le nombre d’acteurs du finance-ment a même tendance à augmenter. Pour agir sur l’économie, les pouvoirs publics mettent en place de nouveaux disposi-tifs de financement. Le FIP, autrement dit le fonds d’investissement de proximité, idée lan-cée par le sénateur et président du Conseil général de l’Aube, Philippe Adnot, en est l’exemple. D’autres initiatives sont en prépara-tion dans l’Aube comme le lancement d’un club de« business angels », des investisseurs de proximité en quelque sorte. Autre donnée intéressante : les acteurs français du capital investissement ont investi 12,6 milliards d’euros en 2007 (+ 24 % en un an), dans plus de 1 500 entreprises (+ 13 %). Et près de 80 % des investissements sont réalisés dans des PME/PMI de moins de 250 salariés réalisant un chiffre d’affaires inférieur à 50 M€. Les banques et les organismes tels que Oséo ne sont pas en reste, et continuent d’affirmer leur volonté d’être toujours derrière les entre-prises pour les soutenir. D’ailleurs, selon une étude d’Euro-baromètre, 60 % des dirigeants français de PME estimaient qu’il était facile d’obtenir un crédit auprès d’une banque, contre 49 %
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pour les autres chefs d’entreprise européens. Mais la crise financière internationale est passée par là. Des outils spécifiques ont été mis en place, avec l’appui des pouvoirs publics, pour aider les entreprises en difficul-tés. Dans ce contexte, le dialogue entre l’entreprise et les partenaires de son finance-ment est plus que jamais d’actualité. Mais c’était déjà le cas auparavant, les banquiers ayant horreur d’être mis devant le fait accompli.
Indispensable dialogue
Autrement dit, que la situation financière soit bonne ou que des turbulences se profilent à l’horizon, le chef d’entreprise a tout intérêt à en parler à son banquier. Soit pour faire fructifier sa trésorerie, ou alors pour mettre en place des solutions avant que la situation ne devienne critique. Un conseil valable également pour les créateurs, qui doivent engager le dialogue avec les partenaires financiers bien avant de se lancer dans l’aventure. Après tout, l’entreprise et son financeur, qu’il soit investisseur ou banquier, ont forcé-ment des intérêts communs !
Les banques :un rôle à jouer rêter de l’argent, c’est leur métier.Des établissements qui jouent un rôlebanquier des difficultés qui pourraient inter-« Les crédits, c’est environ 60 % deessentiel dans l’économie départementale.venir, le plus tôt possible. Ensemble, ils vont P l’activité d’une banque, et le reste c’est duD’une part, en finançant la consommation,pouvoir étudier des solutions. Il est bien évi-conseil. Notre intérêt est donc bien de continuernotamment au travers des crédits consentisdent que lorsque le banquier est mis devant le à prêter »rappelle d’entrée Dominiqueaux particuliers.fait accompli, la marge de manœuvre est sensi-Demangeon, nouveau président du comitéD’autre part, en contribuant financière-blement réduite »souligne le président du local des banques de l’Aube.ment à la création des entreprises, aux inves-comité local des banques. Cette structure, qui est l’échelon départe-tissements nécessaires à leur développementLa politique de l’autruche n’est guère mental de la fédération bancaire française, estet à leurs besoins en fonds de roulement.payante, d’autant qu’elle ne permet pas d’éviter le représentant des banques mutualistes etUn rôle de partenaire de la vie économiqueles problèmes. Et c’est encore plus vrai aujour-capitalistiques auprès des instances auboises.auboise que les banques entendent biend’hui, alors même que les pouvoirs publics ont rappeler.« Il ne faut jamais hésiter àmis en place des dispositifs qui permettent venir voir un banquier. Pour évoquerjustement aux banques de garantir auprès le cas de la création d’entreprise, led’Oséo leur soutien aux entreprises touchées porteur de projet a intérêt à rencontrerpar la crise. un ou plusieurs banquiers, au momentCela dit, les banques ne prêtent pas pour de l’élaboration de son dossier, avantautant les yeux fermés.« C’est aussi notre rôle même de créer sa structure. C’est unede ne pas nous engager lorsque nous pensons démarche qu’il peut faire en parallèleavoir des raisons objectives de ne pas le faire, de celle qu’il va entreprendre auprèsau vu des éléments du dossier »conclut des chambres consulaires »Demangeon.souligne Dominique Dominique Demangeon.Si le métier du banquier est d’accorder des Nouer le dialogue, bien en amont,prêts, il a aussi à veiller que son client puisse avec un futur partenaire financierle rembourser. Autrement dit, la pérennité peut être riche en bons conseils.d’une entreprise, c’est aussi l’intérêt du « Mais c’est également valable enbanquier. cas de difficultés financières. Le chef Dominique Demangeon, Président du Comité Local des banques de l’Aube. d’entreprise a intérêt à informer son
Dispositifs anti-crise :mieux vaux prévenir...
ébut novembre, le Préfet de l’Aube Christian Rouyer, entouré du D directeur de la Banque de France, François Bavay, et du TPG, Bernard Gaboriau, a mis en place un dispositif local dans le cadre du« plan de soutien à l’économie et au financement des entre-prises ». Il s’agit de prévenir les effets de la crise financière mondiale sur l’activité écono-mique auboise et, en particulier, de veiller à ce que les entreprises n’aient pas à souffrir de la frilosité des banques, lesquelles ont été aidées par le gouverne-ment et doivent donc continuer à jouer le jeu auprès des PME, notamment. Si tel n’était pas le cas, le directeur de la Banque de France s’engage à étudier (1) les dossiers transmispar les chefs d’en-treprise en proie à des difficultés soudai-nes avec des organismes financiers ou de crédits.
La confidentialité de cette action de médiation est garantie. Qui plus est, pour suivre les dossiers chauds, une commission départementale spécifique, pilotée par le préfet, a été constituée, venant s’ajouter aux moyens d’intervention déjà bien rodés que sont la commission des chefs de services financiers (CCSF), le comité départemental de financement des entreprises (Codefi) et le comité interministériel de restructuration industrielle (Ciri), activé pour les entreprises de plus de 400 salariés. De son côté, la CCI dispose elle aussi d’ou-tils de prévention mis à disposition des patrons en cas de besoin. Ainsi, depuis le site Internetwww.troyes.cci.fr, il est possible, en quelques clics, d’autoévaluer la situation de son entreprise. Facile à réaliser, cet autodiagnostic com-porte quatorze questions et permet de détecter les éventuels problèmes avant d’œuvrer à leur résolution.
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Tout le panel des dispositifs anti-crise figure également sur le site, la CCI réali-sant un gros travail de veille afin de livrer l’information la plus exhaustive possible. Son dispositif de prévention est en alerte et le recours à un consultant spécialisé est prévu pour les entreprises qui pressentent des difficultés. En outre, une cellule de prévention a été mise en place avec le tribunal de commerce destinée à« discu-ter avec un juge avant même qu’il y ait une procédure ». Enfin, sur inscription au03 25 43 70 06, il est possible à ceux qui le souhaitent de participer à des « séances d’échanges informels » organisés à espaces réguliers à la CCI. Là encore, la confidentialité est garantie.
(1) Contact : Banque de France Tél. : 03 25 42 44 44 Philippe Schilde
Do s s i e r Financements >
Oséo,acteur majeur du financement ans le paysage bancaire français, OséoD’une manière générale, Oséo, né duD’autre part, Oséo travaille en partenariat D occupe une place bien à part, maisrapprochement de la BDPME, de l’Anvar,avec les banques, bien évidemment, mais souvent indispensable.« Nous interve-aussi avec tous ceux qui interviennent dansmais aussi de Sofaris, soutient l’innovation nons dans des domaines aussi différents que leet la croissance des PME de tous secteursle domaine du développement économique financement de l’innovation, des investisse-d’activité. En clair, les pouvoirs publics ontdu territoire. Fort logiquement, Oséo se ments, du court terme, la garantie de prêts, laconfié à Oséo la mission de soutenir finan-retrouve aujourd’hui en première ligne et création d’entreprise ou encore la transmissions’est vu doter de moyens supplémentairescièrement et d’accompagner les PME en leur et l’international »pour aider les entreprises à faire face auxfacilitant l’accès aux banques et aux organis-rappelle Christian Briand, délégué innovation et directeur régional adjointmes de fonds propres. Et cela, dans toutes lesconséquences de la crise financière interna-d’Oséo Champagne-Ardenne.étapes de la vie de l’entreprise, depuis lationale. création jusqu’à l’innovation en passantDans cette optique, Oséo Champagne-par le développement.Ardenne dispose de 20 millions d’euros En substance, Oséo aide les PME à supplémentaires pour garantir la consolida-trouver une solution à leurs problèmes tion de concours bancaires de court terme de financement.« Nous pouvons agir au en concours de moyens terme, et ainsi travers d’outils très divers tels que les soulager la trésorerie d’entreprises en diffi-avances remboursables, les garanties de culté. prêts bancaires, ou encore les subventions « Fin novembre, en Champagne-Ardenne, pour donner quelques exemples. Il existe 12 dossiers de restructuration dans ce cadre en fait toute une panoplie d’outils adaptés ont été traités, permettant de consolider 2,7 à la situation de chaque entreprise »pour-millions d’euros de trésorerie dans les entre-suit Christian Briand. prises concernées »a indiqué Hervé Bazin, Dans la région, Oséo accompagne directeur régional d’Oséo. annuellement 145 millions d’euros d’in-vestissements et participe à la création de 500 entreprises.www.oseo.fr
tissement de proximité
Le Fip :l’inves aire appel à des investisseurs est un bon moyen de financer son projet ou le F développement d’une entreprise. Dans le monde du capital investissement, Entrepreneur Venture tient une place particu-lière. Il s’agit en fait d’un fonds d’investisse-ment de proximité, appelé FIP Entrepreneurs Est, alimenté par des contribuables ISF, dans le cadre du dispositif lancé à l’initiative de Philippe Adnot. Dans ce cadre, des contribuables assujettis à l’impôt de solidarité sur la fortune peuvent défiscaliser leur placement, à condition que le fonds de proximité investisse principalement dans des PME de Champagne-Ardenne, de Bourgogne et d’Ile-de-France.« Actuellement, nous avons déjà investi dans trois entreprises auboises, pour un montant global de 2,8 millions d’euros» souligne Frédéric Zablocki, l’un des chefs d’entreprise associés au sein d’Entrepreneur Venture. Au delà de l’apport financier, le fait que ce fonds soit piloté par des chefs d’entreprise expérimentés, donne une dimension supplé-mentaire.« Lorsqu’on nous soumet un dossier de création d’entreprise, de développement ou
de reprise d’entreprise, nous l’analysons aussi avec notre expérience d’entrepreneur »com-mente Frédéric Zablocki. Pour ces investisseurs, le ticket d’entrée dans une entreprise varie de 200.000 à 1,5 million d’euros, voire 3 millions d’euros pour un projet exceptionnel. La durée d’accompagnement est aussi plus longue que d’habitude. Quant à la cible visée, il peut s’agit de jeunes entreprises à fort potentiel comme de PME avec un chiffre d’affaires jusqu’a 50 millions d’euros, ayant des projets de développement.
Argent intelligent
« Nous en sommes toujours en phase d’étude de projets qu’on veut bien nous soumettre, d’autant que nous levons des fonds régulière-ment pour les investir. Nous apportons de « l’argent intelligent » parce que nous accom-pagnons également les entreprises dans leur développement, grâce à notre expérience d’entrepreneur. Enfin, notre participation a un effet à la fois rassurant et de levier auprès des partenaires financiers de l’entreprise »ajoute-t-il.
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Enfin, tous les secteurs d’activités sont concernés, ceux faisant appel aux nouvelles technologies, mais aussi ceux plus tradition-nels. Autre nouveauté, un second fonds d’investissements de proximité, EST II, est en cours de souscription auprès des contri-buables ISF. Les entreprises auboises pour-ront bénéficier de ce fonds, affecté sur les mêmes zones géographiques, et qui devrait lui aussi mobiliser au moins 25 millions d’euros.
www.entrepreneurventure.com
Frédéric Zablocki, associé d’Entrepreneur Venture.
Fonds proprespour laveries automatiques
David Espic, créateur de l’entreprise Iwash. omment faire pour mobiliser des C fonds bancaires et attirer des investis-seurs ? Avoir un bon projet et savoir le présenter ne suffit pas, même si c’est là une étape indispensable. Le secret, c’est d’avoir des fonds propres au départ, afin de rassurer les partenaires finan-ciers. Mais ce n’est pas toujours évident lors-qu’on n’a pas beaucoup d’économies, ni de fortune personnelle.« Dans mon cas, je n’avais plus beaucoup d’argent disponible,
d’autant que j’avais déjà investi plus de 40.000 euros en « pré-création », pour mettre au point les systèmes d’automates de laverie que j’entends développer sur la France »explique David Espic. Cet ingénieur de 31 ans, originaire d’Annecy, s’est installé à la Technopole de l’Aube pour développer Iwash, une entreprise développant un ingénieux process de laverie automatique. En mettant au point son propre équipement, Iwash va créer dans les grandes villes des laveries auto-matiques, capable de prévenir les clients par SMS lorsque leur linge est prêt. Plus besoin d’attendre donc au pied de la machine, ces laveries assurant également les activités de pressing. Les études de marché réalisées sur Paris (ville qui compte à elle seule 4.000 laveries et 6.000 pressings) sont très positives. Restait à mobiliser des fonds pour aller plus loin. Pas facile pour David Espic qui n’avait plus que 10.000 € en poche.« Il y a d’autres moyens pour renforcer ses fonds propres, à commencer par les prêts personnels et les prêts d’honneur accordés par certains organismes au porteur de projet »poursuit David Espic.
La solution est venue d’un prêt d’honneur de 30.000 € qu’il est parvenu à décrocher. Dans l’Aube, plusieurs organismes d’accompa-gnement de créateurs d’entreprises, comme Aube Initiative ou encore Champagne-Ardenne Entreprendre pour ne citer que deux exemples, accordent des prêts d’honneur.« En plus, ces prêts qui permettent de renforcer ses fonds propres rassurent les autres partenaires, ce qui m’a permis de mobiliser déjà 600.000 € au travers d’autres concours bancaires et financiers. Je vais pouvoir passer à l’étape supérieure dans le développement de mon projet »explique-t-il. Car il y a encore du pain sur la planche, tant en matière d’industrialisation que sur le plan du développement commercial. Mais le jeune chef d’entreprise est confiant. Dans un premier temps, il compte ouvrir une quinzaine de laveries sur Paris, puis dans les grandes villes françaises. Les services qu’il apporte – des laveries fonctionnant 24 heures sur 24, les clients pré-venus par SMS, la suppression des temps d’attente - devraient lui ouvrir les portes du succès.
www.iwash.fr
Entreprisestechnologiques:besoinssépicifuqse e financement des entreprises technolo-euros leur est accordé dans le cadre de la phasele plan économique, le projet. Mobiliser des giques est un véritable casse-tête.émergente du projet. Dans un deuxième temps,« Cefonds ne sert que s’il y a un marché en face. pLuissent mobiliser des fonds bien avant dejeune entreprise arriver véritablement sur sonqu’elle soit technologique, innovante ou n’est pas évident pour elles. Il faut qu’ellecelui de la professionnalisation qui voit laUne vérité valable pour toute entreprise, pouvoir commencer à vendre et à rentrer demarché, un second prêt d’honneur intervient.traditionnelle ! l’argent »résume Fabrice Richard, déléguéCes prêts ont toujours un effet levier auprès des national au programme InnoTech Entreprendre.banques »précise Fabrice Richard.www.reseau-entreprendre.org C’est d’ailleurs pourquoi il existe desEn moyenne, un euro de prêt d’honneur systèmes spécifiques de financement, maisobtenu permet d’en mobiliser sept auprès aussi d’accompagnement, des jeunes entre-des banques. D’autres partenaires financiers prises innovantes. Les incubateurs, quinaturels des entreprises innovantes, à com-permettent aux jeunes pousses de peaufinermencer par Oséo, permettent de mobiliser leur projet dans un contexte favorable, enles fonds nécessaires au développement de font partie.l’activité, généralement plus long que dans En substance, l’entreprise technologiquedes secteurs traditionnels. présente le handicap d’être gourmande sur leCerise sur le gâteau, InnoTech Entreprendre, plan capitalistique, tout en étant encore loinqui fait partie du même mouvement que de son marché. Un modèle économiqueChampagne-Ardenne Entreprendre, propose différent qui requiert d’autres types de finan-également un accompagnement de la jeune cement.« Nous en avons tenu compte en déve-entreprise par un chef d’entreprise expéri-loppant le concept InnoTech Entreprendre, quimenté. s’inscrit dans le cadre plus général du réseauAu passage, ce dispositif ouvre au porteur Entreprendre. Nous nous adressons spécifique-de projet un carnet d’adresses composé de ment aux entreprises technologiques que nousplus de 600 responsables d’entreprises tech-finançons en deux temps. Un premier prêtnologiques, ayant déjà fait leur preuve. Fabrice Richard, délégué national d’InnoTech Entreprendre. d’honneur d’un montant maximal de 40.000Les contacts pris permettront de valider, sur
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