Biscuits bretons : on vend de plus en plus de Traou Mad
1 page
Français

Biscuits bretons : on vend de plus en plus de Traou Mad

Cet ouvrage peut être téléchargé gratuitement
1 page
Français
Cet ouvrage peut être téléchargé gratuitement

Description

Biscuits bretons : on vend de plus en plus de Traou Mad Aujourd'hui, on ne peut plus se permettre de vendre un produit, de le livrer et d'attendre la prochaine commande», s'étonne Jérôme Tacquard, trente-deux ans,

Informations

Publié par
Nombre de lectures 75
Langue Français

Extrait

Biscuits bretons : on vend de plus en plus de Traou Mad
Aujourd'hui, on ne peut plus se permettre de vendre un produit, de le livrer et d'attendre la prochaine commande», s'étonne Jérôme Tacquard, trente-deux ans, directeur général de Loc Maria basé à Saint-Grégoire en Ille-et-Vilaine.
Et l'homme sait de quoi il parle ! Après l'acquisition des crêpes dentelle les Gavottes, des Galettes Pleyben et de Jos Péron, l'entreprise, sous la houlette de Christian Tacquard son P-DG, a mis la main sur la biscuiterie traditionnelle Traou Mad en début d'année. «Depuis la création en 1990 de la holding Galapagos, Christian Tacquard s'est employé à fédérer et à pérenniser le savoir-faire biscuitier breton autour de la filiale de biscuiterie industrielle Loc Maria. Car pour être visible sur le marché français, il faut cumuler au moins 1.000 tonnes de produits fabriqués. Avec l'acquisition de Traou Mad, notre production annuelle va être de 8.200 tonnes pour un chiffre d'affaires de 63 millions d'euros en 2012», détaille ce diplômé de l'École supérieure de commerce de La Rochelle. Un développement qui n'aurait pu se faire sans un véritable «esprit commercial». «Notre directeur export accompagne nos partenaires distributeurs dans les pays, allant jusqu'à rencontrer leurs clients. Nous invitons également tous nos partenaires à visiter nos usines mais aussi à découvrir la Bretagne et son patrimoine culturel et gastronomique. De cette façon, tous se muent en ambassadeurs, s'appropriant cet héritage, ce qui leur permet de mieux vendre nos produits par la suite», explique-t-il.
Garant d'un patrimoine gastronomique originel, Loc Maria entend, grâce à cette philosophie, valoriser cet héritage pour aborder les marchés de l'Amérique du Nord, du Moyen-Orient et de l'Asie du Sud-Est, l'objectif étant d'atteindre plus de 60% du chiffre d'affaires réalisé à l'export d'ici 2015. En 2011, la holding Galapagos, qui comprend Loc Maria, la PME Alpina qui fabrique 45.000 tonnes de pâtes et une participation à hauteur de 40% de Goûter magique, pôle de pâtisserie industrielle, a réalisé un chiffre d'affaires de 138 millions d'euros pour un effectif consolidé de 630 collaborateurs.
  • Univers Univers
  • Ebooks Ebooks
  • Livres audio Livres audio
  • Presse Presse
  • Podcasts Podcasts
  • BD BD
  • Documents Documents