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• Publié par: avucucir
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Hélène LEGEAY [e-mail] FORMATION UNIVERSITAIRE 2004-: Doctorat de sciences politiques à l’Institut d’Etudes Politiques d’Aix en Provence surLa construction sociale de l’identité religieuse de l’Egypte, sous la direction de Raphaël Liogier, Professeur de sociologie. Boursière d’aide à la recherche du CEDEJ, le Caire. Membre de l’équipe «sociologie, sciences politiques», dirigée par Frédéric Vairel et membre de l’équipe « histoire des sciences », dirigée par Anne-Marie Moulin. Coordination de la thématique de recherche «La construction des orthodoxies religieuses», à l’Observatoire du religieux, IEP d’Aix en Provence 2004-2005: DU d’arabe à l’Université Aix-Marseille I (2ème année) 2003-2004: DEA monde arabe à l’Université Aix-Marseille I (2ème année), mention très bien. Mémoire de droit musulman surUn essai de définition de l’ijtihâd contemporain. 2002-2003: DEA monde arabe à l’Université Aix-Marseille I (1ère année) DU d’arabe à l’Université Aix-Marseille I (1ère année, obtenue avec mention très bien) 2001-2002: DESS de management interculturel et médiation religieuse à l’Institut d’Etudes Politiques d’Aix-en-Provence, mention bien. Mémoire surL’Arabie Saoudite et le traitement des étrangers non-musulmans 2000-2001: DU d’Histoire comparée des institutions religieuses, mention très bien Suivi des cours du DEA de droit international à l’Université Aix-Marseille III 1999-2000: Maîtrise de droit international et communautaire, mention assez bien, comprenant une préparation au concours Pictet de droit humanitaire à l’Université Aix-Marseille III 1998-1999: Licence de droit public à l’Université de Tours 1996-1998: DEUG de droit à l’Université de Tours AXES DE RECHERCHE Depuis 2004, Doctorat en sciences politiques sur «La construction sociale de l’identité religieuse de l’Egypte », Sous la direction de Raphaël Liogier, Professeur de sociologie La problématique centrale de ma thèse est la définition du rapport dialectique qu’entretient le droit avec les représentations identitaires, dialectique dans le sens où le droit et les représentations sociales s’influencent réciproquement. En effet, qu’il soit vecteur de changement ou réactif, le droit est toujours un discours performatif : tout en prétendant « coller » à la réalité, il agit sur elle en faisant prévaloir une représentation du réel (sorte de norme idéelle) sur les autres. J’analyse ce rapport entre droit et représentations identitaires, entre norme institutionnelle et norme idéelle à travers l’étude du statut des minorités religieuses en Egypte. Pour mener cette recherche, j’ai choisi d’étudier plusieurs évènements et débats récents mettant en cause la représentation de la religion en général, ou d’une religion en particulier : - Le débat sur l’accès des bahaïs à la citoyenneté égyptienne - Le débat sur les coptes convertis à l’islam et reconvertis au christianisme et celui sur les musulmans convertis au christianisme : il interroge la dimension sociale de l’affiliation religieuse du citoyen et les effets d’un changement d’affiliation religieuse sur l’équilibre de la société. De plus, il confronte différentes interprétations du droit islamique concernant la question de