Le logement : une dépense importante pour les ménages franciliens modestes
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En Ile-de-France comme en province, la part des ménages propriétaires de leur logement augmente régulièrement depuis 30 ans. L'accession à la propriété s'est beaucoup développée dans les dernières années. Près de la moitié des locataires est logée en HLM. Malgré le développement des aides, le poids des dépenses de logement augmente, surtout pour les ménages les plus pauvres.

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INSEE ILEDEFRANCE
I NSTITUT NATIONAL DE LA STATISTIQUE ET DES ETUDES ECONOMIQUES
ILEDEFRANCE
Le logement : une dépense importante pour les ménages franciliens modestes
En IledeFrance comme en province, la part des ménages propriétaires de leur logement augmente régulièrement depuis 30 ans. L’accession à la propriété s’est beaucoup développée dans les dernières années. Près de la moitié des locataires est logée en HLM. Malgré le développement des aides, le poids des dépenses de logement augmente, surtout pour les ménages les plus pauvres.
’IledeFrance compte près de 5 millions de résidences principa la tLaille des ménages. La région concentre 20 % du parc de la France mé les, soit un million de plus qu’il y a 30 ans. Cette augmentation ré sulte à la fois de l’accroissement de la population et de la baisse de tropolitaine. Plus de 70 % de ces logements sont situés dans des immeu bles collectifs. Cette proportion est deux fois plus faible en province (60 % dans les grandes agglomérations et 25 % sur le reste du territoire).
Début 2002, 46 % des ménages franciliens sont propriétaires de leur loge ment. Ils n’étaient que 35 % en 1973 et 39 % en 1984. Cette proportion est semblable en 2002 à celle observée dans les autres agglomérations de plus de 200 000 habitants, mais reste inférieure à la moyenne nationale (56 %).
eaucoup de nouveaux accédants B entre 1996 et 2002
Le contexte économique favorable dans les années 1996 à 2002  recul du chômage, progression du pouvoir d’achat, taux d’intérêt peu élevés et prix attractifs  a favorisé le développement de l’accession à la propriété, tout particulièrement en IledeFrance. A Paris comme en province, les prix des logements ont été au plus bas au cours de l’année 1998. Dans le même temps, les taux d'intérêt ont connu une baisse sensible. Ainsi, après avoir stagné au début des années 90, le nombre d’accédants récents (voir Définitions) a progressé de près de 40 % entre 1996 et 2002. Laart de ces nouveaux propriétaires de 7 à 9 %, soit le plus haut niv
Un nouvel accédant su prêt d’accession soc province. Com concerne peu dants franc
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