Etude régionale - BOURGOGNE - 2001-2002

Couzy_C

Description

Module 1 :
bibliographie





Etude régionale - BOURGOGNE - 2001-2002



[15] -
«
Elevage de chevaux de sport comme seconde activité professionnelle
»
, mémoire


licence professionnelle, Coralie Demangel, 2001-2002.
Titre de

l’étude
Cette étude est consultable à l’
Observatoire Econom
ique et Social du cheval




L’objectif est de faire une étude
de
marché
afin
de
préparer
le projet personnel de l’étudiante qui souhaite créer
une activ
ité professionnelle
Contexte et
de chev
aux de sport
en Bourgogne.
objectifs de

Contenu de l’étude : analyse de la
situation de l’élev
a
ge
en France et en Bourgogne,
étude de marché
, et réflexion
sur l’opportunité
de la
l’étude
création d’un élevage.


Elev
eurs amateurs de chev
aux de sport
Public ciblé
«
L’
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m
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a
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besoin
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ier n’
est donc
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atique du profit, à l’
inverse, les élev
eurs professionnels exercent cette activité
de façon habituelle et avec un but luc
ratif ».



Pour l’étude de marché, l’i
dentification des éleveurs
amateurs de chev
aux de sport
a été faite à partir du
catalogue d’élev
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al de
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édité par l’Union des Syndicats d’éleveurs de Bourgogne. Ce qui a
permis
d’obtenir des informations afférentes à l’éleveur (no
m,
coordonnées, informations sur les poulinières et leurs producti
ons depuis 1995).
Il est précisé ...

Sujets

• Élevage
• D'une ombre à l'autre
• Bibliographie sur l'Inde
• Professionnel de la santé
• Cheval
• Un demi

Informations

• Publié par: Oddo
• Nombre de lectures: 82
• Langue: Français

Extrait

Contexte et objectifs de l’étude

Public ciblé

Méthodologie d’enquête

Module 1 :bibliographie

Etude régionale - BOURGOGNE -2001-2002

L’objectif est de faire une étude de marché afin de préparer le projet personnel de l’étudiante qui souhaite créerune activité professionnelle de chevaux de sporten Bourgogne. Contenu de l’étude : analyse de lasituation de l’élevageen France et en Bourgogne,étude de marché, et réflexionsur l’opportunitéde la création d’un élevage. Eleveurs amateurs de chevaux de sport « L’éleveurest considéré comme amateur lorsqu’il n’a pas besoin de cette activité pour vivre, son objectif premier n’est donc pas la recherche systématique du profit, à l’inverse, les éleveurs professionnels exercent cette activité de façon habituelle et avec un but lucratif ». Pour l’étude de marché, l’identification des éleveursamateurs de chevaux de sporta été faite à partir ducatalogue d’élevage du cheval de sport éditépar l’Union des Syndicats d’éleveurs de Bourgogne. Ce qui a permis d’obtenir des informations afférentes à l’éleveur (nom, coordonnées, informations sur les poulinières et leurs productions depuis 1995).Il est précisé dans l’étude que 60% des éleveurs y sont inscrits, les 40% restants sont des élevages récemment créés.Remarque:nous ne savons pas comment ces pourcentages ont été déterminés. été réalisés par téléphone, 50% ont été envoyés par courrier, et 15% ont été administrés directement dans les35% des questionnaires ont élevages.Remarqueles effectifs d’éleveurs réellement interrogés ainsi que le taux de représentativité de cet: il est difficile d’appréhender échantillon. Les résultats présentés ci-dessous sont issus de l’analyse de20 enquêtesmenées auprès des éleveurs.Remarque :nous ne connaissons pas la nature des informations récoltées par courriers et enquêtes téléphoniques. « Lafaiblesse de l’effectif d’éleveurs interrogés nécessite une relativisation des informations obtenues »

Mieux connaître la filière équine: systèmes d’élevage, références techniques et économiques, besoins des éleveurs en terme de conseil et d’accompagnement. Réponse à l’appel d’offre des Haras Nationaux pour 2004

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Module 1 :bibliographie Statut des éleveurs: les personnes ayant répondu à l’enquête sont principalement des ouvriers, des agriculteurs et des retraités. Les éleveurs sont en grande majorité des hommes, 8 éleveurs sur 10. Age: 11 éleveurs sur les 20 interrogés ont plus de 45 ans. Effectifs d’équidés: parmi les 20 éleveurs interrogés, 15 ont au maximum 3 poulinières. Surfaces utilisées: 11 éleveurs consacrentmoins de 10 ha d’herbageà leur élevage et 9 éleveurs,plus de 10 ha. La surface herbagère moyenne est de 10,20 ha par élevage, cette surface est très variable suivant les élevages. Infrastructures: la moitié des éleveurs enquêtés a une carrière, et 1/3 des éleveurs n’ont aucune installation (ni manège, ni carrière). Techniques de production :les 2/3 des éleveurs enquêtés font appel aux étalons nationaux et privés. Valorisation et commercialisation: Description des -Laquasi-totalité des éleveursparticipe auxconcours de modèle et allures de 3 ans montés, pour les primes, mais aussi pour les conduites ventes à l’amiable qui y sont organisées (rencontres entre éleveurs et acheteurs potentiels). d’élevage -En ce qui concerne le travail monté post-débourrage, la moitié des éleveurs interrogés s’en charge, et l’autre, préfère confier ses chevaux à des tierces personnes. Tout dépend de l’âge de l’éleveur, de sa profession principale, et, du moment auquel le cheval sera vendu. -En général, les éleveursne sont pas des cavaliers de compétition,un seul d’entre eux est cavalier. Lorsqu’ils souhaitent valoriser leurs chevaux, les éleveurs font appel à des professionnels. -2/3 des éleveurs enquêtés vendent leurs chevaux à 3 ans. Peu d’éleveurs participent aux ventes aux enchères. -D’après l’auteur, les acheteurs sont aussi bien des particuliers que des professionnels. -Il est précisé dans l’étude que les canaux de commercialisationsont : 9Les achats des chevaux parlesorganismes d’état: Haras Nationaux, Garde Républicaine, Ecole Nationale Equitation, et Sports Equestres Militaires (références de prix 1999, 2000). 9Lesventes aux enchèresSIRE). Seulement 2% des selle-français d’une génération sont vendus aux (sources: OESC, UNIC, enchères. 9Lesopérations « point rouge»qui ont lieu lors de la grande semaine à Fontainebleau. Ces opérations consistent à distinguer les chevaux à vendre lorsqu’ils participent à la finale des jeunes chevaux. 9Lesassociations d’éleveurs, qui mettent en relation les éleveurs avec des acheteurs potentiels. 9Lesventes de gré à gré,canal de distribution le plus fréquent en France. 9Et lesmarchands de chevauxsont également des circuits qui peuvent être utilisés par les éleveurs pour vendre leurs chevaux.

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Module 1 :bibliographie Dépenses : -moitié des éleveurs enquêtés consacre plus de 6 000 FLa (915 €)pour une saillie, 2 000 à 6 000 F(305 à 915 €)pour les autres. -40% des éleveurs estiment lecoût de revientconception à l’âge de quatre ans, entre 20 000 et 30 000 Fd’un poulain, de sa (3 049 à 4 573 €). -L’auteur précise que les éleveurs agriculteurs ont des coûts de production plus faibles que les autres strates d’éleveurs (ouvriers, retraités…), car ils peuvent plus facilement subvenir aux besoins (installations, alimentation...) de leurs animaux. -¾des éleveurs interrogés pensent que leur élevage n’estpas rentable.Certains confient même que cette seconde activité est une passion sansrecherche de profit. Références -Jusqu’à son année de deux ans, en l’absence de problèmes de santé et d’accident, le budget de l’éleveur est consacré aux principalement économiques à la nourriture de son poulain (aliments traditionnels, foin, paille, minéraux, et oligo-éléments). -L’année des 3 ansest certainementla plus coûteusepour un éleveur. En effet, à la nourriture et les soins habituels (72%), s’ajoutent le débourrage, et les frais de présentation aux concours de modèle et allures (28%). Ce sont donc l’année de gestation de la poulinière, et l’année de trois ans qui sont les plus coûteuses. -Le prix de revient théorique d’un poulain de sa conception jusqu’à âge de 3 ans est estimé à environ 50 000 F(7 622 €).Remarque:nous ne connaissons pas la source de cette information ainsi que la méthode de calcul de ce coût de revient. Recettes : -Les gains des jeunes chevaux sont souvent en deçà des frais engagés par l’éleveur. -Les éleveurs qui possèdent des chevaux performants reçoivent une prime appelée « prime aux naisseurs », versée par les Haras Nationaux. Difficultés Rentabilité des élevages de chevaux de sport. Tous les éleveurs ont souligné « ilne faut pas attendre d’un élevage qu’il soit rentable et encore identifiéesmoins bénéficiaire : il faut le vivre avant tout comme un loisir et un loisir n’est jamais rentable ! »

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